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Le manteau oublié

Chapitre unique

Je suis surpris dans une séance d'auto bondage

Trash
Je sursaute. Je réalise que cela doit être Albertine qui est venue reprendre son manteau, j’ai complètement zappé, persuadé de ne pas être dérangé pendant ces 4 jours de week-end prolongé où ma femme est allée avec les enfants dans sa famille. Je suis mal. Je prends un gros sweat shirt et un pantalon de jogging et je descends ouvrir, et donner son manteau à l’amie de ma femme.
C’est une belle femme, mais j’avoue l’apprécier de moins en moins, et je l’évite quand je peux. Je la trouve assez superficielle, sans colonne vertébrale, à rire de tout, sans grand fond. Elle est aussi grande que moi, très jolie en fait, mais je préfère les petites comme ma femme. Bien entendu au début j’ai fantasmé sur elle, comme tous les hommes, mais sans que ce soit très excitant. Il y a chez elle une dissonance, sur laquelle je n’arrive pas à mettre le doigt. Bref, je ne la sens pas.
Ses yeux bleus me transpercent quand j’ouvre la porte, et je ne peux faire autrement que la faire rentrer dans notre maison. Avec ses talons et moi pieds nus, elle me dépasse. Mince, elle a une petite poitrine qui la complexe, me dit Laurie, ma femme, mais elle n’a pas à complexer, je pense que tous les hommes la désirent. Ses yeux sourient, elle sourit tout le temps. En fait je pense qu’elle se protège ainsi. Mais de quoi ? Apparemment cela ne l’intéresse pas de creuser. Sans doute est-ce trop dangereux.
— Je te dérange ?— Euh non. Je pensais que tu devais appeler avant de passer.— Oh j’étais dans le coin alors j’ai tenté le coup. Tu ne me fais pas entrer.— Euh c’est-à-dire, que, euh, oui si tu veux.— Tu sais je t’ai à peine aperçu hier quand je suis passée.— Oui c’est vrai.— Tu me fuis.— Non, euh non pas du tout.— J’ai fait exprès de laisser mon manteau pour repasser, je savais que tu serais seul.— Quoi ! (Je suis estomaqué)
Je n’ai pas le temps de me ressaisir, qu’elle se colle contre moi et vient m’embrasser. Machinalement je commence à lui rendre son baiser qui est, il est vrai, très agréable et excitant, avant de la repousser réalisant la situation explosive. Ses yeux sont devenus interrogateurs et je rougis. Mon Dieu, je voudrais disparaître. Ce n’était pas du tout prévu. J’ai envie de pleurer.
— Oh dis-moi tu caches des secrets.— Je, je, tu veux dire quoi ?— Tu crois que je n’ai rien senti ?— Ecoute il ne faut rien dire à Lolo.— Rien dire de quoi ?— De notre baiser, de ce que tu as senti.
— Oh cela va dépendre.— S’il te plaît.— Allez montre-moi ce que tu caches. Un sweat par cette chaleur, franchement. Je suis très curieuse, tu sais. Ses yeux brillent à nouveau.— S’il te plaît, tu ne veux pas me laisser. (je sais qu’avec elle cela risque d’être très compliqué, elle adore les histoires)— Oh non, et te voir si suppliant cela m’excite encore plus. Tu sais j’avais envie d’une bonne baise avec toi. Laurie semble dire que tu as un sexe vraiment gros et que tu peux t’en servir pendant des heures, cela m’a donné envie.— Mais c’est ton amie !— Bah ce n’est pas comme si on avait une liaison, juste comme cela pour essayer. Mais là d’un coup, je suis plutôt intriguée. Montre-moi. Sinon je dis à Lolo que tu t’es jetée sur moi et que tu m’as forcée à baiser.— Mais ce n’est pas vrai.— Elle me croira et toi tu vas filer un mauvais coton.— D’accord, mais tu ne dis rien alors.— Promis juré.
J’ai envie de la croire, mais au fond je sais que je suis dans de sales draps. J’enlève mon sweat, honteux, sous le regard écarquillé d’Albertine. Elle s’approche de moi, caresse mes seins, et descend sur les mamelons terriblement étirés vers le bas avec chacun une pince japonaise lestée de 400 grammes de poids. Je sais qu’ils ne peuvent se décrocher, d’autant que mes tétons sont maintenant très développés. Elle pèse les poids, me regarde un grand sourire aux lèvres.
— Eh ben qui aurait dit que le grand sage était en fait un petit garçon pervers. Tu caches bien ton jeu. Cela dit je préfère comme cela, c’est bien plus drôle. Et le corset te va à ravir.
Elle passe ses mains sur ma taille étranglée par un corset noir très serré. Il me fait un ventre super plat, bien plus efficacement que toute la gymnastique du monde.
— Tu dois avoir du mal à respirer. Lolo est au courant de tout cela ?— Non pas du tout, elle ne doit pas savoir.— Pourquoi ?— Je, j’aurais trop honte.— Comme celle que tu ressens là ?— Oh bien pire.— Comment tu fais pour lui cacher ?— Je, j’ai une cantine au grenier avec ses affaires bien cachées.— Et dès qu’elle part, tu vas jouer ainsi.— Oui.— Intéressant. Et toujours tout seul.— Oui.— Pourquoi ?— Je n’ai jamais trouvé une personne que cela amusait de me torturer de façon aussi extrême.— Ah oui ? Je comprends, c’est ton plaisir, quel plaisir pour l’autre ?— Voilà. Sauf si elle est sadique, et veut me faire du mal.— Passons aux choses sérieuses alors. J’avoue que cela me titille de jouer ainsi.— Comment cela ?— Enlève ton pantalon.
J’obéis sans résister, de toute façon je devrais l’enlever, j’espérais m’en tirer à bon compte. Mais avec Albertine c’est sans doute un vœu pieux. En fait c’est vraiment maintenant que j’ai honte. Si mon sexe pouvait se rétrécir, il deviendrait invisible, mais là il ne peut pas. Pas du tout. Albertine porte la main à sa bouche, elle est choquée. Je suis désolé, je le lui dis.
— Oh mon Dieu !— Je me rhabille ?— Tu rêves. (Elle sort un appareil photo et me mitraille. Je voudrais lui dire non, mais je ne sais pas réagir. Je suis complètement paralysé)— S’il te plaît, tu comprends comme c’est gênant.— J’avoue oui que cela doit être très très gênant. J’adore te voir ainsi implorant. Tu n’es plus le sphinx inaccessible que tu joues d’habitude avec moi. Et avec les autres. Tu peux avoir honte c’est clair. Il va falloir que tu sois très persuasif pour que je ne raconte pas celle à la terre entière, c’est trop drôle ! En même temps cela ne me laisse pas indifférente !— Je suis désolé.— Tu es désolé de quoi ?— De, je ne sais pas, de tout cela.
Il est vrai qu’aujourd’hui, pour commencer mes 4 jours d’auto-tortures je me suis surpassé. Cela fait des semaines que je pense à ce que je vais me faire subir. Je l’écris, comme si c’était des instructions d’une Maîtresse que je dois exécuter. Je programme les emails longtemps à l’avance pour un peu perdre de vue ce que j’ai pu écrire, parfois dans la fébrilité d’un désir extrême.
Le plus simple pour commencer, ce sont mes couilles. J’ai un ball strectcher de 60 mm de haut et 750 grammes qui les pressent et fait ressortir mes deux noisettes qui sont d’une couleur violette avancée. Je les ai enduites de silicone pour que cela coulisse mieux. J’ai rajouté un anneau de 20 mm de haut qui a la particularité d’avoir des vis qui rentrent dans les chairs. Je les ai vissées à moitié et déjà la douleur est forte. Avec ces deux poids, les couilles sont écrasées et douloureuses. J’adore cela. Rien que de me presser les couilles je bande. Et je n’ai pas peur de m’évanouir lorsque je me fais trop mal.
Derrière les couilles cela reste simple, même si c’est nouveau pour moi. Cela fait des années que j’ai un plug anal en métal, percé au centre. Il est très large, puisqu’un gode de 5 centimètres peut passer au centre de celui-ci. Après beaucoup d’effort et de dilatation, j’ai enfin réussi à le mettre. La sensation physique est folle, car le métal est très rigide, et après une demi-heure, cela tire très fort dans le cul, mais les jambes aussi. La vision est démente avec ce gros trou permanent. Evidemment il a fallu faire un bon lavement.

Le clou, une fois n’est pas coutume, est mon sexe, que j’ai supplicié comme jamais. J’ai enfilé un anneau qui se fixe au niveau de la base du prépuce et qui est maintenu par 6 vis qui pénètrent profondément les chairs. La douleur est terrible. Mais avant de les serrer, je me suis introduit dans le méat une grande vis à bois, de 10 mm, qui fait environ 12 centimètres de long. La voir disparaître progressivement, et doucement pour ne pas me blesser, me coupe le souffle. Je la visse comme dans du bois, mais c’est mon sexe. Je suis sa progression dans ma tige, pour m’assurer qu’elle est toujours bien alignée. La brûlure est intense. La tension aussi, j’ai attaché un lacet à la base pour voir quel poids je pourrais supporter, tenu par cette vis. Mais Albertine est arrivée !
Lorsque la tige a été vissée entièrement, seule la tête sortant, j’ai serré les 6 vis de l’anneau de prépuce, qui sont venues buter sur la vis. Inutile de dire que j’ai mis du temps à les serrer tant la douleur était intense. Mais je n’en avais pas fini avec les instructions que je m’étais données quelques semaines plus tôt. J’ai pris une gaine cloutée maintenue à la base du sexe et qui vient le recouvrir totalement, jusqu’au prépuce, le maintenant ainsi étiré et très serré, les pointes rentrant dans mes chairs sensibles du pénis. J’ai serré autant que possible la gaine, puis que je suis allé chercher des serre fils que j’ai disposés tous les centimètres, en les serrant de façon exagérée avec une pince, marquant mon pénis comme un saucisson trop serré. Mon sexe n’est plus qu’une souffrance. Je me suis dit que j’aurais dû imbiber la vis de piment pour que cela soit complet.
La vision du résultat par l’amie de ma femme doit être très impressionnante, et je pense repoussante. Il faut être pris dans une fébrilité masochiste pour désirer une telle chose. Et là d’un coup ce n’est plus mon cas. Je me trouve pathétique. Presque incapable d’expliquer mon geste.
Albertine me fait mettre à genoux, je ne réalise même pas que c’est bizarre, puisqu’elle s’installe sur le canapé que je lui montre toutes ces tortures, avec toutes les explications. Son regard est maintenant indéchiffrable pour moi. J’imagine qu’elle s’interroge comment réagir. J’aurais pensé qu’elle se serait enfuie de ce cauchemar.
— Cela fait longtemps que tu fais des trucs aussi bizarres ?— Oui, depuis mes 10 ou 12 ans.— Pourquoi ne pas en avoir parlé avec Lolo.— Elle n’aurait pas compris. Déjà la sodomie pour elle c’est trop pervers.— Tu dois être frustré.— Oui, mais ces périodes de respiration me permettent de vivre cela de façon très intense.— Et tu pensais passer ces 4 jours à cela.— Oui essentiellement.— Moi j’étais venue me faire baiser par toi, mais cela va être compliqué maintenant. Regarde j’avais enlevé ma culotte pour pouvoir être prise plus facilement. Et regarde comme je suis mouillée. Qu’est-ce que tu en penses ?— Je, je ne sais pas. J’ai honte. Mais te voir nue sous ta robe ainsi, c’est excitant.— Oui tu peux, je ne suis pas certain qu’il existe un mec plus pervers que toi. Mais cela m’excite prodigieusement. Tu vois là je me retiens de jouir tellement cela m’excite de te voir, toi, dans cette situation. C’est très amusant et intéressant. J’imagine oui, que Laurie, à voir ces photos, serait horrifiée.— Tu ne vas rien lui dire ?— Non bien entendu. Tu sais que je suis en vacances toute cette semaine, j’ai envie de comprendre un peu mieux quel sale pervers tu es. Je ne te juge pas, en fait si quand même. Mais cela provoque en moi un bouillonnement inattendu.— Tu ne veux pas faire comme si rien ne s’était passé ?— Ah non ! Je crois que je vis le moment le plus surprenant de ma vie, j’ai presque du mal à recoller avec le Nathan que je connais par ailleurs, qui me méprisait un peu, voire beaucoup.— Euh non, pourquoi tu dis cela ?— Parce que je ne suis pas conne et de toute façon Lolo me l’a dit.— Oh je suis désolé, tu sais je suis un peu ours.— Tu es surtout un gros pervers maso. Allez on monte tu vas me montrer ce que tu as.— Vraiment ?— Ecoute, quand je te dis un truc tu le fais. Sinon tu vas m’énerver et c’est toi qui en paieras le prix. C’est compris ?— Oui Albertine.— Voilà c’est mieux.
Nouveau choc en entrant dans notre chambre pour elle : Toute une table est remplie des jeux que j’ai sortis pour que cela soit plus pratique pour moi. Elle me fait mettre à genoux et passe tout en revue. Moi je suis vidé, je n’arrive pas à penser à quelque chose. Si elle trouve que mon image ne colle pas, alors la sienne non plus, elle n’est en rien dominatrice ni sadique. Je crois. Le plus simple est de retenir mon souffle, attendre que ce cauchemar se termine.
— Intéressant, tu sais que je suis passionnée par les travestis. Et bien je crois que je vais m’amuser avec toi. Tu as tout ce qu’il faut. Et je crois que tu me fais découvrir d’autres désirs en moi dont je n’avais aucune conscience du tout. Pour commencer, enfile ces bas, ce sera bien plus esthétique.
C’est vrai que j’aime cela aussi, mais plus dans une forme d’humiliation, ne plus ressembler à un homme. Les bas viennent avec une ceinture qui tient très bien avec le corset, et je me retrouve encore plus indécent avec ce sexe horriblement mutilé qui émerge de la soie tendue. Je commence à avoir très mal partout. Je lui dis.
— Tu avais prévu de garder cela combien de temps ?— Jusqu’à 18 h !— Oh il te reste plein de temps, et je suppose que ma présence t’aide à supporter, c’est plus facile de ne pas avoir le choix. Reparlons-en à 20 H. Qu’en penses-tu ?— Oh non je ne pourrais jamais.— Je comprends, alors on se dit 21 h. Tu vas vite comprendre non.— Oh mon Dieu, oui.— Oui quoi ?— Oui Albertine, nous en reparlerons à 21 h.— Tu as envie d’avoir vraiment mal, non ? Tu peux bien m’offrir cela, alors que je n’ai même pas pu m’empaler sur toi. Cela me donne des idées d’ailleurs. Tu as un matériel de folie ici, c’est vraiment étonnant. Viens me montrer comment tu marches avec de hauts talons ? Oui pas mal, tu fais très pute comme cela. Oh j’adore, continue à marcher, je n’en peux plus il faut que je me fasse jouir.
Ses cris ne sont pas passés inaperçus, d’autant qu’elle a enchaîné de suite avec un second orgasme.
Elle veut tout passer en revue, suivant mes explications avec un grand sourire, me répétant sans cesse que je suis le roi des pervers et que c’est normal que je déguste ainsi. Je n’en peux plus, c’est la première fois que j’étale ainsi tous les gadgets et la liste est impressionnante. C’est idiot, je pourrais me libérer, mais je n’en fais rien. Pas à cause de la menace, mais simplement je ne réfléchis plus. Je la supplie de me libérer, lui promettant de faire tout ce qu’elle voudra. Elle me filme en riant de me voir si rampant et pathétique. Elle me dit qu’il reste 1h30 avant de me libérer, qu’elle doit rentrer chez elle. Elle me menotte à genoux à mon escalier, m’interdisant de bouger, mais comment je pourrais faire ? Je la supplie, en vain, elle m’offre son charmant sourire, et me dit que je vais apprendre à la désirer !
Je me suis assoupi tant les souffrances m’épuisent. Albertine est de retour, cette fois-ci avec des talons aiguilles et une jupe ultra-courte, elle est très sexy avec ses jambes interminables.
— Alors heureux ? Tu vois je t’offre ce que tu voulais, non ? Une femme qui te fasse souffrir au-delà de tout ?— S’il te plaît je n’en peux plus.— Oh je m’en doute, il est 21h je vais te libérer, un peu. Mais ce n’est que pour mieux de supplicier cette nuit, tu vas voir. Cela m’amuse follement de te briser ainsi. Et tu as vu, je fais plein de photos, même des vidéos cela va être très chouette. Est-ce que tu as envie de moi ?— Pardon ?— Est-ce que tu as envie de ramper à mes pieds.— Oh oui ! Libère-moi et tu verras.
Elle ouvre mes menottes et je me précipite à ses pieds pour les embrasser, caresser ses jambes, lui demander pitié et lui promettre tout ce qu’elle voudra.
— Oui j’ai bien enregistré que tu ferais tout ce que je veux et j’y compte bien mon petit toutou pour ces quelques jours.— Oui Albertine, tout ce que tu voudras. Je suis à toi.— Déjà ? Non je veux que tu crèves de me toucher, que je me venge de ta distance et ton mépris. J’avais envie de toi, mais je crois que tu n’auras jamais droit à moi !
Une à une mes contraintes sont enlevées, la douleur induite n’a aucune importance, la vie revient dans mon corps. La souffrance était intense, je me retrouve à 4 pattes à ses pieds. C’est vrai qu’alors je me sens bien. Albertine m’envoie prendre une douche et vider mon plug. L’eau brûlante me fait du bien, heureusement qu’elle n’a pas pensé m’interdire l’eau chaude. C’est vrai qu’elle est belle et magnifique ainsi avec ses talons. Ses jambes sont incroyables. Je n’arrive pas à la décoder, je ne comprends pas même qu’elle s’amuse ainsi. C’est vrai qu’elle a toujours aimé les travestis, les drag queens et autres déviances, peut-être se trouve-t-elle dans ce qu’elle découvre.
Je dois me rhabiller pour sortir. Albertine décide me mettre ma ceinture de chasteté micro, tant elle enserre et contraint mon sexe de façon douloureuse. J’ai l’air ridicule avec un pénis qui semble faire 2 centimètres et mes énormes couilles qui pendent en dessous. La cage est sécurisée par une chaîne, elle sait tout puisque je lui ai tout présenté. Je dois remettre mon corset qu’elle s’amuse à serrer comme dans les films avec un genou dans le dos. Et c’est vrai que c’est efficace, je n’ai jamais été aussi serré. Cela me donne une allure canon dans mon costume, un ventre super plat. J’ai dû remettre les bas avec la ceinture qui les maintient. Elle m’oblige alors à sortir avec mes escarpins à talon. Ils font au moins 10 centimètres et nous sommes à la même taille. Je suis terrorisé de croiser quelqu’un dans l’immeuble, ou même dans la rue. Je dois faire vraiment bizarre en costume avec des talons aiguilles. Je n’ai pas trop le choix.
Là encore Albertine me mitraille, me fait prendre la pose, y compris dans la rue.

Nous allons dans un club échangiste à deux pâtés de maisons de chez moi. Laurie n’a jamais voulu que nous y allions ! Je suis soulagé une fois dans la pénombre du club qui est immense et vraiment très beau. Le patron nous repère tout de suite, surtout Albertine, et nous offre une coupe de champagne. Cela me détend, tandis que ma compagne semble émerveillée de tout ce qu’elle voit. C’est fou sa capacité à s’ouvrir à la nouveauté, je me demande ce qu’elle a bien pu faire jusqu’à maintenant pour sembler si vierge !
Après quelques minutes à observer la population qui a tous les âges, beaucoup en couples, mais aussi pas mal d’hommes seuls, plutôt jeunes, Albertine décide d’aller sur la piste de danse. Impossible de la rater, et personne ne la rate. Très vite elle est entourée de 5 ou 6 jeunes qui s’enhardissent et se mettent à la caresser tout en dansant. Elle ne s’en offusque pas, et au contraire semble les encourager. C’est terriblement sensuel, et je souffre dans ma cage, mon érection bloquée par les nombreuses piques intérieures de la cage. J’ai une envie de jouir de folie. Et là, oui, j’ai une envie démente d’Albertine.
Une femme venant d’un groupe de quelques couples, vient s’asseoir à côté de moi, la bonne trentaine.
— Elle est chaude ta copine, je crois qu’elle va bien s’éclater ce soir.— Oui, elle est très belle, et je crois qu’elle en a envie.— Et toi c’est quoi ton envie ?
Sans que j’aie le temps de réaliser, elle plonge sa main entre mes jambes. Décidément ce n’est pas ma journée.
— Mais qu’est-ce qu’on a là. Tttuttt, laisse-moi voir. (Je me résigne). Oh tu es un petit soumis, tout le monde va se faire ta copine, mais pas toi j’ai l’impression.
Elle part dans un fou rire, sa main glisse sur mes couilles qui l’impressionnent. Elle les serre un peu, me donnant encore plus envie de bander, elle me traite de tapette maso. Elle se lève laissant mon sexe cadenassé à la vue de tous et va aller raconter cela à son groupe d’amis. Je suis terriblement honteux, je me rhabille vite fait, je n’ai jamais été humilié ainsi. J’ai envie d’être battu pour cela.
Sur la piste de danse, c’est devenu très chaud. Albertine a perdu son haut, et sa jupe est retroussée, elle est totalement nue, avec des mains partout sur son corps. Elle embrasse les inconnus l’un après l’autre, et au gré des spots, on voit ses cuisses briller de sa mouille. Je n’en crois pas mes yeux. Albertine ? Elle me fait un signe de les suivre, vers une pièce plus calme ornée d’un immense lit qui doit mesurer au moins 4 mètres sur 4. Elle vient s’allonger au milieu, après avoir ôté sa dernière pièce de tissu. Comme des vautours les mecs se jettent sur elle. Entourée de bites tendues, dont une dans le sexe, une dans la bouche, elle caresse tout ce qu’elle peut, gémit de plaisir et trouve le moyen de me demander de lui lécher les pieds pendant ce temps à genoux.
C’est horrible de sentir tous ces inconnus profiter d’elle alors que moi je ne peux pas, humilié à lécher ses pieds, contre celui qui la pilonne longuement. Le patron vient voir la scène, et murmure quelque chose à l’oreille d’Albertine qui semble acquiescer. Quelques instants plus tard, l’homme de la sécurité arrive et attend que le jeune ait fini de jouir en elle, pour prendre sa place. Quand il sort son sexe, le silence se fait et sans qu’un mot ne soit dit, tout le monde se recule pour le voir. Je m’y connais en taille de gode, et le sexe qu’il exhibe est d’un diamètre et d’une longueur très impressionnante. Je me demande comment le préservatif n’explose pas. Il se caresse un peu pour se durcir, et j’avoue que la vision est incroyable. Ce sexe noir énorme qui se dirige vers les chairs tendres et blanches d’Albertine.
Elle l’excite de sa voix, de son désir de le sentir cogner contre elle. Se retournant, elle offre son sexe déjà béant en position de levrette.
— Oh mon Dieu, tu es énorme, tu es mon Dieu, ah...
Je ne sais si ses cris sont de plaisir ou de douleur, cela semble être mélangé. Il rentre doucement, se retirant pour rentrer plus loin encore. Elle hurle qu’elle veut sentir ses couilles contre elle, mais ne se rend pas compte qu’il n’est pas rentré à moitié ! Alors il force, la fait hurler, continue son travail sachant que le vagin va s’adapter dans la douleur. Il commence ses va-et-vient profonds, Albertine n’est qu’un cri en continu, les mecs se branlent tout autour. Elle en réclame plus, elle veut le sentir tout en elle. Cela semble impossible, elle s’en fout, elle lui demande de la déchirer, elle a perdu les pédales. Mais lui continue et son membre disparaît enfin complètement, arrachant des gémissements de folie à Albertine. La salle est remplie d’hommes et de femmes excités de la voir, chacun se masturbant, sauf moi bien entendu. Elle ne veut pas qu’il jouisse, que cela dure encore et encore.
Quand enfin il se lâche, les deux hurlent leur plaisir, avant de s’écrouler sur le lit. Albertine a les yeux dans le vague, se penche sur le videur et l’embrasse longuement. Elle lui retire son préservatif rempli et m’appelle. Elle me le met dans la bouche à ma grande honte, devant plus de 30 personnes. Je jouis presque de cette humiliation et de boire le sperme du géant. Tout le monde se retire pour la laisser récupérer, je reste avec elle, nous sommes dans les bras l’un de l’autre.
— Alors est-ce que tu n’as toujours pas envie de moi ?— Je suis fou de toi, tu es incroyable. Je meurs de ne pas pouvoir te prendre, de ne pas pouvoir même bander à te regarder. Tu es... oui incroyable.— C’est bon de te sentir ainsi. J’ai toujours eu envie de toi. Maintenant plus, ou alors différemment, j’ai envie de te prendre comme une femelle, un truc qui m’a toujours excitée aussi. Mais là je suis démontée.— Tu m’as humilié devant tout le monde.— Oui comme cela tu étais à ta place. Bas les masques, tu n’es qu’une tapette maso qui se fait passer pour un seigneur inaccessible. Oh comme je vais te le faire regretter. Mais merci, tu m’as ouverte comme jamais, je crois que je n’attendais que cela, j’ai perdu du temps, mais je vais le rattraper.
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