Mario, le chef, s’est rapproché de ma mère et lui prend le menton de sa main droite; celle ci se laissant faire, a son regard plongé dans celui du malotru. Elle semble hypnotisée… “ Alors Mme Vernon, tu es vraiment capable de faire ce que tu nous as promis, si on te laisse ton oseille ?-Complètement, je tiens trop à cet argent...vous ne pouvez pas comprendre ! Mon mari est un vrai connard , égoïste, mauvais coup au lit, il ne s’occupe plus de moi. Je suis une femme au foyer qui s’emmerde comme un rat mort. Je n’ai qu’une idée en tête, me casser le plus vite possible de cet endroit de merde, me faire un pécule et tout quitter…mari, fils, lycée de merde, ce quartier pourri.Alors si je peux allier l’utile à l’agréable...récupérer mon flouze, me faire du bien et humilier mon mari avec ses anciens élèves, ce serait le top ! -Du bien...ça, on va t’en faire. Un détail quand même. Anton, que tu vois là-bas, va enregistrer toute la scène avec son portable. Cela te dérange? -Heuu...non , je dirais plutôt que ça m’excite, me faire baiser et filmer en même temps. Vous voulez des souvenirs de la partie ? -Et bien disons que nous ne sommes pas vraiment bien vus des condés...alors au cas où tu changerais d’avis, après ce qu’on va te faire, et que tu aurais la mauvaise idée de porter plainte...on aurait à la fois un moyen de chantage et “une assurance-vie”, pour prouver que la petite partouze dont tu vas être la vedette était bien de ton choix . Ça marche ?Anton tu te rapproches et tu prends bien notre nouvelle amie, qui va déclarer son consentement…et ne t’inquiète pas, on ne dira rien non plus de tes petits trafics avec Mourad. Alcool et clopes c’est ça ? Tu vois dans le quartier, rien ne peut m’échapper. Si tu assures bien d’ailleurs, on pourrait peut-être faire du business ensemble... -C’est un peu con, ce truc de déclarer son consentement devant un portable... mais bon, s’il faut en passer par là pour se faire baiser. Du business, avec toi ! Idée séduisante, je sens que vous n’allez pas regretter votre rencontre avec moi… ( Regardant le portable d’Anton): je déclare être Josiane Vernon, la femme du directeur du lycée Camille Saint-Saëns. Et je suis venue ici de mon plein gré, pour me faire baiser par tous ces jeunes hommes que j’ai en face de moi. Et j’accepte avec joie tout ce qu’ils auront en tête …”
Cela, dit avec un regard lubrique. Je sentais que dans sa tête, ma mère avait franchi un “cap de moralité”. J’étais abasourdi, d’abord par sa déchéance prochaine, acceptée et souhaitée. Je me demandais, après cela ce qu’elle serait capable de faire...il fallait que j’en profite. Ce genre de situation, ce n‘est pas tous les jours que cela se présente, quand même ! D’un autre côté, je me rendais compte que ma mère se foutait de moi aussi. Elle avait comme projet de tout quitter, moi y compris ! Mais qu’est-ce que je lui avais fait , bon sang ! J’y étais pour rien dans leurs conneries conjugales. Merde alors! Je l’ai jamais fait chier ; bon d’accord je suis un peu branleur sur les bords, c’est d’ailleurs pour ça qu’à 19 ans je suis toujours en terminale, et que tous mes potes sont en fac eux...Et j’aime bien mon petit confort. Il est hors de question qu’elle se barre. Me retrouver seul avec mon connard de père ??!! Il serait capable de me demander de faire la bouffe ! Et pas question que je sois obligé de me casser de l’appart pour gagner ma vie. Et puis quoi encore ?
Et puis laisser partir ma mère, alors qu’elle est en train, sous mes yeux, de se transformer en la pute de mes rêves ! Et que je ne puisse pas en profiter ? Attends un peu ma salope de mère, crois moi tu vas me le payer au centuple ! Et le film que je suis en train de faire, va bien m’aider, tu peux me croire. Je laissais là mes réflexions et me concentre sur la scène porno qui va se jouer devant moi…
Mario rapproche le visage de ma mère vers le sien, tandis que son autre main sur les hanches de Josiane, rapproche son bassin du sien. Il l’embrasse à pleine bouche. D’abord étonnée par l’intensité un peu violente du baiser, ma mère se laisse faire et je vois leurs langues se mêler.Puis Mario colle son pubis contre celui de ma mère, tandis que sa main soulève la robe légère et commence à peloter les fesses.Je ne peux qu’imaginer l’excitation sexuelle de ma mère, sentant le braquemart bandé à mort de cette racaille. La salope doit être ouverte de tous les cotés tellement son excitation doit être intense. Ça fait combien de temps qu’elle n’a pas éprouvé ce genre de trucs.. 3 ans, 5 ans...plus ? La suite allait m’en apporter confirmation... Ma mère porte une culotte blanche en coton, rien de bien érotique...par contre ce que lui fait Mario l’est beaucoup plus. L’une des mains retient la robe au dessus de la taille, tandis que la seconde vient fureter dans sa culotte et le sillon fessier.A un moment, ma mère, qui embrassait fougueusement le jeune, rejette la tête en arrière et pousse un petit cri de surprise : “ Mon dieu, on ne m’avait jamais fait ça ! -Fait quoi ? dit Mario goguenard. -Tu m’ a forcé la rosette, mon mari ne m’a jamais enculée… -Et ça te plait ? -Mhummm ! oui ! Je pensais pas que ça pouvait devenir….ahn... aussi bon… -Et tu vas voir, là, c’est rien ma belle. Quand tu auras reçu nos 6 bites dans ton petit trou vierge, on te présentera des potes blacks... ta rondelle ce sera "la porte des étoiles !"
Putain , cette racaille est en train d’enculer ma mère avec son doigt ! Je le crois pas ! Et elle se laisse faire , et elle aime ça la salope. Il lui propose de se faire enculer à la chaine et elle acquiesce...maman, pourquoi es-tu aussi salope ? Putain tu vas voir ce que tu vas prendre en rentrant, traînée ! Et bien ça promettait pour la suite. Mais quelle pute ! Je n’aurais jamais cru à ce point ! La suite ne devait pas me décevoir.
Déjà les autres se rapprochent du couple lubrique.
