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Mamie Geneviève

Chapitre 15

Inceste
Mamie Geneviève 15
Ma plus jeune fille, Agnès, est très heureuse que je projette de venir la voir quelques jours. Comme elle habite loin d’ici, je ne souhaite pas y aller en voiture, c’est trop fatigant pour moi de faire une telle route. C’est elle qui me propose de m’y rendre en avion, qu’il y a des promotions avantageuses en ce moment. Je prends note des recommandations qu’elle me fait quant à l’accès à bord ou des consignes de sécurité relativement drastiques.
Je lui avoue ma réticence à prendre l’avion, ce que je n’ai jamais fait malgré mon âge, mais elle me rassure et me convainc, surtout par le gain de temps appréciable par rapport au train ou la voiture. Le temps de notre discussion, elle me donne même les tarifs et horaires, qu’elle consulte en temps réel. C’est pratique l’informatique, il faudra sérieusement que je m’y mette un jour !
En femme déterminée, elle organise tout, le départ se fera après-demain matin, retour quatre jours plus tard, dans la soirée. Ça me convient comme programme…
A aucun moment, je ne précise que je viens chez elle c’est pour lui faire avouer les relations sexuelles qu’elle avait avec son père ! Mon mari a couché avec mes filles et a même fait un enfant (Bastien, l’ami de mon petit-fils) à Sabine qui était venue en mon absence pour me remercier. Il l’avait sautée alors qu’elle était encore pucelle à l’époque.
Ce salaud se tapait nos filles, et peut-être beaucoup d’autres, pendant que j’allais au travail ! Quelle pourriture, quand j’y pense ! Vivement que je puisse me venger ! Bientôt !
Avant d’aller me coucher, j’ouvre le sac des courses qu’ont faites ma fille et ma petite-fille. Il y a des tas de jouets sexuels et même un godemiché muni de lanières et aux dimensions si incroyables qu’elles n’ont rien d’humaines ! Je remets tout en place, sans vouloir essayer quoi que ce soit. Je me réserve pour le lendemain. Dans le lit, je me caresse lentement, non pour atteindre l’orgasme, mais plutôt pour savourer le plan que j’échafaude.
Le lendemain, mon petit-fils arrive vers seize heures. Il est estomaqué quand il m’aperçoit. Avant son arrivée, je me suis apprêtée, comme il se doit pour exécuter ce que j’ai imaginé.Je me suis vêtue, ou plutôt déguisée, en veuve. Je suis toute en noir, je porte même un voile de tulle pour renforcer mon personnage
Devant son air ahuri, je lui dis :— Ne t’en fais pas mon chéri, je vais t’expliquer. Viens m’embrasser. Dis-je en relevant mon voile— Mais, mamie, ça fait bizarre de te voir comme ça !
— Nous allons au cimetière voir la tombe de ton grand-père. J’ai quelque chose à y faire !— Mais mamie, je n’aime pas trop les cimetières. Je croyais que tu voulais que l’on passe un bon moment ensemble !— Plus tard ! On verra ça plus tard …
David est un peu contrarié de devoir m’accompagner, il est même un peu grognon. J’achète un bouquet chez le fleuriste proche et pénètre dans le cimetière, ce lieu d’une silencieuse sérénité. David me suit dans les allées, tout en bougonnant.
Avant d’arriver à la tombe de mon mari, je lui dis à l’oreille :— Tu sais David, je porte une culotte fendue !— Oh mamie ! Ce n’est pas un endroit pour me dire ça !— Pourquoi pas ? Je suis sûre que tu vas aimer me prendre ici, toute habillée !
Il me fixe avec surprise, mais ne moufte mot. Je dépose, ou plutôt, jette le bouquet sans même regarder la stèle de mon mari et demande :— David, viens avec moi par ici.Il me suis derrière la tombe et reste interrogatif.
— Mon chéri, je crois que ma jarretelle est mal mise, tu veux bien me l’ajuster comme il faut ?Il a compris mon manège et jette un regard aux alentours, avant de s’accroupir pour soulever ma robe. Je prends appui sur le marbre et, du bout de mon escarpin en profite pour taquiner son entrejambe.
Il glisse ses doigts sur ma jambe et s’applique à positionner correctement mon bas avant d’ajuster les jarretelles. Puis, ses doigts remontent pour effleurer la peau de ma cuisse. Il monte encore et fouille mes poils à pleine poignée en glissant sa main dans la fente de ma culotte.
Je sens durcir son membre sous mon pied, mais hélas, il change de position. Il a fourré sa tête sous ma robe et sa bouche cherche ma vulve. J’écarte les jambes et sens sa langue fureter sur mon clitoris. Je n’arrive plus à atteindre son sexe avec mon pied, il l’a confisqué pour poser ma jambe sur son épaule afin de pouvoir mieux me lécher.
Cette situation incongrue nous excite tous les deux. Il y a bien quelques personnes, mais elles sont loin et occupées à autre chose, pendant que mon petit-fils me broute délicieusement la chatte.
— Oh mon chéri, prends-moi maintenant, s’il te plaît.— Ici ?— Oui, viens vite ! Prends moi debout, mais viens par derrière. Toujours debout, je me positionne et, après qu’il se soit relevé, qu’il ait soulevé ma robe, je sens buter son gland au bord de mes grandes lèvres. Je le guide et il s’enfonce facilement en moi. J’éprouve alors un bonheur incroyable. Il me fait l’amour avec une grande délicatesse, mais j’en veux plus.
Je l’implore :— Encule moi mon chéri ! Et vas y fort ! Très fort ! Déchaîne-toi dans mon cul !David comprend mon souhait et sort de mon vagin. Il m’écarte les fesses et me force l’anus. Il m’empale d’un coup ! J’ai eu beau me lubrifier avant de partir, je sens passer son machin imposant. Ouah ! Comme c’est bon !
Il commence de lents mouvements, mais je l’incite à y aller fort !Tout le temps qu’il me laboure à grands coups, je marmonne tout mon ressentiment à l’égard de mon mari.
« Regarde mon salaud, ce jeune gars est en train de m’enculer comme il faut ! » ou bien « Il a une sacrée bonne queue qui me fait toujours bien jouir, ce n’est pas comme toi, misérable abruti ! » Je me déchaîne en maugréant mes insanités, jusqu’à ce que David, trop excité, éjacule en moi.
Il se cramponne à mes seins en donnant encore quelques coups de reins. J’ai repoussé mon plaisir pour éviter toute jouissance. Car mon plaisir ultime est à venir. — David, je vais te nettoyer après, mais laisse moi passer pour le moment.
Je contracte mon sphincter et trottine pour me positionner au dessus de la dernière demeure de mon salaud d’époux et ainsi libérer, en de nombreux pets, toute la semence de mon jeune amant.
Je me torche le derrière avec un mouchoir que je laisse sur place, avant de dire à David :— On y va ?— Mais, Euh ! En me désignant du regard, son membre encore tendu.— Ah oui, bien sûr, je vais bien te nettoyer mon chéri !
Dans la voiture, il ose dire :— Mamie, ce n’est pas bien ce que nous avons fait !— Tout au contraire ! Outre que j’ai adoré ta façon de me prendre, j’avais grand besoin de le faire ! C’était pour me venger de ton grand-père, tu l’as bien compris. Maintenant, je me sens libérée et surtout beaucoup plus sereine.
Je raccompagne David chez sa mère, Virginie est surprise de me voir habillée en tenue de deui,l bien que j’ai quitté mon voile auparavant. Je lui dis avoir été au cimetière, sans épiloguer. Elle ne m’en demande pas plus, heureusement !Par contre, étant ravie de ma présence, elle me propose de rester passer la soirée avec elle et ses enfants. Avec plein de sous-entendus dans son regard !
Je lui explique que je dois partir chez sa sœur, dès demain, et dois préparer mes bagages. Christelle apparaît et me saute directement au cou. Elle me souffle à l’oreille, avec sa fausse innocence :— Dis mamie, tu ne veux pas que je te donne un petit coup de langue ? — Non ma chérie, je dois absolument y aller ! Et puis, ton frère va tout vous raconter.— D’accord mamie, comme tu veux. Au fait, tu as jeté un œil sur nos achats d’hier ?— J’ai regardé vite fait, mais ça ne m’a pas intéressé !— Regarde mieux ! Je veux que tu utilises quelque chose dès ce soir et que tu me dises ce que tu as choisi.
Comme à son habitude, elle assume un rôle dominateur, car ses mots ont été prononcés avec autorité. Je lui réponds :— C’est promis ma chérie.— Bien ! Tu n’oublies pas !
Arrivée à la maison, j’ai hâte de me changer. Après une toilette bien méritée, je troque mes habits de veuve, pour un déshabillé très sexy. Même si je n’attends personne ce soir, j’éprouve le besoin d’être provocante.
Je reçois alors un message de Christelle :« Alors ? Tu as choisi quoi ? »
Elle me met la pression cette coquine. Je passe deux minutes pour tapoter maladroitement sur mon téléphone : ‘ Je m’en occupe tout de suite ‘
J’étale le contenu du sac de leurs courses sur la table et, finalement, comprends bien l’usage des différents articles. Hormis une sorte d’anneau marqué « cock ring ». J’ajuste le gode ceinture monstrueux et joue un peu avec ce pseudo membre, avant de le quitter pour explorer les autres emplettes.
Un objet incurvé, un peu ovoïde, attire mon attention. La forme me semble agréable de par sa délicatesse, mais il y a une notice qui me paraît incompréhensible. Je vois d’autres jouets à vocation anale, mais qui exigeraient que mon petit trou soit moins échauffé.
En désespoir de cause, je reviens à l’objet de mon choix et préfère appeler Christelle pour le lui dire.— Voilà ! J’ai choisi quelque chose ! C’est … Je lui décris l’objet et lui explique que je n’y comprends rien à la notice, en anglais, en plus ! C’est du chinois pour moi !— Super choix, mamie ! Je ne savais pas qui allait le tester en premier ! Gentiment, la vendeuse l’a préparé, elle a paramétré mon portable pour ça ! Tu vas faire ce que je te demande et après c’est moi qui piloterai tout, à partir de mon téléphone.
Depuis un moment, je frotte l’objet sur ma vulve et quand elle me demande de me l’introduire, la lubrification est plus que suffisante tant je mouille. — Voilà, c’est fait, je l’ai mis !— Bien, je vais essayer. Dis-moi si tu sens quelque chose.
Après quelques secondes, je sens frémir mon vagin, très faiblement, c’est à peine perceptible, je l’en informe et elle me répond :— Très bien ! Tu le gardes et fais ce que tu as à faire. A plus tard …— Bien ma chérie ! Gros bisous !
J’adapte ma marche, mais l’objet est un peu gênant et tend à sortir de mon vagin. Je décide d’aller dans ma chambre et enfiler une culotte pour mieux tenir la chose.
Au milieu de l’escalier qui m’amène à l’étage, mon corps se tétanise. Mon bas ventre vibre intensément pendant une courte durée. Je cramponne la rampe pour ne pas tomber. Avec prudence, je finis de monter et, sur le palier, je reçois une autre décharge vibratoire, un peu plus longue que la précédente.
C’est horrible ! Christelle domine mes sens à distance ! Je pourrais sortir ce machin et passer à autre chose, mais non ! J’attends avec impatience qu’elle recommence. Quand j’entre dans ma chambre, je sens un frémissement croître lentement, il se métamorphose en un battement saccadé. Je presse l’espèce de petite queue sur mon clitoris et marche, à grande peine, vers mon lit où je m’allonge sur le dos.
J’ai l’impression d’avoir un orchestre dans la chatte et c’est Christelle qui le dirige. Le rythme est modifié en fréquence et en amplitude, je ne maîtrise plus rien ! C’est une symphonie qui se déchaîne et m’emporte, je me mets à chanter mon orgasme à grands cris ! Car oui, en quelques minutes cette gamine m’envoie au septième ciel, sans même me toucher ni me voir.
Avec précipitation, j’extirpe cet envahisseur, qui continue à battre alors que je l’ai posé sur le lit, afin de reprendre ma respiration. Cette chose est diaboliquement agréable, mais de quelle intensité pour forcer la jouissance !
Après avoir repris mes esprits, je redescends et appelle ma petite-fille alors que l’objet vibre encore dans ma main.— Oh Christelle, tu peux arrêter ma chérie ! Je lui narre ma jouissance fulgurante et ça l’amuse beaucoup.— Au fait, Mamie, mon frère nous a raconté ce que vous avez fait au cimetière, c’est très bien à mon avis! David était un peu honteux et se sentait coupable. Il en a faussement rajouté et a même insisté pour que maman le punisse. Elle est en train de lui donner une fessée et apparemment, ils y prennent beaucoup de plaisir à ce que j’entends.
Nous raccrochons en nous souhaitant plein de bonnes choses pour les jours à venir.
Je monte au grenier pour dénicher une petite valise ou un sac de voyage pas trop grand dans lequel je pourrais mettre mes affaires.
Je trouve alors un coffret, qui appartenait à mon mari et que j’avais oublié.Il est fermé à clé. Zut !
Si, jusqu’alors, je négligeais de fouiller dans ses affaires, là maintenant, je veux à tout prix savoir ce que ce coffret contient !
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