Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 38 J'aime
  • 5 Commentaires

Le Manoir des Vices

Chapitre 20

L''Ange et la Succube

SM / Fétichisme
Point de vue d’Emilie
Ils arrivent et se regroupent en face de moi. Une fois que nous sommes tous là, Coralie me demande :
— Emilie, que ce passe t-il ? Tu vas bien ?— Oui oui, bien sûr. Ça va mais, par contre, je crois que j’ai fais une découverte sur… Ce qui se passe ici.— Ah bon ? Tu veux dire une découverte, une réponse liée à nos… Commence Mathieu.— Exactement, il y a une source d’eau à quelques minutes du manoir, dans...cette direction. — C’est probablement là que se trouve la réponse à toutes nos questions depuis tout ce temps… En déduit Jean.— Oui, probablement, mais la question est de savoir comment cela est possible ?— La seule réponse est d’y aller tous! Déclare alors Coralie.
Je regarde mes amis qui hochent tous de la tête. L’avis est unanime.
— Guide nous Emilie. Dit Mathieu.
Ils enfilent leurs chaussures et prennent leurs sacs avec gourde intégrée ainsi que de quoi manger. Une fois la porte franchie, une soudaine bourrasque de vent se lève. Je prends naturellement la tête de notre petit groupe puisque je connais déjà la route. Je les guide me fiant à mon souvenir, et bientôt nous entendons le bruit de l’eau.
Je mène mes amis devant le bassin et je leur montre du doigt. Ils ne cachent pas leur étonnement et me regardent comme si j’étais folle. Je m’en doutais un peu à vrai dire. Etrangement je remarque toutefois qu’ils ne sont pas attirés par les effluves que dégage le bassin. Ne voulant pas perdre la face je décide de m’y baigner, j’y plonge nue et, rapidement et comme la fois précédente, cette sensation me prend dans le bas ventre. Je me glisse contre le bord et ne peut me retenir de me caresser. Je reprends difficilement mes esprits puis je sors du bassin en tremblant dans un mélange d’excitation et de frustration. Coralie s’approche de moi et affirme :
— On te croit Emilie, tu sais. Tu n’as pas à nous le prouver. — Coralie on a fait… Enfin, voilà quoi… vous avez compris. Avoue Jean.— Sérieusement ?? S’étonnent-ils tous en même temps.
Coralie va même jusqu’à l’embrasser devant nous pour nous en convaincre. Le baiser incestueux fait encore plus grimper l’érotisme ambiant. Le frère et la soeur se tournent vers nous et nous sourient. Coralie vient alors s’installer à mes pieds.

— J’aimerais continuer nos… ébats, Maîtresse. — Et pourquoi j’accepterais? — Parce que je suis vraiment prêt à tout pour vous satisfaire. — Ah oui. Alors Prouve le moi…— Mais enfin… pas ici, je…— Oh si ! Justement, ici !
Je regarde mon amie, ma soumise droit dans les yeux. Ma main saisit son menton et je lui ouvre de force la bouche. Puis je la passe dans ses cheveux pour la mettre à quatre pattes. Mes amis se caressent mutuellement. Melissa se retrouve vite submergée mais c’est loin de lui déplaire.
Je pars alors avec Coralie qui me suis tête baissée. Au détour d’un couloir, je n’en peux plus, alors mes mains la plaquent contre le mur, la forcent à lever les bras et je l’embrasse en lui mordant les lèvres. Ma belle soumise lâche un gémissement, teinté d’envie et de douleur à la fois. Elle me fait frissonner d’envie. Enfin, je la force à se mettre à quatre pattes et à me suivre. Je me sens pousser des ailes. Pas celles d’un ange, mais plutôt celles d’une succube assoiffée de sexe. Et les penchants catholiques de ma soumise rendent la chose encore plus excitante. Pervertir ce corps...en la voyant elle paraît si pure, si innocente. Mais c’est loin de ce qu’elle est vraiment. Mes pas me mènent vers la cave ou nous avions joué la dernière fois. Je l’autorise à se lever pour descendre les marches. Ses mains et ses genoux ont légèrement rougi, me faisant sourire pensant aux sévices qui trottent déjà dans ma tête.
J’entends alors une voix sensuelle me susurrer doucement.
— Regarde ma douce. Regarde comme elle est prête à tous tes vices. Dis-moi ce que tu désirez et ton rêve sera exaucé.
Une idée me viens alors à l’esprit, une magnifique nonne en porte-jaretelles d’un noir onyx et un ensemble de la même couleur. Je sens la coiffe apparaître sur ma tête et regarde d’un air coquin ma belle soumise.
Point de vue de Coralie
Je regarde ma maîtresse étonnée, terrible et sensuelle à la fois. La robe lui arrive mi cuisses avec une ouverture sur la poitrine qui descend jusqu’à son ventre. Sa chevelure sort un peu de la coiffe spécifique entourant son visage.
— Alors ma soumise, aurais-tu envie de continuer ?— Oui Maîtresse, je le veux, du plus profond de mon cœur.
Voir mon amie dans cet habit, voilà une chose que jamais je n’aurais imaginé. Bien sûr, la jeune fille que je suis, élevée dans le Catholicisme est gênée voire outrée, mais la soumise qui s’éveille en moi en a terriblement envie. Emilie s’approche de moi, je remonte mon regard sur ces jambes. Sa paire de collants en résille, son vêtement qui descend juste au dessus de ses cuisses.
— Alors ma fille on n’est pas sage ? Dit Emilie en me regardant d’un air coquin tenant une cravache noire venue de nulle part. — Oui. Ma sœur je l’avoue et j’ai honte… Réponds-je en me prêtant au jeu. — Tu sais ce que je fais aux filles qui ne sont pas sages ? Je les dresse !
Ma maîtresse claque sa cravache sur mes fesses ; je me tiens toute droite voulant lui montrer que j’accepte ce châtiment avec grande joie. Sa main passe sur mon dos et sur mon cou m’arrachant un frisson de plaisir. Ses lèvres se posent sur mon cou alors que sa main libre vient tirer mon téton. Un mélange de douceur et de douleur me font ouvrir la bouche. Un doigt, puis deux, pénètrent dans ma cavité buccale et viennent s’enfoncer jusque dans ma gorge. Je les suce doucement, longuement en levant les yeux sur ma maîtresse. Emilie me regarde avec un grand sourire. Et ce sourire me rend folle, les lèvres de ma maitresse se teintent en rouge ; la cravache carresse mes tétons sensibles. Le coup arrive alors : fort et inattendu. Je sursaute en poussant un petit gémissement.
— Chhuuutt petite catin ! Dit Emilie en me serrant les joues entre son pouce et son index.
Je la regarde d’un regard soumis, de Mon vrai regard. Ma maîtresse retire sa coiffe de nonne et me donne un petit coup de cravache sur les fesses.
— Très bien. Voyons si tu peux passer le niveau suivant.
Quel niveau ?
Diffuse en direct !
Regarder son live