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Maman ou tonton ? (1)

Chapitre 1

Inceste
Avec mon Mari Alex, bi et candauliste, nous sommes un couple très libre, nous aimons nous raconter nos aventures les plus perverses. À sa demande, et en son nom, je relate ici un épisode de son adolescence lors de vacances en famille, et certaines de ses rencontres.
Après le départ de mon père avec la sœur de maman, de dix ans sa cadette, celle-ci effondrée eut beaucoup de mal à s’en remettre. Je venais d’avoir dix-huit ans et toujours puceau, pourtant je me sentais un homme et responsable d’elle, je voulais la consoler. Nous passions de longues soirées sur le canapé devant la télé, blottis l’un contre l’autre, j’essayais de la réconforter. Ses nuits étaient peuplées de cauchemars ou d’insomnies, je l’entendais souvent sangloter, voire crier de désespoir.
Une nuit lors d’une très forte tempête, le bruit du vent et de la pluie étaient épouvantables, la maison semblait trembler de partout. Maman terrorisée vint dans ma chambre et me demanda si elle pouvait venir se réfugier dans mon lit. Ma couche était étroite, je la pris dans mes bras, elle se cala contre moi, frémissante d’angoisse. Je la câlinais, caressais son dos, l’embrassais dans le cou, assez vite, elle se détendit. Je sentais son corps chaud, ses seins fermes collés contre poitrine et son ventre contre mon ventre au travers de sa nuisette. Mon nez calé dans son cou et ses cheveux, je respirais son parfum capiteux et sensuel. Je commençais à bander dans mon caleçon.
Maman était une belle blonde de trente-huit ans aux formes voluptueuses, de gros seins durs droits comme des obus et des fesses charnues sous une taille fine.
J’avais toujours admiré cette belle femme plantureuse que mon père faisait crier de plaisir presque chaque nuit. Parfois cela me réveillait, je me levais pour voir ce qui se passait dans cette chambre. Je regardais par la porte presque toujours entrebâillée, j’appris plus tard que c’était voulu. Je voyais maman écrasée sous mon père qui s’acharnait à la pilonner à grands coups de boutoir, ou à quatre pattes sur le lit, la tête sous l’oreiller pour étouffer ses rugissements de plaisir. Je la voyais aussi suçant le grand et gros sexe de son mari jusqu’à avaler sa semence avec délectation. Je voyais leurs sexes s’emboîter avec des chuintements humides obscènes. Je voyais aussi maman offrir son anus au plaisir de mon père et qui jouissait encore plus fort que d’habitude. J’avais ainsi découvert tout ce qui peut se faire en amour, enfin je le croyais.
Cette nuit de tempête, j’étais amoureux de Claudy, ma mère. Je la tenais serrée contre moi, j’avais envie d’elle. Je bandais comme un âne. Elle avait senti ma queue grossir et s’agiter contre son ventre, elle s’écarta doucement de moi et se leva.
— Ça va mieux mon chéri, je vais retourner dans mon lit, ce sera plus raisonnable et tu pourras te masturber plus à l’aise.
Depuis longtemps, nous avions parlé de l’onanisme qu’elle me conseillait. Je savais qu’elle surveillait mes draps, mes slips et même ses petites culottes que parfois je tachais prenant encore plus de plaisir.
Après cette nuit, maman mit un peu de distance entre nous. Le temps passant, elle reprit le dessus, son chagrin s’estompa, nous vivions tous les deux en évitant d’évoquer mon père. Notre vie retrouva tout doucement un cours normal. Je me consacrais entièrement à mes études au sport et à ma mère. J’étais un ado bien bâti, physiquement et mentalement solide, je faisais beaucoup plus que mon âge.
Maman ne sortait jamais, se consacrant à son magasin de lingeries fines. Elle avait gardé quelques copines, mais aucun contact masculin. Seule son amie, Mireille, une jolie brune potelée aux formes généreuses avec une joie de vivre à toute épreuve et une gaîté perpétuelle, venait lui tenir compagnie pour la consoler, elle disait :
— Oublie le passé, tu es jeune, tu es belle, profite de la vie, de ses plaisirs tels qu’ils se présentent.
Parfois elle restait la nuit avec maman et même des week-ends entiers lorsque le samedi je m’absentais pour des compétitions sportives, elles dormaient ensemble. Certaines nuits, de gros soupirs, mais surtout des gémissements me réveillaient et me faisaient sortir du lit inquiet, craignant que maman pleure.
Ainsi j’ai découvert que Mireille nue, allongée entre les cuisses largement ouvertes de maman, était une vraie belle femme et savait redonner de la joie de vivre et du bonheur à maman qui jouissait en mordant son oreiller.

Après cette découverte, je montais souvent ’’la garde’’ devant la chambre maternelle lorsque celle-ci était occupée par les deux ’’amies’’, j’allais dire les amantes (la porte restait comme toujours entrouverte).
Je les surpris ainsi dans de nombreuses positions de l’amour au féminin, souvent tête-bêche se léchant le clito avec passion tout en maniant un gode profondément enfoncé dans la chatte de chacune. Je vis même maman en levrette prise au gode ceinture par Mireille qui la sodomisait avec ardeur la faisant jouir les yeux révulsés et la bouche ouverte sur un cri muet d’extase, puis rendant la pareille à sa maîtresse, qui pissait en jouissant du cul arrosant la chatte et les cuisses maternelles.
Maman était bi, cela me troubla et me rassura en même temps bien que je ressente une pointe de jalousie.
Une nuit, j’étais à peine caché par la pénombre du couloir dans l’entrebâillement de la porte de sa chambre, maman se faisait prendre au gode ceinture par Mireille à la lueur de bougies. Je l’aperçus qui, au moment de jouir, me regardait me masturber devant le spectacle qu’elle m’offrait. Les yeux exorbités par le plaisir, elle me fit un petit clin d’œil en passant la langue sur ses lèvres ouvertes avant de crier ’’je jouis’’. Je ne pus me retenir, je giclais tout mon sperme sur la porte et le parquet dans l’entrée de la chambre avant de m’enfuir. Le lendemain matin au petit-déjeuner, elle me regardait avec un sourire coquin en papotant avec Mireille qui lui dit en me faisant un clin d’œil.
— Tu as trop ciré le parquet de ta chambre, j’ai failli glisser cette nuit en passant la porte...— Non j’avais dû faire tomber de la crème démaquillante, il y en avait même sur la porte, j’ai tout essuyé ce matin, mais bizarrement ça ne sentait pas comme d’habitude...
elles éclatèrent de rire.
Le seul homme que nous voyons et qui venait à la maison était Jean Claude, son frère aîné jovial et sympathique. Nous partions en vacances ensemble avec Martine, sa femme, une petite brune mignonne avec de belles formes, mais qui bizarrement jusqu’ici m’avait semblé assez insignifiante et surtout effacée.
Nous partagions une villa sur la côte, près de Pornichet. Il n’y avait que deux chambres, je dormais sur une banquette dans le salon. Souvent la nuit, je voyais maman, très légèrement vêtue à cause de la chaleur, aller à la cuisine boire un verre d’eau ou sortir sur la terrasse toujours victime d’insomnie. Je l’appelais et l’invitais à venir s’asseoir à côté de moi pour parler un peu, serrés l’un contre l’autre, nous tenant par la main, nous consolant mutuellement. Ensuite elle retournait se coucher.
Ces moments d’intimité nocturne me mettaient dans tous mes états et je me branlais comme un fou en pensant à elle et même plusieurs fois tellement elle me faisait bander, remplissant de mon jus des mouchoirs en papier.
Mon Oncle JC se levait tôt seulement vêtu d’un caleçon large ouvert et d’une chemisette laissant voir son torse puissant velu. Apercevant les mouchoirs en papier imbibés de sperme sous ma couche, il vint s’asseoir à côté de moi et pour me réveiller rejeta complètement le drap. Il reluquait mon corps d’éphèbe nu.
— Dis donc tu t’es fait plaisir cette nuit, c’est triste de faire ça tout seul !!!
Un peu honteux, je ramassais les preuves de mes masturbations sans lui dire que c’était pour ma mère que je jutais ainsi.
— C’est normal de se branler à ton âge, mais tu pourrais aussi te soulager avec quelqu’un.— Tu n’as pas d’ami ? Fille ou garçon... ?— Non maman a trop besoin de moi et puis les filles de mon âge et du lycée bof... !— Tu n’as pas copain non plus ? Tu sais entre hommes on peut aussi avoir beaucoup de plaisir.— Je n’ai jamais essayé ni l’un ni l’autre et puis je préfère les femmes.— Parce que tu n’y as jamais goûté, tu sais entre hommes c’est tellement plus simple et fort.— Mais je ne suis pas homo !!!— Il n’est pas nécessaire d’être gay pour partager du plaisir avec un garçon. On peut aimer les femmes et les hommes et prendre du plaisir avec chacun. Vingt-cinq pour cent des hommes sont bi. Avec ton corps d’apollon et une belle queue comme la tienne, ça peut donner des envies à plus d’un mec.
Disant cela il avait fait glisser sa main sur mon torse mon ventre et maintenant il me caressait la queue et les couilles. Aussitôt je me mis à bander. J’avais honte, en plus par l’ouverture de son caleçon j’apercevais sa bite toute raide. J’étais tétanisé, effrayé et curieux. Je n’osais pas bouger, je ne savais pas quoi faire ou dire, car le plaisir que me procuraient ses caresses m’enlevait toute volonté. Je me laissais aller aux mains de mon oncle qui continuait de me branler doucement tout en descendant son calcif. Sa queue se libéra comme un ressort. Elle était moins grosse que la mienne, mais d’une belle longueur avec un gland effilé bien décalotté, je la trouvais belle sur ses petites couilles rondes.
JC me prit la main et la posa sur son sexe dur, je n’osais remuer mes doigts sur ce manche brûlant et doux comme de la soie. Il imprima un mouvement de haut en bas à mon poignet, je poursuivais la caresse avec maintenant l’envie de masturber ce pénis qui n’était pas le mien et qui m’excitait.
— Laisse-toi aller, fais comme moi, caresse ma queue et mes burnes, c’est bon ta main. Tu aimes comme je te branle ?— Oh oui c’est bon... meilleur que tout seul..... continue... J’aime... je vais bientôt jouir.
Aussitôt il plongea en avant, emboucha ma bite et se mit à me sucer.
Ô merveille : ma queue dans sa bouche chaude, sa langue qui tournait autour de mon gland et ses lèvres qui me pompaient. Quel délice je n’imaginais pas qu’un tel plaisir cela puisse exister. Je ne pouvais plus me retenir. De longues salves de foutre commencèrent à fuser dans sa bouche.
À ce moment, on entendit du bruit à la porte du couloir, mon oncle se releva précipitamment, s’essuya la bouche et sortit en remontant son caleçon. Paralysé par la surprise, je restais là inerte, les bras ballants, la queue en l’air, ne pensant même pas à me couvrir. Maman apparut me découvrant à poil en pleine éjaculation, la bite agitée de soubresauts giclant de gros jets de sperme qui n’en finissaient pas d’arroser mon ventre et ma poitrine. J’étais terrifié, maman avait elle vu ce qui se passait avec mon oncle ? Ou croyait-elle seulement que je me masturbais ?
— Mon chéri je suis désolée, je n’imaginais pas ce que tu faisais, je m’en veux de t’avoir bloqué dans ton plaisir. — Ce n’est pas grave maman, mais j’ai honte d’avoir fait ça devant toi. — Ne t’inquiète pas mon fils chéri, je comprends que tu aies des besoins, à ton âge ! Tu es un homme maintenant, il faudrait que tu te trouves une copine, une amie, une femme même plus âgée avec qui tu pourrais avoir de vraies relations sexuelles.
Tu n’as jamais fait l’amour ?
— Maman je n’ai pas de copine, je n’ai que toi dans ma vie tu es la seule femme que j’aime..... Je n’ai jamais fait l’amour.

Elle fut troublée par ma déclaration et vint s’asseoir à côté de moi sur la banquette en relevant sa nuisette sous laquelle comme d’habitude elle était nue, j’aperçus ses fesses et au travers du tissu léger ses seins. Elle m’embrassa tendrement et de ses mains étalait sur mon torse et mon ventre les grosses flaques de mon sperme visqueux, puis me regardant droit dans les yeux avec un sourire malicieux elle lécha ses doigts avec gourmandise. Je rebandais immédiatement.

Surprise et ravie, ses mains gluantes descendirent caresser ma verge tendue.
— Mon chéri je suis heureuse de te faire cet effet, j’ai cru que tu aimais les garçons.— Maman c’est toi qui me fais fantasmer, c’est pour toi que je bande et que je me masturbe, c’est de toi dont j’ai toujours eu envie.
Comme tonton elle se pencha sur mon ventre et enfourna ma queue tendue à l’extrême enfonçant ma bite jusqu’au fond de sa gorge, elle me suçait à merveille. Sa bouche distendue allait et venait tout le long de ma hampe, sa langue tournait autour de mon champignon, léchait la collerette et venait taquiner le méat déclenchant des merveilles dans mon corps.
C’était la deuxième pipe que l’on me faisait en moins de dix minutes, à moi le puceau !
Cette fois c’était maman qui me suçait et encore mieux que dans mes pires fantasmes. Sa bouche me pompait de plus en plus fort, ses mains caressaient mes couilles, ses doigts s’aventuraient sur mon périnée, sur mon anus qui palpitait augmentant ma félicité. Le plaisir montait, j’allais jouir dans la bouche de maman la ’’merveilleuse’’. J’étais au paradis, je posais mes mains sur sa tête et m’enfonçais à fond dans cette bouche aimée.
Dans un grand cri, l’orgasme me traversa, je giclais dans la gorge de ma génitrice, remplissant sa bouche de mon sperme épais qui n’en finissait pas de jaillir de mes couilles.
Maman continuait sa succion sur ma queue, gardant tout mon jus entre ses joues gonflées jusqu’à la fin de ma jouissance, jusqu’à ce que je ne lui donne plus rien. Alors, elle se redressa, ouvrit la bouche remplie de mon foutre et me regardant avec amour, avala toute ma semence grasse avec des gloussements de bonheur. Puis elle s’allongea sur moi et m’embrassa à pleine bouche, me faisant goûter mon sperme, je l’enlaçais et lui rendis son baiser avec amour.
— Est-ce que je t’ai mieux sucé que ton oncle ???— Ho... Maman, c’est tellement merveilleux la jouissance que tu viens de me donner, rien ne peut être meilleur et puis JC ne m’a pas sucé.....— Mon chéri j’ai tout vu, il t’a masturbé et t’a forcé à lui faire de même et je l’ai vu se jeter bouche en avant sur ta belle queue.— Mais maman il m’a réveillé en sursaut alors que je rêvais de toi, je bandais. Quand j’ai ouvert les yeux, je croyais que c’était toi qui me caressais. Il a profité de la surprise pour me masturber, j’étais comme paralysé, je ne savais pas quoi dire et le plaisir qui montait m’enlevait toute volonté.— Je sais mon chéri et je comprends, quand le plaisir est là, il est difficile de réfléchir et de dire non. Je voulais être la première à te faire jouir comme ça, mais je suis arrivée trop tard.— Oh non... je ne jouissais pas, mais quand je t’ai vue, je ne pouvais pas arrêter l’éjaculation.— Ne restons pas là, ton oncle peut revenir et ta tante se réveiller. File sous la douche.— Ah non maman pas déjà, toi tu n’as rien eu.— Ne t’inquiète pas mon chéri, j’ai eu beaucoup de plaisir à te sucer, j’ai même joui en avalant ton sperme...
JC rentra un peu plus tard alors que maman préparait le petit-déj’. Il se glissa sans bruit derrière elle, se colla dans son dos en saisissant ses seins libres sous la nuisette et collant son sexe dur sur les fesses maternelles.
— Hummm comme tu es belle, tes seins et ton cul. Houuu...! Tu me fais bander, j’ai envie de toi.— Arrête Jean Claude, ta femme va arriver, de plus tu sais bien que je ne veux plus d’homme dans ma vie du moins pour le moment. — Tu ne disais pas ça quand nous étions ados, c’est quand même moi qui t’ai appris à sucer et qui t’ai dépucelée et le reste... !— N’en parlons plus c’était une erreur de jeunesse, même si j’en avais envie à l’époque. Je ne renie rien, je ne regrette rien, j’ai aimé, tu as été un bon professeur notamment en matière de pipe.
À propos de sucer, tu pourrais éviter de sucer Alex par surprise... j’ai tout vu j’étais à la porte, d’ailleurs je ne pense pas qu’il soit bi comme toi.
— Ça tu n’en sais rien et puis il est vraiment bien foutu mon neveu et il a une belle queue, il va faire bander plus d’un mec.— Je sais qu’il est beau, c’est mon fils. Cela ne me dérangerait pas qu’il soit bi, mais il m’a juré aimer les femmes, donc fin de la discussion, enlève tes pattes de moi le voici qui arrive.
Le reste de la journée se passa sans autre événement marquant, farniente, plage, balade et soirée cartes, puis tout le monde au lit.
C’était la canicule, j’étais nu sur ma banquette, seul dans le noir complet, je cogitais tard la nuit. Je repensais à ce qui m’était arrivé aujourd’hui, mes sentiments étaient mitigés. J’avais honte d’avoir menti à maman. Mon oncle m’avait réellement sucé et j’avais joui. Mais ce qui me troublait le plus, c’est que j’avais aimé toucher sa bite et la masturber, j’avais aussi eu envie de sucer son sexe d’homme. D’un autre côté, rien ne pouvait égaler ce que m’avait fait maman. Ses fesses nues collées à moi, son baiser tendre avec sa langue dans ma bouche, ses mains qui étalaient mon sperme sur ma poitrine, le regard vicieux qu’elle avait en léchant ses doigts pleins de sperme, la pipe qu’elle m’a administrée avec tant d’amour et de lubricité. Elle m’avait fait jouir comme jamais et j’avais maintenant envie de la baiser comme personne.
Une conclusion s’imposa à moi : j’étais bi... comme elle et mon oncle. Cette révélation loin de me troubler m’enchanta. J’allais pouvoir faire l’amour et jouir des deux sexes autant que je le voudrais.
Vers trois heures du matin, j’entendis du bruit à côté de ma couche, une main se posa sur ma poitrine en tâtonnant puis descendit caresser mon ventre et continua jusque sur ma verge à demi bandée par les souvenirs de ma journée. Je tendis le bras et trouvais le corps nu et poilu de mon oncle qui s’allongea et se colla à moi. Sa main caressait ma queue et mes couilles avec douceur, je sentis ses lèvres prendre ma bouche, il m’embrassait avec fougue sa langue cherchant la mienne. Je lui rendis son baiser avec plaisir, je bandais.
Cette fois-ci, il n’eut pas à me forcer, mes mains descendirent chercher sa bite raide et chaude. Je la caressais, découvrant avec envie une autre queue que la mienne, je la décalottais doucement pour passer mon pouce sur le gland trempé de sécrétion, palpais ses couilles puis revenais sur la hampe. Mes doigts faisaient des allers et retours tout le long de cette colonne à la peau si douce. Mon autre main caressait son dos et ses fesses. Il faisait de même sur moi. Collés l’un à l’autre, c’était tellement bon de se branler mutuellement pendant que nos langues s’entremêlaient fougueusement.
J’éprouvais un plaisir inconnu.
Se détachant de moi, il se retourna, enfourna ma queue jusqu’au fond de sa bouche gourmande et me chevaucha tête-bêche. Tout en me suçant, il posa ses fesses sur mon visage et fit aller et venir sa raie poilue sur ma bouche et mon nez. Son sillon sentait la transpiration, mais surtout le cul. Au lieu de me dégoûter, ces effluves m’excitèrent encore plus. Je tirais la langue et lui léchais l’anus lui arrachant un gémissement de plaisir. Il releva le bassin amenant son pénis sur mes lèvres ouvertes et l’enfonça dans ma bouche. J’accueillis son membre huilé de sécrétion avec avidité, j’avais envie de sucer une bite. Aussitôt ma langue tournoya autour du gland décalotté dégustant le jus qui s’écoulait du méat, ma tête montait et descendait le long de son manche le pompant avec délice.
Sa bouche faisait des merveilles de succions sur mon nœud, ses doigts caressaient mon œillet qui palpitait de félicité et laissait le passage à deux, puis trois phalanges qui entamèrent un délicieux mouvement de piston dans ma corolle. Houuu... ! Je n’imaginais pas que cela puisse être aussi délicieux de se faire ramoner l’anus en profondeur.
Je fis de même sur son anus étonnement souple, mais là c’est deux doigts que j’enfonçais avec facilité dans son cul ouvert lui ramonant le conduit anal en profondeur. Il grogna, se cambra, enfonçant son chibre au fond de ma gorge. Il jouissait, faisant gicler tout son foutre qui me remplissait la bouche. Sa jouissance déclencha la mienne, je lui balançais de grosses fusées de sperme sur la glotte, me vidant complètement les burnes dans sa gorge. Nos jouissances simultanées nous laissèrent inertes l’un sur l’autre à savourer et digérer nos foutres réciproques, les doigts toujours profondément enfoncés dans nos anus.
A cet instant, j’entrevis dans la pénombre du couloir ma tante qui nous observait. Je repoussais JC qui roula au sol. Paralysé par la surprise, je restais étendu sur la banquette, la queue encore bandée. Elle entra dans la pièce braquant une lampe torche sur moi et ma bite raide, puis alluma le plafonnier découvrant son mari à poil assis par terre.
— Tu es vraiment insatiable, tu viens de me baiser et tu as encore eu besoin de te faire sucer par ton neveu !!! — Tu devrais l’essayer, il a une grosse bite superbe qui bande dure et son foutre est savoureux.— Arrête obsédé sexuel, tu devrais vite revenir dans notre chambre avant que Cathy ne vous découvre.
Seul, je savourais ce qui venait de m’arriver. Une journée découverte du plaisir entre hommes. Je me surpris à avoir aimé lécher le cul de mon compagnon et pour ma première pipe me délecter du sperme qui m’avait inondé la bouche, ainsi que le plaisir ineffable du doigt qui me sodomisait.
Mais rien ne pourra me faire oublier les instants de bonheur intenses que maman m’avait donnés et de l’envie folle que j’avais de la baiser,
car maintenant j’en étais sûr, elle en avait autant envie que moi.
La journée qui suivit fut très calme, mon oncle était parti pour une pêche en mer avec des copains. Je n’avais pas accepté de l’accompagner malgré son insistance, ce qui me donna à réfléchir sur les vraies occupations lors de cette escapade : alibi ou pêche réelle ?
L’attitude de ma tante tout au long de ce jour calme me sembla parfois suspecte. D’abord elle s’était maquillée avec soins et vêtue très légèrement, jupe ultra-courte et chemisier ouvert dont les pointes étaient nouées sous ses seins libres. Son comportement attira mon attention et me permit de constater qu’elle était réellement mignonne et surtout bien foutue. Ses seins pas très gros semblaient tenir seuls. Son cul cambré et joufflu relevait sa minijupe dévoilant de belles cuisses rondes. Elle était vraiment bandante. Elle me jetait des regards langoureux tout en me frôlant chaque fois qu’elle pouvait. Sans cesse, elle me demandait un service avec de beaux sourires enjôleurs.
— Mon petit Alex, tu pourrais aller me chercher ceci... ou... cela.
Alex tu pourrais venir m’aider à.....Alex tu pourrais venir passer de la crème solaire dans le dos de ta tata chérie.Alex je crois qu’une abeille m’a piquée au-dessus du genou, viens voir, j’ai mal.
Bien sûr l’endroit de la soi-disant piqûre qu’elle me montrait était tout en haut de la cuisse, ce qui m’a permis de constater qu’elle avait mis son string à l’envers, la ficelle disparaissait entièrement, enfouie entre les grandes lèvres de sa chatte dodue. Elle voulait que j’enlève le dard s’il était resté et que je lui passe un baume apaisant. À demi allongée sur un transat, elle écarta les jambes me dévoilant son sexe épilé et dessous ses fesses lisses et rondes. Je m’agenouillais difficilement entre ses cuisses ouvertes, gêné par l’énorme bosse de mon érection qui déformait mon caleçon de bain et qu’elle reluquait avec envie en se passant la langue sur les lèvres avec un clin d’œil coquin. Je tendais la main pour commencer le massage sur la piqûre imaginaire quand, à cet instant, maman sortit sur la terrasse et se précipita vers nous avec un air horrifié.
— Laisse mon chéri, je vais m’en occuper, je suis plus habitué que toi et puis Martine doit être embarrassée de te montrer son string... Ha... non elle n’a pas de string... Si, mais il est mini... ! Elle est où cette blessure avec l’aiguillon... je ne vois rien. Seulement ce petit point rouge ? Dans le pli de l’aine, un petit bouton de chaleur, je vais te masser avec cette crème apaisante pour calmer la démangeaison.
Je partis au fond du jardin cacher ma bandaison et méditer sur le comportement de ma tante. Cette nuit mon oncle lui avait conseillé de profiter de ma grosse queue, qu’elle avait bien vue. D’ailleurs elle s’était retournée et arrêtée un instant pour la regarder à nouveau en se passant la langue sur les lèvres avant de suivre mon oncle vers leur chambre.
Elle voulait donc que je la baise aussi ? OUIiii !!! J’étais partant, j’avais envie d’elle, de sa belle chatte. Mais serais-je à la hauteur, moi le puceau ? Jean Claude et Martine étaient aussi obsédés sexuels l’un que l’autre. Cela me plaisait vraiment et m’ouvrait beaucoup de perspectives de plaisirs variés.
Un peu calmé, je revins tranquillement vers la terrasse quand j’entendis des murmures et des soupirs. Intrigué, je m’approchais sans bruit, me cachant derrière une grande jardinière où poussait un buisson de lavande en fleur. Je découvris un spectacle qui me fit rebander aussitôt.
Maman à genoux sur le dallage entre les cuisses ouvertes de Martine s’activait des deux mains sur son minou. Elle caressait de chaque côté des grandes lèvres, les écartait faisant apparaître l’intérieur de la vulve nacrée luisante de sécrétion, glissait ses doigts tout le long de la fente remontait jusqu’au capuchon d’où émergeait le clitoris rouge sur lequel du bout de l’index elle faisait de petits mouvements tournants faisant palpiter de bonheur le ventre de ma tante, lui arrachant des gémissements de plaisirs la tête rejetée en arrière. Ses mains s’activaient sur la chatte dodue, ses doigts s’enfonçaient dans les profondeurs du vagin en fusion et ressortaient trempés de mouille, pour descendre entre les fesses taquiner l’anneau rectal qui se déplissait.
Je n’en pouvais plus, je baissais mon caleçon empoignais ma queue bandée à l’extrême et me branlais doucement pour ne pas jouir trop vite et suivre ce spectacle de luxure. Maman approcha sa bouche, lécha la moule en profondeur. Sa langue faisait des aller-retour de bas en haut entre les grandes lèvres écarquillées puis s’enfonçait à nouveau dans les abîmes du sexe, aspirant avec délice le jus de qui s’en échappait. Ses lèvres suçaient le bouton devenu énorme, le pompaient, puis de la pointe de sa langue le titillait, tournant autour pendant que de deux doigts dans le conduit vaginal et un profondément enfoncé dans l’anus de Martine, elle pistonnait sa chérie du moment.
Celle-ci n’en pouvait plus de plaisir, arc-boutée sur le transat cramponnant maman par les cheveux, elle jouissait en feulant, inondant le visage et la bouche de sa gouine qui aspirait son jus avec délice les doigts toujours coincés dans les trous en ébullition.
J’aspergeais le lavande de tout mon sperme me vidant les couilles pour ces deux belles femelles amoureuses et lubriques.
— Cathy ma chérie... Hummm que c’est bon, tu m’as fait jouir tellement fort... si j’avais su... C’est la première fois... je n’imaginais pas que ça puisse être aussi délicieux et fort avec une femme. Il faut dire que j’ai été surexcitée toute la journée...!
À cause de ton fils et de sa grosse queue... ! J’aimerais bien pouvoir en profiter..... si tu me le permets bien sûr ?
Maman posa sa tête sur le ventre de ma tante et lui caressa les seins avec tendresse.
— Moi aussi j’avais envie et voir ta chatte exhibée et dégoulinante, je n’ai pas pu me retenir de te la bouffer. J’ai joui en même temps que toi.....
Tu saurais me rendre le même plaisir ?
— Hooo oui j’en ai envie je voudrais te lécher la moule et te faire jouir aussi dans ma bouche.— Alors il faut que l’on trouve un moyen pour que nos hommes s’absentent quelques heures.— La semaine prochaine, il y a un concours de boules, Jean Claude veut y participer. Je vais lui demander qu’il fasse équipe avec ton fils, je sais qu’il se fera un plaisir de l’emmener.— OK pour la pétanque, et OK pour baiser mon fils, mais tu attends que je passe la première, il est encore puceau et je compte être son initiatrice... Ensuite tu pourras en profiter.
Décidément dans cette famille tout le monde était bi et ne pensait qu’au sexe, la suite des vacances promettait de belles aventures... !

NB : Toutes les relations sexuelles de ce récit ont été faites avec la pleine acceptation de tous les personnages sans aucune obligation ou contrainte.
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