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Le Manoir des plaisirs

Chapitre 5

Le bouquet final

Orgie / Partouze
Face à ces deux jolies blondes qui se sont amusées entre elles, Antoine voit son excitation repartir vers le haut. Dans le même temps, il voit Jacques et Georges sortir de la première chambre.
— Je n’en peux plus, déclare l’homme au crâne rasé. Je suis vidé.— Pareil, je suis épuisé, répond son compère. Je ne ferai plus rien ce soir. — C’est dommage. La petite avait l’air déçue.— Que veux-tu ? On vieillit...
Les deux hommes descendent l’escalier. Antoine s’approche de la première chambre et voit la petite asiatique, assise, en larmes.
— Ça ne va pas ? demande Antoine.— Si, ça va, répond la jeune femme. J’en ai marre, c’est tout.— Marre de baiser à tout va ?— Non. Marre de ne pas jouir ! Chaque mec qui m’a prise, jouit mais ne me fait pas jouir. Et ils s’en foutent ! Je ne suis qu’une poupée par rapport aux autres filles.
Antoine s’assoit à côté d’elle et la prend par la taille. Il lui relève la nuque, lui pose un baiser sur les lèvres. La jeune femme se laisse faire et lui enlace le cou. La douceur de ses lèvres est telle que l’homme la bascule sur le lit. Il pose ses lèvres sur son corps, sur ses tétons bien dressés et s’approche de son sexe. Quelques poils se portent au-dessus des lèvres de l’Asiatique mais il s’en moque. Il commence à la lécher.
Ce cunnilingus est divin pour la petite. Jamais elle n’a reçu un tel traitement. La mouille coule et noie la bouche d’Antoine qui se ravit de l’effet escompté. Il poursuit ainsi, tout en masturbant son propre sexe. L’excitation est telle qu’il demande à changer de position.
Il s’allonge sur le lit, elle se place au-dessus de son visage et reçoit de nouveaux coups de langue. Elle a sous ses yeux, le sexe bien dur de son partenaire. Envieuse, elle le prend en main et commence à le masturber. Elle tente de le porter en bouche mais ses coups de langue sont tellement bons qu’elle abandonne l’idée, trop concentrée sur son propre plaisir. Au bout de longues minutes, un puissant orgasme la foudroie. Un jet de cyprine se lâche et atterrit sur le visage d’Antoine.
— Oh ! Wouah ! C’est bon. Incroyable !— Tu t’es lâchée là, lui répond t-il en s’essuyant le visage. — Désolé, c’est la première fois que ça m’arrive, déclare t-elle. Tu es vraiment bon. Merci. Antoine, c’est ça ?— C’est ça, oui.— Lina. Pour la peine...

Lina se met à quatre au bord du lit. Elle invite Antoine à se mettre debout face à elle. Elle commence à le sucer. Elle démarre en s’occupant du gland, le douce avec douceur. Puis, elle astique le manche avec vigueur. Elle enduit le sexe de bave afin de le lubrifier, Antoine reconnaît un véritable talent de suceuse chez cette fille. Elle finit par faire lui faire une gorge profonde.
— Oh ! Ah ouais ! Tu caches bien ton jeu.
Lina recrache le sexe, sourit face à cette déclaration. Elle se tourne, ses fesses se collant au membre. Elle prend de la mouille et s’enduit l’anus.
— Vas-y ! Encule-moi ! lui ordonne t-elle.— Tu es sûre ?— Oui ! C’est pour m’avoir fait jouir !— Très bien !
Il lève les yeux et voit Sophie, accompagnée d’Emma. Elles observent la scène. Antoine, ravi de les voir et particulièrement sa fiancée, les regarde avec un élan de perversité. Il pose son gland contre l’oeillet de l’Asiatique et la pénètre progressivement jusqu’à atteindre le fond.
— Oh ! Oui !
Il commence des va-et-vient. Il se sent à l’étroit dans ce trou. Lina crie de douleur, elle n’a jamais reçu un chibre aussi épais dans son trou. Puis, les cris de douleur deviennent des cris de joie.
— Vas-y ! J’adore ça ! Continue !
Antoine continue ses coups de butoir, tout en fixant sa fiancée. Sophie regarde son fiancé prendre son plaisir à la narguer. C’est sans compter sur Emma qui ne peut s’empêcher d’admirer cette sodomie.
— Franchement, j’aurais aimé qu’il me prenne pendant que je te léchais, déclare t-elle avec gourmandise.— Il ne pouvait pas, trop occupé avec Madame ! lâche t-elle, énervée.
Antoine continue ce traitement jusqu’à la jouissance. Il éjacule dans le colon de Lina qui jouit une seconde fois.
— Wouah ! C’était grandiose !— Merci à toi ! J’ai bien aimé aussi.— C’est ta copine qui doit avoir de la chance.— Tu n’imagines même pas.
Excédée, Sophie quitte l’endroit. Elle descend les escaliers, accompagnée d’Emma. Elles rentrent dans la salle. L’ambiance y est plus calme qu’au début. Seuls Bastien est occupé à se faire sucer par les deux quarantenaires. Elle observe autour d’elle et cherche une nouvelle proie. Elle remarque la présence du majordome qui se rafraîchit avec des invités. Elle avance vers lui, déterminée. Elle l’attrape par le bras, le fait avancer, se met à genoux, et prend son sexe directement en bouche. Le majordome est complètement subjugué.Son sexe, ramolli après plusieurs minutes sans rien faire, durcit sous les coups de langue de Sophie. Le sexe noir arrive au maximum de ses capacités, une vraie matraque. Elle a du mal à l’enfoncer dans sa bouche mais cela suffit amplement au majordome.Elle s’arrête, se relève et se met dos à lui. Il comprend qu’elle veut se faire pénétrer et commence à entrer dans son antre. Mais elle le stoppe.
— Pas là ! Je la veux dans mon cul ! dit-elle d’un ton ferme.— Tu es sûre ? demande le majordome, étonné. Toutes les femmes m’ont refusé ça.— Je m’en fous ! Je veux que tu me la mettes dedans. Que tu me déchires et que tu me fasses hurler.
Le majordome est stupéfait par cette prise de risque de la jeune femme, hoche la tête avec un sourire de coin. Mais il finit par la prendre ainsi. Il entre progressivement dans l’anus de la jeune femme qui sent le déchirement s’effectuer dans ses entrailles. Arrivé au fond, il commence les va-et-vient sous le regard subjugué de certains membres de l’assemblée. Puis, il augmente le rythme sous les cris de la blonde. Il la redresse, lui parle à son oreille.
— C’est ça de se faire enculer par une bite noire. Tu regrettes maintenant, hein ?— Oh non ! Vas-y plus fort !— Mais tu es une vraie malade !
Et il accélère le rythme ce qui fait hurler Sophie. Son plaisir n’a jamais été aussi intense.Au même moment, Jean sort de la salle de bain, en compagnie de Lina. Il entend les hurlements venant de la salle et reconnaît la voix de Sophie. Il entre dans la salle et voit l’attroupement en plein milieu. Il regarde par-dessus les épaules des gens autour de lui. Il voit Sophie, en plein milieu, se faire sodomiser par le majordome. Il est encore plus stupéfait qu’au début de la nuit. Elle hurle à pleins poumons, adore le traitement qui lui est infligé.Sophie ferme les yeux. La jouissance monte en elle, ses jambes tremblent. Elle atteint l’orgasme par un cri de louve qui émerveille les participants. Elle se retire, tombe à genoux. Le majordome arrive face à elle, lui relève le visage et se branle énergiquement. Il finit par jouir, son sperme se colle sur les joues de sa victime. L’assemblée adore ce final. Tout comme monsieur Lepetit.
— Voici un magnifique bouquet final ! déclare t-il en prenant Sophie par la main et en la relevant. Nous pouvons nous applaudir.
L’assemblée applaudit. Les couples initiaux se reforment. Certains s’embrassent, d’autres se regardent sans rien dire. Antoine voit Sophie qui s’approche, s’arrête et se met dos à lui.
— Mes chers amis, je vous remercie d’avoir participé à cette soirée ! reprend monsieur Lepetit, comblé. Je vous laisse récupérer vos affaires là où vous les avez laissés, à prendre une douche ou un bain dans la salle de bain et je vous laisse prendre congés. Encore merci à vous.
Tout le monde se sépare. Certains vont chercher leurs affaires, d’autres quittent la pièce. Sophie, les joues couvertes de sperme, se dirige vers la salle de bain pour y faire un brin de toilette. Elle passe à côté de Jean, le regarde mais ce dernier tourne les yeux. Il voit Georges et Jacques se rhabiller, tout comme Emma. Il sort de la salle, remonte les escaliers afin de récupérer ses vêtements dans la chambre. Une fois à l’intérieur, il retrouve Corinne, sa partenaire initiale de la soirée.
— Ça va beau gosse ?— Ça va. Et toi ? — Bien. Une bien belle soirée.
Il récupère ses affaires et s’installe à côté d’elle afin de se rhabiller. Il la regarde remettre ses dessous avec délicatesse. Elle passe sa robe rouge, la remet de manière impeccable. Elle finit avec ses talons qu’elle met avec classe. Antoine, lui, a fini de mettre toute la partie basse et cherche sa chemise, cachée sous le lit.
— Tu as été très performant ce soir ? lui dit alors Corinne, avec le sourire.— C’est vrai ? demande Antoine, quelque peu satisfait.— Oh oui ! Moi la première, j’admets que tu es un sacré amant. Marjorie et Sandrine me l’ont avoué aussi. Franchement, un sacré queutard.— Merci. — Ça va vous deux ? demande Marjorie, devant la porte. — Ça va, on discute de la soirée. Je félicitais Antoine pour sa prestation.— C’est vrai. Tu es un remarquable amant. Tout le contraire du mien.— Lucky Luke ?— Oui. Il m’a dit que ce n’était pas de sa faute s’il a joui trop vite. Que c’était la mienne et la faute des autres qui lui ont mis la pression.— Il s’est mis la pression tout seul, tu veux dire, déclare Corinne.— Il a tenté avec Sandrine tout à l’heure. À peine son sexe dans la bouche, il a joui. Et pas moyen de redémarrer, Sandrine rigolait.
Elles se marrent en parlant de ce pauvre Baptiste. Antoine repense à ce que lui a raconté Emma, ses envies souvent écourtées, le même discours qu’il impose. Corinne se lève et quitte la chambre sans oublier de le remercier, Marjorie en fait de même. Il termine de s’habiller et quitte la chambre.
Il descend, croise Kenza, accompagnée de Paul, son conjoint. Les deux se tiennent la main, se sont habillés ensemble. Ils affichent un grand sourire, ils ont l’air heureux de leur soirée. Arrivés en bas, ils saluent leur hôte et quitte le manoir.
Au même moment, Sophie sort de la salle de bain, les cheveux mouillés. La jeune femme en a profité pour prendre une douche, se laver de tout ce qu’il s’est passé. Elle retourne dans la salle, récupère l’intégralité de ses affaires. En face d’elle, elle voit Jacques et Georges, déjà prêts, qui discutent. Les images de la double pénétration reviennent à ses yeux. Ils ne portent même pas un regard sur elle ; elle s’en moque. Elle se rhabille, remet ses dessous et sa robe bleue toute froissée. Elle remet ses claquettes et quitte la salle. Avant de sortir, elle croise le majordome qui a enfilé un t-shirt avec un jogging.
— Mademoiselle ! Permettez-moi de vous souhaiter une belle soirée !— Merci beaucoup. Bonne soirée à vous également !— J’espère que je n’ai pas été trop rude avec vous.— C’était parfait. Encore merci.
En parfait gentleman, il lui fait un baise-main. La jeune femme est touchée par cette attention et quitte le majordome. Elle sort de la salle, Antoine l’attend, main dans les poches. Elle se met à côté de lui, ne le regarde pas. Ils avancent vers monsieur Lepetit, tout sourire en les voyant.
— Ah ! Mes chers amis ! J’espère que vous avez passé une bonne soirée ? Ce fut un plaisir de vous avoir reçu.— Merci monsieur Lepetit, répond Antoine d’une petite voix.— Ma très chère Sophie, permettez-moi que je vous embrasse une nouvelle fois ! Vous êtes formidable !— Merci monsieur. Je suis touchée de vous l’entendre dire.— Et vous, Antoine ! Un garçon charmant !— Merci monsieur. — Prenez soin de vous ! Et à très bientôt !
Le couple sort du manoir et se dirige vers leur voiture. Une fois à l’intérieur, il quitte l’enceinte de la propriété, sous une tension monstre.
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