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Mamie Josianne

Chapitre 1

Erotique
Mamie Josiane
Je crois que ma belle-mère m’aimait bien. Il faut dire que j’étais un gendre plutôt gentil et discret.Et puis nous ne privions jamais mes beaux-parents de leurs petits-enfants. Ils étaient trop gâtés bien sûr : les après-midis vélo-dans-les-flaques précédaient les goûters crêpes-confitures et les soirées bains-moussant-pyjama.Je crois qu’ils représentaient l’image parfaite des grands-parents que j’aurais aimé avoir.
Toujours souriante, "Mamie Jojo", comme l’appelait parfois mes enfants pour la taquiner, avait 58 ans et était plutôt bien conservée pour son âge. Elle avait notamment une opulente poitrine sur laquelle mes yeux finissaient immanquablement par tomber. Elle avait par ailleurs un "je-ne-sais-quoi" d’un peu provocant pour son âge. Étaient-ce ses ongles vernis de couleurs vives ? Ou le sourire généreux ? Ou peut-être encore son élocution assez particulière et un peu trainante ? En tout cas, j’avais parfois l’impression apaisante et un peu hypnotique d’être enveloppée par ses mots.
Ce weekend-là, "Papi René et Mamie Josiane" nous avait invités dans leur grande maison de campagne pour un week-end de détente et nous en étions ravis. Je nous y voyais déjà : Papi et Mamie s’occuperaient des enfants. Et ma femme et moi resterions en mode détente au bord de la piscine
Arrivés sur place, Papi René proposa à ses petits-enfants de faire une sortie au supermarché du village afin de remplir les placards de la maison et ma femme décida de les accompagner. Je restais donc seul avec Mamie Josiane.
Je décidai donc de me reposer au bord de la piscine. Mamie Josiane vint sur le transat à côté du mien et me demanda si je n’avais besoin de rien.
— Non merci Josiane, lui répondis-je. C’est très aimable, je n’ai besoin de rien. À part peut-être une bonne sieste, ah ah.
Elle est vraiment gentille cette Josiane, pensai-je, toujours aux petits soins pour son gendre et pour ses petits-enfants, bref une mamie en or.
— N’hésite pas en tout cas, si tu as besoin de quoi que ce soit. Quoique ce soit, insista-t-elle une deuxième fois en me regardant.
Puis elle s’allongea sur le transat à côté du mien et se plongea dans un roman.Je pensais alors : je rêve ou Mamie Josiane me drague. J’avais surement mal interprété ses propos et je me faisais des idées : elle voulait simplement être sympathique. Je m’en voulu presque immédiatement d’avoir l’esprit si mal placé.
Je me permis néanmoins de la regarder à la dérobée : elle était plongée dans son roman.
Ses gros seins généreux moulés dans un corsage léger montaient et descendaient régulièrement au rythme de sa respiration paisible.
Comme elle avait croisé les jambes assez haut, sa jupe longue était remontée vers le haut de ses cuisses. Elle était vraiment bien conservée la mamie Jojo pour son âge pensai-je.Certes les cuisses étaient un peu larges mais le tout était assez joli à voir.Je me demandai alors si ce vieux chanceux de Papi René "prenait" de temps en temps encore la Josiane.
Bref, je détournai le regard, un peu gêné par mes propres pensées que je tentais d’évacuer.Je m’éclipsai quelques minutes puis revins me poser sur mon son transat.
J’en avais profité pour faire ma petite pause d’après repas.Ma femme se moquait de cette pause quotidienne à heure fixe : "tu es réglé comme du papier à musique" me disait-elle.De retour au bord de la piscine, je constatai que Mamie Josiane ne semblait pas avoir bougé et semblait pénétrée par sa lecture. Le repas avait été copieux comme d’habitude - Papi était un très bon cuisinier - et la semaine avait été difficile bref j’avais vraiment besoin de faire un somme. Je me laissai bercer par le chant des oiseaux, le vent dans les grands pins et le bourdonnement irrégulier des abeilles butinant au loin. Une douce torpeur m’envahit. Mais alors que mes yeux commençaient à se fermer, je fus surpris par la voix de Josiane :
— Avez-vous fait un beau caca ?
J’ouvris les yeux : elle s’était tournée vers moi, sourire aux lèvres, détendue comme à son habitude mais elle avait lâché son livre. J’étais un peu interloqué par la question, je marquais une courte pause, et je lui répondis décontenancé :
— Hein, heu Pardon Josiane, vous m’avez parlé ?— Je vous demande si vous avez fait un beau caca. Êtes-vous plus détendu maintenant ? me demanda-t-elle à nouveau.
Le naturel avec lequel elle me demandait cela qui me laissait pantois. Est-ce que ma belle-mère devenait gâteuse ? me demandai-je.Je me grattai la tête, raclai le fond de ma gorge et répondis avec un faux air enjoué et dans un petit rire forcé :
— Ah ah. Oui ça va merci Josiane, je suis détendu, ah ah.
Ce n’était peut-être après tout qu’un trait d’humour, une blague ratée, un peu graveleuse, et je ne voulais pas la vexer.
— Cela vous soulage, n’est-ce pas ? reprit-elle.
J’étais consterné par ses propos : ce n’était pas elle. Jamais Josiane n’oserait s’exprimer comme cela : c’était tellement vulgaire. Non je ne la reconnaissais pas. Bloqué sur son propos outrancier, je ne trouvai rien à répondre, Mamie Jojo continua donc de plus belle :
— D’ailleurs je remarque que votre caca est très odorant.
Je pense à ce moment avoir cillé des paupières quatre fois, son propos était tellement décalé et inconvenant, me prenait elle pour un enfant de quatre ans ?
— Pardon ? lui répondis-je comme si je n’avais pas entendu.
Mais je pensais : elle commence à dérailler sérieusement la vieille.
— Vous n’entendez déjà plus rien à votre âge ? Il faut vous laver les oreilles mon gendre, répondit elle dans un sourire. Je disais que le parfum de votre caca est très odorant.
Je blêmis, la vulgarité de son propos me choquait mais la honte était encore plus forte.
— Ah je vous prie de m’excusez, hum hum... je n’ai peut-être pas tiré la chasse ... je suis désolé, j’y vais.— Si si, ne vous inquiétez pas, j’ai entendu la chasse d’eau et puis cette odeur ne me dérange pas. En fait, vous gardez cela entre nous n’est-ce pas. Mais personnellement j’aime cette odeur de fesse.
Je me figeais. Je ne trouvais à nouveau rien à lui répondre. Était-elle vraiment tordue ou tout simplement folle ? Et elle continua sur le même ton :
— En revanche je n’ai pas entendu le lavabo. Vous ne vous êtes donc pas lavé les fesses avec un gant de toilette et encore moins les mains.
Il n’y avait pas de reproche dans son expression, c’était une constatation. J’étais pourtant pétrifié par son propos que par la honte que j’éprouvais, le rouge me monta aux joues. Mince, c’était vrai que je ne m’étais pas lavé les mains, moi qui étais d’habitude toujours si propre, que m’était-il arrivé ? Je voyais maintenant où elle voulait en venir avec ces digressions scabreuses. Car c’était l’hygiène avant tout dans cette maison ! Mais bien sûr. Mamie Josiane était très à cheval sur la propreté. C’était un reproche cinglant, évidemment.
Je bafouillais comme un enfant pris en faute :
— Hum, oui heu pardon Josiane, d’habitude je... Je me lave les mains.
Une pointe de colère me gagnait aussi alors que je m’empêtrais dans mes explications : écoutait-elle aux portes ?C’était tout de même invraisemblable ! Je décidai donc de couper court à cette discussion :— Bon écoutez Josiane, cette discussion me gêne. Je vais donc me laver les mains et ensuite, sans vouloir vous vexer, j’irai me reposer dans ma chambre.
Alors que je me levais pour m’enfuir de situation gênante, elle me retint par le bras.
— Attendez, si vous vous êtes essuyé seulement avec du papier, vous devez encore avoir les fesses bien sales, me dit-elle avec son accent trainant.
Elle est bonne à enfermer ou elle est en train de faire un AVC, pensai-je.
Et cette discussion commençait vraiment à m’agacer.
— Écoutez non, ça va merci, je sais m’essuyer, je n’ai pas quatre ans ; et puis franchement Josiane je trouve que cette discussion inconvenante. Vous vous sentez bien ?— Ne vous énervez pas, restez assis. S’il vous plaît, insista-t-elle tout en serrant mon bras un peu plus fort.
Et avant que j’eusse le temps de protester à nouveau elle continua ;
— Je vais vous expliquer. Vous voyez, à chacun ses petites perversions. Ma petite marotte à moi c’est l’odeur de fesses. C’est comme ça. C’est mon petit pêché mignon, vous comprenez Jean-Michel ? Et que comme je suppose que vous avez les fesses encore bien sales, eh bien j’aimerais mettre mon nez et ma langue à l’endroit "où ça sent fort". Pour bien vous nettoyer à fond, vous comprenez Jean-Michel ? Est-ce que cela vous plairait ?
Son propos était surréaliste et gênant... J’avais du mal croire ce que Mamie Josiane me proposait. Et en même temps elle venait d’allumer une petite lumière lubrique dans mon cerveau : une image salace se forma dans mon imagination. Format bande dessinée japonaise, image en noir et blanc : je me voyais penché sur le lavabo, fesses à l’air, short sur mes chevilles, bite dressée contre la faïence blanche, gémissant de plaisir. Mamie Josiane, sa robe remontée sur ses hanches, à genoux derrière moi, passant sa grande langue sur le sillon de mes fesses, sourire aux lèvres.
Je tentai de chasser cette idée et j’espérais qu’elle ne put lire dans mes pensées ; je m’apprêtais donc à me dégager de son étreinte et je compilais en même temps une réponse entre comprise entre : Je vous prie de bien vouloir me laisser partir et Lâchez moi vieille salope, mais je n’eus pas le temps :
— Allez, quoi, Jean-Michel, je suis sûre que cela vous plairait d’avoir ma langue fourrée dans votre cul, ajouta-t-elle.
Elle me fixait de son regard franc avec un sourire naturel comme si elle venait de me demander Vous reprendrez bien du saumon ?
À mon corps défendant, une grosse érection déforma mon short, ma queue se mit au garde-à-vous. C’était forcément visible et j’en étais honteux
Il faut vous dire qu’à cette époque, et bien que j’eusse quelques conquêtes dans ma vie, aucune ne m’avait encore léché "l’endroit où ça sent fort" et cette perspective, qui était aussi un fantasme, me mis dans un état second. Par ailleurs l’une de mes premières copines, vingt ans auparavant, m’enfonçait régulièrement un doigt dans l’anus en me suçant, j’en gardais un souvenir ému. Ma femme n’avait jamais tenté cette approche et je n’avais jamais osé lui demander. Je crois qu’au fond de moi (c’est le cas de le dire), cela me manquait
Mais comme mon cortex cérébral fonctionnait encore un peu, je commençai donc avec peine à éluder sa proposition. Je dis en me levant :
— Josiane... je crois... je pense que cette situation n’est pas très norm…
Mais avant même que j’eus le temps de finir, Mamie Josiane, toujours assise, avait posé sa main sur la bosse formée sur mon short.
— Chuut, fit elle pour me faire taire, un index posé sur ses lèvres.
Elle posa une main sur mon short et caressa mon sexe en érection à travers mon short. Elle descendait sa main posée à plat sur ma braguette : aussi bas que possible enveloppant mes couilles au travers du short puis remontait presque sur mon ventre, la paume de sa main posée au niveau de mon gland et ses longs doigts sous mon t-shirt. Je sentis immédiatement une vague de désir monter en moi.— Chuuuut, Mamie Josiane va bien s’occuper de vous, me dit-elle. Je vais bien vous nettoyer les fesses.
D’une main habile, tout en me regardant, elle passa sa main de mon sexe au bouton de mon short qu’elle défit en une demie seconde, sans que j’eus le temps de protester. Une pensée fugace me traversa l’esprit : comment avait-elle réussi à défaire le bouton serré de mon short aussi rapidement ? Je fus très vite rattrapé par la subtile pression de sa main sur ma verge dure. Je crois que j’émis alors un son bizarre entre un "Non", un "Oui" et un "Arggh", quelque chose comme "nnneuurraa rooo" … Sa main était déjà entrée par le haut de mon short et caressait désormais ma queue dressée au travers du tissu fin du caleçon. De haut en bas, puis de bas en haut, elle continuait le même mouvement lent et délicieux. Mon short tomba sur mes chevilles et je me retrouvai donc en caleçon devant mamie Josiane, ce qui accentua encore plus mon malaise et mon désir.
Elle me souriait et je pouvais voir aussi son énorme poitrine gonflée sous sa robe qui se balançait au rythme de sa main. Je n’arrivais pas détacher mes yeux de ses énormes mamelons. Il me sembla même ces gros tétons commençaient aussi à pointer dans son soutien-gorge.Je repris un peu mes esprits et l’implorai mollement d’arrêter :
— Attendez Josiane, on ne peut pas faire ça.
Mais mon souffle rauque et mon excitation visible lui intimait le contraire.
— Chuuuut, je vais vous montrer comment on se lave les fesses chez Mamie.— On ne peut pas faire cela, attendez, gémis-je. Et s’ils rentrent maintenant ?— Ne vous inquiétiez pas, Jean-Michel, ils viennent de partir, nous avons tout notre temps… Chuuuut, ne pensez à rien, laissez-vous faire, laissez faire Mamie. Je m’occupe de vous. Mamie aime bien ça l’odeur de fesses sales.
Sa main continuait à aller et venir sur ma tige dressée. Elle libera ma queue dure de mon caleçon. Elle était dressée et turgescente à quelques centimètres de la bouche de mamie Jojo.J’étais tellement excité que mon gland était déjà lubrifié de pré-sperme, qu’elle étala avec douceur dans mouvement concentrique autour de mon gland. Elle me masturbait désormais dans un glissement soyeux. Ses mains allaient et venait autour de mon gland puis descendait le long de ma tige.
Je pense que j’aurais éjaculé à ce moment si elle ne s’était pas soudain arrêtée :
— Stop, il n’est pas encore temps de juter mon gendre. Mettez-vous à quatre pattes sur le transat. Voyons, pas de simagrées, j’ai déjà vu des fesses sales vous savez, ajouta-t-elle me voyant hésiter.
J’hésitai un moment, gêné, mais l’excitation était trop forte. Je m’exécutai et me retrouvai à genoux sur le transat, short et caleçon à mes chevilles, fesses en l’air, rouge pivoine, ma bite dressée en érection vers la serviette, le cœur battant, j’attendais le cadeau de Mamie Josiane. Celle-ci était passée derrière moi si bien que je ne voyais plus ce qu’elle faisait. Il s’écoula quelques secondes avant que je sente une main à nouveau sa main qui enveloppa mon gland dont la pointe suintait déjà. Je tentais de garder les fesses le plus fermées possible mais sa deuxième main écarta doucement mes fesses.
— Détendez-vous mon gendre, écartez un peu les fesses que je puisse voir votre bouton.
Je m’exécutais du mieux que je pus et commençai à détendre mes muscles fessiers.
— Voilà qui est mieux, me dit-elle en passant ses longs doigts de haut en bas sur mon pli fessier.
Je sentis alors son souffle chaud sur mon anus. Elle me humait, elle sentait mon anus, elle prit deux ou trois longues et lentes inspirations.
— Oh oui, dit-elle avec un petit rire, oh oui, vous avez les fesses bien sales, ce n’est pas bien.
Et elle me mordilla assez fort une fesse comme pour me punir. Je ne pus réprimer un mouvement vers l’avant plus par la surprise que par la douleur ce qui la fit partir d’un petit rire satisfait.
— Ecarte bien les jambes, mon poussin. Et positionne tes genoux au bord du transat, me dit-elle.
Elle m’aidait dans ce mouvement en écartant et me caressant doucement le haut de mes cuisses de ses deux mains. Je m’exécutai puis quelques secondes de plus s’écoulèrent : je m’attendais alors à sentir sa langue dans le creux de mes fesses. Mais au lieu de cela, une masse douce, ronde et chaude se posa entre mes fesses. Cette salope de Mamie Josiane avait défait son gilet et son soutien-gorge et se frottait maintenant son gros mamelon sur mon cul en le tenant à deux mains. Elle le frotta dans un long mouvement de va-et-vient sur le sillon de mes fesses puis son téton dur s’attarda longuement à l’entrée de mon petit trou.Tout en continuant le mouvement d’une seule main, elle se ressaisit de ma verge dure qu’elle trayait avec une lenteur exaspérante et en même temps tellement suave.
Mon souffle était court et je crois que j’aurais pu à nouveau éjaculer ce moment.
Heureusement elle arrêta son mouvement mais sa main remonta vers mon entre-jambe puis soupesa longuement mes testicules et me les massant.
— Oh oh, mais je vois aussi que tu as les couilles bien pleines. Mamie va aussi s’occuper de ça, ne t’inquiète pas, une Mamie c’est là pour ça.
Je ne trouvais rien à répondre, les mots ne sortaient pas de ma bouche, seulement un "Mmm ohh ahh".
Puis plus rien ne se passa à nouveau pendant quelques secondes : sa main avait disparu de mes testicules, plus de téton sur mon anus. Mais que faisait-elle ?? Je pense qu’elle comprit que j’étais au bord de l’explosion et voulait sans doute faire durer mon plaisir.
Je sentis alors sa main se poser sur ma cheville puis sa langue puis bientôt toute sa bouche léchait mon pied droit. Mon excitation retomba un peu. Mais rapidement une nouvelle sensation m’envahit : elle gobait mon gros orteil, léchait chacun de mes doigts de pied à grand renfort de salive, sa langue tournait autour de chacun de mes doigts de pied, langoureusement, lentement. J’étais à nouveau gêné car ce n’était pas une partie de l’anatomie que trouvais particulièrement sexy mais j’étais en même temps trés grisé par ce nouveau stimulus. Elle activait sa langue charnue, chaude avec tant de douceur et de volupté, c’était divin. Mes orteils puis bientôt tout mon pied entrait et sortait lentement de sa bouche suave.
Elle sortit mon pied de sa bouche et lécha alors tout mon pied en remontant jusqu’à ma cheville. Sa langue s’activa alors longuement sur ma malléole, tournant autour comme s’il s’agissait d’un clitoris. Je couinais "Ahhhh", personne ne m’avait encore léché à cet endroit-ci. Puis elle remonta rapidement sur mes mollets, attarda sa langue dans le creux de mon genou puis continua à monter jusqu’à ce que sa main gauche puisse à nouveau caresser mes fesses.
Çaa y est, me dis-je, c’est la grande remontée, dans quelques secondes, j’ai sa langue dans mon cul !
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