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Maman...pourquoi es tu aussi salope ?

Chapitre 10

Henriette va au charbon !

Avec plusieurs hommes
Philippe regarda sa mère assise dans le sofa après sa journée de travail... il se demandait comment l’entreprendre pour la décider à quasiment se faire baiser par toute la bande à Mario, afin de décider la tribu à aller délivrer sa rivale des sales pattes du Tunisien !Mais aussi, quelle conne cette Josiane de s’être laissée embringuée par ce Tunisien de merde ! Mais quand même, être dans sa chatte, se faire sucer par elle pendant que Luc s’occupera de la mienne... que du bonheur, mais bon, d’abord décider ma mère ! ’Va encore falloir que je déploie des trésors de perfidie, pensa-t-il amusé !
Philippe s’approcha de l’auteure de ses jours et la fixa intensément : jupe longue noire, chemisier blanc très ouvert, ses cheveux noir de jais, coupés au carré... l’Espagnole de 44 ans au teint hâlé était à croquer. Elle lisait "L’insoutenable légèreté de l’Être" de Kundéra, les jambes croisées, ses lunettes sur les yeux.
— Maman, tu veux que je t’amène une tasse de café et que je te roule une cigarette ?
Henriette Délos regarda son fils en dessous de ses lunettes, puis posa son livre, un sourire malicieux aux lèvres :
— Dis donc toi, qu’est-ce que tu as encore fait... ou qu’est-ce que tu as à me demander ? Tu t’es encore ramassé un carton en maths et tu veux que j’arrange les choses avec ton père ? Ou alors tu veux du fric ?— Non, non, rien de tout ça.— Allez, ne me prends pas pour une conne !— Non ningun problema, te le digo ! (Aucun problème, je t’assure ! )— Capron ! No me dices tonterias ! (Abruti, ne me raconte pas de conneries ! )— Dis... tu le trouves comment mon pote Luc ?— Huuummm... garçon très gentil, mais l’un des plus gros branleurs de ma classe !— Et... heu... physiquement ?— Où veux-tu en venir ? Lui demanda Henriette qui commençait à sentir l’arnaque.— C’est un bon coup, salope ?!— Philippe, ne me parle pas comme ça ! Explosa Henriette, qui lui envoya le bouquin à la figure.— Ohhh ! Du calme ! Je sais tout !— Tout quoi ?
Là, Philippe devait admettre qu’il avait beaucoup de respect pour sa mère... elle était restée de marbre devant ses insinuations perverses !Même si leurs échanges étaient toujours venimeux, il y avait un certain jeu trouble entre la mère et le fils, qui, en femme fatale assumée, exerçait même ses tentatives de charme sur son fils unique... il faut dire qu’elle était tellement délaissée par son mari. Alors, elle le chauffait ; parfois, cela allait fort loin. Son corps n’avait quasiment plus de secrets pour son fils, et le soir, dans son lit, à côté d’un mari ronflant comme une locomotive, elle se passait un index frénétique sur le clitoris, en imaginant son fils la prendre en levrette...

— Bon, tu veux quoi ? C’est cette petite traînée de Clara qui t’a tout raconté ?! Tu veux me revoir à poil ? Tu veux que je t’allume comme la dernière fois ?
Devant cette invitation incestueuse et très perverse, Philippe se mit à avoir une érection phénoménale ! Il se pencha pour allumer la cigarette de sa mère et loucha sur son décolleté. Comme il l’avait subodoré, Henriette avait retiré son soutif et il vit les tétons très bruns, tendus à l’extrême sous le tissu arachnéen du chemisier. De toute façon, sa mère avait laissé le minimum de boutons, et la naissance de ses seins était très apparente. Alors que son fils était penché sur elle, elle en profita pour saisir la grosse bosse qui déformait le pantalon, et commença à la caresser :
" Eh bien, je le fais bien bander mon petit salop de fils ! Tu caresses les seins de maman ? Tu veux que je te suce ?

Philippe n’arrivait pas en croire ses oreilles. La bite à l’air, pleine de sève, il sentit les doigts fins de sa mère la manipuler, il sentait aussi le souffle chaud de sa bouche sur son gland, tandis que lui, avait une main sur les seins dénudés de sa génitrice. Et puis...

" Oh, et puis non ! Je ne vais pas te sucer aujourd’hui. Je te le ferai quand tu m’auras amené cette chienne de Josiane et son fils chéri ! "
Frustré et désappointé, Philippe s’éloigna vers le fauteuil en face de sa mère, et s’y laissa choir.
— Bon, allez, petite compensation... tu peux mater la chatte à maman et te branler !
Philippe vit alors sa mère écarter ses jambes, remonter doucement le tissu de sa jupe sur ses cuisses, le porte-jarretelles apparaître, ainsi que le triangle de poils noirs et la fente d’un rouge vif. Henriette y plaça ses doigts et tout en gémissant d’une façon très provocante, commença à se donner du plaisir. Son fils en face, les yeux rivés sur la chatte maternelle, se masturbait, pour éjaculer très vite sur le sol du salon.
— Tu nettoieras, mon chéri !
Peu après, quand il regarda sa mère en bourgeoise "fatale", rejoindre sa voiture, celle-ci se retourna :
— Au final, tu sais pourquoi je vais le faire ?— Ben, pour me faire plaisir ?— Non ! Pour voir cette pute de Josiane me bouffer la moule, et après, l’enculer au gode-ceinture, cette petite salope ! Et j’ai très envie de te voir la défoncer, toi et ton crétin de copain... voir un fils baiser sa propre mère... le pied !
Sur cette vision onirique qui lui emplissait l’esprit, Philippe eut de nouveau une érection de belle facture, en pensant à la suite !

Henriette avait bien fait les choses ! Ayant laissé sa petite Opel sur un parking, elle marchait sans appréhension vers le camp de gitans, où résidaient Mario et quelques membres de sa bande.Elle marchait sur ses escarpins vernis noirs, qui laissaient un claquement caractéristique sur le bitume : Jupe fourreau noire, chemisier crème et boléro rouge-carmin aux manches longues, ajouré et brodé, avec ses pans liés sur sa petite poitrine. Des bas coutures gris rehaussaient la finesse de ses longues jambes...Elle savait que son apparence de grande bourgeoise classe allait créer un certain trouble chez Mario et ses copains...

Elle pénétra sur la grande prairie occupée par des caravanes blanches, nickel, avec leurs antennes et leurs grandes paraboles. Installés sous un auvent pour prendre un pastis entre amis, 5 hommes se retournèrent, étonnés devant l’apparition. Certes, il était peu fréquent de voir arriver dans le camp ce genre de femme bourgeoise, très bien attifée, surtout après 23h00 ! :
— Bonjour, Messieurs, je viens voir Mario s’il vous plaît ...— Vous êtes qui d’abord ? Mario n’est pas là. “

Visiblement, le vieux qui lui avait répondu, se méfiait des étrangers pénétrant dans le camp, cet étranger fut-il une femme, jolie de surcroît. Les gitans se méfiaient des “espions” venus pour mettre leur nez dans les affaires de Mario, pour ensuite rendre compte à la police.
— Ah, je comprends... non je ne suis pas ce que vous pensez. Je connais très bien la communauté des gens du voyage pour en avoir eu un paquet, qui sont passés dans ma classe. Je suis Henriette Délos, la prof d’électromécanique du Lycée... et entre autres, j’ai eu pour élèves Mario ainsi que pas mal de ses copains.— Ah, mais c’est différent alors ! (le vieux eut un grand sourire). Oui, je vous reconnais maintenant. Vous avez aidé beaucoup de familles, pas comme votre imbécile de proviseur.— Oui je sais, croyez-moi, il n’emmerde pas que les parents et les élèves. Le corps enseignant non plus ne peut pas le voir. — En parlant de corps... Mario a de la chance d’avoir eu une prof aussi appétissante, dit le vieux avec un air grivois.— Oui, je confirme... je me souviens très bien de lui aussi, lui répondit Henriette, avec un sourire dangereusement érotique.— Il est dans le fond du camp, avec ses potes, sous l’auvent rouge. J’espère que vous êtes en forme... et ne faites pas trop de bruit, il y a les petits qui dorment ! “
Le vieux avait encore pris un air lubrique. Pas de doute, pensa Henriette, il est persuadé que je viens me faire sauter par mes anciens élèves... mais en définitive, ce n’est peut-être pas aussi loin de la vérité. Mais quelle conne, la mère de Luc... se faire embringuer par Samir et sa bande... les gitans ne lui suffisaient donc pas. Et son propre fils ? Si mon crétin de Philippe n’avait pas une envie folle de se la taper, tout comme moi d’ailleurs, je n’aurais pas levé le petit doigt ! Elle a intérêt à être bonne au pieu, cette salope !

Mario fit un très bon accueil à son ancienne prof, il était avec trois de ses amis, qui louchèrent tout de suite sur les jambes gainées de soie d’Henriette, et sa jupe fourreau noire assez courte. Les jeunes repérèrent tout de suite la couture des bas, qui signifiait l’usage d’un porte-jarretelles. Aussitôt, leur sang ne fit qu’un tour. Soit la bourgeoise était complètement débile de venir les voir dans cette tenue, soit elle avait un truc à leur demander et avait de quoi les “payer” en retour !
— Madame Délos ! Ma prof préférée ! Que veux-tu de moi ? Je t’ai manqué ? Tu sais que je pense souvent à toi... putain, quels moments on a passés ensemble !
C’est pour renouveler nos ébats que tu te pointes en bourgeoise salope ? Je suis sûr que tu as la chatte à l’air sous ta petite jupe ! Tu nous fais voir ?
— Mario. Je ne suis pas venue pour ça. Il faut qu’on parle.— Bon, OK. Mais viens donc t’asseoir sur mes genoux pour me donner la raison de ta visite ! “
Le ton était autoritaire et ne souffrait aucune discussion.
Henriette n’avait pas le choix... elle s’assit sur les genoux de Mario.Celui-ci lui servit un verre généreux de whisky, que la femme se sentit obligée de boire... mieux valait ne pas vexer les gitans...Un peu plus à l’aise, se sentant dans un état plus euphorique, Henriette se trémoussa pour relever un peu sa jupe fourreau, afin d’écarter les cuisses... geste qui fut tout de suite interprété par le jeune homme comme une invite à faire un petit coucou à sa chatte !Henriette sentit les doigts du jeune homme sur son pubis, puis caressant sa moule du bout du doigt.
— Content de voir que tu as l’esprit toujours aussi ouvert ! Alors qu’as-tu à me demander ?— La femme du dirlo...ça te parle ?— Putain ! Ne me parle plus de cette salope ! Elle est dans la bande à Samir, ce porc immonde !
Henriette sursauta devant la véhémence du jeune homme. Pour le calmer, elle lui prit sa deuxième main et la posa sur son sein droit. Caressant, et triturant les boutons du chemisier, Mario dénuda la femme jusqu’au nombril, faisant sortir ses seins qu’il malaxa avec force. Henriette gémit sous les doigts qui lui forçaient la chatte, et lui pinçaient les pointes de ses seins.
— Alor,s t’aimes ça ma salope... comme au bon vieux temps !— Oui, souffla la femme. Tu dois m’aider à récupérer la mère de mon jeune amant, Luc. Je pense qu’elle est séquestrée par la bande...— Ah bon, c’est ce que tu crois ? Miguel, montre-lui ce qu’on a reçu de ce salop de Samir...
Henriette vit sa rivale danser à poil, en porte-jarretelles et bas blancs, sur une table, au son d’une musique orientale. Une bonne trentaine d’hommes de tous âges l’encourageaient et tentaient de la caresser d’en bas. Josiane couinait à chaque fois qu’une main un peu habile lui caressait vulve ou pubis. Puis elle fut descendue de la table et posée, ventre et torse dessus, tandis que des mains lui écartaient les cuisses. Un premier homme, pantalon sur les chevilles et sexe dur et dressé la pénétra d’un seul coup. Trémoussant son cul, elle commença à gémir comme une putain...
— Voilà ce que ce porc m’a envoyé sur mon propre portable, pour me narguer ! Tu crois qu’une femme non consentante jouirait de la sorte ? Putain, elle a dû se faire mettre par tous les mecs du Djamila. "

La scène avait émoustillé Henriette. Voir sa rivale danser nue, et se faire baiser dans cette position de soumission par tant d’hommes, l’avait excité outre mesure.
— Putain, mais tu mouilles salope...ça t’excite tout ça ?— Oh oui ! Si tu m’aides, je te promets un petit spectacle érotique ici même, avec ma nouvelle amie... en attendant... un acompte !
Henriette se leva des genoux de Mario, le chemisier ouvert et les seins pointant, elle finit de relever sa jupe fourreau, jusqu’au-dessus de son porte-jarretelles, et offrit son cul et sa chatte à la vue des hommes présents, le ventre posé sur la table, comme dans la vidéo :
— Baisez-moi chacun votre tour !
En lisière du camp, deux jeunes voyeurs se régalaient du spectacle, à environ 80 mètres de là, à l’aide d’une bonne paire de jumelles.
— Putain Luc, passe-moi les jumelles, bordel ! Moi aussi je veux la voir se faire baiser par ces mecs ! D’abord, c’est ma mère et puis toi tu l’as déjà baisée !— Putain, mais parle plus fort ! Ils vont nous entendre ces abrutis de gitans ! Oh putain... oh putain qu’est-ce qu’elle se fait mettre !
Philippe arracha la paire de jumelles à son ami, pour voir sa propre mère déshabillée, en bas et porte-jarretelles, assise sur la chaise, cuisses grandes ouvertes, chatte à l’air, tandis qu’un mec la lui bouffait, à ses genoux et qu’un autre se faisait sucer la queue... les trois autres attendaient leur tour, ou tentaient de caresser la poitrine offerte de leur ancienne prof ! Quand Philippe vit sa mère se faire mettre à plat ventre sur la table, et chacun venir lui défoncer la chatte, alors il tenta tant bien que mal d’ouvrir sa braguette pour sortir sa bite ! Luc en profita pour reprendre les jumelles et voir Mario enculer la femme offerte. Pour lui aussi, la tension était insupportable, et il baissa son pantalon pour se branler à son tour !Les gémissements de plaisir de la femme étaient si intenses, qu’ils parvenaient aux oreilles des deux jeunes hommes, malgré la distance.

Chacun tirait sur sa bite en attendant d’avoir les deux mères, Josiane et Henriette à portée de gland... dans quel ordre... cela resterait à déterminer !
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