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Le Manoir des Vices

Chapitre 24

L'amour de biens des manières.

Lesbienne
“ Ouaf.” lâche Coralie en souriant.
Émilie répondit à son sourire en poussant Coralie vers l’avant et lèche alors deux doigts pour masser le petit trou de sa soumise. La soumise ferme les yeux en ronronnant. La jeune blonde sent la langue chaude de sa maîtresse jouer avec le chapelet avant qu’elle ne se lève.
La belle gothique revient alors avec toute une panoplie de déguisements et de jouets.
"- Tu vas être ma chienne ce soir. Dit Émilie un sourire en coin. — Ouaf, Maîtresse."

Coralie se laisse faire et après quelques minutes la voilà transformée. Un serre-tête à oreilles de chat, un bâillon qui lui déforme la mâchoire, un collier avec une laisse et un joli plug à queue. La jeune soumise faillit sombrer dans le bonheur, soumise à la perversité d’Émilie. Celle-ci ronronne en lui grattant la tête.
"Tu es une bonne chienne à sa maîtresse ?"

Ne pouvant parler, Coralie hoche la tête. Émilie passe derrière elle et se penche, ses doigts passent sur le fruit défendu de sa soumise. Il l’effleure avant de vite glisser sur les cuisses de la jeune blonde. La maîtresse fait le tour de sa soumise.
"Tu n’as pas honte d’exciter la Vierge Marie ?"

Émilie lui jette un regard espiègle et lèche ses doigts.

Point de vue de Coralie
Je sens mon entrejambe trembler de plaisir. Le plug a bien glissé en moi et la fourrure de la queue me caresse les fesses. Ma bouche me fait mal et ma langue tape contre le plastique du bâillon. Je dois beaucoup baver car je sens les filets de salive couler entre mes seins. Les doigts d’Émilie glissent dans ma chatte et elle commence de courts va-et-vient avant de tout arrêter. Trop rapide pour me faire du bien mais assez pour me frustrer.
Je grogne de frustration, du moins ce n’est qu’un gazouillis baveux. D’un geste vif Émilie me prend les joues et serre sa main. Ma mâchoire se déforme, j’en ai mal. Je vois mes yeux s’embuer, j’ai mal….J’en veux plus, je ne veux plus être sa soumise, je veux être son objet.
Un foulard rouge me cache alors la vue. Le bâillon se retire alors, je tire la langue, la bave coule sur mon cou.
" - Tu veux que j’arrête ?— Non pitié Maîtresse...Vierge Marie, n’arrête pas.— Une chienne ne parle pas."
Émilie vient de parler d’un ton vif de reproche. Ses doigts pincent mes tétons si fort que je me cambre en criant...de plaisir.
" waf, waf." Dis-je alors.

Rien, mon cœur s’est accéléré, ma vue cachée je ne peux pas savoir si j’ai eu la réaction que ma Maîtresse voulait. Il y a un blanc de quelques secondes, mon corps frissonne, je me mords la langue. Je n’avais qu’une peur de dire quelque chose qui empirerait la situation. Les secondes qui suivirent furent les plus longues de ma vie. Puis le coup parti vif, je lâche un cri d’étonnement. Mes lèvres intimes sont gonflées de plaisir...Ce qui rend le coup plus électrisant.
Le foulard qui me bloque la vue disparaît. Je cligne des yeux, Émilie se tient devant moi. Elle avait retiré sa robe blanche et bleue pour une robe noire moulante. C’était une robe qui lui arrivait mi-fesses et qui se terminait sur des cuissardes avec des bas résilles. Sa belle poitrine était à chaque seconde sur le point de sortir du vêtement.
Alors que je m’attendais à voir sa jolie vulve sous une culotte, je fus un peu étonnée, je dois l’avouer, d’y voir un gode ceinture.
D’un rose transparent et d’une bonne taille, ma Maîtresse me fait buter le sexe factice sur les lèvres. J’ouvre la bouche, ma langue tourne autour du sexe avant que je le glisse totalement dans ma bouche. Je fais alors de petits mouvements, je le sens glisser de plus en plus loin dans ma gorge. Émilie me prend alors les cheveux et rythme ses allées et venues. Jusqu’à ce que je crie pitié, quel tableau je dois donner.
Émilie n’est pas allée de main morte, je tousse, ma gorge brûle. Ma maîtresse me jette alors sur le lit. Je reprends ma respiration. Mes lèvres intimes sont alors visitées par le gode qui glisse de tout son long en moi. Je continue à baver, ma salive touche mon visage. Émilie se penche sur moi, le gode entrant et sortant à une vitesse folle. Je suis uniquement là pour la satisfaire, satisfaire ses penchants. Je suis prise d’une première jouissance. Mon corps tremble, Émilie se retire alors et prend le chapelet pour fouetter mon abricot.
Ce dernier étant sensible, je crie à nouveau de douleur. Émilie me serre la gorge, je jouis, je l’embrasse… Je n’ai plus de force. Ma belle gothique se retire de mon antre et s’allonge à côté de moi. Émilie retire son gode et se met au-dessus de moi. Nous faisons tendrement l’amour avant de nous blottir l’une contre l’autre. Coralie émerge du sommeil quelque temps après et se dirige vers les toilettes. Elle s’assoie dessus et alors qu’elle allait soulager sa vessie, Émilie entre. Surprise, la jeune blonde ne sait que dire. Elle regarde son amie se mettre à califourchon sur elle. " Urinons ensemble ma chérie." Émilie et Coralie s’embrassent alors qu’un liquide chaud coulait de leurs intimités.

Melissa se lève et s’étire tel un chat et s’habille. Se contentant que d’un maillot deux pièce et d’une petite robe à fleurs. Alors qu’elle passe de l’eau sur son visage pour se réveiller une main glisse sur son ventre.Ian la serre contre elle.
"- Bonjour mon amour. Chuchote-t-il.— Coucou mon beau chevalier… Tu as bien dormi ?— Comme un bébé et toi ?-Pareil."

Melissa se glisse dans les bras de Ian et l’embrasse. La jeune fille sent la main de son petit ami glisser sur sa joue. Puis elle se dégage pour se diriger vers la salle de bain. Elle entend Ian la suivre et alors qu’il entrait, Melissa lui saute dessus et se mettant à genoux se met doucement à sucer Ian. La langue de la jeune fille glisse le long de ce doux sucre d’orge avant de se redresser.
" Prends moi… Maintenant."
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