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Mamie Geneviève

Chapitre 14

Inceste
Mamie Geneviève 14
J’ai encore des larmes dans les yeux quand, ma fille Virginie et moi, rejoignons les enfants. Ils remarquent bien mon chagrin, mais ne posent aucune question. D’un élan spontané, tous deux m’enlacent pour me réconforter. J’ai droit à de nombreux baisers dans le cou et leurs câlins me remontent le moral. Virginie n’a pas de place pour m’enlacer, mais le cœur y est.
Ce coquin de David, ondule du bassin et, si il se frotte contre ma hanche, c’est pour y faire rouler son membre qui durcit. Je suis prisonnière de leurs bras et me laisse bercer par leur tendresse.Je glisse une main sur la braguette de mon petit fils et y tripote son cylindre de fer. Encouragé par ma palpation, David libère son sexe pour que je m’en saisisse. Inexplicablement, le contact de mes doigts sur la peau douce de son membre, me réconforte. Si il est dans cet état, c’est pour moi !
En mon for intérieur, je prends conscience du désir que j’éprouve pour David. Désir que j’ai accumulé toute la journée, et également du besoin de vengeance posthume qui m’anime, vis-à-vis de mon porc de mari défunt.
Tandis que Christelle me caresse le buste, en me mordillant les lobes d’oreilles, Virginie s’approche de son fils. Je constate avec étonnement, son empressement à le déshabiller. Quand je reprends le sexe en main, Virginie se colle contre le dos de son bel étalon de fils pour lui masser le fessier.
De voir cette colonne dressée me fait trop envie ! Je m’agenouille et la prends en bouche. D’une main, je flatte les testicules de l’autre, tiens fermement la hampe rigide. Mon petit-fils se laisse sucer en fermant les yeux, quand il s’exclame brusquement :— Oh ! Maman, qu’est-ce que tu fais !— Laisse-moi faire mon chéri !
J’ai bien senti le contact de mes doigts sur ceux de ma fille, au niveau du périnée de son fils, mais là, ils s’activent bien près de l’anus. Le fait de se faire doigter le cul par sa maman, provoque à David une érection incroyable. Il se met à râler de bonheur et sa verge grossit un peu plus entre mes lèvres.
Christelle ne reste pas inactive, et, entre deux caresses, effeuille mes habits. Elle s’agenouille derrière moi et se colle à mon corps pour me pétrir la poitrine, tout en mimant un coït. Son pubis cogne mon sillon fessier avec ce rythme caractéristique.
Elle délaisse un sein pour chercher mon entrejambe et trouve aisément mon clitoris.Bon sang ! Comme elle s’y prend bien pour m’exciter !
Je n’arrive plus à respirer, tant je suis émue par ses caresses. Elle abandonne mon bouton et deux doigts me pénètrent au bord du vagin. Constatant combien je mouille, ma petite-fille déclare :
— Elle est prête, tu peux y aller !Elle me fait mettre à quatre pattes, alors que son frère se place derrière moi.
Sa pénétration est bienvenue, il va avec douceur, même si je pressens son irrésistible envie de me saillir plus brutalement. J’apprécie sa délicatesse et la maîtrise de ses pulsions masculines.Virginie s’est assise sur une chaise, face à moi, alors que Christelle se tient debout derrière elle, pour lui palper la poitrine. Toutes deux me regardent me faire embrocher et curieusement je n’en ressens pas la moindre gêne. Au contraire, ça m’excite un peu plus d’être observée par ces deux voyeuses !
Virginie soupire sous les caresses de sa fille et aussi, probablement, de me voir en faire autant sous les coups de piston de son fils.
Christelle demande à sa mère :— Tu mouilles maman ?— Oui ma chérie.— Fais-moi voir ça !
Virginie obtempère et quitte sa culotte, avant d’écarter largement les jambes. Sa vulve est ouverte à ma vue et je distingue même la cyprine s’en échapper.Christelle enlève ses bagues et s’agenouille devant sa mère. Elle glisse sa main entre les jambes maternelles et enfonce trois doigts, qu’elle fait tourner.
Virginie émet un râle, et quand Christelle lui met un quatrième doigt, elle s’exclame :— Oh non ! Chris, pas ça !— Si si maman ! D’ailleurs, maintenant, tu aimes te faire fister, pas vrai ?— Mais, ça fait mal !— Vraiment ? Tu vas voir comme tu vas en redemander dans pas longtemps !
Christelle joint tous ses doigts en pointe et, inexorablement enfonce sa main dans le vagin de sa mère.Virginie se positionne au bord de la chaise pour faciliter cette intromission. Elle fait des grimaces de douleur, geint, mais se laisse pénétrer. Il ne reste d’apparent que le poignet de Christelle. Cette dernière entame un lent va et vient dans la chatte de sa mère, qui émet un cri et tressaute à chaque mouvement.
Mon amant s’y prend si bien à m’aimer, que je ferme les yeux pour mieux apprécier l’extase qui monte en moi. Son rythme s’accélère et je ne peux m’empêcher de jouir la première.
Quand David se contracte pour me fertiliser, Virginie crie à tue-tête une jouissance incroyable ! Christelle lui laisse un peu de répit, reprend ses mouvements dans l’antre maternel, avant de me dire :— Mamie, viens donner à maman ce qui sort de ta chatte !
David m’aide à me relever et je recueille une grosse quantité de son sperme dans la main.Devant le regard insistant de ma petite fille, je me résous à m’approcher de Virginie. Christelle cesse son pilonnage, pour que sa mère puisse goûter mes doigts enduits. Avec avidité, ma fille lape, soigneusement, chaque goutte qui macule ma main et se régale à déglutir le jus de son fils
A l’issue de sa deuxième jouissance, ma fille est à bout de force. Elle émet une longue plainte quand Christelle sort sa main avec une lenteur presque sadique.
David ne cesse de me palper les fesses et taquine même mon anus. Je ne suis pas en reste, pour lui prodiguer une caresse identique, qui le fait se tortiller, quand je le pénètre. J’aime bien ses fesses et même, je prends plaisir à le doigter.
Je déclare :— Nous sommes vraiment une famille de dépravés !— Pas du tout, Mamie ! Pourquoi se priver du plaisir du sexe ! De plus, tu as retrouvé le sourire ! Disant cela, Christelle me caresse la joue de sa main, encore humide de mouille. Avant de m’embrasser.
Je m’abandonne, avec plaisir, à la langue de mon ensorceleuse petite fille. Elle se révèle experte, pour nous apprendre le sexe, du haut de ses dix-huit ans. Je reconnais qu’elle est drôlement expérimentée. Comme je regrette de n’avoir pas été comme elle ! Moi, la femme qui se voulait sérieuse et dévouée à un mari, que j’ignorais pervers !
En repensant à ce type, je me renfrogne, ce qui étonne les deux jeunes. C’est un secret de famille qui me pèse et je décide de le leur révéler.Quand j’aborde le sujet, Virginie m’interrompt :— Maman, si tu veux, je vais commencer, mais avant cela, rhabillons-nous et allons nous asseoir. Ça va être nécessaire pour moi, mais aussi pour vous les enfants.
Mes petits enfants restent pantois, en entendant le récit que leur fait leur mère, qui dévoile tout ce qu’elle sait. En particulier que son père abusait d’elle. Je n’ai rien à ajouter et surtout pas que Sabine, la mère de Bastien, est une victime collatérale des frasques de feu mon époux.— Mais alors, tante Agnès … Elle aussi ? Demande David.— Très certainement ! Dis-je, en acquiescant.— Tant que l’on est dans les confidences sur les maris dévoyés, il faut que tu saches maman, que, dernièrement, papa m’a mis la main au cul, en insistant bien entre mes jambes. Déclare Christelle.— Il m’a fait la même chose ! Ajoute spontanément David.
Virginie devient livide et bafouille :— C’est pour ça que … Que vous êtes partis de la maison ?
D’un hochement de tête des deux jeunes, ma fille obtient confirmation.
Virginie est si bouleversée, qu’elle devient aphasique et vient se blottir dans mes bras. — Maman ! Mon mari est un salaud, comme … papa. Qu’ai-je fait pour mériter ça ? Je fais tout ce qu’il veut !— Et moi donc ! Qu’ai-je fait pour qu’il s’en prenne à vous ! Ne t’en fais pas ma chérie, je crois que tu as trouvé, avec tes enfants, de quoi te venger de lui.— Tu crois que je devrais le quitter ?— Ca fait un moment que je le pense, mais la décision t’appartient !
David et Christelle se serrent contre leur mère et, petit à petit, l’arrachent de mes bras. Je regarde ce trio avec compassion. Je remarque toutefois que les gestes tendres, vis-à-vis de leur maman, se transforment en caresses de plus en plus précises. — Oh mes chéris, comme je vous aime ! Mais, David ! Que fais-tu ?— Nous aussi nous t’aimons et nous allons te le montrer, maman !
Je me lève pour prendre le fauteuil en face, et assister à une scène d’amour total, entre ma fille et ses enfants. Alors que Christelle la couvre de baisers, David s’est couché sur elle pour la saillir avec délicatesse. A la façon dont Virginie enserre son fils, je suis convaincue qu’en ce moment, elle ne pense plus à son mari.
A l’issue de leur union des plus charnelles, j’attends un peu, avant de déclarer :— Les enfants, je constate que vous n’avez pas besoin de moi, au moins pour quelques temps.
Je fais taire leurs protestations d’un geste de la main et ajoute :— Je souhaite aller passer quelques jours chez Agnès, pour aborder certains sujets épineux, mais je veux le faire de vive voix ! Avant cela, Virginie, acceptes-tu de me prêter David demain, en fin d’après-midi ?
Le concerné me regarde avec étonnement et avant qu’il n’ouvre la bouche, je précise :— Ne t’en fais pas mon chéri, je t’en dirai plus demain !
Une fois la petite famille repartie, je me rends compte qu’ils ont oublié de prendre le sac de leurs courses coquines, dont nous n’avons pas eu le temps de parler. Je regarderai cela plus tard. Avant tout, je dois appeler ma fille cadette…
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