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Mamie Geneviève

Chapitre 19

Inceste
Mamie Geneviève 19
Ni Gilles ni moi avons entendu Agnès arriver alors qu’il m’embrassait passionnément, avec sa bite encore enfoncée en moi après qu’il m’ait sacrément emplie de sa semence.
Mon gendre sort précipitamment de ma chatte et, au passage, sa bite libérée projette quelques gouttes de sperme qui m’éclaboussent le visage. Il se relève brusquement et tente de masquer son sexe tendu et encore trempé de nos humeurs. Il est totalement marri le petit mari, penaud à souhait et s’attend à recevoir une engueulade de sa femme, mais il n’en est rien.
Ma fille s’attache plutôt à m’aider à me relever, alors que je contiens au mieux tout le jus en me tamponnant la chatte avec ma culotte roulée en boule. Agnès finit de m’éponger avec des mouchoirs en papier. La coquine en profite au passage pour taquiner mon clitoris plus que nécessaire !.Son seul commentaire est :— Ouah maman ! Tu as une de ces touffes de poils ! Moi, je me fais épiler, je laisse juste un petit triangle.— Ah bon ? Tu me montreras ça !— Tiens regarde !
Agnès baisse son pantalon et sa culotte sous les fesses et m’expose son pubis devant les yeux ahuris de son mari, lequel réajuste son pantalon en toute hâte.
Bravant toute morale, je dis à ma fille :— Humm, ma chérie … c’est très mignon, ça me fait drôlement envie …— Maman, sois sage veux-tu ? Pas devant mon mari ! Rit-elle en m’enlaçant et en me déposant quelques bises affectueuses.
Même si il ordinaire qu’une mère et sa fille se serrent l’une contre l’autre, ça l’est moins quand elles se frottent mutuellement les seins. Il se passe quelque chose de très chaud entre ma fille et moi en cet instant, je lui chuchote au creux de l’oreille :— As-tu demandé la permission à Mélanie ?— Pas encore … Me souffle-t-elleJ’aimerais tellement lier de nouveaux liens avec ma fille ! En lui broutant le minou par exemple, mais elle veut être fidèle ! Non à son mari, mais à sa jeune rousse, toute mignonne, d’amante.
Gilles reste bouche bée en nous observant. Il s’attend toujours à ce qu’Agnès se fâche, que la foudre lui tombe dessus, mais il n’en est rien … Comme si il était tout à fait normal qu’une épouse découvre son mari couché sur sa belle-mère ou même, que cette épouse puisse exposer sa chatte à sa propre mère . Je remarque quand même que la bosse de sa braguette est encore bien saillante. Est-ce de nous mater enlacées ?
Agnès relâche l’étreinte de nos corps et se dirige vers son mari, lui dépose une bise sur la joue et lui dit : « Merci de t’être occupé de maman, elle semble être ravie de votre journée »
Je réplique :— Effectivement nous avons passé d’excellents moments, Gilles s’est montré très dévoué pour moi et je l’en remercie !— C’est parfait si tout se passe bien entre vous. Maman, ça ne te gêne pas si je vous abandonne encore pour cette nuit ? — Moi, pas du tout ma chérie ! Mais reste quand même un petit peu avec nous, que l’on ait le temps de bavarder…— Mais bien sûr, je reste dîner mais je vais préparer quelques affaires avant ….
Gilles bafouille à l’adresse d’Agnès:— Où … Où vas-tu dormir ce soir ?— Chez Mélanie !— C’est qui Mélanie ?— Une amie … Plus qu’une amie, c’est ma cher….
A la dérobée, je pose un doigt sur les lèvres pour lui intimer de ne pas en dire plus. Il est trop tôt pour que Gilles sache que Mélanie et sa femme sont amoureuses l’une de l’autre. Le pauvre a déjà vécu beaucoup d’évènements troublants avec moi !
Alors qu’Agnès s’éloigne pour aller préparer son sac, Gilles semble bouillir intérieurement.Il finit par lâcher :- Je suis sûr qu’elle va passer la nuit avec son amant ! Ce à quoi je rétorque :- Pas du tout ! Il n’y a pas d’autre homme que toi dans sa vie !— Je n’en suis pas si sûr que vous— Je te le confirme. C’est même elle qui me l’a dit !Même si il vient d’être mon amant il continue à me vouvoyer, pas moi !
Il se calme n’osant pas mettre en doute mes affirmations. Je me garde bien de lui dire qu’en réalité c’est une jeune femme qui est l’amante de ma fille.
Je file à mon tour pour faire ma toilette intime et suis bien obligée de me changer car un reste de sperme a coulé sur mes bas et, comme j’avais utilisé ma culotte pour m’éponger, elle n’est pas dans un meilleur état !
Je ne conserve que mon soutien-gorge pigeonnant qui fait de l’effet à mon gendre.J’enfile un chemisier à fleurs, un string rouge qui transparaît sacrément sous mon pantalon blanc.
Quand je rejoins Gilles, ma fille n’est toujours pas revenue. Me voyant avec mes dessous souillés en mains, il se précipite pour m’offrir ses services. Je lui tends bas et culotte qu’il se met à humer avant de les tremper dans une bassine d’eau savonneuse. Je suis surprise de le découvrir si fétichiste !
Agnès revient toute pétillante et a le ton enjoué pour nous parler. Son mari finit par se détendre complètement voyant son épouse si sereine. Nous passons une bonne soirée tous les trois lors du dîner. Agnès multiplie les recommandations ambiguës à son mari et ce dernier finit par ne plus être dupe du plan de sa femme, à savoir qu’il doit tout accepter pour me satisfaire.
Ce petit jeu commence à lui plaire, surtout que ma fille tout en parlant s’est placée derrière ma chaise. Ses bras glissent sur mes épaules puis ses doigts s’activent pour déboutonner un à un, et infiniment lentement, les boutons de mon chemisier.
Elle ouvre les pans pour exposer mon soutien gorge gonflé à son mari. Le pauvre Gilles bave, mais se demande si c’est du lard ou du cochon. Sa femme lui indique on ne peut plus clairement que mon corps est à sa disposition. Elle me fait me lever, puis me guide vers Gilles en me tenant la main, avant de m’inviter à m’asseoir en amazone sur les cuisses de son mari.

Agnès me bise brièvement la joue, se retourne brusquement et nous quitte tout aussi rapidement, en nous souhaitant une bonne soirée et, ajoute-t-elle avec un peu de perfidie … une bonne nuit.
En moins d’une minute, la porte s’est refermée sur elle. Ma fille nous laisse aussi surpris l’un que l’autre par la soudaineté de son départ. Il est évident que Gilles n’y comprend plus rien au comportement de sa femme !
Je le tire de ses pensées en lui disant :— Tu ne veux pas m’aider à enlever mon chemisier ?— Si … Si vous voulez Geneviève
Il est à nouveau coincé, le bougre ! La gêne l’étouffe à nouveau ! Il me faut tout recommencer pour l’allumer !
Je me lève et me place devant lui pour qu’il défasse mon chemisier. Il le fait avec douceur mais ne prend pas d’initiative supplémentaire. Je le remercie et tandis qu’il hume la transpiration de mon chemisier, je m’écarte de lui et entreprends de débarrasser la table. Il se lève alors immédiatement pour m’aider.
Je le précède pour rejoindre la cuisine en roulant un peu des hanches. Son regard me roussit les fesses. Il va brûler mon beau pantalon à me reluquer comme ça ! Ça me plaît drôlement d’allumer mon petit gendre en déambulant en soutif dans sa maison.
J’attends qu’il pose son assiette dans l’évier pour lui glisser une main au cul. Il se raidit, pose les mains sur l’évier, mais ne se retourne pas vers moi, il écarte légèrement les pieds et attend une caresse plus précise.
Je me souviens comme David avait apprécié les doigts de sa mère dans son derrière. Les mecs aiment bien se faire caresser le petit trou.
Je fais courir plusieurs fois mon majeur dans sa raie en pressant de plus en plus fort sur la couture de son pantalon alors qu’il se trémousse sous ma caresse, de plus en plus ciblée sur son anus.
Je lui susurre : « Viens, suis-moi … »Je le guide par la main jusqu’à la salle à manger et lui fait appuyer le buste sur la table.Il se laisse faire comme un enfant, même quand je le fous à poil.
Je lui fait écarter les jambes puis m’accroupis entre elles. Il est surpris quand je lui écarte les fesses, mais pousse un râle quand ma langue s’active sur son anus. Je lui fais une superbe feuille de rose, comme celle que David avait pu me faire au début de notre relation.
Le pauvre tremble comme une feuille à chaque fois que je darde ma langue pour le pénétrer légèrement. J’attrape sa bite qui durcit dans mes doigts et entreprends de la branler doucettement.
Ma position accroupie étant trop inconfortable à mon âge, je me relève et sans lâcher sa bite, lui tends mon majeur à sucer. Il a bien compris pourquoi je fais cela et s’applique à déposer beaucoup de salive. Son anus est contracté quand je le force, mais mon gendre respire profondément pour se détendre et mon doigt s’enfonce un peu en lui. Je fais quelques allers-retours au bord et lui redonne à sucer mon doigt pour mieux le mouiller.
La deuxième pénétration est plus aisée et j’enfonce mon majeur le plus loin possible pour le sodomiser. Il râle de plaisir alors que sa queue se durcit dans mon autre main. Je lui demande :— Tu aimes ça mon chéri ?— Oui Maman, c’est bon …
Je suis à nouveau sa maman !
— Tu en veux plus ?— Si tu veux Maman
Il suce avec avidité les deux doigts que je lui présente. Il geint un peu mais accepte sans rechigner ces deux envahisseurs dans son intimité. Je tourne, vais et viens puis écarte mes doigts dans son cul pour l’ouvrir au maximum. Je me sens très inspirée pour le satisfaire. Mon petit Gilles à des spasmes à chaque fois que je cherche à le perforer et en redemande en venant à la rencontre des doigts qui le fouillent.
Il fait alors une chose surprenante :Il tend son bras sur la table et se saisit de la petite bouteille de vin que nous avons bue au dîner, puis se met à en sucer le goulot. Je cesse de l’enculer avec mes doigts et lui demande de me donner la bouteille.
Je suis obligée de mouiller à nouveau son anus de salive pour que les collerettes du goulot arrivent à pénétrer son œillet. Je délaisse la branlette de mon gendre pour me placer derrière lui qui est toujours affalé sur la table, pieds au sol et jambes écartées.
J’appuie le cul de la bouteille sur mon pubis, me saisis de ses hanches et pousse en avant mon bas ventre pour que le goulot tout entier disparaisse dans ses profondeurs.Il attendait ce moment avec impatience et râle de bonheur. Je continue à m’appuyer sur la bouteille et donne de petits coups de reins qui le ravissent.. — Tu aimes quand maman te fais ça ?— Oh oui Maman, j’adore !— Caresse-toi mon chéri pendant que je m’occupe de toi…— D’accord Maman.
Il pose une main sur son sexe et se met à se branler lentement. Moi, je suis obligée de relâcher une de ses hanches pour soutenir la bouteille et pouvoir mieux jouer avec. Je la ressort, l’enfonce le plus possible en appuyant avec mon bas-ventre et entame un pseudo coït sauvage dont il se souviendra longtemps.
Je me mets dans la peau d’un homme un peu bestial pour le saillir alors qu’il se branle à toute vitesse maintenant que je me déchaîne sur lui, ou plutôt en lui.
Il râle de bonheur, surtout quand je lui claque la fesse tout en poussant à fond pour lui écarteler le cul. Je commence à lui battre méthodiquement la fesse alors qu’il se cambre en hurlant son plaisir. Il a un orgasme terrible et j’entends ses jets claquer sur le sol avec force. Après quoi je lui retire délicatement le goulot envahisseur.Ouah ! Il a vraiment besoin de moi pour se vider les testicules !En tout cas, une chose est sûre, c’est qu’il n’est pas impuissant !
J’en ai la preuve quand je l’ai en bouche pour le nettoyer soigneusement, il ne débande pas ! Il me fait trop envie !
Je cesse de sucer mais continue à caresser sa verge et lui souffle à l’oreille :— Maman aimerait beaucoup que tu mettes ton zizi dans son derrière !— Je … Je ne sais pas…  Je n’ai jamais …!— Bonne raison pour apprendre mon chéri !
Alors là, je suis décontenancée ! Gilles n’aurait donc jamais pratiqué la sodomie avec Agnès ? Pourtant, je sais qu’elle se faisait souvent enculer par son père ! J’ai trouvé récemment de nombreuses photos qui le prouvent.
Je m’en veux d’avoir mis un pantalon si serré, ça perturbe le déroulement des choses. Tant que j’y suis, j’enlève mon soutien-gorge et pose ma poitrine sur la table en me mettant dans la même posture qu’avait mon gendre il y a peu.
Gilles semble hésitant en se tenant derrière moi. Il peut débander si il attend trop longtemps. Je lui dis sur un ton suppliant :— Viens mon chéri, ta maman attend que tu viennes en elle …— Je … je vais essayer
Même avec mon aide, il lui faut plusieurs tentatives avant de percer mon œillet. Il n’ose pas s’enfoncer plus. Je suis obligée de l’inciter à nouveau: — Vas-y mon chéri montre à ta maman comme tu es vigoureux pour l’enculer !— Co … Comment ?— Sois bestial et défonce-moi le cul !
Mes propos grossiers le stimulent et sa maladresse est vite oubliée. Pour me défoncer il s’y emploie bien. Il est méconnaissable et se déchaîne dans mon cul pour mon plus grand plaisir. Et quand je jouis, je sens bien qu’en même temps, il se vide en moi.
A suivre …
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