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Le manoir

Chapitre 2

Le donjon

SM / Fétichisme
Chapitre 2
Mon vit s’enfonce d’un coup franc dans Emilie, mes yeux sont rivés sur Pauline qui reste bien droite devant nous, les jambes légèrement écartées. Je suis subjugué par une telle beauté. Ma tête se vide tout en donnant mes coups de reins violant à Emilie qui répond par ses doux gémissements de plaisir. Comment sa sœur, qui semble autant effacée, puisse se transformer en une femme fatale dont je sais que je ne pourrai rien lui refuser ? Ce regard brillant qui transperce mon être, ce maquillage sublime accentuant ses traits raffinés me donnent l’impression qu’Emilie n’est qu’une gamine immature face à elle.
Je continue à l’observer tout en besognant ma belle. Ma verge me semble dure comme de la pierre. Quelle drôle de sensation de ne pas sentir mon sperme se préparer à éjaculer via des jets puissants comme cela le devrait. C’est comme si je pouvais continuer ainsi durant des heures entières. Mes yeux s’attardent sur la robe de Pauline, robe noire en cuir, très courte, moulant entièrement ses formes ensorcelantes, au col montant, sans manche. Sur le bas, de la dentelle transparente s’est incrustée dans le cuir, montrant ses hanches et un peu de ses parties intimes. Je l’aurais imaginée avec une touffe imposante, il n’en est rien, sa peau semble si lisse qu’elle me donne envie de la caresser.
Elle se retourne un instant, fait un signe vers une partie trop sombre de la pièce pour que nous puissions distinguer quoi que ce soit. J’en profite pour découvrir l’autre côté de cette robe, avec un dos décolleté en V descendant jusqu’à la chute de ses reins. Un lacet permet de maintenir le cuir fermé au niveau de ses fesses aux jolies courbes, en divulguant cependant un magnifique croissant de lune.
Mes yeux descendent, s’attardent à nouveau, sur des cuissardes aux talons très fins et qui se ferment par des lacets à l’arrière de chaque jambe couverte jusqu’à la moitié de la cuisse. Elle se remet face à nous, quelqu’un sort de l’ombre, approche en marchant à quatre pattes. Il s’agit d’un homme, il est en partie nu, il garde la tête baissée et vient se coller à une jambe de Pauline, tel un bon chien obéissant à son maitre. Elle lui caresse la tête, il la baisse pour lécher les bottes de sa maitresse, elle claquette de la langue et l’homme se redresse en se mettant sur ses deux pieds. Nous le reconnaissons : c’est le mari de Pauline.
Le vagin d’Emilie se contracte sur ma verge, augmentant mes sensations d’un coup. Ses gémissements se transforment en râles graves, sa respiration devient plus haletante. C’est vrai qu’il a un beau corps, je comprends ce surplus d’excitation qui vient d’envahir ma chérie, je me sens homme de Cro-Magnon face à lui dépourvu de tout poil. Un harnais est accroché à son torse, je me demande à quoi peut bien servir cette sangle en cuir noir enroulée à la base de son pénis qu’il a fièrement en érection.
Il se positionne face à nous, face au miroir, devant Pauline, juste à quelques centimètres de nous. Elle a quelque chose dans la main, le passe devant le visage de son mari qui entrouvre la bouche. Elle lui attache l’objet, un mord ? Tel ceux qu’on met pour les chevaux ? Emilie accentue la cadence, elle est sur le point de jouir. Il tend sa main vers le rebord de notre fenêtre, l’ouvre telle une porte. Nous nous statufions dans notre position. J’ai tout d’un coup l’impression d’avoir couru un cent mètres, Emilie a sa respiration qui s’est accélérée d’un coup, au moment même où son vagin s’est à nouveau contracté.
Ma belle commence à être parcourue de spasmes devant sa sœur et son mari qui nous observent sans broncher. Son orgasme se déclenche, ses cris raisonnent dans la pièce face à nous et dans le couloir que nous venions d’emprunter. Sa réaction est à l’inverse de la mienne, ayant arrêté de bouger, sentant même ma verge commencer à dégonfler. Pauline a figé son regard sur le mien, je n’arrive à détourner les yeux, elle m’envoute, je lâche Emilie qui s’écroule sur le sol, continuant à gémir le temps que son orgasme se calme.
— Vous arrivez à point !
Le ton sec de Pauline m’enlève toute envie de lui poser la moindre question. Et pourtant, tout se chamboule dans ma tête. Nous attendait-elle ? Je réalise alors que tout notre trajet dans ce passage secret a été effectué sans tomber sur la moindre toile d’araignée. Ceci est surprenant pour une telle bâtisse, à moins que quelqu’un a prévu notre venue.
Le mari tant une main vers Emilie qui la saisit pour s’aider à se relever. Il l’attire contre lui, leurs corps nus sont plaqués l’un contre l’autre. Mais je reste plongé dans les yeux de Pauline qui ne cesse de me regarder. Ma verge reprend de la vigueur doucement, elle s’avance vers moi, je la laisserais même me manger si elle le désirait. Elle tend sa main vers mon bas ventre, elle emprisonne mes bourses entre ses doigts, je lâche un petit gémissement.
— Vous allez découvrir de nouveaux plaisirs intenses.
Je la crois instinctivement. Elle tire mes bourses vers le bas, je ne suis plus qu’un jouet entre ses mains, je comprends l’ordre et m’agenouille devant elle. Emilie regarde la scène avec ses yeux vitreux, sa bouche entrouverte, toujours collée à l’homme de Pauline qui lui caresse les fesses. Son excitation est toujours bien présente. Il est étrange que je ne m’offusque pas de voir ma belle dans les bras d’un autre. Je sais qu’il va la prendre un moment ou un autre, je ne réagis pas, cette ambiance est tellement déconcertante. Pauline me fait un geste du doigt, je m’abaisse, je comprends son ordre, et je lèche ses cuissardes.

J’entends à nouveau gémir Emilie, je n’ose lever la tête pour regarder. La voix de Pauline parlant à sa sœur : "calme-toi mimi. Nous avons tout notre temps". Un ordre à son mari, et son pied se dérobe de ma langue. Je lève les yeux pour observer la scène, il l’emmène avec lui au milieu de la pièce, je suis Pauline qui a une autre idée me concernant.
Elle m’attache sur une croix couchée en hauteur, jambes écartées, bras allongés. Je n’oppose aucune résistance, j’observe Pauline bouger gracieusement, allant sur chacun de mes membres pour y passer une lanière en cuir. Elle me regarde avec un air de satisfaction, je n’ose rien dire, je reste subjugué. Elle m’attrape fermement par la mâchoire, m’oblige à tourner la tête afin que je voie ce qu’il fait à Emilie.
Elle est à quatre pattes, les mains menottées. Une sangle attachée à son visage, un anneau la forçant à garder la bouche ouverte. Il se met face à elle, tenant un crochet avec un bout arrondi. Elle tend la langue, cherche à lécher cette queue qui lui fait face à quelques millimètres de ses lèvres. Ce n’est pas possible, je dois être dans un rêve, jamais je ne pourrais accepter cela d’elle dans d’autres circonstances. Il s’avance, s’enfonce dedans tout en se penchant pour pénétrer son anus avec ce crochet.
Tout en regardant cette scène, Pauline s’occupe de moi. Je sens ses dents sur mon gland dont ma queue ne pourrait être plus raide, le mord doucement en plantant ses ongles dans la chair de mes fesses. Je pousse un cri de douleur, tout de suite remplacé par des gémissements de bonheur en sentant à quel point sa langue est experte. Le crochet est attaché par une corde à la sangle entourant la tête d’Emilie, il la serre, force ma belle à prendre une position invraisemblable. Elle a la tête en l’air, le dos totalement courbé, les fesses offertes.
Je n’en peux plus, je suis sur le point de jouir. Est-ce que Pauline l’a bien senti ? Elle mord ma verge, griffe mes fesses, je contiens mon cri. L’envie redescend légèrement, contrebalancée par les gémissements de plaisir de mon Emilie : il la besogne par derrière dans une danse enivrante. Pauline lâche mon sexe, il commence à me faire mal, j’ai l’impression qu’il veut grossir d’avantage, mais est trop enfermé dans cette enveloppe charnelle. Je la regarde suppliant, je suis à un doigt de l’orgasme, qu’elle me délivre enfin, j’en deviens fou. Elle pose son ongle pointu sur la liaison entre mes bourses et ma verge, remonte son doigt rapidement, mélange de douleur et de plaisir, deux jets de spermes sortent puissamment.
J’en reçois jusqu’à mon visage, étonné moi-même par cette force. Je n’en débande pas pour autant, seul le surplus a été retiré. Pauline en récupère sur ses doigts qu’elle place devant mes lèvres. Je sais ce qu’elle veut de moi, je n’ai aucune envie de goûter mon propre sperme ni celui d’un autre. Et pourtant, ses yeux plantés dans les miens m’envoutent encore. J’ouvre la bouche, tends la langue et accueille ses doigts. C’est comme un nectar que je déguste, le meilleur des mets qu’il m’ait été proposé de lécher. Pauline sourit, Emilie gémit, puis les rôles sont inversés.
Il est entre mes jambes, il vient de me savonner la barbe qu’il commence à raser avec une lame, telle utilisée dans l’ancien temps, parfaitement aiguisée. Je n’ose bouger de peur qu’il se manque et me coupe la peau. J’aimerais pourtant regarder Emilie qui ne cesse de pousser des cris de souffrances suivis de gémissements de plaisirs. Une sensation étrange me garde excité, celle de sa verge dure qui caresse la mienne à chaque mouvement de sa part. Je devrais ressentir du dégoût d’être ainsi touché par un autre homme, mais des envies de luxure sans tabou commencent à me gagner.
Il rase à présent mon torse, je regarde ma belle. Elle est toujours dans la même position, son dos immaculé de cire rouge qui s’est figée. Elle gémit de plus belle, trois doigts de sa sœur plongés dans son intimité. Pauline tourne la tête vers moi, a toujours ce regard si captivant, elle se met à sourire vicieusement, ajoute un doigt puis le pouce avant d’enfoncer sa main entière dans le vagin d’Emilie. Je reste à regarder, surpris qu’une telle pénétration puisse être acceptée par cette dernière. Mais ses cris m’indiquent le contraire, Pauline garde son bras sans bouger, Emilie tente de petits vas-et-viens, se masturbant ainsi avec la main de sa sœur en elle.
Pauline joue avec les sens de mon Emilie, des moments d’une douceur ensorcelante, des moments d’une violence excitante. Le dos de ma belle est zébré par des coups de fouets, tout comme ses fesses que Pauline caresse doucement avant de lui administrer une nouvelle fessée. Il me détache un pied, me fait plier la jambe complètement qu’une nouvelle sangle l’empêche de reprendre une position allongée. Il exécute la même opération de l’autre côté. Il continue son rasage, me prive de tous ces poils qui me permettaient de jouer les hommes virils et fiers.
D’une main experte, tenant toujours la lame, il se débarrasse de ma touffe pubienne. L’autre tient ma verge en appliquant quelques pressions de ses doigts. Je gémis, il sait y faire pour procurer de sérieux plaisirs à un homme. La peur est bien plus présente, cette lame tranchante pourrait sectionner mon vit à la moindre maladresse. Je respire fort, mon cœur bat la chamade, une nouvelle pression et un râle de plaisir masque les cris de ma bien aimée.
Il contemple son œuvre, vérifie qu’il n’a rien oublié, s’agenouille sur le sol entre mes cuisses dont la position ne permet aucunement de cacher mon intimité. Il hume mon anus, frotte ma verge contre son visage. J’aimerais tant qu’il retire ce mord, qu’il me montre si les hommes sucent mieux que les femmes. Il se redresse, caresse à nouveau son sexe contre le mien, le fait glisser, je me détends, j’ai envie d’essayer. Il me pénètre à peine, je ne lui cache pas que j’ai mal, il ressort, s’approche de ma tête que je tourne vers lui en tendant la langue.
J’ai honte de pratique une fellation, mais je ne peux m’en empêcher, j’ai envie de tout goûter, j’aime lécher ce vit, je ne suis plus que luxure sans compromis. Emilie me regarde, Pauline la détache. Elle s’écroule sur le sol, puis rampe jusqu’à sa sœur, s’agrippe à ses jambes pour s’aider à se redresser. Pauline relève sa robe, lui attrape la tête qu’elle plaque contre sa vulve, Emilie se délecte de ces saveurs.
Il est sorti de ma bouche, sa verge lubrifiée par ma salive, me sodomise depuis bien des minutes, je cris mon plaisir, j’en veux encore et plus. Je désirerais qu’il me branle, qu’il calme la douleur de ma verge, j’ai l’impression qu’elle a gonflé, que sa taille s’est amplifiée, cette peau me tire, et mes bourses sont trop endolories tellement elles sont pleines. Il n’en fait rien, continue à m’offrir ce nouveau plaisir sous les yeux ravis de Pauline qui sort de son silence :— Loups, ils sont à vous.
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