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Je la manipule pour la posséder

Chapitre 4

Inceste
Juliette était contre moi, les larmes aux yeux. Je sentais son corps chaud contre moi m’étreindre sans retenue. Je pouvais sentir son odeur, mélange de parfum naturel et de la fragrance de sa tristesse. Elle toussait un peu, sûrement un peu à cause de moi mais le résultat était là: elle était collée à moi. Ma main longeait ses cheveux blonds dans une douce caresse, puis poursuivit sur son cou que je massai légèrement. Ma paume s’aventura ensuite sur son dos et ses hanches. Elle était en pyjama, mais j’avais l’impression de toucher sa peau bouillonnante. Je sentis en moi le désir monter, et une bosse commença à se former dans mon boxer.
Je respirai et essayai de me contrôler, je savais que tenter maintenant était voué à l’échec. Ma sœur était en pleurs, et notre partie de jambes en l’air aurait été assez pathétique. Bien que j’imaginais un moment baisser son pantalon de pyjama pour apercevoir son sanctuaire interdit et la faire mouiller tandis que ses yeux dégoulinaient. Cette image me fit durcir d’autant plus. Je tournai un peu le bassin pour être sûr que ma sœur ne puisse pas savoir ce qu’il se passait dans ma tête.
Pour changer de tempo, je lui murmurai:
— Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as des problèmes ?— C’est Benoît... il m’a quitté!
Elle refondit en sanglot, toujours contre moi. Je poursuivis les caresses sur son corps. Je sentais sa poitrine compressée contre ma chair. Je devais lutter, mais ma main descendait vers le bas de son dos, mes doigts n’étaient qu’à quelques centimètres de ses fesses. Comme pour lui faire oublier ce que faisait mon corps je lui lançais:
— Ce sont des choses qui arrivent, tu sais tout le monde évolue, l’alchimie ne fonctionne plus.— Mais tout fonctionnait entre nous, je ne sais pas pourquoi il ne veut plus de moi ! Il me dit qu’il y a une autre fille, mais ça ne peut pas être ça, je suis sûr qu’il y a autre chose !— Parfois c’est difficile à accepter que l’on puisse être remplacé, dis-je calmement.
Elle pleura encore un peu, puis souffla:
— De toute façon, je vais bientôt savoir ce qu’il en est.— Comment ça ? demandai-je.— Je vais aller voir chez lui, pour qu’on ait une discussion en vraie ! Là je connaîtrais le fin mot de l’histoire !
Mon sang ne fit qu’un tour. Elle ne pouvait pas aller le voir, sinon elle se rendrait compte du subterfuge, et j’aurais fait tout ça pour rien. J’intervins alors:
— Enfin Juliette, tu ne vas pas sortir, tu as vu dans quel état tu es ? S’il a vraiment quelqu’un d’autre tu vas être encore plus dévastée !— De toute façon, soupira-t-elle, si c’est pas moi qui y vais, c’est lui qui va venir, j’ai un collier qui appartenait à sa grand-mère, il va venir le récupérer.

Merde. Si Benoît son ex-copain venait, toute la lumière allait éclater et j’allais être démasqué. Je devais la jouer subtilement, car mon plan était sur le fil. Je lui caressais les cheveux, et la rassurais:
— Ecoute, donne-moi son adresse, je vais aller lui rendre ses affaires.— Non, t’inquiète, je vais y aller, dit ma sœur.— J’insiste, tu n’es pas en état, je vais m’en occuper.
Je déposais un baiser sur sa joue. Cela lui coupa l’envie de répondre. Dans son état d’abandon, un geste d’amour était pour elle un bienfait qui ne pouvait que lui être salutaire. Elle me regarda ensuite avec intensité. Nos visages étaient assez proches. Je la regardais avec passion. Je crus un instant que nous allions nous embrasser. J’en avais terriblement envie, mais je devais être patient et éliminer le risque Benoît. Je lui demandai de me donner le fameux collier et ses autres affaires à rendre. Puis je questionnai Juliette:
— Est-ce que tu as des choses qu’il doit te rendre ?— Non rien d’important, t’inquiète... Ah... si.— Qu’est-ce que c’est ?
Elle resta debout sans rien dire. Je réitérais ma question tandis que j’enfilai mes chaussures:
— Qu’est-ce qu’il doit te rendre ?— Bah...— Dis-moi.— Disons qu’il a des photos de moi.— Des photos de toi ? demandai-je incrédule.— Oui... enfin tu vois ce genre de photo.
Je hochai la tête pour lui dire que je comprenais. Mon cœur battait d’autant plus fort. Mon périple n’était pas prévu et pourtant il promettait une bonne dose d’excitation. Je mis mon manteau et lui soufflai:
— Je m’occupe de te ramener tes affaires. Toi, détends-toi un peu. Je crois qu’Internet ne fonctionne plus très bien. Il me semble qu’il y a une série dans le lecteur DVD tu peux commencer à la regarder et si tu veux on la regardera tous les deux cet aprèm.
Je lui fis un bisou sur la joue, assez proche de sa bouche puis quittai la maison. Il était 11h, je ne devais pas m’absenter trop longtemps pour pouvoir poursuivre mon plan. Si Juliette commençait à regarder Spartacus, elle commencerait à être émoustillée. Je marchais dans la rue, à vitesse rapide. J’arrivai enfin devant l’adresse que m’avait fournie Juliette, il s’agissait d’un immeuble. Par chance pour moi, la grande porte était ouverte. J’escaladai l’escalier direction le troisième étage. Je toquai à la porte.
Un homme m’ouvrit, il portait une barbe noire et un air malicieux. Il me lâcha:
— C’est pour quoi ?— Je suis le frère de Juliette, elle m’a envoyé récupérer ses affaires.— Elle pouvait pas venir elle-même ?
Je ne répondis pas, restant stoïque. Puis il sembla lâcher l’affaire et me dit:
— Allez, rentre !
Il m’ouvrit la porte et je pénétrai dans son antre. Un appartement bien agencé, une belle décoration. Sur le mur quelques photos où je reconnus Juliette. Ils semblaient heureux tous les deux. Benoît arriva avec un sac en plastique. Je regardai rapidement dedans, il y avait des vêtements. Je m’arrêtai et lui lançai:
— Il manque des choses là.— Non il y a tout.
Je me pinçai les lèvres, puis lui dis calmement:
— Ecoute Benoît, je suis pas très famille, je rends juste service. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé avec ma sœur et ça ne me regarde pas. Mais elle m’a demandé de récupérer ses affaires... toutes ses affaires si tu vois ce que je veux dire, ça comprend aussi les photos et autres.
Il baissa les yeux et partit dans une autre pièce. Après cinq minutes il revint avec un autre sac plastique aux couleurs de la marque FNAC. Je m’apprêtais à en regarder le contenu, il m’en empêcha:
— Je te déconseille de regarder ça, c’est ta sœur quand même, pas sûr que tu aies envie de voir ça.— Je veux juste pas avoir à revenir, lui rétorquai-je.— Il y a tout, promis.— Très bien alors,
Je lui donnai son collier qu’il attrapa avec mélancolie.
— Eh bien, bonne continuation à toi.
Je m’apprêtais à franchir le pas de la porte, lorsque Benoît m’arrêta:
— Au fait...— Oui ?— Dis à ta sœur que je l’aime de tout mon cœur, il n’y a qu’elle dans ma vie.— Je lui dirai, souris-je, laisse-la quelque temps qu’elle puisse savoir où elle en est.
Je quittai l’appartement et commençai à descendre les escaliers. Mais la curiosité me saisissait à la gorge. Je m’assis dans les escaliers et regardai ce qu’il y avait dans le sac FNAC. Ce que j’y découvris me paralysa. Un mélange de fascination et d’excitation. Le plus beau trésor qu’il m’ait été donné d’avoir. Mon cœur semblait rompre face à cette abondance de petit secret précieux. Ce trésor allait donner une force monumentale à mon plan. Je souris, je touchais du doigt mon objectif.
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