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Le Manoir des Vices

Chapitre 5

Le "rêve" de Mathieu

Avec plusieurs hommes
Point de vue de Mathieu
Je cours dans un grand couloir… Plus vite me dis-je, ils vont me rattraper ! Qui ça ? Je ne sais pas. Tout est flou autour de moi, je ne vois qu’un long couloir sans fin, aux murs ornés de tableaux dont les personnages semblent se moquer de moi. Allez-vous-en ! cris-je. Laissez-moi ! Seuls des ricanements me répondent… Ils vont me rattraper ! Je sens une main agripper mon épaule, me renverser en arrière et…Et je me réveille en sursaut. Je suis en sueur, mon cœur tambourine si vite que j’ai l‘impression qu’il va exploser dans ma poitrine. « Du calme mon vieux… Ce n’était qu’un mauvais rêve… ». Doucement, je reprends le contrôle de ma respiration en m’extirpant de mon duvet pour gagner un peu de fraîcheur. C’est moi où il fait horriblement chaud dans cette pièce ? me demande-je. J’avais jeté mon dévolu sur une petite pièce isolée pour installer mes quartiers de la nuit, loin des autres pour éviter leurs ronflements et autres bruits qui m’horripilent quand je dors. J’ai soif. Très soif. Ma gorge est desséchée. Où est cette putain de bouteille d’eau ? J’étais sûr d’en avoir prévue une pour la nuit mais impossible de mettre la main dessus. Peut-être avec mon sac dans le salon ? Je me lève en me disant que marcher me fera du bien pour me calmer un peu. Lampe torche à la main, je sors de la pièce et me dirige vers le salon, empruntant un large couloir au sol parqueté et aux murs recouverts de cette moquette rouge et de ses tableaux. « Ça ressemble vachement à mon rêve tout de même… ». Un frisson me parcourt alors que je repense à ceux qui me poursuivaient… Je tourne la tête pour vérifier que je suis bien seul et… « Bien sûr que oui tu suis seul, imbécile ». Moi qui ne fait pourtant jamais de mauvais rêves, ne crois pas aux fantômes, esprits ou autres élucubrations du genre, je me découvre une sourde angoisse à ce moment-là. C’est surement à cause des inquiétudes de Ian dont il nous a gonflé toute la soirée, me dis-je. J’adore ce gars mais il fait vraiment sa mauviette sur ce coup. Cette bâtisse est certes étrange mais quel kiff ça va être de l’explorer demain ! Bon, il faudra quand même que je m’excuse encore pour la vacherie que je lui ai balancé tout à l’heure, c’était vraiment un coup bas. Parfois, mes blagues jaillissent plus vite de ma bouche que mon bon sens et je sais que c’est un sujet glissant pour Ian.
Lampe torche à la main, je remonte le couloir vers le salon et… Tiens, il y a de la lumière. Quelqu’un d’autre à une insomnie ? Je m’avance encore et avant d’entrer, je lance un :
-Alors, qui d’autre fait fuir Morphée ?
Je n’ai pas de réponse et c’est là que je remarque ce qui se trouve au sol. Les corps nus et emmêlés de Ian et Emilie… Que… Quoi ? J’ai bien vu ce que j’ai vu là ? Ian et Emilie ?! Le faisceau de ma lampe torche se baissant pour les illuminer, je suis bien obligé d’admettre ce que je vois.
-Ian ?! Emilie ?! Mais bordel, qu’est-ce que vous foutez ?
Ils ont brisé la règle tacite de notre petit groupe ! Pas de plans cul ou de flirt ou d’histoire d’amour entre nous ! J’ai le cerveau en ébullition et je remarque à peine qu’ils commencent à remuer. Ian se relève doucement et je vois distinctement sa bite encore gonflée et droite comme un piquet sortir de la chatte béante d’Emilie, accompagnée d’un flot de semence blanchâtre. Emilie reste pour sa part encore immobile.
-Bordel Ian, tu m’expliques là ? Qu’est-ce que t’as fait à Emilie ? Ne me dis pas que tu l’as… Droguée ? C’est ça ? Tu l’as violée espèce de taré ? Tu ne pouvais plus te retenir ?
Mes mots dépassent carrément ma pensée, après tout, peut-être qu’Emilie était consentante ? Non… Jamais elle ne l’a regardé autrement que comme un ami, elle n’a pas pu…Pendant ce temps, Ian s’approche de moi, doucement, tranquillement, d’un pas assuré, son sexe fièrement dressé.
-Bouge pas ! lui cris-je. Si tu approches, je t’en colle une.
Je suis plus musclé que lui, je suis sûr de pouvoir le maîtriser si besoin mais je ne vais tout de même pas me battre avec un pote ! C’est alors que je croise son regard et je prends peur. Je perçois quelque chose de… malsain… Ce n’est pas le regard habituel de Ian, un peu triste, blasé. Là, c’est un regard cruel, vicieux. Il se met soudainement à sourire tandis qu’il continue d’approcher doucement et là je flippe vraiment… Son sourire est horriblement dérangeant et pervers.

-Recule Ian, bredouille-je en reculant. Je ne le pensais pas vieux… Ecoute, on va s’asseoir, OK ? On va discuter de tout ça tranquillement. Tu me fais peur là.
Il ne répond pas et continue d’avancer. Il n’est plus qu’à deux mètres de moi. Reculant encore, je prends désormais vraiment peur. On dirait qu’il va me tuer ! Il faut que j’aille réveiller les autres. Je tourne les talons et commencent à courir dans le grand couloir… Derrière moi, je sens, sans le voir, que Ian s’est élancé à ma poursuite.C’est comme dans mon rêve ! me dis-je. Ce n’est pas possible, c’est encore un cauchemar, je vais me réveiller ! Autour de moi, les grands tableaux semblent se moquer de moi et c’est à ce moment que la main de Ian me crochète l’épaule et me renverse en arrière. Criant, je m’écroule au sol et m’évanouis lorsque ma tête heurte violemment le parquet…
Point de vue de IanRamassant Mathieu comme s’il ne pesait pas plus lourd qu’une plume, je reviens tranquillement dans le salon. Je me sens fort, fier, invincible ! Emilie a rendu grâce sous mes coups de boutoir, je l’ai inondé de ma semence et là je viens d’assommer un de mes meilleurs amis. Une partie de moi se demande tout de même ce qu’il se passe. Mon comportement est à l’extrême opposé de ma nature profonde ! Je ne comprends rien mais j’aime cette sensation. Ce… pouvoir que je ressens… D’ailleurs, que vais-je faire de Mathieu ? Je ne sais pas ce qui m’a poussé à le poursuivre et l’assommer mais cela a été comme une obligation. Un besoin impérieux de le faire. Ah ! Si, je sais très bien ce que je vais lui faire. Enfin… Ce qu’ON va lui faire…Souriant vicieusement à cette idée, je le dépose sur un fauteuil tandis qu’Emilie se relève à son tour.
-Ooooooh, ce que tu m’as mis ! C’était incroyable.
Elle s’avance vers moi d’un pas chaloupé et m’embrasse voracement à pleine bouche, en prenant possession avec sa langue qui vient me fouiller chaque recoin de ma cavité buccale tandis qu’une de ses mains m’agrippent la verge.
-Toujours dur après tout ça ? Hmmm, on va encore pouvoir s’amuser…
Emilie a le même regard fou que moi. Elle aussi est en proie à une sensation irrésistible de perversion et de luxure. Elle veut encore baiser, sentir cette bite la fouiller tandis qu’elle hurle sa jouissance. Mais son regard glisse alors vers Mathieu, toujours évanoui.
-Oh ! On a un nouvel invité ?
-Que dirais-tu de… profiter un peu de lui ? demande-je en malaxant les seins d’Emilie.-Bonne idée chéri…
Nos regards se croisent alors et nous avons tous les deux la même fulgurance d’idée qui nous traverse l’esprit.
-A la cave ! disons-nous à l’unisson.
Je ne saurai expliquer d’où cela sort. Mais je dois emmener Mathieu à la cave, là-bas, on pourra jouer avec lui. Comment ? Je n’en sais rien. Mais ce même besoin impérieux me force à y aller et visiblement, Emilie aussi.Nus, le corps couvert de la sueur et autres fluides de nos ébats, le pas conquérant, un sourire vicieux aux lèvres, Mathieu sur mon épaule, nous empruntons le grand couloir qui rejoint le hall d’entrée. Bien que ne connaissant pas du tout les lieux, nous savons exactement où aller. Sous le grand escalier central se trouve une porte qui dévoile un escalier en colimaçon qui s’enfonce sous terre.Nous empruntons cet escalier qui mène à un nouveau couloir, entièrement plongé dans le noir car aussi loin sous terre, nulle lumière naturelle ne peut venir éclairer l’endroit. Heureusement, à l’entrée du couloir se trouve une torche en bois et à côté, le nécessaire pour l’allumer. Emilie, torche enflammée à la main, nous guide désormais dans ce couloir sinistre en ogive et percé de multiples alcôves. Nous savons instinctivement où aller. Arrivés devant une porte, Emilie l’ouvre sans hésitation et allume les torches accrochées au mur ainsi que le brasero. La pièce ainsi illuminée dévoile un spectacle des plus étranges. On se croirait dans une salle de torture médiévale. Contre un mur se trouve une croix de Saint-André jouxtant une misérable paillasse qui doit servir de lit. Des menottes pendent du plafond, un pilori trône au centre et des tas d’instruments sont accrochés aux murs. Fouets, badines, cravaches, martinets, cordes, pinces… C’est un endroit dédié aux plaisirs extrêmes et c’est ça que nous voulons faire subir à Mathieu.Durant une fraction de seconde, j’ai un éclair de lucidité et je me demande avec horreur qu’est-ce que c’est que ce manoir ? Que se passe-t-il ? Pourquoi agit-on comme ça avec Emilie ? Que va-t-on faire à Mathieu ? Mais cela ne dure pas et très rapidement, cette… sensation de puissance… s’empare à nouveau de moi, jetant aux oubliettes toutes mes interrogations.
-Accroche le à la croix, susurre Emilie avec perversion.
Attachant chacun de ses membres aux extrémités, nous contemplons notre « ami ». Emilie s’empare d’un petit couteau rangé au mur et coupe le T-shirt et le short de Mathieu, le dévoilant dans son plus simple appareil.
-Pas mal… constate Emilie en se léchant les lèvres.
Ventre plat, belle bite alors qu’elle ne bande pas, testicules lourds et pendants… Mathieu a vraiment un beau corps et j’ai hâte de m’occuper de lui ! De quoi ? me demande-je en esprit. Jamais je n’ai eu de pulsions gays pourtant. Mais là… Je veux m’occuper de lui, de son petit cul, de sa bouche… Le faire jouir et souffrir… Lui faire payer pour toutes ces petites blagues mesquines sur mon pucelage… L’heure de la revanche à sonné et je compte bien en profiter !
-Suce le, ordonne-je à Emilie.-A tes ordres, mon maître !
Et dire que j’étais encore puceau il y a une heure ! Me voilà désormais avec une soumise que j’ai faite grimper au septième ciel avec ma bite… Je ricane tandis qu’Emilie se met à genoux devant Mathieu, attaché et toujours évanoui…
Point de vue de Mathieu
Ouille ma tête… Un mal de crâne me vrille tandis que j’ouvre péniblement les yeux. Où suis-je ? Qu’est-ce qu’il s’est passé ?Je tente de bouger un bras mais peine perdue : je sens alors quelque chose me retenir. Pareil pour l’autre et pour mes jambes. Je suis totalement immobilisé ! Et qu’est-ce que c’est que cette sensation humide sur ma verge ?Je baisse la tête et écarquille les yeux avec horreur lorsque je vois Emilie en train de lécher mon sexe encore mou mais où le sang commence néanmoins à affluer.
-Emilie ! cris-je.
Un ricanement devant moi. Je lève la tête et vois Ian m’observer avec ce sourire démoniaque. Tout me revient soudainement en mémoire. Ian et Emilie qui ont baisé ensemble, Ian qui s’approche de moi avec ce regard et ce sourire de fou, moi qui m’échappe en courant et cette main qui m’agrippe…
-Ian ! Mais putain, vous foutez quoi ? Pourquoi je ne peux pas bouger ? Bordel c’est pas drôle !
Je parcours d’un regard ahuri la pièce où je me trouve… Qu’est-ce que c’est que tout ça ? Comment cela peut-il se trouver ici ? Et où sommes nous putain de bordel de merde ! Je me rends compte alors que je suis attaché à une sorte de croix et que d’épais bracelets de fer m’empêchent de bouger le moindre membre.
-Alors Mathieu… demande Ian d’une voix que je ne reconnais pas, toujours avec ce sourire à glacer le sang. Tu n’as pas un bon mot à sortir ? Une petite blague ? Une phrase pour me rabaisser ?-Ian écoute ! Je… Je suis désolé si ça t’a fait du mal mais… Tu me connais Ian ! Je parle toujours trop vite ! Libère-moi putain c’est vraiment pas marrant !-Ah mais ce n’est pas un jeu, « mon ami ». Enfin, pour moi si mais sûrement pas pour toi.-Libère-moi putain ! Emilie, arrête tout de suite !
Ma verge est désormais gonflée à bloc en raison des coups de langue experts de la jeune gothique. A quoi il joue ces deux tarés ?
-Tu es sûre que tu veux que j’arrête ? susurre Emilie en me regardant droit dans les yeux, tout en embrassant mon gland déjà suintant de liquide pré-séminal. Ce qu’elle est sexy dans cette position… Cette pensée me traverse fugacement l’esprit mais je secoue la tête pour me reprendre. Il faut que je sorte de là ! Mais qu’est-ce qui leur arrive ? Ce n’est pas Ian ça ! Ian n’oserait jamais agir comme il le fait ! Et Emilie, si réservée d’habitude, ne parlant jamais de ses histoires de cul ou d’amour… d’où lui vient cette lubricité soudaine ?
-Ecoute Ian ! Si c’est des excuses que tu veux, je m’excuse, OK ! dis-je en hurlant. Relâchez-moi putain, où je vous jure que…-Que quoi ? me lance Ian d’un ton sardonique. Que crois-tu que tu vas faire dans cette position ? -Mais vous voulez quoi à la fin ? demande-je, la voix tremblante.
Mes nerfs commencent à lâcher. Je ne comprends rien à la situation. C’est forcément un cauchemar ! Je vais me réveiller ! Mais la douce sensation, bien trop réelle, des lèvres d’Emilie qui jouent avec mon sexe me font prendre conscience que cela est bien la réalité…
-Oh, ce qu’on veut, c’est jouer un peu avec toi, dit Ian d’un air vicieux en s’emparant d’un martinet aux multiples bandes de cuir. Qui sait, tu vas peut-être aimer ça ! Emilie, ma chienne chérie, continue de t’occuper de notre ami. Je pense qu’il va avoir besoin d’un peu de plaisir, mais pas trop non plus !
Il ne va tout de même pas… Une soudaine douleur me vrille le torse, brève et peu intense mais m’arrachant tout de même un cri. Putain ! Il vient de me fouetter là ? Mais il est complètement taré !
-Ian arrête ! hurle-je en tentant de forcer sur les bracelets d’acier pour me libérer (peine perdue). Tu es malade !
Nouveau sifflement, nouveau claquement, nouveau cri de ma part. Cette fois, la douleur est plus vive et les bandes de cuir laissent des marques sur ma peau qui mettent un peu de temps à s’estomper. Toujours avec son sourire pervers, et sa trique d’enfer qui me perturbent au plus haut point, je commence à perdre pied. Mon esprit n’arrive pas à assimiler tout ce qu’il se passe. Mes amis m’ont accroché à poil à une croix et l’un me fouette tandis que l’autre me prodigue une des meilleures pipes de ma vie ! Le cocktail de douleur, d’angoisse mais aussi de plaisir commence à me faire délirer. Je vois flou tandis que j’hurle à nouveau lorsque le cuir mord à nouveau ma peau désormais rouge vif.
-Ian, je t’en supplie… pleurniche-je, les larmes aux yeux. Arrête ça ! Promis, je ne me moquerais plus jamais de toi…-Ça je n’en doute pas, ricane-t-il. Emilie, ma belle soumise, je pense que tu peux le finir.
Aussitôt, la jeune gothique se déchaîne. Enfonçant ma verge ultra dure malgré la situation dans sa gorge, léchant ma hampe, mes couilles, prenant un testicule en bouche, titillant l’urètre, pourléchant la couronne… Je crie encore, mais de plaisir cette fois. Moi qui adore me faire sucer, je suis forcé d’admettre que c’est une reine de la pipe… Et malgré la douleur de ma peau à vif, le fait que je ne comprenne absolument rien à ce qu’il se passe et m’inquiétant sévèrement de la suite, je sens ma sève monter en moi tandis que cette diablesse bave et ingurgite mon sexe comme une affamée.
-Aaaah… Aaaaah ! Aaaaaaah !!!!!!! cris-je alors que l’orgasme commence à s’emparer de moi. Je vais venir !
A ce moment, Ian réarme son bras et se remet à me strier le corps de coups de martinets, tandis que j’éjacule abondamment dans la bouche d’Emilie. J’hurle à pleins poumons désormais, jouissance et douleur mélangées, sans savoir lequel des deux est le plus prégnant dans mon esprit ravagé. Je peine à reprendre mes esprits et lorsque je réouvre les yeux, c’est pour voir Emilie et Ian s’embrasser en s’échangeant mon sperme de bouche en bouche, dans un baiser vorace, passionné… Malsain… Je m’évanouis à nouveau…
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