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Maman voulait mon fric, je me suis payé ma mère.

Chapitre 6

Inceste
J’avais baisé avec maman toute la semaine et même pendant que papa avait appelait maman pour un jeu érotique au téléphone. J’avais réussi à semer le doute, dans sa tête, sur les relations qu’entretenait mon père avec sa secrétaire.
Le vendredi, jour du retour de papa, je sentis maman heureuse et fébrile à la fois.
Maman a nettoyé la maison de fond en comble, en jogging, tee-shirt, en bonne femme au foyer qu’elle est. Elle fit le déjeuner, nous le mangeâmes et allâmes faire une petite sieste, tendrement nus dans les bras de l’un et de l’autre. Je dis à maman :
— Je te laisse tranquille aujourd’hui, tu as du temps à rattraper avec papa, ce soir.— Oh ! Merci, Laurent, mon amour, qu’allons-nous devenir ?— Je ne sais pas mais je serais toujours là pour toi, mon cœur !— Merci, mon grand !
On alla se doucher ensemble mais pas de baise, même si ce n’est pas l’envie qui me manquait. J’ai roulé un superbe patin à mère et m’éclipsais dans ma chambre, pour m’habiller en semi-décontracté, polo et bermuda blanc. Je rejoignis maman dans sa chambre, elle était là, ne sachant quoi revêtir, en soutif culotte dépareillés, collants. Je dis à maman :
— Laisses-moi t’aider à te faire belle pour papa ! Vas te maquiller légèrement !
Maman disparut dans la salle de bain, j’ouvris le tiroir de ses sous-vêtements, pris un bustier à bretelles et à jarretelles, bas noirs, je suis allé dans son armoire, y sortis un chemisier très léger blanc et un tailleur noir puis je pris une paire de haut-talons vernis noirs. Maman revint, légèrement maquillée, elle avait pris le temps de légèrement onduler ses cheveux, au fer à friser. Maman se mit nue, passa son bustier, je lui réajustai ses bretelles, de façon à ce que sa poitrine soit bien remontée, ses gros siens étaient comprimés, elle me dit :
— Ça fait mal, ça me comprime trop !!— Faut souffrir pour être belle ! - lui dis-je avec un grand sourire.-
Je passai les bas sur les jambes de maman, les tirai pour qu’il n’y pas un pli. Maman mit son tailleur, lui arrivant juste au dessus de ses genoux puis son chemisier qu’elle voulait ne laisser que le dernier bouton déboutonné, j’en défis deux de plus, laissant apparaître deux gros globes laiteux. Elle me dit :
— Tu as oublié sortir quelque chose ! Et la culotte ?— Pas besoin de culotte, ce sera plus rapide pour que papa te culbute ! Allez aux fourneaux ! - lui mettant une tape sur son cul au passage, dandinant son cul, elle se retourna sensuellement et m’envoya un baiser de sa main.-
Maman prépara le dîner, me demanda :
— Où est le sel, mon grand ?— Enlève l’étiquette de la bouteille et utilise la pour assaisonner les plats de ce soir !— Oh ! Laurent, quel pervers, tu es ! - me dit-elle en souriant.-
J’ai dressé la table pendant que maman finissait de cuisiner, je suis allé chercher quatre bonnes bouteilles à la cave, une de blanc, une de rosé, une de rouge et une de champagne pour arroser les retrouvailles et allumai la cheminée.
La voiture stoppa devant la maison, mon père descendit de la voiture, suivi d’une jeune femme, sa secrétaire.
Papa entra le premier, nous présenta Mélanie ; une jeune femme célibataire, brune, d’un mètre soixante, aux vues de ses talons de dix centimètres, à une bonne et belle poitrine et un beau fessier, assez large, portait une tenue similaire à maman, la détaillant, je vis que, sous la veste de son tailleur, le chemisier rose pâle légèrement transparent, elle portait un soutif et un porte-jarretelles d’un rose plus soutenu, le tailleur granit lui s’arrêtant à mi-cuisses, de ravissants jambes gainées de bas noirs et hauts-talons noirs. Je suis tombé sous le charme au premier regard, me faisant triquer directement, ce qui ne put échapper à personne.Papa nous donna comme explication que sa voiture ne put démarrer et lui avait proposé de dîner avec nous, ce qui suffit à maman et donc à moi. Je mis alors un couvert de plus.
Nous passâmes à table, Claude, mon père, face à Mélanie qui était à mes côtés et maman me faisait face, nous prîmes l’apéritif, avant le repas. Nous mangeâmes mais surtout, bûmes plus que de raison, les trois bouteilles de vins étant vides.
Nous passâmes au salon, mes parents se posèrent sur le canapé, du côté gauche de la cheminée, Mélanie et moi sur l’autre en face d’eux, seuls la table basse et le troisième sofa en long nous séparaient. Mes yeux se baladèrent d’une femme à l’autre. Au bout d’un moment, je proposais que Mélanie passe la nuit à la maison, la chambre de ma sœur étant libre et que comme personne ne pouvant la reconduire car ayant tous trop bu pour un contrôle d’alcoolémie que la police pourrait faire. Mes parents et Mélanie acceptèrent sans bien y réfléchir, j’étais bien décidé de la rejoindre dans la nuit.
Je suis allé chercher la bouteille de champagne, je l’ouvris et servis une coupe à chacun. Nous les avons sifflées plus vite que pour le dire, les yeux brillaient.
Papa commençait à embrasser maman, je fis de même à Mélanie, papa caressait un sein, je copiais en le regardant. Se rendant compte de mon petit jeu, il passa à la vitesse supérieure, il ouvrit sa braguette, défit son bouton, baissa son pantalon et son slip, sa bite bondit, faisant les même gestes, mon bermuda et mon boxer se retrouvèrent sur mes chevilles, ma queue se tendait vers le plafond. Papa approcha la tête de maman vers son sexe, elle le prit en bouche. Mélanie le fit d’elle-même, enroula sa langue autour de mon gland, elle prit entièrement ma queue dans sa bouche, en salivant abondamment. Les femmes nous suçaient avec une telle synchronisation que l’on put imaginer que se fut l’une ou l’autre qui le faisait. Nous stoppâmes nos suceuses, leur ôtâmes leur chemisier, leur tailleur. Je retirais soutif et string de Mélanie, papa découvrit le cul dénudé de maman, lui laissa son bustier, nos femmes en bas et haut-talons étaient excitantes et sexys à souhait. On se déshabilla à la vitesse de la lumière.
Je mis Mélanie en levrette, se tenant debout, les mains sur la table face à mes parents, me positionnai entre ses cuisses, ma queue frottant sa chatte mouillée puis vint se ficher dans sa chatte bouillante, papa pénétra maman dans la même position.Les visages des femmes se retrouvèrent à quelques centimètres, leurs lèvres vinrent en contact et s’embrasèrent, les bras enroulés l’une à l’autre, leur langues et salives se mélangèrent.Les bourrant à grands coups de butoirs, je ralentis pour pas venir trop vite, fis signe à papa de ralentir et d’échanger de partenaire. Nous passâmes à droite de nos femelles en chaleur, fîmes le tour de la table, on se remit en action. Les femmes inconscientes de ce tour de passe-passe, se séparèrent. Mélanie dit, m’apercevant derrière le cul de maman, en belle salope qu’elle est :
— Oooh ! Vous vous faites mettre par votre fils, madame ! Oh ! Mais, vous me baisez, Claude ! Ooooh ! Je me fais prendre comme une vulgaire salope, par son patron ! Oh ! Mon dieeuuu ! Baisez-moi, Claude !— Oooooooh ! Mélanie, quelle chienne, vous faîtes !! C’est dommage que je ne le susse pas plus tôt ! Ooooh ! Je vous aurais baisée plus tôt, ma belle salope !!— Oooh ! Laurent, mon fils chéri ! Baise ta grosse salope de maman devant ton salaud de père qui baise sa belle salope de secrétaire ! Oooooh ! Mon grand, mon chéri, baise-mooiii !!— Oh !! Maman !! Couche-toi sur la table, passe tes jambes sous les aisselles de Mélanie, pour que vous puissiez vous bouffer la chatte pendant que je te bourre le cul devant papa qui baise sa belle salope de secrétaire !! - les femmes s’exécutèrent.-— Ooooh !! Oui !! Prends le cul de ta mère !! Ooooh !! Laureeeent !! Mon grand salooooop !! Encule-mooiii plus foooort !! Défoonnnnce le cul de mamaaaan !! - Maman jouit de longs jets sur le visage de Mélanie. Papa ne put se retenir plus longtemps et se répandit dans la chatte de sa secrétaire.-— Oh !Oooh Ooooooooooooooooh ! …………….. Quelle dose vous m’avez mise ! J’espère que je ne vais pas tomber enceinte, ça fait un moment que je n’ai pas pris de contraception ! - Excité par ce que je venais d’entendre, je me retirais de l’anus de maman et allai me vider dans la chatte de Mélanie. -— Tiens … tiiiiiiiiiiiiiieeeenns … tiiiiiiiiiiiiieeeeennnns … comme ça, on ne sera pas qui est le père !!!— Laureeent !! Salooop !!! … salooooooooooop !!!
Mes parents allèrent se doucher puis se coucher, nous les suivirent cinq minutes après. Mélanie ne voulait pas dormir seule alors je l’invite à partager mon lit, elle coucha avec moi et l’on s’endormit rapidement.
Le lendemain matin, je me réveillais avant elle, avec une gaule d’enfer, ma queue pointait sous ses fesses, entre ses cuisses. Ce fut trop tentant pour ne pas la pousser en elle. Elle se mit à onduler des reins, accentuant la pénétration. Mélanie se mit à gémir, en donnant de bons coups de cul. Elle se retira, s‘allongea de face, les cuisses de part et d’autre des miennes, s’empalant à nouveau sur mon sexe tendu. On s’embrassa, nos langues et salives se mélangèrent. Faisant de longs et lents va-et-vient, je finis par lui jouir dedans.
A bientôt, pour la suite …
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