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Le Manoir des plaisirs

Chapitre 2

Antoine

Orgie / Partouze
Antoine suit Corinne, sa nouvelle partenaire. Cette dernière veut lui montrer ce qui se passe durant les soirées organisées au manoir. Pendant qu’ils montent l’escalier, Antoine ne peut s’empêcher d’admirer le déhanché de la quarantenaire. Elle se retourne brièvement, remarque le regard de l’homme sur ses fesses, sourit de manière lubrique.
Arrivés à l’étage, ils s’approchent d’une première porte, ouverte. Corinne jette un coup d’œil, son sourire s’agrandit. Elle invite son complice à observer. Antoine s’approche doucement vers le pas de la porte et tourne la tête vers la chambre. À l’intérieur, le conjoint de la petite asiatique, debout avec le pantalon aux chevilles. Juste en face, assise au bord du lit, la jolie beurette. Elle lui prodigue une fellation qui donne beaucoup de plaisir à son partenaire. Antoine sait maintenant la teneur de la soirée : une orgie.
Il tourne son regard vers sa partenaire qui commence à se caresser le corps. Son regard, ainsi que son sourire, montrent toute sa perversité. Elle se mord la lèvre en regardant le couple. Antoine pose de nouveau son regard sur le duo, l’homme retire sa chemise et savoure. La femme lève les yeux, lui sourit ; elle retire son haut afin de libérer ses seins. Deux seins bien ronds, bien gros, avec des tétons dressés. Elle invite son partenaire à placer son sexe entre ses deux globes. Il s’insère ainsi, et commence une branlette espagnole. L’homme prend son pied ainsi tandis que la femme tire la langue vers le bas afin de lui lécher le gland.
Corinne s’approche d’Antoine.
— Ça te plaît ? demande t-elle, à voix basse.— Euh, je ne sais pas... balbutie Antoine. C’est la première fois que je participe à quelque chose comme ça...— Ah oui ? Pourtant, j’ai l’impression que tu en as envie...
Antoine s’aperçoit que la main de sa partenaire est posé sur son pantalon, en train de caresser son sexe. Un sexe devenu bien dur, excité par la vision du couple et par les caresses de la femme.
— Dès que je t’ai vu arriver, j’ai tout de suite su que j’allais coucher avec toi, lui dit-elle. J’aime les hommes comme toi.— Mais Sophie... commence t-il entre deux soupirs.— Elle est en bas, ne t’inquiètes pas ! Il ne lui arrivera rien de mal. Au contraire, je suis sûre qu’on s’occupe d’elle.
Antoine se demande ce que ferait Sophie dans cette situation. Allait-elle quitter le lieu ? Ou allait-elle céder ? Il regarde de nouveau la chambre. La beurette s’est allongée sur le lit tandis que l’homme s’est placé à genoux face à elle. Il place son sexe face au sien et la pénètre d’un coup. Il commence des mouvements qui font gémir sa partenaire.
— Allez ! Viens ! dit alors Corinne en faisant un signe de tête.
Antoine la regarde et la suit vers une deuxième chambre, vide. Ils entrent tous les deux. La pièce est éclairée par des leds rouges, un lit est placé au centre avec deux tables de nuit sur les côtés et une commode le long du mur. Corinne se met face à Antoine, s’approche et l’embrasse. Des petits baisers pour démarrer, puis les langues se mêlent. Pendant ce baiser, Corinne caresse les fesses de son partenaire. Puis, elle lui prend les mains et les pose sur ses fesses, des fesses bien fermes.
— Vas-y Antoine ! Caresse-moi ! lui ordonne t-elle. Tu en meurs d’envie !

Antoine démarre ses caresses, lui touche les fesses sous sa robe. Elle aime ça, lui fait savoir entre deux baisers. Elle pose également ses mains sur les fesses de l’homme, puis en dirige une vers sa braguette. Elle touche son sexe, lui caresse tandis qu’Antoine approche quelques doigts sur la raie des fesses. Corinne se réjouit de cette approche. Elle déboutonne le pantalon, lui descend la braguette et en sort le sexe bien dur.
— Ah ouais ! Pas mal ! s’extasie Corinne.— C’est vrai ?— Carrément. Une belle bite ! Pas trop longue, mais bien grosse. Des bourses qui m’ont l’air pleines et pas de poils. Tu vas faire des ravages cette nuit.
Elle commence à le branler doucement, ses yeux posés sur le membre. Antoine pousse de petits gémissements, le plaisir monte en lui. Il pense brièvement à Sophie, se demande si elle est dans la même situation.
Corinne stoppe la branlette, baisse entièrement le pantalon d’Antoine et l’invite à s’allonger sur le lit. Il s’exécute, déboutonne sa chemise et la retire ce qui la satisfait. Elle se place à genoux entre ses jambes, lui attrape le sexe et recommence la masturbation. Elle approche son visage, souffle dessus ce qui lui donne des frissons. Puis, elle le prend en bouche. Elle commence par sucer le gland, joue avec la couronne, lèche l’urètre, tout en malaxant les testicules. Puis, elle descend le long de la verge. Elle suce entièrement le sexe d’Antoine qui adore le traitement imposé. Il la regarde, elle prend son pied à le sucer ainsi. Il voit les deux seins qui tentent de sortir de la robe, deux seins bien gros. Elle s’écarte sur le côté, reprend le sexe en bouche. Antoine retrousse la robe, lui caresse les fesses. Puis insère un doigt dans le sexe de Corinne. Cette dernière se réjouit.
— Tu sors de ta réserve mon p’tit gars. Vas-y ! Profite !
Antoine la doigte délicatement tandis qu’elle continue ses caresses buccales. Il se tourne vers la porte et voit passer Baptiste avec sa partenaire, la blonde à la forte poitrine. Les deux se rendent dans la troisième chambre. Antoine reprend là où il en était, ses doigts commencent à être recouverts de cyprine. Corinne mouille abondamment, son excitation est grande.
— Tu veux bouffer ma chatte ? demande t-elle, toujours avec un sourire lubrique.
Antoine acquiesce. Corinne se met au-dessus de lui, en soixante-neuf et lui offre son sexe luisant de mouille. Il lui passe de timides coups de langue, puis, aimant le goût, dévore le sexe de sa partenaire. Il plonge sa langue au plus profond de l’antre, puis s’amuse avec le clitoris, bien gonflé par l’excitation. Corinne, le sexe d’Antoine en bouche, gémit de plus en plus fort.
— Tu es doué mon salaud ! Putain ! Que c’est bon !
Antoine se satisfait et raffole de cette mouille qui continue de couler. Il sent sa partenaire stopper sa fellation, se redresser sur le lit afin de profiter au maximum de ce cunnilingus. Après quelques minutes, une voix stoppe tout.
— Bah alors ! On ne s’ennuie pas ici ! dit cette voix d’un ton mélangeant ironie et envie.— Ah, Marjorie ! Tu tombes bien ! répond Corinne. Où es ton Jules ?— À côté, à se morfondre. À peine, j’ai commencé à le branler qu’il m’a tout craché dans les doigts. Et pas moyen de reprendre !— Ma pauvre ! Vas-y, sers-toi d’Antoine ! Sa bite est excellente, et je ne te parle pas de ses coups de langue.
Antoine sent alors une troisième personne monter sur le lit, entre ses jambes. La belle blonde prend ensuite le sexe de l’homme en bouche et le suce de manière féroce. Corinne, elle, secoue le bassin afin qu’il reprenne les coups de langue. Antoine s’exécute et place ses mains sur les seins de sa partenaire initiale. Les tétons bien durs et pointant montrent tout le plaisir que prend cette amante du soir. La mouille commence à couler sur son visage, une mouille abondante et délicieuse à boire. Marjorie, elle, continue de sucer énergiquement ce sexe bien dressé.
Au bout de quelques minutes, Marjorie demande à inverser les rôles. Corinne accepte, en profite pour retirer entièrement sa robe et son string. Sa collègue en fait de même, dénouant sa robe vers le haut et laissant apparaître sa poitrine, un tatouage figure sur le sillon des deux seins, une rose. Elle se place au-dessus du visage d’Antoine, se préparant à lécher un nouveau sexe. Elle se pose ainsi, profitant des coups de langue de l’homme tandis que Corinne se pose sur le sexe bien dur. Elle ne peut s’empêcher de pousser un cri.
— Putain ! Comment il me remplit !
Marjorie rigole, son sexe visité par la langue d’Antoine qui s’abreuve d’un nouveau nectar. Le goût est différent de celui de Corinne mais tout aussi bon. Cette dernière saute sur le sexe, criant de plaisir. Ces cris couvrent les gémissements de la blonde qui n’a jamais été aussi bien léchée, selon ses dires. Au bout de plusieurs minutes, Corinne finit par pousser un hurlement, synonyme d’un orgasme.
— Oh ! Le pied ! Putain que c’est bon ! crie t-elle.— Hmmm ! Tu me le prêtes ? demande Marjorie, d’un rire pervers.— Bien sûr !
Les deux femmes en profitent pour s’embrasser. Les langues se mêlent, puis elles se retirent. Antoine se retrouve seul sur le lit. Un instant de répit de courte durée car Marjorie se place, dos à lui, sur son sexe. Corinne, au pied du lit, continue de poser des baisers sur le corps de sa partenaire qui commence à descendre sur le membre.
— Ah oui ! Tu ne faisais pas semblant, lui dit Marjorie. Elle est vraiment grosse.
Antoine subit encore la cadence de sa partenaire. La blonde commence doucement, puis amplifie le mouvement. Il pose ses mains sur ses hanches afin d’accélérer tandis que Corinne caresse sa poitrine et lui mordille les tétons. Marjorie crie de joie.
— Oh oui ! Oh oui !
Au bout de quelques minutes, elle s’arrête, se retire et se place à quatre pattes au milieu du lit. Antoine, content de changer de position, se met derrière elle et lui insère à nouveau son sexe. Il ne se fait pas prier et entreprend des mouvements assez puissant qui font crier Marjorie.
— Oh oui ! Continue, Antoine ! C’est bon !
Au même instant, Corinne se glisse sous sa conjointe du soir et commence à bouffer les testicules de l’homme. Elle lui gobe sans lui faire de mal mais tout en faisant de l’effet. Si bien qu’Antoine sent la jouissance monter. Il tient encore quelques petites minutes.
— Je vais jouir, déclare t-il entre deux soupirs.
Marjorie le stoppe et se retire. Antoine se recule afin de leur laisser de l’espace. Les deux femmes s’assoient au bord du lit et lui demandent d’éjaculer sur leurs visages. D’abord surpris, il obéit et commence à se masturber énergiquement jusqu’à la jouissance. Un premier jet s’écrase sur le visage de Corinne, un deuxième aussi puissant se pose sur celui de Marjorie. Puis quelques gouttes se déposent sur chacune. Les deux femmes se regardent, sourient et s’embrassent tendrement. Elles félicitent Antoine.
— Mon cher Antoine ! Ce fut excellent, déclare Marjorie, tout sourire.— C’est vrai. De bons coups de reins, une bite bien dure et bien grosse, poursuit Corinne. Et une langue. Un lécheur de qualité.— Tu vas en satisfaire plus d’une ce soir, reprend Marjorie avec un clin d’œil.— Je ne sais pas, peut-être, répond Antoine.— C’est sûr, répond Corinne. Déjà, rien qu’à voir ton membre, les femmes de la soirée vont se jeter sur toi.
Antoine sourit. Lui qui croyait avoir un sexe normal, il ne pensait pas être doté d’un sexe hors norme, et qui pouvait faire monts et merveilles.
— Bien. Si tu veux bien nous laisser, on va rester quelques instants entre femmes, déclare Corinne. Ne t’inquiètes pas, on se retrouvera dans la salle.
Antoine quitte alors les deux femmes qui reprennent leurs baisers. Il se retrouve dans le couloir qui mène aux escaliers. Il regarde brièvement dans la troisième s’il aperçoit quelqu’un mais il n’y a personne. En se retournant, il voit le grand brun en sortir et descendre vers la salle. Il s’approche de la chambre et voit que sa compagne du soir, la jolie beurette, est restée à l’intérieur.Cette brune aux charmes orientales est debout, se caressant le corps. Ses seins sont aussi gros que ceux de ses partenaires précédentes mais ils sont bien ronds. De bonnes cuisses, et un sexe imprégné de mouille. Elle lève les yeux vers la porte et remarque la présence d’Antoine.
— Salut, dit-elle en souriant.— Salut, répond Antoine.— Antoine, c’est bien ça ?
Antoine acquiesce, sans retirer ses yeux du corps de la femme.
— J’ai entendu tes copines le crier quand vous étiez à côté. Moi, c’est Kenza.— Enchanté de te connaître, reprend Antoine avec un petit sourire. — Dis donc. Elles ont pris leur pied avec toi, les deux copines. — Euh, oui...— Pourtant, avec elles, ce n’est pas simple. C’est la troisième fois que je les croise en venant ici, et d’habitude, elles sont juste satisfaites quand le mec jouit.— D’accord. À vrai dire, c’est la première fois que nous venons avec ma fiancée.— Ah, d’accord ! On se rappelle toujours de sa première fois, ici.
Antoine la regarde bizarrement lorsqu’elle lui dit ça. Kenza, elle, sourit.
— Je te fais de l’effet visiblement, reprend t-elle.
Antoine baisse les yeux et voit son sexe, à nouveau au garde-à-vous.
— Désolé, dit-il avec embarras. Je ne sais pas ce qu’il me prend...— Ne t’inquiètes pas ! répond t-elle en riant. On est là pour ça. Viens ! Je vais te soulager.
Kenza lui prend la main et le fait approcher du lit. Elle s’assoit sur le bord et commence à le caresser légèrement du bout des doigts. Ensuite, elle lui masse les testicules, un massage qui donne encore plus d’effet à Antoine. Puis, elle dépose de petits sur toute la longueur de la verge, ainsi que sur le gland. Enfin, elle le prend en bouche, tout en jettant un regard sur Antoine. Ce dernier ferme les yeux, le traitement infligé est un supplice. Mais un supplice divin. La jeune femme commence à le sucer, à s’occuper de ce sexe.Pendant plusieurs minutes, Kenza suce Antoine ainsi. L’homme est en plein extase. Jamais il n’a jamais été aussi bien sucé, cette fille est une déesse. Il baisse les yeux vers ses yeux noirs, mélangeant concentration, expertise et plaisir. Un plaisir de sucer et de sucer un bon sexe.
— Elle est bonne ta bite, lui dit-elle avant de prendre les boules en bouche.
Antoine ne peut répondre tellement le plaisir est immense. Elle continue de lui manger les boules puis le reprend en bouche, en s’appliquant sur le gland. Pendant ce temps, Antoine lui caresse les seins. Des seins moelleux et bien chauds. Mais cela n’est de courte durée car, sans s’y attendre, Kenza lui avale entièrement le sexe. Une gorge profonde parfaite qui bluffe son partenaire. En se retirant, un filet de bave se colle sur son menton.
— Wouah ! C’est trop bon ! gémit-il. Tu es géniale.— Merci beaucoup, répond t-elle de manière perverse.
Elle le masturbe quelques secondes puis recommence à le sucer de manière classique. Cette fellation se termine par les râles d’Antoine, sur le point de jouir. Kenza retire sa bouche mais continue de le branler jusqu’à ce qu’il jouisse sur ses seins. Une belle éjaculation, aussi belle que la première avec les jeunes quarantenaires.
— Oh, le pied ! Wouah !— Hmmm, dit-elle avec un petit rire. Contente que ça t’ait plu !— Merci beaucoup, répond t-il en soufflant. Mais, je n’ai rien fait pour toi.— Ne t’inquiètes pas pour moi, répond t-elle en souriant. J’ai eu ma dose avec Paul, tout à l’heure. Et puis, la soirée n’est pas finie. On se recroisera peut-être.— J’espère bien. Encore merci, en tout cas.— Avec plaisir ! Je vais aller prendre une petite douche maintenant.
Ils se quittent après avoir descendu l’escalier. Kenza se rend dans la salle de bain qui se situe en face de la grande salle. Antoine, lui, y rentre afin de voir ce qu’il s’y passe. Il remarque la pendule, il est près d’une heure du matin. Une heure qu’il est tombé dans le plaisir coupable. Il n’a pas pensé à Sophie pendant cette heure. Que va t-il lui être arrivé durant cette heure ?
Antoine entre dans la salle et ce qu’il voit le frappe. Chaque participant est en train de baiser avec un ou des partenaires. Sur la grande table, il voit le conjoint de Kenza, en train de prendre en levrette la serveuse qui participe à cette orgie. De l’autre côté, il voit, sur un canapé, le gars au look de surfeur, se faire sucer par la petite asiatique d’un côté, et rouler des pelles à Marjorie, qui est descendu de la chambre. Sur le canapé suivant, le majordome en train de se faire sucer par Corinne, également descendue. Tout le monde participe à cette orgie.
Sauf monsieur Lepetit. L’hôte de la soirée est au fond de la salle, assis dans un fauteuil de cuir, en train d’admirer cette fête. Son regard suit ce qu’il se passe sur le fauteuil en face du sien. Antoine s’en approche, s’écarte légèrement car le fauteuil est caché par un homme, de dos et nu comme un vers. C’est le conjoint de la petite asiatique. Antoine finit par voir ce qu’il se passe. Il est bouche-bée.
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