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Manille

Chapitre 1

Divers
Ambassade de Manille Ceci est un histoire vraie – je ne changerai que le nom de la jeune fille que j’ai rencontré lors du renouvellement de mon passeport è l’ambassade de Manille au Philippines en 2001.  J’avais alors 37 ans au moment ou se sont déroulés ces évènements.J’étais en voyage d’affaires pour une société de construction et je supervisais le chantier d’un bâtiment pour le compte d’une société mixte franco-canadienne.Ce voyage qui ne devait durer que 2 mois s’éternisa et j’étais là-bas depuis plus de 5 mois et ne prévoyais pas rentrer avant un autre 3 mois. Mon passeport venant à échéance je dû me rendre è l’ambassade pour en faire le renouvellement. Il y avait foule ce jours là et les employés philippins ne sont guère rapides ni efficaces – comme chez nous quoi!Je suis sorti quelques fois de l’ambassade histoire de me délier les jambes et fumer un clope. Il faisait très chaud comme à l’accoutumer. Et j’en profitais pour aller également discuter avec des compatriotes qui eux aussi attendaient pour une foule de raisons, soit pour un passeport volé, ou alors des papiers pour le visas de leurs petites amies qu’ilS désiraient ramener au pays.  Je fut abordé par une jeune fille dans la jeune vingtaine. Mignonne à souhait, un corps que je devinais splendidecheveux longs bruns foncés, toute menue dans les 1.55 m et pas plus de 45 kilos. Elle portait une petite robe de circonstance vu la chaleur qui régnait. Nous fîmes connaissances et elle m’apprit qu’elle s’était fait voler son sac qui contenant son passeport, argent, cartes de crédit, etc. Elle me demanda directement si je pouvais l’aider à payer son passeport et lui prêter de la tune pour tenir jusqu’à son vol prévu pour la semaine suivante. Elle s’était fait faxer toute la paperasse nécessaire mais elle devait payer plus de 100 euros pour le passeport et avait besoin d’un peu de tunes pour la semaine à venir.  J’ai beaucoup voyagé et ça sentait l’arnaque à plein nez. Bien sûr elle promettait de me rembourser une fois rentrée au pays. Pendant qu’elle m’expliquait sa situation, je la matais sans équivoque mon regard se baladant tentant de plonger dans son corsage, ses cuisses, ses belles jambes jusqu’au pieds qui chaussaient de jolis talons hauts. Elle était bien bandante. Je refusais net, lui expliquant que rien ne pourrait me garantir que ce soit pas une arnaque et que je reverrais un jour la couleur de ma tune. Et puis si quelqu’un au pays lui a fait parvenir ses papiers alors pourquoi cette même personne ne pouvait pas lui envoyer du fric? Aux Philippines, tenir une semaine est parfaitement faisable avec moins de 100 euros à condition de loger dans une famille et ne bouffer que de la bouffe locale. Je retournais à l’intérieur reprendre mon attente pour ce foutu passeport. Il était bientôt midi et à cette heure ils ferment les guichets pour la pause et leur service ne reprend qu’à 13:30. Putain je devrai y passer la journée. Je sorti donc une nouvelle fois de l’ambassade pour me trouver un resto convenable avec une bouffe européenne car la bouffe là-bas est vraiment dégueulasse.  Je croisai à nouveau cette jeune fille qui pleurnichait seule sur un banc. J’allais la voir pour l’inviter à déjeuner. Ses yeux étaient tout rouges et elle bondit en me sautant au cou me remerciant, me promettant de tout me rembourser jusqu’au moindre centime. J’en profitai pour la prendre par la taille.– pas la peine, j’ai un compte de dépense et je ne me prive pas pour l’utiliser. Au resto elle m’expliqua que c’est son ex-petit ami qui a fait toutes les démarches pour obtenir les certificats afin de renouveler son passeport. Mais celui-ci a refusé de lui allonger du fric car elle l’avait quitté sans explications – et bla-bla.  -Et tes parents alors?
-J’ai quitté la maison à 15 ans et ils ne me l’ont jamais pardonnés. Je n’ai plus contact, ils refusent de me parler.  -Et si je les appelais pour toi?-c’est inutile!-Écoutes, tu es dans de beaux draps, alors j’insiste je vais leurs passer un coup de fil et je verrai bien ce qu’ils diront.Elle finit par accepter.-Je les appelle de suite – donnes le numéro!·         Il est pas trop tard là-bas alors je compose le numéro et leur explique que je suis avec leur fille à Manille et que celle-ci a perdu son passeport et tout son argent....·         -Allo? Allo?·         Ta mère a raccroché. Quelle garce!·         Je vous l’avais dit, ils ne veulent plus me voir, plus me parler.·         J’appelle ton ex petit ami maintenant – le numéro?-Allo, je me nomme Didier et je suis à Manille avec ton ex petite amie Guylaine....Il m’interrompt pour me dire qu’il enverra pas un euro à cette pute que se tapait tous ses potes, qui se faisait mettre par n’importe quel mec qui lui faisait fumer un peu d’herbe. Inutile de rappeler, clac! Tient, ça me donne des idées! Elle est donc un peu ou très salope. Ça m’intéresse de voir de quoi il en retourne. Guylaine la vilaine …. De folles idées me traversères l’esprit. Pas besoin de dire qu’ils s’agissait de pensées tout à fait lubriques. -Ton ex petit copain ne t’a plus dans son coeur!Elle éclata en sanglots et me suppliait de l’aider.-Arrête! Je vais t’avancer de l’argent pour ton passeport mais je te propose de te loger à mon hôtel; j’ai une chambre immense et tu n’auras pas à dormir sous les ponts.Elle parue ravie, ses yeux s’émmerveillères, et elle ne cessait de me remercier et qu’elle me rembourserait dès son retour, bla-bla. J’avais bien d’autres idées en tête que de récupérer 100 euros et des poussières et j’étais prêt à parier qu’avant qu’elle ne reprenne son vol, je serais largement remboursés pour services rendus. Il me restait quelques doutes quant à une éventuelle arnaque. L’arnaque du passeport perdu est d’ailleurs un classique. Mes doutes se dissipères une fois a l’intérieur de l’ambassade lorsqu’elle fut reçue par le commis qui lui demanda si elle avait maintenant de quoi payer.Je lui dit alors que je l’attendrai à l’extérieur. Elle parue troublée et me regarda d’un air interrogateur.-T’inquiètes – je serai là.J’attendais depuis plus d’une heure lorsque je l’aperçus se dirigeant vers moi toujours en pleurs.Elle s’assied et éclata en sanglots en me prenant par le cou encore une fois. Je ne comprenais rien à ce qu’elle me racontait. J’avais une main sur son épaule et l’autre qui caressait sa hanche puis ses fesses. Ainsi, après quelques paroles rassurantes de ma part je compris que son passeport ne serait pas délivré avant un minimum de 20 jours, peut-être plus. -Cesses de suite de te tracasser; les Philippines c’est pas l’enfer quand même!-Mais, mais j’aurai des problèmes de visas et...-Je t’arrangerai tout ça; les extensions de visas ça me connais!-Mais je vais te causer des tas de soucis alors?-t’en fais pas, je crois que nous aurons ensembles bien plus de plaisirs que de soucis!Elle me regarda, me fixa, je devinais qu’elle savait exactement ou je voulais en venir. Elle souriait et je la serraais contre-moi.-Taxiii!Je hélais un taxis pour nous conduire à l’hôtel. Elle n’avait que pour bagage qu’un sac à dos qui ne devait pas contenir grand chose. -Tu as que ça ? Ce sac?-Ouais, je me suis fait voler ma valise, un sac de caméra qui contenant tous mes papiers. J’ai pratiquement que des sous-vêtements dans ce sac, et un bikini!-On tâchera de te vêtir convenablement car pour les 3 semaines à venir je te promet qu’on va faire la fête!Son regard s’illumina, elle souriait à pleines dents en me serrant très fort dans le taxi qui nous conduisait à mon hôtel.-Je vais te sucer dès que nous serons dans ta chambre.-pourquoi attendre? Je sorti ma queue qui avait déjà une bonne taille et elle le prit dans sa main en commençant à me masturber doucement. Elle se pencha et le prit en bouche et commença la succion.-Plus loin, entres-le profond. Elle s’efforça de la prendre entièrement mais n’y arrivait pas tout à fait.Je la laissa faire un moment puis je lui retint la tête en m’enfonça sauvagement d’un coup de rein violent. Cela déclencha mon plaisir et je sentis mes jets lui remplir la bouche de mon foutre. Elle avala tout et la garda longuement en bouche. Le chauffeur m’obserservait et souriait dans le rétroviseur.
Arrivé à la chambre, elle s’étonna de la grandeur de mon studio.-J’ai de l’herbe, t’en veux? Je la senti hésitante. Elle déposa son sac. -Lucien, enfin mon ex petit ami t’a dit pour ses potes et mon penchant pour l’herbe?-Ouais il m’a dit!-Tu t’attends à ce que je ois toute à toi ?-Écoutes jeune fille, je peux me faire la plupart des petites d’ici pour 10 euros et parfois même moins.Elle voulut répliquer, je l’interrompis!-Allumes moi ça en lui tendant un joint.Elle prit le joint qu’elle passa sous son nez pour le sentir. Je lui tendit un briquet.Elle l’alluma, prit une bouffée, puis une autre. Et me le tendit à mon tour.Je ne pris qu’une légère bouffée et lui repassa aussitôt. On verra bien si c’est une vraie accroc ou pas.Cette herbe vous monte à la tête assez rapidement et pour certaines femmes, il semblerait que ce soit un excellent aphrodisiaque. Pendant que je lui présentais une bière bien fraîche sortie du frigo, elle semblait se régaler de ce joint.Elle prit la bière et s’assied sur le fauteuil qui faisait face à la fenêtre. J’ouvris alors les rideaux, puis fit glisser la porte du balcon. Je disposais d’une belle vue sur la ville aux alentours.Mon hôtel est situé à Das Marinas à environ 30 kilomètres du centre-ville. Il y a une vue au loin sur l’océan mais comme il y a toujours un peu de smog on voit que dalle sauf au matin s’il ne fait pas trop chaud.Je suis sur le balcon a siroter la bière et en essayant de bien jauger la situation.Devrais-je m’encombrer de cette nana ou alors reprendre mes folles nuits avec une Pinay rencontrée dans un détour, au centre commercial ou carrément une que j’aborde directement dans la rue. Les refus sont plutôt rares. Les Pinay ne rêvent que de rencontrer un étranger qui les aimera pour toujours. Je ne vais que rarement aux putes dans ce pays sauf lorsqu’on organise une virée sur Angeles avec les collègues du chantier. Je m’y amuse bien mais je ne prend jamais une pute de bar. Je préfère les filles de resto, celles qui travaillent à la banque, enfin celles qui font un travail honnête. Au moins celles-là on sait si elles sont majeures; dans les bars c’est pas toujours le cas. Mais ça c’est une autre histoire. Elle me rejoint sur la terrasse, me prend par le bras, y colle sa figure. Enfin elle me prend au cou puis approche ses lèvres. Nos lèvres se rejoignent puis nos langues se lient. C’est trop doux je l’enlace, elle me souffle à l’oreille : je suis toute à toi – fais de moi ce que tu veux. C’est ici que ça devient intéressant. Je lui met direct la main sur sa cuisse, elle est très douce et je remonte rapidement vers sa chatte. Sa culotte est humide à souhait. Je pousse le tissus pour bien sentir ses lèvres très enflées. Je bande très fort.Elle mouille comme une chienne. Elle est complètement trempée. J’insère un doigt direct je me retire puis en insère un autre. Elle a le souffle coupée, ses genoux se plient et elle se mets a me sortir la queue elle prend mon membre à 2 mains pour commencer à me branler et se l’enfonce dans sa bouche. Toi ma salope, tu vas connaître des plaisirs délirants.-C’est vrai que je peux te faire ce que je désire?-elle me regarde, ouais! Tout ce que tu veux je peux te le faire.Je lui prends les cheveux et j’enfonce ma bite qui fait plus de 20 cm. Elle s’étouffe, je sens qu elle a un haut le coeur. Je lui enfonce à nouveau je lui tire les cheveux sans ménagement; je sais qu’elle a malmais elle continues à faire du mieux qu’elle peux. Je sors ma queue de sa bouche, je lui maintiens toujours la tête en me penchant vers son visage. Sa salive ne se contient pas dans sa bouche, des filets pendouillent de ses lèvres, de son menton. -Es-tu certaine que je peux te faire tout ce que je veux?-Ouais absolument tout. Je veux être baisée de toutes les façons qu’il te plaira. Cela faisait 3 jours que personne ne m’avait donné la moindre attention. Tous pensaient que je voulais les arnaquer.Lorsque tu m’as offert le restaurant, je n’avais pas mangé depuis 2 jours. J’étais si heureuse! Et puis tu es si beau, je mouille depuis ce repas en espérant que tu me prennes, en espérant que tu me sauves, que tu me baises. Je suis toute à toi je ne te refuserai absolument rien. Je veux être ta pute. Elle ouvre sa bouche et je m’y enfonce complètement, je pousse, j’abuse de ses capacités. D’un coup je me retire complètement pour qu’elle reprenne son souffle. -Et bien soit sale pute, je me penche pour lui cracher au visage. A partir de ce moment, je suis ton maître. Allez lèche tout ce que je t’envoie. Voyons ce que tu peux faire. Je vois sa langue sortir de sa bouche pour atteindre ce que je viens de lui foutre à la gueule. Je recrache à nouveau. Puis j’enfonce un grand coup sans aucune retenue. Elle s’étouffe, je me retire lui laisse quelques secondes puis lui remets ça. Il me vient des pensées, je veux la dominer, comme je ne l’ai jamais fait. Je vais me défouler, faire tout ce qui me passe par la tête. Quelle aubaine! Quand bien même ne serais-ce que ce soir ce sera 100 euros bien dépensés.  Durant une quinzaine de minutes j’essaie de prendre plus de confiance cherchant à dépasser des limites.Je lui demande alors tu es ma pute, ma chienne?-Ouais – tout ce que tu veux.-Appelles-moi maitre. Je continue à lui enfoncer ma grosse bite dans le fond de sa gorge. C’est vraiment  juteux. Et je pousse à fond.·         oui maitre!·         Alors continues comme ça sale chienne. Je continue de pousser, lui tire la tête avec ses cheveux.Je la laisse reprendre son souffle. Elle veut s’essuyer le visage dégoulinant; je lui interdit.-Non et je lui fous une baffe bien sentie. Puis lui crache à nouveau au visage.Je lui remets ça encore et encore dans le fond de gorge. Elle devient parfois toute molle et ne se tient que grâce à mes mains qui empoignent ses cheveux. J’ai rarement eu toute cette énergie. Je suis totalement en extase, au bord de la jouissance. Je me penche à nouveau et je réalise qu’elle a toujours cette petite robe. Je lui ordonne de se lever. J’empoigne sa robe et la déchire. Et lui arrache sauvagement. J’empoigne maintenant son soutif et lui sort les seins auxquels je leur balance des gifles à peine retenues.Elle crie, je la retourne et lui dégrafe le soutien-gorge. Je me penche et cette fois, d’un seul trait je luiramène sa petite culotte aux chevilles. Je me relève et lui ordonne de se remettre à me pomper la bite.-pompes moi sale pute.Je n’ai pas  la peine de lui reprendre les cheveux qu’elle se fout ma queue d’elle même totalement au fond en se maintenant par ses mains qui m’empoignent les fesses. C’est qu’elle semble motivée cette salope. Elle a des spasmes tellement elle manque d’air. Elle a maintenant une main qui me maintient les couilles jusqu’à faire mal à chaque passage.-T’arrêtes pas salope et fais moi jouir encore dans le fond de ta gorge.Elle se met à me pomper d’une cadence de fou, j’hallucine de la voir se l’enfoncer au maximum comme elle le fait. À chaque fois elle est au bord de dégoupiller. Elle est déchainée comme j’ai jamais vu une fille même dans des pornos extrêmes. Je sens que ca vient et même que ca va gicler d’une seconde à l’autre.-Au fond sale pute! Et j’éclate dans sa gorge, je la maintiens de longues secondes puis ressort rapidement pour pas qu’elle tourne de l’oeil. Elle s’effondre la gueule dégoulinante puis recrache une partie de mon sperme sur le carrelage. -Lèches-moi ça – il doit rien rester. Je lui prends les cheveux qui trainent au sol pour la voir se rassasier.Mais qu’elle salope. Mais quel cul elle a. Je m’imagine immédiatement la suite en continuant à la regarder lécher mon foutre et sa bave sur le sol. Nous sommes toujours sur le balcon et je lui ordonne de se lever. Il fait très chaud et nous sommes couvert de sueurs. Je lui serre les joues, elles sont toutes mouillées et cette bave qui lui recouvre une partie du visage. -Tu crois que c’est terminé?-Non maitre – pitié, baises moi!-Va d’abord te laver sale trainée! Nous entrons dans la chambre je l’agrippe par les cheveux. L’obligeant à se prosterner à genoux par la force de mes mains qui la tire vers l’arrière.-Écoutes-moi bien! Si tu veux continuer tu me fais signe que oui – autrement tu dégages!-Ouais je veux continuer – je veux être ton esclave- faire tout ce que tu désires! Demandes et j’obéirais.-Est-ce qu’on aurait par hasard le même fantasme? Je veux dire moi qui te domine totalement et toi qui désire subir?-ouais – tout!Sur ce, je lui fous baffe sur baffe sur la gueule. Quand même sans exagérer. -Tu es sure?-Ouais!-Mets-toi à quatre pattes.Elle s’exécute instantanément. Je me place par dessus elle. Je mouille 2 doigts et lui enfonce direct au cul. Elle pousse un cri et je lui malaxe le cul de mes doigts sans ménagement. Je les retire ils sont un peu souillés. Je lui tire les cheveux pour faire basculer sa tête vers l’arrière et lui ordonne d’ouvrir sa bouche. Puis je lui pousse mes 2 doigts dans le fond de sa bouche en lui ordonnant de sucer. Je bouge mes doigts dans sa bouche pour bien les rincer! Puis je pousse à fond.Et je recommence à lui labourer le cul avec 3 doigts cette fois. Elle souffre mais garde la position et je lui remets en bouche. Je me positionne, ma queue a retrouvé toute sa vigueur. Ce qu elle me fait bander cette petite. Je lui plante dans son cul tout doucement pour ne pas la blesser. Elle râle de plaisir et se tortille sur ma bitecomplètement enfoncée dans son petit cul. J’entreprends mes va-et-vient. Je me retire et lui demande de se retourner en gardant la même position de chienne. Je suis devant sa bouche et je lui ordonne de la lécher.-Quelle cochonne! Je lui enfonce sans avertissement et la maintient ainsi de longs instants. Elle a parfois de la difficulté à reprendre son souffle. Je me lâche parfois je la reprends au fond de la gorge pendant qu’elle a des hauts le coeur. Je veux être sans pitié! Je veux l’utiliser que comme objet de plaisir mais j’ai quand même un peu de mal à faire abstraction de tout ce qui se déchaine en moi. Moi qui suis d’habitude si tendre, je découvre que je ne le suis pas du tout avec elle. Tant pis nous verrons demain si elle n’a pas fuit toute cette perversion que je désire assouvir. Pour ce soir elle est mon esclave et je ferai tout ce qu’il me passe par la tête. 
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