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Maman sévère puis soumise

Chapitre 1

Inceste
Partie réelle---------------
Cette histoire en partie réelle remonte à fort longtemps. J’étais alors très jeune et ma mère très à cheval sur tout ce qui touchait le sexe. Elle m’interdisait de me toucher ou d’avoir des idées sur les choses du sexe. Alors le jeudi matin, lorsque mon père fut parti travailler, je me mis à sa place, à côté de ma mère. Une femme avec de très belles formes surtout ses seins bonnet D qui me faisaient fantasmer. Elle portait fort bien son embonpoint avec de belles jambes, des cuisses bien en chair et de superbes fesses.Son principal plaisir était que je la masse car elle trouvait que j’avais du fluide dans les doigts. Je commençai par les chevilles puis je remontai le long de ses mollets pour finalement me risquer à masser ses cuisses. Ma mère me demanda alors de ne pas monter trop haut. Et bien qu’étant mon désir le plus fort je lui obéis.
Ses seins m’obsédaient et je n’avais qu’un souhait c’était de les toucher et de les sucer. Je nourrissais alors un secret désir de la dominer sexuellement pour toute la frustration qu’engendraient toutes ces demandes réitérées qu’elle m’adressait. Elle me demandait aussi de ne pas me marier avant au moins l’âge de trente ans pour qu’elle puisse me garder près d’elle le plus longtemps possible.
Partie imaginée-------------------
A mes 18 ans, je trouvai une lettre que ma mère avait écrite à mon père pour se plaindre qu’il ne la touchait plus. De plus je découvris sous le matelas du lit conjugal toute une série de revues mettant en scène de très belles femmes dénudées que devait probablement consulter mon père pour qu’il puise une excitation que ma mère ne lui procurait plus que partiellement.
C’est alors que je pris la décision de séduire ma mère pour mieux la dominer sexuellement par la suite.
Le jour de son anniversaire je lui offris un joli collier en strass qu’elle adorait dans un petit paquet très bien emballé. Elle fut enchantée. Puis je constatai que son bas avait filé. Je lui demandai alors si elle voulait que je la masse pour la détendre et après un moment d’hésitations elle accepta. Il faut dire que j’étais devenu un homme et que les choses pourraient éventuellement prendre une autre tournure.
Si bien qu’elle s’allongea sur le lit en position ventrale et je commençai à la masser. Je profitai alors de lui dire que son bas avait filé et qu’elle ferait mieux de le retirer. Elle me fit sortir pour s’exécuter car elle portait une gaine à l’ancienne pour soutenir son bas-ventre et ses fesses. Lorsqu’elle me dit de rentrer elle ne portait plus que sa jupe et son slip. Elle avait retiré sa blouse pour ne lui laisser que son soutien-gorge.
Tout en lui massant délicatement les jambes et passant subrepticement la paume de mes mains sur ses cuisses, j’observais ses réactions avec angoisse. Jusqu’au moment où, probablement en manque de sexe, elle commença à frissonner. Je fis mine de rien et lui demandai si elle n’avait pas besoin de nouveaux bas. Sans qu’elle puisse me répondre, je me levai brusquement et sorti de la chambre la laissant ainsi insatisfaite. Elle avait l’habitude que je lui masse le dos également...
Lorsque je revins du magasin je lui fis un autre cadeau. Deux paires de bas - à l’époque les collants n’existaient pas et se maintenaient grâce soit à des porte-jarretelles soit, comme dans le cas de maman, par une gaine. La première paire de bas était couleur crème pour une utilisation courante et la seconde... la glaça d’effroi. C’était en fait des bas résilles.
Furieuse elle me gronda et me demanda comment j’avais osé lui faire un tel cadeau. Je lui répondis que peut-être ça la mettrait sûrement en valeur et qu’elle prenne le temps nécessaire pour les essayer. Si elle voulait je pouvais même lui donner mon avis car je lui appris avoir lu la lettre écrite pour papa dans laquelle elle se plaignait qu’il s’était lassé d’elle et que dans le même temps j’avais aussi découvert ces revues érotiques.
Couverte de honte et de fureur elle se mit à crier. Je lui répondis calmement et lui conseilla de réfléchir. Comme première technique de domination envers ma mère, je lui proposai alors de les porter le jour où elle changera d’avis et qu’elle se présente à moi dans cette tenue pour que je puisse lui suggérer un avis. Je donnais alors des consignes à ma mère Renée sur sa manière de se vêtir par un petit mot que je laissai sous son oreiller. Il était rédigé à peu près de la sorte. Bonjour maman. Je sais que je t’ai un peu froissée avec ce cadeau. Je te suggère que tout ceci reste strictement entre nous. Mais si toutefois tu veux devenir plus séduisante et plus désirable, je te conseille de suivre mes recommandations. Si tu changes finalement d’avis, viens me réveiller dans ma chambre le jeudi matin mon jour de congé dans la tenue suivante : blouse largement décolletée, jupe trois quarts cachant tout juste les genoux et au-dessous ta gaine et tes bas résilles. Tu auras fait un pas dans la bonne direction.Je t’embrasse : ton fils
Fin de la première partie
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