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Mamie Geneviève

Chapitre 28

Inceste
En compagnie de Jacky, le voisin de ma fille, je gagne sa maison où m’attend son épouse Michelle. A mon arrivée, celle-ci m’enlace la taille, m’embrasse tendrement et me dit:
— Oh Geneviève, comme je suis heureuse de te revoir !— Moi aussi, Michelle, mais je suis terriblement pressée, ma fille doit me conduire à l’aéroport.— Ne t’en fais pas ma chérie, je ne vais pas te retenir plus qu’il n’en faut. Avant que tu ne partes, Jacky et moi avons décidé de t’offrir un cadeau.— C’est gentil, mais pourquoi ?— Il nous a été facile de voir grâce à l’Épice que ton aura est pure et que nous pouvons avoir une totale confiance en toi. Aussi, accepte ce présent ! Par contre, tu le mets dans ta valise et tu ne le déballeras qu’à ton arrivée chez toi.
Jacky me tend un paquet de la taille d’un gros livre, bien emballé avec un joli papier cadeau et orné d’un beau ruban doré. Je prends le paquet qui se trouve être bien plus léger qu’un livre, ce qui me surprend un peu quand je m’en saisis.
Je les remercie et les embrasse en les serrant très fort contre ma poitrine.Je suis touchée que ces gens, que je connais à peine, soient aussi prévenants à mon égard.Michelle ajoute :
— Encore une petite chose Geneviève ...— Oui ? Quoi ?— Suis-moi au salon.
Cette femme qui pourrait être ma fille me fascine et me subjugue. Je la suis sans rechigner tout en admirant sa silhouette si parfaite. Au salon, elle se saisit d’une petite fiole emplie d’Épice. A l’aide d’une cuillère minuscule elle en dispose sur le dos de sa main, entre le pouce et l’index et me montre comment priser le pollen bleuté.
Je reproduis ses gestes et l’effet est quasi instantané. Après une petite bouffée de chaleur, je me tourne vers elle et son visage m’apparaît auréolé d’un rose pâle. Elle est tout sourire de me voir stupéfaite et finit par pouffer de rire.
Si tous deux m’avaient parlé des vertus de l’Épice et de ses propriétés, je n’en reste pas moins surprise d’en constater les effets. Michelle m’a préparé un aide-mémoire pour identifier la signification de la couleur de l’aura et me résume le principe général : "Plus c’est clair, plus tu peux avoir confiance ! Plus c’est rouge, plus on te porte de l’intérêt".
En sus, elle m’offre la petite fiole bourrée du pollen aux reflets bleutés qu’elle vient d’utiliser.Je reste abasourdie qu’elle me fasse autant confiance et obtiens pour toute réponse un baiser enflammé qui ne me donne plus envie de repartir chez moi.
C’est elle qui me raisonne en me gratifiant d’une claque sur la fesse, ce qui m’émoustille, bien entendu, surtout quand ça vient d’elle....
Je rejoins vite ma fille, mets le cadeau dans ma valise, en résistant fortement à la tentation de l’ouvrir. Je constate que Gilles a pris le temps d’enfiler un short.Mon gendre, après avoir refermé le coffre de la voiture, me regarde tristement et son auréole orangée, parfois rosâtre m’indique que bien qu’il vienne de jouir sous les coups de queue de son voisin, il serait prêt à recommencer avec moi, et tout de suite. Mais nous n’avons plus le temps pour ça !Je lui fais un long câlin et lui fais promettre de rejoindre sa mère au plus tôt afin de l’honorer comme elle le mérite.
Mélanie, la jeune amante de ma fille, tient à m’accompagner jusqu’à l’aéroport et sa présence me ravit.
À l’aéroport, c’est avec beaucoup d’émotion que je quitte ma fille et sa compagne. Elles aussi sont peinées et des larmes coulent lors de nos adieux....
La foule dans le hall se révèle n’être qu’une myriade de chatoiements de couleurs diverses. Je finis par m’habituer à ces visions et m’en amuse même.Lors du passage au contrôle, je constate que je ne suis pas indifférent à un des préposés qui n’ose pas me regarder en face mais qui me passe au scanner de la tête au pied.
Dans l’avion, quasi vide, je me sens plus rassurée qu’à l’aller. Je me demande pourquoi mon siège est presque au fond de la cabine et que je doive être assise à côté de quelqu’un, alors qu’il y a plein de sièges inoccupés.
Mon voisin de siège est un jeune homme au visage couvert d’acné. Il sort le nez de son livre quand je m’installe et je remarque, à son aura, un intérêt fugace pour ma personne.
Agnès m’avait conseillé de mettre mon bagage en soute, aussi je n’ai que mon sac à main avec moi. Alors que j’écarte les jambes pour glisser mon sac sous le siège, mon genou touche le sien et j’éprouve l’envie de le laisser en contact plus de temps qu’il n’en faut. Pourquoi ? Je n’en sais rien ! Peut-être parce que je suis en manque de jeunes queues ?
Je tourne la tête vers le garçon en m’excusant et son regard plonge dans mon décolleté pour admirer la dentelle de mon soutien-gorge. Je lui souris tendrement alors que lui rougit de confusion.
Avant le décollage de l’appareil, je ne suis pas très fière tant j’ai la trouille, mais lui reste serein et fait semblant de lire car je remarque qu’il préfère jeter un œil sur mes genoux.
Sentant que je le regarde, il tourne la tête vers moi et me sourit timidement en rougissant une nouvelle fois du visage, mais aussi beaucoup de son aura.Ma parole, ce jeune en pince pour moi et beaucoup même !Ça tombe bien, car je me sens en chaleur !
Quand l’avion accélère et quitte le sol, ma main se crispe sur la sienne durant une ou deux secondes et il ne sait plus où se mettre ni quoi faire.
Je bafouille en tremblant de peur :— Excusez-moi Monsieur, je suis désolée d’avoir fait ça !— Ce... ce n’est pas grave— Je n’ai pas l’habitude de prendre l’avion, encore une fois, je vous prie de m’excuser.
Il retourne à la lecture de son livre, ou plutôt, recommence à me mater les genoux.Je me détends progressivement alors que l’avion a atteint son altitude de croisière et me penche pour attraper dans mon sac le magazine que j’ai acheté à l’aéroport. En me redressant, j’en profite pour pivoter légèrement mes jambes vers lui, tout en relevant ma jupe très discrètement. Mon genou n’est plus qu’à un centimètre du sien !
Son souffle s’accélère et son livre tressaute dans ses mains tremblantes. Il n’ose pas entrer en contact avec moi.
Je pose mon coude sur l’accoudoir qui nous sépare et mon bras touche le sien, je le perçois tressaillir.Le contact est discret au début, mais mon jeune homme s’enhardit en pressant davantage son bras contre le mien. J’entreprends alors d’effectuer d’imperceptibles rotations de mon bras sur le sien pour approuver son initiative.
Je pousse mon genou vers le sien et ajuste ma position sur mon siège afin de m’approcher de lui et faire en sorte que son coude puisse toucher mon sein.Car, en ce moment, j’ai envie de revivre l’instant où mon petit fils m’avait caressé le sein au cinéma (voir chapitre 1), ce qui avait été le début de ma nouvelle vie.
Mon voisin est essoufflé par l’émotion, mais apprécie beaucoup que je frotte mon galbe sur son bras. Il écarte un peu plus les jambes et je constate qu’il bande comme un âne. Nos jambes sont en contact appuyé désormais.
Si lui a délaissé son livre et l’a déposé en vrac depuis longtemps, moi je n’ai même pas ouvert ma revue. Le plus discrètement possible, je pose la main sur sa cuisse que je caresse du bout des doigts en convergeant progressivement vers son entrejambe et surtout ses couilles. Alors que nos bras se croisent, il se laisse couler sur son siège afin de pouvoir mieux poser la main sur ma cuisse droite.Il se lâche enfin !
Nous en sommes là quand approche l’hôtesse avec son chariot de rafraichissements. Il nous faut reprendre une posture correcte. Seuls nos pieds restent en contact alors que, l’un comme l’autre, nous reprenons notre souffle.
L’hôtesse lance un regard inquiet à mon jeune voisin au visage cramoisi, ce dernier la rassure en bafouillant qu’il a chaud. On peut le comprendre !Le garçon baisse nos tablettes et remonte l’accoudoir qui nous sépare avant de prendre la collation que nous a proposée l’hôtesse. Alors, que la jeune femme s’éloigne, nous échangeons un sourire complice et je souffle à l’oreille du garçon :"Tu peux encore me toucher si tu veux"
Ce jeune aux abords si timides se dévergonde rapidement, car il glisse sa main ostensiblement sur mon sein pour le palper... maladroitement. Très vite, il entreprend d’effleurer mon téton qui durcit sous ses doigts. Il s’y prend si bien que je sens ma culotte se mouiller, alors que le plaisir m’envahit progressivement.Je déboutonne mon chemisier et me tourne vers lui avec le regard suppliant.Ce qui me paraît étrange c’est que je ne prête plus attention à son visage boutonneux. Je le trouve beau comme un cœur ! Je ne le vois plus comme un gamin, mais comme un homme qui me désire !
Je veux sentir sa main sur la peau de mon sein. Nous nous tournons l’un vers l’autre, presque face à face, quand ses mains entrent en action. Une me palpe le sein alors que l’autre glisse sous ma jupe. J’écarte les jambes au mieux alors que ses doigts rencontrent la lisière de mon bas.
Je deviens folle d’excitation et cherche son baiser. Comme il hésite, j’entoure mon bras autour de sa nuque et l’attire à moi pour lui apprendre à embrasser une femme.
Il comprend vite comment utiliser sa langue et son émoi est à la hauteur du mien.Notre baiser brûlant dure longtemps avant que nous ne soyons gênés par notre position inconfortable, tous deux coincés de toute part....
L’hôtesse repasse et s’enquière de savoir si nous désirons autre chose. Sans nous consulter le jeune et moi buvons notre boisson d’un trait, rendons notre verre et relevons la tablette.La femme disparue, j’ouvre sa braguette, défait sa ceinture, baisse le pantalon sous les fesses. Une bite en fusion et palpitante m’apparaît.
Je me penche, pose la main sur ses couilles que je palpe gaillardement et me met à sucer avec frénésie ce membre tendu.Le garçon me pétrit chaque sein avec force, puis après quelques minutes, me tient par la tête pour éclater sa semence au fond de ma gorge. Je me régale de tout avaler et de lécher les dernières gouttes avant de l’aider à réajuster son pantalon.
J’essuie mes lèvres en le regardant avec tendresse, puis pivote sur mon siège et lui présente mon postérieur après avoir relevé ma jupe. Comme il reste indécis, j’attrape sa main et la pose entre mes fesses. Il hésite encore, mais je ne relâche pas sa main tant qu’elle ne s’active pas entre mes jambes.J’ai envie d’être doigtée et... c’est mon anus qu’il préfère.
Même s’il ne peut m’introduire que deux phalanges, ça me procure un plaisir fou. Surtout que, de l’autre main, il me pelote un sein.Ma position est très inconfortable, mais j’aime ce qu’il me fait. Ce puceau se révèle bien dégourdi pour me sodomiser de son doigt. Il le retire, le hume, le suce convenablement, écarte à nouveau ma culotte et, cette fois, l’enfonce totalement et inexorablement dans mon derrière.Putain ! Comme c’est bon !
Je ne sais pas si c’est l’Épice que j’ai absorbée qui se transmet à lui, mais il semble deviner ce que je souhaite à chaque instant.
Je lui souffle: "Oh oui mon chéri, baise-moi comme ça"
Je cherche à me coller à lui, à toucher encore sa bite, mais aussi son ventre, alors que lui s’applique à me défoncer le cul. Cette situation incongrue et interdite, cet endroit si exigu, me stimulent les sens et il me faut faire un immense effort pour ne pas hurler ma jouissance quand l’orgasme m’envahit.
Après avoir repris mon souffle, je dis:— Ouah ! Comme tu te débrouilles bien !— C’est... la première fois...— Alors tu promets d’être un excellent amant à l’avenir !— Merci, Madame. Dites ...— Oui ? Quoi ?— Je peux vous prendre en photo ?— Bien sûr ! Tout ce que tu veux, mais pas mon visage !
Le gamin, dont je ne connais toujours pas le nom, me prend en photo sous toutes les coutures, il faut dire que j’y mets du mien. Il reste contemplatif quand je soulève ma jupe et tire ma culotte pour lui exposer ma toison si fournie.J’ai même ouvert mon chemisier davantage pour extraire de mon soutien-gorge ma poitrine, que je lui expose alors qu’il me mitraille pour immortaliser ce bon moment.
Nous sommes contraints de reprendre une attitude convenable car on nous annonce que l’avion entame sa descente.
Il me montre les photos qu’il a prises et je ne lui en fais effacer qu’une seule où on pourrait deviner mon visage.Juste avant d’avoir à remettre la ceinture de sécurité, je lui dis:— Je vais te faire un cadeau supplémentaire pour que tu penses à moi quand tu te branleras.— Quoi, Madame ?— Je vais te donner ma culotte ! D’accord ?— Oh ... Oh oui, Madame.
Je crois que c’est le plus beau cadeau de sa vie quand je lui tends l’étoffe trempée de cyprine, il y reste même quelques poils pubiens emprisonnés dans la dentelle.Il me surprend quand il se penche sur moi... pour m’embrasser avec toute la fougue de sa jeunesse....
L’hôtesse se dirige vers nous pour vérifier si nous sommes correctement attachés pour l’atterrissage et reste surprise de me voir cramponner affectueusement la main de ce jeune homme avec qui j’échange de doux regards.
Quand, après l’atterrissage, mon voisin me demande mes coordonnées pour me revoir, je lui fais comprendre que notre aventure restera sans lendemain, ce qui le fait se renfrogner et même bouder. Je me dis toutefois en moi-même que l’avion est fait pour moi ! Tant à l’aller qu’au retour j’ai pu faire des rencontres bien agréables.
A la sortie de l’appareil, et même par la suite, nous partons chacun de notre coté sans porter de l’attention à l’autre.Sans que je m’en sois bien rendu compte les effets de l’Épice se sont dissipés. L’aura des gens est devenue diffuse, presque invisible.
Après avoir récupéré mon bagage, je me dirige vers la sortie et aperçois ma fille ainée, Virginie. Ce qui me surprend c’est de la voir avec une belle femme blonde que je reconnais:C’est Sabine la maman de Bastien, mais... que font-elles ensemble ?
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