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Mamie Geneviève

Chapitre 22

Inceste
Il est presque midi quand j’entends la voiture d’Agnès se garer devant leur maison. Ma fille cadette revient de chez sa maîtresse, alors que Gilles son mari est toujours chez leurs voisins à passer du bon temps.
En apparaissant dans une tenue plutôt « grunge » comme disent certains, à savoir : un jean craqué aux genoux et un affreux sweat-shirt.
— Bonjour maman, tu es seule ? Où est Gilles ?— Ton petit mari est allé aider les nouveaux voisins et je pense qu’en ce moment, ils baisent tous les trois. — Qu’est-ce que tu racontes maman ? Je ne comprends rien de ce que tu dis !— C’est moi qui l’ai incité à les rejoindre, il m’avait avoué avoir un ticket avec eux. — Comment ça « un ticket »?— Gilles m’a raconté qu’il s’était fait draguer par Michèle, la femme, mais aussi par Jacky, le mari. J’ai fait la connaissance de ces gens ce matin alors qu’ils travaillaient dehors. J’avoue qu’ils sont charmants tous les deux... — Je n’en reviens pas ! Qu’est-ce qui pourrait te faire croire qu’ils seraient en train de faire l’amour ? — Ton mari était désireux de les rencontrer, essentiellement pour faire ça ! Tu sais, il n’est plus le même homme et je crois que j’y suis pour quelque chose...
Je lui explique tout ce que nous avons fait Gilles et moi, outre qu’il m’ait bien sodomisée hier soir et une nouvelle fois cette nuit, je l’informe que son mari, lui aussi, aime se faire prendre le derrière. Je lui narre en détail combien il avait aimé se faire enculer avec la bouteille de vin.J’omets toutefois de dévoiler les secrets familiaux qu’il a pu me confier. En particulier, le fantasme de coucher avec sa mère.
Car, quoique l’on dise, les femmes savent garder des secrets !
Agnès, complètement abasourdie par mes révélations, tique un peu quand je lui annonce que j’ai également déballé à son mari, la relation qu’elle a avec Mélanie. Elle aurait préféré annoncer elle-même à son mec qu’elle lui préfère la jeune (et si belle !) rousse.
J’ajoute :— Au fait, as-tu demandé la permission à ta compagne ? Tu sais que j’aimerais que l’on puisse se câliner, toutes les deux— Elle n’y est pas opposée, mais c’est plutôt moi qui suis réservée pour ça.— Comment ça ma chérie ? Tu ne veux pas faire l’amour avec moi, alors que tu as couché avec ton père ?
— Ecoute maman, je te respecte beaucoup, mais je tiens également à respecter Mélanie, c’est la femme que j’aime.— Je ne vois aucun irrespect à ce que l’on soit dans le même lit. Tu as compris que moi aussi j’aime les femmes, car elles ont une façon bien différente de faire l’amour ! — Je n’en reviens toujours pas de te découvrir comme ça, maman...— J’espère que tu m’apprendras de nouvelles choses, je dois combler un sacré retard du coté du sexe.— Je n’ai pas l’impression que tu sois en retard. Je ne connais personne de ton âge qui ait des propos comme les tiens.— Bon ! Ma chérie, on reparlera de tout ça plus tard ! Tu ne crois pas que tu devrais venir m’embrasser maintenant ?— Oh maman, je suis désolée, je manque à tous mes devoirs !
Agnès se love enfin dans mes bras et après qu’elle m’ait lancé un petit regard amusé, approche ses lèvres des miennes. Notre baiser est langoureux à souhait. J’avoue que ça me fait mouiller tout de suite, mais Agnès préfère s’écarter quand mes caresses commencent à trop l’émoustiller. Nous nous séparons lentement, en nous tenant la main. Puis, pour dissiper sa gêne, je lui propose de passer à table.
Comme j’ai eu le temps de préparer la popote ce matin, nous pouvons dresser la table pour déjeuner toutes les deux, sans attendre le retour de Gilles qui doit être fort occupé !
Ma fille m’avoue qu’elle est très heureuse que je sois venue, même si elle ne m’a pas consacré beaucoup de temps. Nous en venons à discuter toutes les deux de plus en plus librement. Agnès se lâche petit à petit, en évoquant les pratiques sexuelles que son amante et elle peuvent partager. Il faut dire que je l’ai progressivement orientée vers le thème du sexe. J’ai besoin d’en connaître un peu plus malgré mon âge ! Elle m’avoue aimer se faire prendre avec brutalité quand Mélanie utilise un gode ceinture, mais aussi donner ou recevoir des caresses, ou tout simplement partager de longs moments de tendresse, à être blottie dans les bras de sa chérie.
Pour ma part, je vante les qualités de mes jeunes amants et amantes. J’évoque également le bonheur que j’éprouve avec mon petit-fils David, qui sait si bien utiliser sa grosse bite, ou de ma petite-fille Christelle si adorablement perverse avec moi. Je précise même que c’est elle qui m’a initiée aux plaisirs saphiques.
Agnès me confie qu’elle aussi, a eu l’occasion d’être seule avec sa nièce (ce que je savais de la bouche de David) et me confirme que la petite Christelle est très avancée pour son âge ! Et surtout, que cette gamine ne manque pas de talent... C’est d’ailleurs à la suite de ça, que s’est réveillé en elle le désir d’avoir une aventure avec une femme. Jusqu’à rapidement faire la connaissance de Mélanie, un miracle !
Nous rions toutes les deux de nos aventures et j’en arrive à la questionner sur les relations qu’elle a eues avec son père, en étant plus jeune. — Dis-moi Agnès, comment c’est arrivé avec papa ?— Je... Je ne peux pas parler de ça ... — Tu sais, ta sœur, quant à elle, m’a tout raconté, bien sûr ça m’a fait mal de découvrir toutes ces cochonneries. Mais j’ai tout accepté et m’en suis remise !
Tu sais Agnès, j’ai trouvé au grenier plein de photos de toi et de tes copines en train de faire la fête avec mon mari. Même ta sœur n’en savait rien !Alors, j’ai besoin de savoir, racontes-moi.
— Je n’arrive pas à parler maman, j’ai trop honte de ce que j’ai pu faire à l’époque. — Tu as raison ma puce, cet endroit n’est pas propice aux confidences, viens avec moi, on va aller dans ma chambre, ce sera plus intime.
Je me lève, lui prends la main, alors qu’elle me regarde un peu apeurée. Je lui dépose une bise sur la joue pour la rassurer, et elle se laisse guider vers ma chambre. Sur place, nous restons debout face-à-face. Je la prends dans mes bras et la câline un long moment, puis lui ôte son affreux sweet-shirt en un geste rapide qui la surprend.— Qu’est-ce que tu fais, maman ? — Je veux te mettre à l’aise pendant que tu me raconteras tout, j’ai besoin de savoir comment ça a commencé. Je sais que tu étais jeune, influençable et que tu n’es nullement responsable de tous les maux dont tu t’accuses. — C’est trop difficile ! Je n’arrive pas à parler devant toi. Quand je te regarde, je perds tous mes moyens.— Dans ce cas, pas de problème pour ça, ma chérie !
Je prends un foulard dans mon sac et l’utilise pour bander les yeux de ma fille. Agnès se laisse faire et semble être acquise à mes desiderata. Bien que je lui paraisse pleine d’assurance, je reste troublée à la vue de son dos, à sa peau si douce que j’effleure, et ne peux m’empêcher de lui mordiller la nuque, quand je dégrafe son soutien-gorge.
Comme elle cherche à masquer sa poitrine dénudée, je lui écarte les bras et caresse délicatement chacun de ses seins, ce qui la fait soupirer et même gémir. Puis, me penche, pour suçoter ses tétons tour à tour, avant de déboutonner son pantalon.Cette fois, elle cesse d’être passive et m’aide à se dévêtir...
Je la fais s’allonger, totalement nue, sur le lit, me place entre ses genoux relevés. Je couvre son corps de caresses, avant de poser mes lèvres sur les siennes. Notre baiser est plein de tendresse et je sens sous mes doigts, qui courent sur sa peau, que son corps se détend progressivement.
Je lui souffle alors à l’oreille :« Parle maintenant et... laisse-moi faire »
Alors que mes lèvres glissent sur sa peau, Agnès soupire, prend une grande respiration, puis se lance :
« Le garçon qui m’a déflorée s’appelait Romain. Je ne l’aimais pas particulièrement, mais il était mignon. Lui, il ne tenait pas à moi non plus ! Il voulait juste me sauter ! Mais... Il était brutal et me faisait mal à chaque fois.
Comme j’allais souvent chez lui, j’ai rencontré sa sœur, Mathilde, avec qui je suis rapidement devenue amie. Je me suis vite rendue compte qu’elle me draguait, même devant Romain, ça m’amusait d’être séduite par cette fille. Une fois, en allant à la piscine toutes les deux, alors que nous étions dans la même cabine pour nous changer, je l’ai laissée m’embrasser et même me caresser.
C’était si délicieux que, quand elle m’a levé la jambe pour me lécher la chatte, je l’ai laissée faire. Elle m’a faite jouir intensément, alors que je me contenais pour ne pas crier, tellement c’était bon !»
Alors que la parole de ma fille se libère, je bise l’intérieur de ses cuisses et converge vers sa vulve humide de cyprine. Car malgré sa nervosité, Agnès n’est pas insensible à mes caresses ou peut-être est-ce dû à ses réminiscences, à ces souvenirs d’aventures avec Mathilde.
Elle poursuit :« J’ai vite quitté Romain, pour lui préférer sa sœur, de qui je suis tombée réellement amoureuse, et avec qui je faisais souvent l’amour. C’était, soit chez elle, quand son frère n’était pas là ou à la maison dans le cas contraire, d’ailleurs tu dois te souvenir qu’elle venait souvent à l’époque.
Ce que j’ignorais, c’est que quand nous faisions l’amour, à la maison, papa passait par le balcon pour nous mater et... nous prendre en photo, à notre insu, je te l’assure !
Un matin... j’ai trouvé dans mon tiroir à culottes, une de ces photos instantanées, elle était très ‘osée’ et où on me reconnaissait parfaitement avec Mathilde. Au verso du cliché, il y était écrit : ‘ Je dois te parler !’, signé papa.
J’ai été terrorisée toute la journée qui a suivi, puis les suivantes. Il me regardait avec un petit sourire narquois, alors que je faisais tout pour ne pas être seule avec lui. Les fois suivantes, j’ai trouvé, chaque jour, une nouvelle photo qu’il déposait dans ma commode. J’ai commencé à réellement prendre peur que tu puisses tomber là-dessus, maman. ...Oh maman... Non, arrête ! »
Je commence tout juste à effleurer son clitoris du bout de la langue, qu’elle se met à tressaillir en interrompant son récit. Elle a besoin que je l’encourage à poursuivre ses confidences, aussi, je remonte à sa hauteur, tout en glissant lentement mes seins sur son corps, puis lui mordille l’oreille avant de murmurer :« Continue ma chérie et laisse-toi aller, je t’écoute... »Je redescends ma bouche au niveau de sa chatte quand elle enchaîne :
« Papa me faisait clairement comprendre dans ses messages derrière chaque photo, qu’il allait tout te révéler si je continuais à me dérober.
J’en ai parlé à Mathilde et elle a rigolé en apprenant cela. Elle m’a alors proposé de m’accompagner pour affronter mon père. Papa n’a pas été gêné le moins du monde par la présence de ma copine quand il m’a exposé ce qu’il désirait de moi, à savoir : ‘ Être très gentille avec lui’, En échange de son silence.
Mathilde m’a alors stupéfaite quand elle s’est subitement levée, le sourire aux lèvres, puis s’est approchée lascivement de papa, pour lui demander: ‘gentille comment ? ‘. J’étais époustouflée de la voir jouer à la vamp, elle lui caressait le bras, puis le torse en approchant ses lèvres à quelques centimètres des siennes......Oh maman, arrête-toi, c’est trop bon ! Je... je n’arrive plus à parler !»
Ma langue sur son bouton est si active qu’Agnès n’arrive plus à se contenir et m’écrase la tête entre ses cuisses serrées. De fait, je n’entends plus très bien ce qu’elle me dit. D’autre part, je commence à attraper un torticolis en restant dans cette position, le cou cassé en deux.
Je lui dis : — Tourne-toi ma chérie— Comment veux-tu que je me mette ?— Allonge-toi sur le ventre, je vais te bouffer le cul pendant que tu me racontes la suite.
Agnès se retourne, s’allonge tout en relevant les fesses. Elle écarte bien les jambes, comme je le lui ai demandé. J’en profite pour lui retirer son bandeau, maintenant qu’elle me fait dos et que sa parole se libère.
. Je ne sais pas ce qui me pousse à préférer son derrière, est-ce le parfum musqué qui s’en dégage ? J’admire son mignon trou du cul quelques secondes et plante deux doigts dans sa chatte trempée que je fais aller et venir avec lenteur, avant de plonger ma bouche sur sa rosette.
Tout en soupirant de plus en plus quand ma langue s’active, elle s’applique à continuer son histoire :
« Mathilde gardait ses lèvres très proches de celles de papa, quand sa main s’est posée sur la braguette, pour en pétrir le contenu. J’étais subjuguée par cette scène surréaliste et, en même temps, jalouse de mon amie, elle osait caresser le sexe de mon père ! Devant moi ! Etait-ce pour me défier ou m’humilier ?
Ma copine s’est ensuite agenouillée entre les jambes de papa puis m’a invitée à m’approcher, avant d’ouvrir la braguette déformée et d’en sortir le membre raide.Elle s’est mise à le sucer avec une avidité incroyable, elle se régalait vraiment de pomper mon père.
Papa m’a attirée au plus près et Mathilde m’a alors invitée à m’agenouiller, pour la remplacer.Je n’étais pas très douée pour sucer, Romain me le reprochait sans arrêt, mais j’ai fait ce qu’ils attendaient de moi : J’ai sucé la bite de mon père ! »
Agnès hurle presque pour prononcer ces derniers mots.
Je ne sais pourquoi, mais je pressens que ma fille attend, à cet instant, une réaction de ma part. Aussi, après m’être redressée un peu, je lui administre deux fortes claques sur les fesses.
Chlac ! Chlac !— Vilaine fille, voilà ce que tu mérites !— Merci maman, tu as raison de me punir, car je suis une vraie salope, tu vas voir !— Je te punirais peut-être plus tard, pour le moment poursuis ton histoire, je vais continuer à te bouffer le cul.
« C’est Mathilde qui a fini de le sucer ce jour là, Papa m’avait demandé de me relever pour me doigter la chatte et... j’ai joui en même temps que lui.
Progressivement, il m’a appris certaines techniques pour le satisfaire, que ce soit pour le masturber ou le sucer. En retour, il savait bien me caresser pour me faire jouir.En parallèle, Mathilde et lui étaient très complices, outre que nous étions souvent à trois dans mon lit, ma copine se révélait de plus en plus perverse. Elle lui a dégoté des filles curieuses d’avoir une expérience avec un homme mûr, parfois pour une première fois ! D’où les photos dont tu m’as parlées, car tout le monde s’amusait avec l’appareil, souvent pour garder un souvenir personnel d’une expérience particulière.
Il y a eu plusieurs orgies à la maison en ton absence. J’ai progressivement pris conscience que la situation dérivait trop et je me suis violemment disputée avec ma copine. Nous avons rompu, entre autres choses, parce qu’en plus, elle me trompait avec une autre fille.
Papa n’avait plus que moi pour se satisfaire et il m’en demandait toujours plus, il me prenait parfois plusieurs fois par jour et... je le laissais faire. Par exemple. Les soirs, quand tu t’assoupissais dans le canapé, il m’emmenait dans une autre pièce pour que je le suce ou pour qu’il me trousse à toute vitesse contre un mur ou par terre.
À force, je m’en voulais à mort de faire ça ! Et surtout faire ça à tes dépends ! Je t’assure que c’est vrai !
Quand j’ai rencontré Gilles, j’ai pensé trouver un moyen de m’enfuir de la maison et également de m’absoudre de toutes ces perversités passées.Je voulais me caser et... tout oublier ! Me marier avec lui était devenu urgent, même si je ne l’aimais pas.»

Estimant le petit trou d’Agnès est suffisamment humide, je sors mes doigts de sa chatte et lui enfonce dans l’anus sans la prévenir. Elle pousse un petit cri de douleur et de surprise, mais me laisse la pénétrer. Puis, ma petite se redresse sur les genoux et se cambre pour mieux apprécier sa pénétration rectale.
Un peu perfide, je lui demande :— Ton père te prenait par là aussi ?— Souvent !— Tu aimais ça ?— Parfois !— Et maintenant ?— Oui, c’est bon, ... continue maman... Oui plus fort !
Je martyrise son cul en la pénétrant avec une violence qui m’étonne moi-même !De l’autre main entre ses jambes, je cherche et trouve son clitoris, afin de le frotter vigoureusement. Ce mauvais traitement semble la ravir et elle se tortille sur le lit tantôt pour échapper à mes doigts, tantôt pour revenir s’empaler d’elle-même en gémissant d’extase.Il ne lui faut pas bien longtemps pour que ses grognements se transforment en cris perçants, expression de son orgasme intense.
Une chose m’intrigue toutefois, c’est qu’elle ait éprouvé tant de plaisir par le cul, alors qu’elle en interdisait l’accès à Gilles, son mari. Je me décide de prêcher le faux pour savoir le vrai et lui demande, alors qu’elle reprend son souffle :
— Dis-moi ma chérie, à qui pensais-tu quand je t’enculais, était-ce à ton mari ou bien à ton père ?— Je... Je n’ai jamais voulu... avec Gilles— Donc, tu pensais à ton père ?— Oh maman, comme j’ai honte...!— Je crois que tu mérites une bonne correction !— Oh oui maman ! Punis-moi ! Je te l’ai dit : Je suis une salope !
Je n’ai pas le désir de me venger, mais plutôt d’accéder à son désir de châtiment. Peut-être a-t-elle besoin d’être punie par sa mère pour assurer sa rédemption ?
Je vais à mon sac et y prends une fine ceinture de cuir, que je plie en deux. Agnès à un regard implorant, j’y lis son grand désir d’être châtiée ! Ou bien, tout simplement, elle serait peut-être une masochiste ?
Quand, pour la première fois, la ceinture cingle sa fesse, ma fille émet un soupir. J’hésite à frapper à nouveau, mais elle m’encourage par un petit sourire complice, avant de me dire « Ne t’arrête pas maman, vas-y très fort et frappe moi partout ! »
Je me découvre avoir un esprit sadique en la punissant, car j’éprouve une sensation de satisfaction chaque fois que j’abats le cuir sur sa peau. J’évite de toucher le visage, mais tout son corps y passe.
Elle m’offre, d’elle-même, les parties à flageller, tout en se masturbant intensément à deux mains. Ce qu’elle semble préférer le plus, c’est que je lui frappe les seins et surtout les tétons. Après chaque cri de douleur, elle gémit encore plus d‘extase en redoublant sa caresse intime.
J’ai mal au bras à force de la battre et finis par délaisser la ceinture pour m’emparer de ses tétons que je pince fort, tout en les tournant. Elle se met à hurler des : « OH OUI ! » avant de succomber à un deuxième orgasme. Je ne lui laisse pas le temps de reprendre sa respiration et m’agenouille près d’elle pour l’embrasser, avec une fougue qui me dépasse tant je suis excitée d’avoir joué ce rôle de méchante.
Car oui, vraiment, j’ai pris un sacré plaisir à la faire souffrir. Non par vengeance de ses actes passés, mais pour avoir découvert un autre jeu coquin. Déjà, quand Gilles avait évoqué que sa mère flagellait son père, j’avais ressenti un curieux trouble, mais là je me suis révélée en étant dans la peau d’une maîtresse sadique.
Ma pauvre Agnès est dans un piteux état. Couverte de sueur, la peau de son corps est lardée de traces rouges qui s’entrecroisent. Ses larmes n’ont pas séché, ses cheveux sont collés par la transpiration. Néanmoins, elle arbore un sourire heureux en me regardant.
Je la prends alors dans mes bras pour la câliner maternellement avant de lui dire :— Tu es pardonnée pour tout, ma chérie !— Merci maman !— Que va dire Mélanie en te voyant dans cet état ?— Je... Je lui dirai tout !— Je ne t’ai pas trop fais mal ?— C’est totalement nouveau pour moi, mais je reconnais que j’ai adoré la souffrance !— Tu ne fais jamais ça avec Mélanie ?— Oh non ! Mais, j’espère que ça lui donnera des idées. Rit-elle— Tu est sacrément coquine ma chérie !— C’est de ta faute maman, je me sens comme libérée d’un seul coup ! J’ai envie de tout oser !— Ce n’est pas la première fois, ces derniers temps, que j’entends ce genre de propos...
Alors que je me penche pour l’embrasser, j’entends Gilles me héler probablement du salon.« Maman ? Où es-tu ? »
Il n’a pas du remarquer que son épouse est rentrée, pour oser m’appeler « Maman », comme il le fait dans nos jeux intimes.
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