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Ma maman chérie

Chapitre 1

Inceste
La révélation Je me retourne dans mon lit, je sens le corps d’Elodie, ma copine du moment, contre moi. Hier j’ai fêté mes dix-huit ans, ça a été une fête d’enfer, heureusement que nous habitons dans une maison isolée, nous n’avons dérangé personne. Seule ombre au tableau, la défaite de la France face à l’Italie en finale de la coupe du monde. Je fais glisser ma main sur ses fesses, elle a un petit mouvement, je la mets sur le dos pour m’allonger sur elle et l’embrasser. Ses mains se posent sur mon dos et commence à me caresser, j’adore sentir des mains de femme glisser sur mon corps. Je me redresse, la regarde, elle me sourit. –Je peux rester encore un peu dans ton lit ?–Pas trop longtemps s’il te plait, tu sais que nous sommes là que jusqu’à onze heures trente, maman rentre vers midi, la place doit être nette.–Ok, laisse-moi deux minutes que je finisse de me réveiller. Je me lève et regarde dans le parc, il y a trois tentes sous les arbres, elles sont occupées par mes copines, nous avions prévu qu’elles seraient un peu trop gaies pour prendre le volant après la fête. Oui, nous avons fêté mes dix-huit ans entre filles, je suis lesbienne et le revendique. Je n’ai pas d’atomes crochus avec les garçons, ils me laissent indifférente, ça me complique un peu la vie, mais je m’en fous. A priori, elles dorment toujours, je vais aller préparer le petit déjeuner, Laetitia est allé chercher du pains et des croissants comme je lui avais demandé. C’est la personne qui gère tout dans la maison, ça a été aussi sa fête hier, elle aime bien l’amour saphique et elle a été gâtée, toutes mes copines, même Elodie, lui ont fait une gâterie qu’elle leur a rendu avec plaisir.  Je vis seule avec maman, elle m’a eu après la soirée d’anniversaire de ses seize ans entre amis où elle avait un peu bu et avait fini dans un lit avec trois garçons de sa classe. Elle n’était plus vierge ayant été dépucelé six mois plus tôt par son copain de l’époque. Elle ne considère pas ça comme un viol, elle me dit avoir été consentante, et même y avoir pris beaucoup de plaisir, mais une fois qu’elle a su être enceinte, plus personne ne voulait rien savoir. Elle a décidé de me garder, elle a passé son bac enceinte de plus de huit mois, c’était une bonne élève en avance d’un an, je suis née le neuf juillet mille neuf cent quatre-vingt-huit. Aucun membre de sa famille n’est venu, maman a été rejeté, elle s’est retrouvée seule avec un bébé à même pas dix-sept ans. Heureusement qu’elle est tombée sur une personne bienveillante, Angélique, une infirmière sur le point de prendre sa retraite, qui a trouvé ça scandaleux. Elle nous a hébergé dans son appartement de trois pièces pour donner à maman le temps de finir ses études d’ingénieur. Elle avait soixante-deux ans et venait de perdre son mari, nous avons été des enfants pour elle, elle m’adorait et s’est beaucoup occupé de moi, je la considère comme ma vraie grand-mère. Maman a fini ses études en mille neuf cent quatre-vingt-treize, elle a trouvé un très bon travail très bien rémunéré, mais Angélique voulait que nous restions avec elle, ce que nous avons fait de bonne grâce. Trois ans plus tard, l’année de mes huit ans, huit jours après mon anniversaire, mes grands-parents disparaissent dans l’accident du vol huit cents de la TWA en rentrant d’un voyage touristique d’un mois au US. Maman, fille unique, a hérité de leur grande maison, ils avaient dû oublier de la déshériter. C’est une vielle bâtisse de deux cents mètres carrés au sol sur deux niveau avec une grande piscine dans un grand parc d’un hectare clôturé d’un mur un peu isolée du village. Nous y avons emménagé avec Angélique, notre vie a complètement changé. En quatre-vingt-dix-sept, sans enfant, Angélique adoptait officiellement maman pour qu’elle hérite d’elle. Angélique nous a quitté il y a quatre ans, c’est elle qui gérait la maison, maman a donc embauché Laetitia pour la remplacer. C’est une très belle fille de mère thaïlandaise et de père hollandais installé à Toulouse depuis vingt ans, elle avait vingt-six ans. Elle est grande, a une magnifique peau cuivrée, de très beau seins, des fesses rondes et hautes, un mont de Vénus lisse, bombé donnant sur un sexe discret d’où émerge à peine un mignon petit clitoris, c’est un canon qui ne laisse personne indifférent.  Je connais très bien le corps de maman, nous sommes naturistes et nous allons à Port Leucate régulièrement avec Laetitia, presque tous les week-end de mai à octobre et un mois complet tous les ans dans la maison d’Angélique au village Aphrodite. Une petite maison avec trois pièces, où nous avons passées de très belles vacances. Elle est grande, très jolie, a des seins encore hauts et fermes, un beau bonnet B avec de petites aréole brunes, un ventre plat, un pubis lisse et des fesses adorables. Elle est très belle, j’avoue que je la trouve très à mon goût, mais c’est ma mère et il n’est pas question qu’il se passe quelque chose entre nous.  Je descends à la cuisine, Laetitia est déjà là, elle a fait les courses. Elle porte un tee-shirt et une jupe plissée, je sais qu’elle porte toujours un mini-string, je glisse ma main sous sa jupe pour tomber sur de magnifiques fesses nues bien fermes.  –Lili !! tu pourrais au moins me dire bonjour avant de t’occuper de mes fesses.–Impossible, elles sont trop belles et trop douces, mais je vais d’abord leur dire bonjour à elles.  Je soulève sa jupe et me penche pour déposer deux baisers sur ses fesses, je tire sur la ficelle du string, les écarte un peu pour glisser ma langue entre elles et titiller sa rondelle. Elle a un petit frisson, je donne encore deux coups de langue avant de me redresser, je sais qu’elle adore ça. Je me redresse, la fait pivoter pour poser mes lèvres sur les siennes en un baiser rapide. –Bonjour Laetitia.–Bonjour Lili, tout est prêt, allons réveiller tes copines.
–Ok. Nous sortons pour aller réveiller tout le monde, il est déjà presque dix heures du matin, il ne nous reste qu’une heure et demie pour tout plier, ce sont les conditions de maman pour nous prêter la maison, qu’elle soit nickel à son retour. J’ouvre une tente, je vois Anaïs et Carole enlacées encore endormies. Je me couche sur elles pour les embrasser, elles se réveillent en me souriant. –Allez les filles il faut se lever, plus qu’une heure.–Ok. Je sors de la tente suivie par les filles nues, elles enfilent un tee-shirt long et vont vers la maison. Laetitia a été un peu moins efficace que moi, Juliette, Mélodie, Emma et Carla sont encore sous leurs tentes, elles finissent par sortir et enfilent un tee-shirt. Nous allons toutes dans la cuisine, je ne peux m’empêcher de poser mes mains sur les fesses de Carla et d’Emma, ce sont deux de mes anciennes copines avec qui je fais toujours l’amour de temps en temps. Je ne suis pas du tout fidèle, j’aime trop les belles femmes, toutes les belles femmes, je n’ai pas encore rencontré la femme de ma vie. Emma soulève son tee-shirt pour me montrer ses fesses, elle sait que je les aime beaucoup, je l’immobilise pour les écarter et lui lécher la rondelle, elle tortille un peu du cul pour me faire comprendre qu’elle adore. Arrivées dans la cuisine, nous tombons sur Elodie, Anaïs et Carole nues, elles sont assises et se servent du café ou du thé. Tout le monde les imite, et s’éparpille autour de la grande table. Nous petit déjeunons en rigolant quand j’entends une voiture arriver et se garer devant la maison, c’est maman qui arrive plus tôt que prévu. Elle travaille dans une société d’aéronautique de cinq heures à midi le matin comme ingénieure système, d’habitude, elle rentre un peu plus tard, les filles s’affolent. –Du calme les filles, maman connait mes penchants, elle ne sera pas étonnée de nous trouver toutes à poil, et je pense même qu’elle fera comme nous, n’oubliez pas que nous sommes naturistes. –Inutile de le dire, ça se voit, tu es à croquer, comme Laetitia d’ailleurs.–Sauf que moi, ce n’est pas le bronzage.–Je suis à votre disposition mes chéries, c’est quand vous voulez.–Ça aussi c’est inutile de le dire, tout le monde sait que tu es une folle du cul.–Oui, mais que de culs de minettes et des vôtres en particulier. Maman entre dans la cuisine, elle est habillée d’une grande robe lui arrivant à mi cuisses, elle vient vers moi.  –Je suis sortie plus tôt, j’avais une course à faire ce matin, j’ai pris deux heures.–Bienvenue maman chérie, installe toi, il y a assez de croissants pour tout le monde.–Merci ma chérie, je vois que vous êtes à l’aise, moi aussi, je vais me mettre à l’aise, ras le bol de cette robe trop chaude. Elle passe ses mains derrière elle, la robe s’ouvre et tombe à terre, elle ne porte jamais rien dessous, comme moi, elle apparait dans sa splendide nudité. Je remarque que mes copines ne restent pas indifférentes au spectacle offert, je les connais bien, elles se la taperaient bien. Elle s’assoie à côté de moi après m’avoir embrassé. Nous finissons de déjeuner, une fois tout rangé, les filles plient leurs tentes et chargent les voitures. Mélodie n’enfile qu’un tee-shirt assez court qui ne lui couvre que le haut des fesses, elle s’installe au volant d’une des voitures cul nu et démarre. Carole et Anaïs en font autant et s’installent avec elle. Les quatre autres filles s’habillent normalement et montent dans la seconde voiture. Elles nous quittent vers midi, je me retrouve seule avec maman et Laetitia. Maman se tourne vers elle. –C’est bien demain que tu pars en vacances ?–Oui, je vais retrouver ma famille à Anglet, je ne peux pas faire autrement, comme tous les ans. –Ok. Je monte dans ma chambre, je m’allonge sur mon lit, Laetitia entre dans la chambre. –Je peux entrer ?–Bien sûr, tu as besoin de quelque chose ?–Juste envie de m’occuper de ton corps, mais il faut préparer la bouffe, on n’a pas beaucoup de temps. –Moi aussi j’en ai envie, deux minutes. Elle s’allonge sur moi tête-bêche, je lui caresse le dos et les fesses pendant que je lui titille le clitoris avec ma langue. Elle en fait autant, nous sommes très excitées et l’orgasme arrive très vite. Au bout de deux minutes, elle se lève et me prend la main. –Il est presque treize heures, il faudrait que tu viennes m’aider, j’avais prévu une énorme côte de bœuf pour déjeuner, il faut allumer le barbecue. –Ok, j’arrive. Je me lève mais je l’enlace pour faire glisser mes mains sur son dos et ses fesses. J’adore sa peau cuivrée extrêmement lisse et douce. Je pose ma bouche sur la sienne, nous échangeons un baiser fougueux, il n’y a pas d’amour entre nous, juste une envie commune de se faire plaisir de temps en temps comme à l’instant. Maman connait notre relation, elle n’y voit pas d’inconvénient à condition que ça n’influe pas sur notre travail.  Je démarre le barbecue, un quart d’heure plus tard, Laetitia amène la côte de bœuf et la fait cuire. Nous la mangeons avec plaisir, mais j’ai envie de me reposer, j’ai très peu dormi cette nuit Elodie a été insatiable. Maman monte dans sa chambre, j’aide Laetitia à ranger et lancer la vaisselle. Un petit quart d’heure plus tard, je monte pour aller m’allonger et faire une sieste. Je passe devant la chambre de maman, sa porte n’est pas complètement fermée et en passant, je distingue son corps nu, ses jambes ouvertes et sa main sur son sexe.  Je m’arrête pour regarder, je vois le sexe de maman, ses lèvres roses luisantes d’où coule un liquide blanchâtre. Je réalise qu’elle est comme moi, son corps a besoin de plaisir et elle s’en donne quand elle est seule. Je pense que la vue de mes copines nues ne l’a pas laissé indifférente. Je sais qu’elle a des copines avec qui elle fait l’amour de temps en temps, mais je ne les connais pas, elle cloisonne. Ses jambes sont grandes ouvertes, son doigt s’active de plus en plus vite sur son clitoris gonflé, ses fesses commencent à se lever, je vois son ventre se crisper, elle se raidi et jouit dans un murmure sourd. –MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM De voir maman se caresser comme ça me met dans tous mes états, c’est la première fois que je la vois se masturber et jouir, elle est tellement belle. Je sens mon sexe s’humidifier de plus en plus, j’ai envie d’en faire autant, mais aussi, pour la première fois, j’ai envie de poser mes mains sur ce magnifique corps, de plonger ma bouche sur son sexe et de le faire jouir encore une fois. Que m’arrive-t-il, c’est ma maman adorée, je ne peux pas penser à ça. Je vais dans ma chambre, m’allonge sur mon lit en écartant les jambes, ma main se pose sur mon sexe pour me titiller le clitoris.  Mon esprit est rempli de l’image de maman avec sa main sur son sexe qui se donne du plaisir. Je jouis beaucoup plus vite que d’habitude, mon corps explose dans un merveilleux orgasme, ma tête remplie des images de maman nue et offerte. Je m’endors assez vite, je vois maman m’offrant son sexe à bouffer. Mes rêves sont peuplés de maman nue dans mes bras, et moi, entre ses cuisses me délectant de l’élixir d’amour qu’elle me donne.
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