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Mamie Geneviève

Chapitre 10

Inceste
Mamie Geneviève 10
Je m’éveille fort tard ce matin. Ce n’est pas dans mes habitudes. Il faut dire que ma soirée a été riche en émotions avec l’ami de mon petit fils. Bastien a acquis une expérience remarquable en peu de temps, je suis fière de l’avoir éduqué si efficacement !
J’ai un peu mal partout, ces galipettes me tirent sur les muscles, surtout fessiers. En prenant un rapide petit déjeuner, je compulse mon téléphone. J’ai reçu des messages, des appels en absence. Je suis perdue dans toutes ces informations qui apparaissent. Je lis les messages, écoute ma messagerie. En bref, Ma fille et mes petits enfants m’attendent avec impatience.
J’appelle Virginie :« Coucou ma chérie, c’est maman (comme si elle ne l’avait pas deviné depuis le temps que l’on se téléphone). Pourquoi insistes-tu pour que je passe au plus vite ? »« J’ai un rôti au four, ça te dit de venir à la maison ? » Elle est presque hystérique d’impatience en me disant cela.« Oh, désolée, je viens de me lever et de prendre mon petit déjeuner.. »« Aller ! Viens, je t’en prie ! »« Bon, d’accord, je me prépare et me mets en route… »
Quand j’arrive chez ma fille, elle et ses enfants sont heureux de me voir. Christelle pousse Virginie dans mes bras, comme pour l’obliger à respecter une consigne. Ma fille et moi échangeons un regard et elle me tend ses lèvres. Durant notre baiser, fortement incité par mes petits-enfants, je remarque que David nous filme avec son téléphone.
Je n’aime pas qu’il fasse ça et le réprimande.«Arrête-moi ça ! »« Ne t’inquiètes pas Mamie, c’est entre nous ! Personne d’autre ne verra nos vidéos, je te l’assure !»Quand je me sépare de leur mère, les enfants ne me font qu’une bise furtive sur la bouche, ce qui m’étonne. J’attendais un baiser également de leur part.
Lors du repas, j’ai un appétit d’oiseau et tâche toutefois de faire honneur aux plats que ma fille a préparés. Les deux jeunes n’attendent pas le dessert pour nous sauter dessus. David, derrière moi, s’est emparé de ma poitrine et la malaxe. Christelle fait de même sur sa mère, qui se laisse faire, un peu gênée quand même que je la regarde.
J’annonce :
« Oh là là ! Doucement mon chéri, je suis éreintée, échauffée devant et irritée derrière, si vous comprenez ce que je veux dire. Je ne suis pas en mesure de faire quoi que ce soit aujourd’hui! »David ne semble pas entendre et baisse sa braguette pour m’offrir son sexe. D’une main, il me pelote la poitrine et de l’autre m’appuie sur la tête pour m’inviter à m’approcher de sa turgescence, que je gobe.
Je prends grand plaisir à sucer mon petit fils et Virginie me regarde avec un mélange de surprise et d’envie. Christelle la fait se lever et la déshabille totalement. Les deux jeunes ont, désormais, pris le contrôle de leurs aînées. David me fait avancer sur ma chaise, me fait quitter ma culotte et écarter les jambes, alors que Christelle force sa mère à s’agenouiller devant ma chatte. Elle lui appuie sur la tête pour obliger le contact de sa bouche sur mon sexe. Dès lors la langue de ma fille s’active, je sens une puissante décharge électrique me traverser le corps. Je trouve la force de dire :«Attends Virginie, allons dans ta chambre, on sera mieux ! »
Je m’allonge sur le lit et l’attire à moi par la main. J’ai envie de l’embrasser, malgré son visage encore trempé. Cette fois, notre baiser est plus sincère, elle y prend autant de plaisir que moi. Les enfants nous regardent avec satisfaction, Christelle tenant à pleine main le sexe bandé de son frère.
Je souffle à ma fille :« Veux tu que nous nous aimions … Comme des femmes ? »Elle acquiesce d’un hochement rapide et se retourne, pour me chevaucher en m’offrant sa vulve et gloutonner la mienne. En soixante-neuf !
Nous mettons en pratique la formation que nous a donnée Christelle. Toutes deux pratiquons l’exercice avec un désir indicible dans cette union charnelle. Je lui enserre la taille et la tire à moi pour mieux fouiller son vagin de ma langue avide. Elle me mordille le clitoris, m’introduit un doigt. Je ne sais plus où je suis, tellement ses caresses sont précises.
Je manque de perdre connaissance, tant je jouis intensément. Comprenant après coup qu’elle n’a pas eu son plaisir, je tente de me concentrer à nouveau pour reprendre ma tâche, mais non, elle se sépare de moi. S’agenouille au bord du matelas et David se présente debout derrière elle.
Christelle se penche sur sa mère et lui dit :« Tu la veux où ? Dans la chatte ou dans le cul ? »Virginie murmure, penaude :« Les deux, comme il veut …»
David se positionne et la prend d’abord par le vagin, cela n’empêche pas sa mère de grimacer quand il la perfore. Virginie geint, râle, se tortille mais assurément c’est du plaisir que lui donne la grosse verge de son fils. Ce dernier n’hésite pas à asséner quelques petites claques sur le fessier maternel. Mais ma fille semble apprécier ! Christelle, quant à elle, ne perd pas une miette et, avec son téléphone, filme la scène comme une professionnelle du cinéma.
Pendant que ma fille reçoit les coups de verge de son fils, je lui caresse le visage, comme pour rassurer mon petit bébé. Elle me tire le bras pour me faire approcher et niche sa tête sur mon sein. « Oh, maman, c’est si bon, hummm ! »« Je te l’avais dit, ton fils est génial ! »
Entendant cela, David redouble ses coups de reins, mais est interrompu par sa sœur. Christelle dit :« Prends lui le cul maintenant ! »
Ma fille n’a pas le temps de se positionner que son fils la perfore d’un coup, lui arrachant un cri de douleur. Il se met à la pistonner et les plaintes maternelles ne le calment pas pour autant. Il s’allonge sur sa mère, ce qui me fait me reculer. Virginie a le visage écrasé sur le lit et son fils couché sur elle, la sabre à grands coups.
Christelle, sans arrêter de filmer, me fait signe de me relever et de contourner le couple. Elle m’appuie sur l’épaule en silence et me fait agenouiller entre les jambes de David en pleine action. Ses fesses vont et viennent devant mon nez. D’une petite pression sur ma nuque, la gamine m’incite ou m’invite à goûter l’anus de son frère. J’y plonge ma langue. Quand cette dernière entre en contact avec son œillet, mon petit fils cesse de s’activer dans sa mère. Je m’applique à le lécher et tente une intrusion de ma langue. La main de Christelle se serre sur mon majeur. Je comprends ce qu’elle veut que je fasse.Je prends du recul et après avoir mouillé mon doigt, je force la rosette du coquin. Il me laisse faire et m’aide même à l’intromission, en tendant ses fesses.
Ma petite fille fait des gros plans sur mes gestes, mais Virginie s’impatiente et cherche à retrouver le rythme. Son enculeur reprend du service, tout en étant lui-même doigté par sa grand-mère ! Quelle famille perverse nous faisons !
Curieusement, j’éprouve de la satisfaction et de l’intérêt à ce que je fais. J’avais lu quelque part que les hommes aimaient ça, mais en plus je ressens, sur mes phalanges, toutes ses contractions. Surtout quand je m’enfonce très fort en lui. Et également, quand il se libère dans sa mère qui hurle de plaisir.
David se relève, mais pas Virginie, elle reste à plat ventre, jambes écartées et agitées de quelques soubresauts.Christelle met l’enregistrement en pause et va à l’armoire chercher un godemiché muni de lanières en cuir. Je regarde avec surprise ce qu’elle a en main. Elle m’explique :« C’est une gode ceinture, je lui fait acheter ça, hier ! Tu veux essayer ? Elle attend, tu le vois bien ! »Je lui fais signe de la main que je suis trop fatiguée pour ça…
En deux temps trois mouvements, Christelle a chaussé le pénis artificiel et remplace son frère dans le petit trou de sa maman. David, lui, reprend le téléphone de sa sœur pour filmer.
J’assiste alors à un spectacle incroyable !Christelle s’enfonce d’abord lentement, puis une fois à fond, se met à se déchaîner en proférant mille gros mots à sa mère, du genre :« Tiens sale pute ! Prends ça dans ton cul de salope! » Ou bien encore« T’aimes bien te faire bourrer le cul, pas vrai ? »Et ma fille d’acquiescer de la tête dans les draps. En geignant des « Ouiiii ! » à chacune des grossièretés prononcées.
Christelle y va fort, plus fort que son frère en donnant de grands coups de reins dominateurs.Ses mains cherchent les globes de sa mère pour les griffer presque jusqu’au sang. Mais Virginie semble apprécier, car elle ne met pas longtemps à jouir, encore plus fort que précédemment.
L’anus vidé, ma fille se redresse, s’assied, trempée de sueur et les deux enfants se précipitent dans ses bras tendus. La scène est émouvante de les voir tous trois unis dans un long câlin. Les bises qu’ils échangent sont pleines de tendresse et j’en suis toute émue. Des larmes me viennent aux yeux de les voir unis ainsi.
Tout le monde se rhabille et Christelle me demande de lui prêter mon téléphone. Je le lui donne et la regarde manipuler mon appareil, puis le sien. Au bout d’un moment, elle me dit :« Voilà, je t’ai tout transféré. Si tu veux regarder les vidéos, tu fais ça et puis ça, tu appuies ici … »Et je constate qu’il y a pas mal de choses à visionner. Je ferai ça à tête reposée !
Quand je prends congé, Virginie est un peu (faussement ?) honteuse, je la rassure en disant que, moi aussi, j’aime beaucoup l’évolution de notre famille ! Ses yeux s’écarquillent de plaisir et je l’embrasse pour prouver mes dires.
Le soir, j’ai rendez-vous chez la maman de Bastien. J’hésite pour choisir ma tenue et j’opte pour une robe noire, un peu décolletée. Je mets des dessous coquins, mais pas ma guêpière trop voyante. J’aime enfiler mes bas de soie, la matière est si douce au toucher. Des talons pas trop hauts, un collier de perle, des boucles d’oreilles assorties. Maquillage léger et, hop, en voiture !
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