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Maman voulait mon fric, je me suis payé ma mère.

Chapitre 1

Inceste
Ma mère n’a jamais su gérer son fric alors dès que j’ai eu de l’argent de poche maman venait me l’emprunter, souvent 5 francs pour acheter le pain. En échange, à 12 ans, je lui demandais un bisou innocent sur la joue.
Tout a évolué lorsque j’ai eu un travail stable et donc plus d’argent.
J’avais 23 ans, mesurais 1 m 76 pour 74 kg, Josiane (plus intimement Jos), ma mère, en avait 46. Jos est une grosse petite femme due à ses 4 grossesses dont la mienne, mesurant 1 m 55 et pesant 95 kg mais a une paire de seins démentielle, du 110 D.
Les sommes variaient avec les fin de mois, pour les anniversaires, les fêtes, des frères et sœurs ou de mon père, mais aussi à la proche de Noël. Je me mis à varier mes échanges « bisou » car les sommes prêtées ne m’étaient jamais rendues. Je m’étais dit, plus il lui en faudrait, plus j’en voudrais.
Je me souviens qu’en cette fin de mois de juin, Jos est venue dans ma chambre, me demander 100 €, ça me faisait chier de les lui donner car j’avais prévu de faire des achats personnels pour les vacances, mais je me suis résolu à céder une nouvelle fois. En pantalon de jogging et torse nu, je lui fis un chèque. Sur le point de s’en aller, je m’approche d’elle et lui ai dit : - Tu n’oublie rien !?? - En tapotant ma joue de mon index, s’approchant pour faire son coutumier bisou, je tourne la tête et voici nos lèvres qui rentrent en contact, passe ma main derrière sa nuque et l’autre retrousse sa robe et lui pelotant son gros cul. Pétrifiée, elle ne réagit pas alors j’y enfourne ma langue dans sa bouche, passant ma main dans sa culotte. Sa grosse poitrine sur mon torse, je me mis à bander durement, de ma bite qu’elle m’avait si généreusement fournie, pour une fois qu’elle avait été généreuse par elle-même, je me mis à frotter mon sexe tendu dans mon slip contre son gros ventre. Dans un éclair de lucidité, Jos m’écarte et s’enfuit, me laissant dans mon état de béatitude. M’ayant provoqué une gaule d’enfer, je me suis allongé, baissai mon pantalon, ma bite libérée du slip, je bandais comme jamais auparavant. Je me mis à me branler, en me remémorant la douceur de sa bouche, de ses fesses et de sa poitrine maintenue dans son soutif et il me fallut pas longtemps à venir.
Le moment du dîner venu, je rejoignis la famille autour de la table, j’avais peine à regarder ma mère, les yeux rougis de larmes. Mon père dit à Jos : - Ce n’est pas la peine de te mettre dans ces états là, on la retrouvera ta bague ! - Alors je sus qu’elle n’avait rien dit à mon père et donc que je pouvais essayer d’aller plus loin. Le repas fini, mes frères et sœurs rejoignent leurs chambres, je débarrasse la table, alors que Jos part faire la vaisselle, papa lui dit de se reposer sur le divan du salon.
Je rejoins maman endormie sur le divan, après avoir débarrassé la table et m’asseyant à ses pieds. Une érection me vient en remarquant le contraste de ses fines chevilles et ses relativement fins mollets par rapport à ses gros cuissots, cela étant certainement dû au fait qu’elle porte toujours de hauts talons. Mon père ne pouvant faire la vaisselle sans faire couler l’eau, rassuré, je me mis à caresser ses mollets puis à remonter vers ses cuisses. C’est à ce moment qu’elle se redressa me demandant d’arrêter, je me suis mis à son oreille et lui ai chuchoté : - La prochaine fois que tu auras besoin de fric, pointes-toi seulement avec une chemise de nuit sur le cul ! - Les robinets se fermèrent dans la cuisine, le retour de papa était imminent, maman se remettant à chouiner, je lui dis bonne nuit en l’embrassant sur la joue, Jos essuya ses larmes, je sortis du salon et croisant papa, je lui chuchotai : - Il va falloir la consoler, ce soir ! En lui faisant un clin d’œil. Une demi-heure plus tard, allongé nu dans mon lit, je fus sorti de ma torpeur par des petits bruits du sommier du lit de mes parents, une gaule se pointait à nouveau, je me mis me branler au rythme des couinements du lit, des gémissements de plus en plus perceptibles de ma mère. Ma jouissance explosa en même temps que celle de mes parents, m’ayant donné l’impression d’avoir joui dans ma mère, mes couilles m’en finissaient pas de se vider. Mon dessus de lit souillé me rappela à la réalité puis je sombrais dans un sommeil réparateur aux songes de voluptés.
Il ne m’a fallu attendre que quinze jours, pour qu’elle se pointe, un matin, en chemise de nuit, elle avait besoin d’argent car le départ en vacances se reprochait à grands pas.
La suite au prochain épisode.
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