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La Maman et la Putain

Chapitre 1

L'Anniversaire

Avec plusieurs hommes
« J’exige le respect à cette table ! »
Clarisse avait prononcé cette phrase très tranquillement et ramené le silence autour d’elle. Grave et fermé, son visage restait beau, encore illuminé par ses grands yeux bleus qui projetaient alentour une lueur glaciale. Personne à ce moment n’eut songé à contester l’autorité de cette magnifique jeune femme en bout de table, pas même, surtout pas les pères de ses enfants invités à l’occasion de l’anniversaire du plus jeune.
Ce dernier justement venait, dans l’excitation générale, de se chamailler avec l’aîné à qui il avait jeté « Tu fais chier ». Si les pères, tout au plaisir de la fête, avaient réagi à l’unisson par un « houuuuu » faussement craintif, vraiment rieur, leur ironie avait également été stoppée net par la réflexion de Clarisse. L’air penaud, ils regardaient maintenant leurs assiettes, aussi soumis que leurs enfants à l’invincible autorité de Clarisse.
Spectateur de cette scène, Darryll, nouvel amant, invité aux festivités, observait le profil solennel de la jeune femme, son petit nez tout droit, ses sourcils fins et sévères, son dos vertical et tout en bas, sa cambrure prodigieuse auquel lui seul à cette table avait désormais accès. Tandis qu’un silence polaire s’installait, Darryll se souvenait de la nuit passée, des hurlements de Clarisse qui, le cul empalé sur sa queue, était allé chercher au bout d’une invraisemblable chevauchée un orgasme comme il n’en avait jamais entendu auparavant.
Ainsi, alors que chacun inclinait la tète sous l’insoutenable regard de la jeune et belle matriarche, Darryll se repassait mentalement des scènes où il l’enculait, où elle lui léchait les pieds en réclamant qu’il lui battit plus fort les fesses.
De respect alors, il n’était plus question. Ce que Clarisse lui avait réclamé était précisément aux antipodes. « Insulte-moi !» avait elle glissé sans un souffle à son oreille, comme si chuchotée, la réclamation devenait moins obscène, faisait moins d’elle une salope. Alors il l’insulta, à voix basse pour commencer puis, encouragé par le sourire et les soupirs de la jeune femme, de plus en plus fort. Commençant par les classiques « putain » ou « salope », il s’enhardit progressivement vers des mots plus dégradants qui semblait faire à Clarisse l’effet de caresses.
«  Je ne veux plus entendre un mot vulgaire de tout les reste de la journée » posa-t-elle dans le silence, en regardant non seulement son petit mais tous les convives, à part Darryll.
« Cette table, fabriquée par votre arrière-grand-père, est le cœur de notre foyer, Milo, reprit-elle en s’adressant à son fils, nous lui devons de bien nous y tenir. Tu as compris ? »
« Oui maman, je suis désolé, mais c’est à cause de Jules qui... »
« Je ne veux plus rien entendre ! L’incident est clos »
Le ton soudain rehaussé de Clarisse renvoya chacun le nez dans son assiette.
Puis elle soupira en inclinant la tête, ressemblant fugitivement à la Vierge aux rochers de Léonard. Enfin, dans cette attitude quasi mystique, elle se tourna vers Darryll, souriante avec lui seul :
« Excuse moi mon chéri de t’imposer cela, c’est dur parfois d’être une maman seule » dit-elle, ignorant le présence des pères dont les visages déjà clos se verrouillèrent un peu plus.

C’est à la suite de cet incident, alors que le repas avait presque normalement repris, que Darryl imagina la scène qui eut lieu dans le même décor quelques semaines plus tard, à l’occasion de l’anniversaire de Clarisse.
De ce jour mémorable pour elle et pour beaucoup d’hommes, l’intérieur impeccable de la jeune femme conserva longtemps les stigmates. Darryll s’amusa un moment à admirer l’impériale maman faire la loi au bout de cette table qui portait les traces de l’autre femme en elle : la putain servile. Mais quand il décida de passer à autre chose, il fallut changer le canapé et les chaises de la cuisine et surtout faire poncer la lourde table en chêne du salon dont les tâches imprégnaient trop profondément le bois pour être éliminées par des détergents.
Après que tout fut effacé quelque chose demeura cependant, une photo prise ce jour-là, un très gros plan, trop gros pour qu’on puisse distinguer de quoi il s’agissait. Ainsi, à coté d’un des nombreux portraits de Clarisse avec ses enfants, sur lesquels elle personnifiait la maternité, était accroché un grand cliché abstrait où l’on voyait des volutes blanchâtres et luisants dont seuls Clarisse et les hommes présents à sa fête d’anniversaire eussent pu reconnaître la nature.
Darryll avait disposé la photo de manière à ce que le profil sévère de Clarisse s’y découpa tandis qu’elle siégeait en bout de table, ce qui souvent, en particulier lorsqu’elle exerçait son pouvoir, suffisait à lui donner envie de la baiser.

1- L’Anniversaire
Xavier, un des papas, arriva en retard à l’anniversaire de son ex-femme. L’invitation par courriel avait été lancée par Darryll à lui et à de nombreuses autres personnes dont les adresses e-mail avaient été cachées. Xavier aimait bien Darryll pour avoir partagé avec lui un dîner bien arrosé durant lequel les deux hommes avaient partagé leurs expériences intime concernant Clarisse. Même si Xavier était allé moins loin avec Clarisse, il avait lui aussi constaté cette ambivalence en elle et avait concédé qu’il en avait beaucoup joui et que souvent il lui arrivait d’y repenser avec nostalgie.
Darryll lui avait, en plus du mail collectif, envoyé un message à lui seul intitulé « Conseil d’ami » et dont le contenu disait juste « Viens bien rempli ». Darryll ne répondit pas à ses demandes d’éclaircissement, laissant Xavier en proie à ses interrogations et à un imaginaire enflammé. Tout ce à quoi Xavier parvint à rattacher ces paroles était une phrase qu’il croyait avoir prononcée au faite de l’ivresse lors de ce repas avec Darryll, il avait avoué au nouvel amant de son ex-femme que personne n’avait jamais su aussi bien que Clarisse, « le vider ». Du moins croyait-il se souvenir qu’il avait dit cela…
En dépit de son retard, il prit le temps de s’arrêter chez un fleuriste pour acheter un gros bouquet à son ex-femme. Il fut surpris de trouver le petit parking de la résidence où elle habitait entièrement occupé, l’obligeant à se garer dans une rue à proximité. Enfin arrivé devant la porte de la maison, il entendit des bruits de voix et des éclats de rire assourdis qui déferlèrent sur lui au moment où Darryll vint lui ouvrir.
« Entre vite ! »
L’instant suivant, Xavier, serrant contre lui une grande brassée de fleurs multicolores, avait basculé dans un autre monde. Sous une lumière crue, dans une lourde atmosphère de vestiaires, circulaient des hommes que Xavier connaissait et d’autres qui lui étaient inconnus. Certains étaient habillés, d’autre vêtus à moitié et d’autres encore, complètement nus.
Un grand groupe se pressait autour de la table du salon comme des convives affamés se disputant le banquet. Un groupe plus restreint était composé de types affalés sur le canapé et le tapis qui regardaient un film pornographique où l’on voyait en plan serré un homme frotter ses couilles sur le visage renversé d’une femme.
Xavier fut stupéfait de reconnaître dans un fauteuil, en train de se branler devant ce spectacle, Paul, le premier mari de Clarisse. Il fut plus surpris encore lorsqu’il vit le boucher du quartier se hisser nu sur la table, puis se tenir ainsi au dessus de tous, jambes écartées comme le colosse de Rhodes, la bedaine pendante et poilue sur une énorme queue en érection, brandissant vers le bas une caméra.
Ce fut à cet instant seulement que Xavier comprit ce qui se passait. L’image à l’ecran avait bougé en même temps que le gros boucher poilu et se figeait désormais à nouveau sur un plan d’ensemble.
La femme, sur le dos, tenait contre elle ses cuisses ouvertes. Sa bouche était prise en même temps que son cul par deux chibres de gros calibre et des mains venaient de partout se poser sur ses seins, son ventre, sa chatte vacante.
Le type dans la bouche faisait disparaître entièrement son membre considérable et le délogeait presque complètement dans un mouvement long où l’on pouvait observer distinctement la course du gland au fond de la gorge. Celui dans le cul alternait des petits coups brefs et profonds avec de longs aller et retour au rythme calqué sur le premier. 
La fille ponctuait ces pilonnages par des sons obscènes que Xavier connaissait bien, des sons humides et gutturaux qui encourageaient en particulier les hommes qui la prenaient, mais alimentait aussi l’empressement de chacun à les remplacer.
Les sons ne venaient pas de la télévision mais de la table, où se déroulait la scène qui y était diffusée en direct. 
Xavier posa son bouquet de fleurs printanières sur le sol, entre les nombreuses chaussures qui l’encombraient, et sans plus réfléchir se mit à se déshabiller, pressé de rejoindre la mêlée et de prendre sa part du gang-bang de Clarisse.
Découvrez dans le prochain épisode ce que Xavier a loupé : le début de la fête. Decouvrez l’enchaînement des circonstances entre Clarisse trônant en bout de table et Clarisse soumise à tous les hommes la connaissant de près ou de loin, pour son plus grand plaisir, et le leur. 
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