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Manu et Bridget

Chapitre 1

La couguar et le jeune loup

Hétéro
Manu et Bridget.
 Cette histoire que vous allez lire est-elle réelle ou imaginaire ? Ou bien peut-être vous fera-t-elle penser à un couple célèbre.  Mon fantasme se mélangeant peut-être à la réalité. Je me présente. Je m’appelle Bridget, professeure de français. Je donne toujours le meilleur de moi pour aider mes élèves, ayant comme principe de me faire respecter pour qu’ils ne prennent l’ascendant sur moi. J’ai quarante-quatre ans, divorcée, trois enfants.Professionnellement je n’aurais jamais dû céder et repousser mes désirs, mais en tant que femme je n’ai pas pu m’y résoudre. Comment en suis-je arrivée là ? Je ne saurais dire… Ce récit concerne un de mes élèves, je l’appellerai pour plus de discrétion Manu. C’était un beau jeune homme  quand il est apparu dans ma vie. Je reconnais que mes jeunes élèves peuvent avoir une certaine virilité malgré leur jeune âge, mais je ne fantasme absolument pas sur eux. Je suis plutôt énervée de leur comportement. Ils ne savent plus respecter l’autorité de qui que ce soit.Cet étudiant, toujours assis au premier rang de la classe était assez timide et son comportement assez respectueux me plaisait bien. Il plaisait d’ailleurs à tout le monde, l’esprit vif, intelligent, brillant dans ses études. Il n’est pas plus grand que moi, mince, un profil assez volontaire. J’aime bien discuter avec mes élèves après les cours, mon auditoire est plutôt fait de filles mais j’ai remarqué que Manu n’est jamais loin mais n’ose jamais venir se joindre à notre conversation. J’ai une idée pour lui faire vaincre sa timidité. En plus du français, je m’occupe du théâtre de la fac, montant des pièces avec mes élèves. Je lui demande s’il voudrait se joindre à la troupe, que ce serait bien pour lui pour prendre de l’assurance en public. Je ne me suis pas trop préoccupée de lui les deux premières années, c’est surtout lors de cette nouvelle rentrée étudiante que j’ai remarqué le changement chez lui.Manu est devenu un jeune majeur, je le trouve de plus en plus mignon, j’ai pu m’en rendre compte lorsqu’il s’est mis torse nu pour passer un costume de théâtre. Il a aussi un joli petit cul. Un vrai beau gosse quoi, et il le sait, mais n’en abuse pas avec les filles, je ne sais pas pourquoi. Je suis sûre que la plupart des filles seraient ravies qu’il daigne s’intéresser à elles.Un beau jour, à la toute fin des cours, il décide de prendre les devants et de m’aborder. Si la tranche d’âge qui m’attire serait plutôt entre 30/35 ans, je ne suis pas insensible à ce jeune homme qui sait qu’il est un beau mec. Depuis mon divorce, je ne cours plus après les hommes, mes enfants me suffisent pour mon bonheur et coté sexe je suis au point mort, littéralement. Je ne sais pas pourquoi mais mon cœur bondit en le voyant hésiter à sortir devant la porte ouverte, je l’invite à venir s’asseoir. Il semble aussi intimidé que moi, il rentre et s’installe sur la chaise devant mon bureau sans rien dire, croisant ses longues jambes. Il porte un jean moulant et des baskets blanches. Il me regarde un sourire aux lèvres et me sourit et cela suffit pour que mon pouls s’accélère. Je m’assois sur le coin du bureau face à lui, jambes croisées. Il me parle de théâtre, de la façon de jouer la scène du baiser.Sans trop y penser, je me surprends de constater que je lui plais, je le vois bien, juste à sa manière de me regarder, de baisser les yeux quand je croise son regard. Les autres le font aussi, mais avec lui ça n’est pas pareil, je le sens car il rougit comme pris en faute. A cette idée, mon cœur s’emballe et sans vraiment réfléchir je décroise les cuisses et perds une de mes souliers. Il se baisse aussitôt et quand il se redresse la chaussure en main il ne peut s’empêcher de jeter un regard sous ma jupe, très vite, espérant que je ne m’en aperçoive pas. Je resserre mes cuisses, ses joues sont rouges comme une pivoine. Ai-je voulu inconsciemment me dévoiler devant lui ? Je ne le sais pas. Que doit-il penser de moi en voyant ma petite culotte, en devinant ma vulve charnue ?  Pour moi, son regard sous ma jupe m’a fait un effet du diable. J’espère qu’il ne me prend pas pour une prof vicieuse qui veut profiter d’un de ses élèves.-Merci Manu ! Je lui murmure, aussi embarrassée que lui en tendant mon pied déchaussé comme Cendrillon au prince avec la pantoufle de vair.Il fixe mes orteils aux ongles couverts d’un rouge carmin juste sous son nez. Il me prend le mollet de sa main gauche pour me remettre mon escarpin avec l’autre main. Je sens la pression délicate de ses doigts et ce simple toucher déclenche en moi une pulsion sexuelle longtemps refoulée. Sans même m’en rendre compte, j’écarte les cuisses et il a une vue plongeante sur mon entrejambe. Une fois ma chaussure de nouveau autour de mon pied, il se redresse visiblement mal à l’aise. Son pantalon moulant ne peut dissimuler à mon regard un début d’érection. Je le regarde droit dans les yeux sans resserrer les cuisses. Visiblement, il se demande ce qui lui arrive et je me pose la même question. En tant que prof, je suis une femme inaccessible pour lui, je lui souris et lui demande :-Manu, qu’est-ce que tu proposes maintenant ? Ton expression est justement celle que tu devrais avoir lors de la scène du baiser où la passion l’emporte sur toute retenue de bienséance de cette époque. Il déglutit avec peine, il est dans tous ses états car en se rasseyant, son regard plonge entre mes jambes écartées juste un peu plus. Il a une vue imprenable sur mon sexe, ça me donne la chair de poule. Je sens la sueur glisser entre mes seins, dans le sillon de mes fesses, mais le pire, c’est ma petite culotte qui est maintenant complètement imbibée de mon jus et en devient pratiquement transparente, dévoilant encore plus mon intimité. Une énorme bosse déforme maintenant le devant de son pantalon tellement serré que le pauvre doit en souffrir. Il met ses mains entre ses jambes, se lève et se sauve comme s’il avait le diable à ses trousses. Mais qu’est-ce que je viens de faire ? Ce petit intermède fait de moi une femme différente. L’envie de plaire aux hommes me taraude à nouveau, le fait d’attirer les regards masculins est toujours agréable mais exciter la gente masculine dans mon métier est à haut risque et je n’arrive pas encore à franchir totalement le pas.Une excitation incontrôlée dans certaine situation me fait parfois mouiller comme une pucelle, et le phénomène empire à mon lieu de travail, la fac.Mes tenues sont moins conventionnelles que celles portées habituellement lors de mes cours, sans être provocante, je suis plus « féminine ». Aujourd’hui, j’ai mis un jean slim de couleur noir très moulant, des escarpins de même couleur avec des talons de huit centimètres assez classiques qui me font une silhouette moins passe-partout et met en valeur mes fesses. En haut un soutien-gorge balconant en dentelle sous un petit pull léger au col en V très prononcé. Quand je me penche pour prodiguer des conseils à un élève, il peut facilement apercevoir le sillon entre mes seins Et pour les élèves qui me matent de dos, ils peuvent entr’apercevoir mon string noir. Ils peuvent aussi deviner mes tétons proéminents à travers mon pull.C’est donc dans cette tenue que j’accueille mes élèves dans la salle de classe. J’entends les remarques susurrées dans mon dos. Pour la première fois, « j’allume » mes élèves et je dois dire que ça me plait. J’en suis arrivé là, je le réalise enfin, uniquement pour Manu. 
Je me surprends même à mater ses fesses quand je le fais venir au tableau numérique. Il sait qu’il est beau gosse mais n’en profite pas. J’ai invité chez moi les jeunes de la pièce de théâtre que nous répétons, trois filles et deux garçons.Avec tout ce qui se passe de nos jours, je ne la fais qu’avec des élèves majeurs. Je leur demande de s’installer dans mon salon, les trois filles s’installent dans le divan et les garçons prennent chacun un fauteuil. Manu porte un débardeur très large qui laisse imaginer sa musculature discrète et un simple jean droit, pas moulant cette fois.Je me suis vêtue d’une jupe étroite noire un peu plus courte qu’à l’habitude, bas nylon assorti à larges bandes élastiques aux cuisses, un petit top moulant, noir également. Sur mes lèvres bien rondes, j’ai mis un rouge brillant. Aux pieds j’ai des espadrilles. Habituellement je dissimule ma poitrine sous un tailleur, mais pas cette fois. Mes seins ramollissent à l’approche de la cinquantaine et remuent de plus en plus quand je marche avec des talons hauts. Ce n’est pas qu’ils sont si gros que ça mais, ça détourne l’attention des deux jeunes mâles et ils en oublient d’écouter. Pourtant, leur regard s’allume et les filles lâchent un « ouuhhh… » extrêmement gênant pour moi. « Sexy notre prof », lance Claire en me matant des pieds à la tête en souriant.- OK ! OK ! Les filles. Si je me suis habillée comme ça, c’est pour vous donner une idée de la tenue qu’une fille aguicheuse et qui veut supplanter sa rivale doit porter pour exciter le garçon qu’elle veut séduire. Sous leurs murmures amusés.-Bon, bon, OK ! Dis-je à nouveau me sentant rougir, on commence…. Je pars donc dans des explications et des petites scénettes avec l’un ou l’autre. Dans la scène du baiser, Loïse s’y prend comme un manche et je prends sa place. Je suis en face de Manu, j’évite de trop le regarder et je sens les yeux des autres rivés sur mon cul, enfin je l’imagine. J’ai l’impression que ma jupe se relève un peu trop et qu’ils peuvent voir la bande élastique de mes bas quand je me pends au cou de mon élève. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai une bouffé de chaleur, les aisselles moites. Mon cœur s’emballe et ma vulve suinte. J’espère que ça ne se lit pas sur mon visage, mes mains sont moites de sueur.Je ne sais pas si manu en pince pour moi et pourquoi je me comporte de la sorte mais un petit diablotin que je ne contrôle pas en moi me susurre d’être provocante. Je le sens aussitôt mal à l’aise. Quel effet une femme mature aux jambes bien moulées dans des bas noirs et une jupe courte peut avoir sur un tel jeune homme ? Mes lèvres viennent se coller aux siennes, nos bouches s’entrouvrent, nos langues se cherchent. Je sens ma vulve se dilater, de plus en plus humide, je suis sûre qu’il peut en sentir les effluves, je ressens de drôles de sensations. Je me compare à une professionnelle du sexe qui racole un nouveau client et en pince pour lui.Je ne me rappelle pas d’avoir été aussi allumeuse, surtout devant un jeune public. Je sais que j’abuse d’une position dominante mais en même temps je ne me rappelle-pas d’avoir eu envie d’un homme à en avoir mal au ventre. Je dois reprendre le contrôle de moi car je sens le feu courir dans mes veines, mes seins gonfler dans mon soutien-gorge, et même mes mamelons durcir et s’allonger.Je le repousse d’un énorme effort de volonté, je n’ose pas le regarder et quand je tourne la tête et vois les regards ébahis de mon public, mes joues s’empourprent encore plus, j’essaie de paraître calme et détendue mais je suis sur les charbons ardents. Je leur explique :-Vous m’avez bien observée ? Il suffit de peu de chose pour qu’un simple baiser avec une attitude un peu aguicheuse se transforme en un volcan prêt à entrer en éruption. Les protagonistes eux-mêmes en ressentent les effets, pas vrai Manu ?-Euh… Oui madame, j’en ai bien ressenti les effets…quelque part. Les filles se mettent à pouffer et l’autre garçon à faire une grimace, jalousie ?17 heures, fin du cours, ils partent les uns après les autres. Quand Manu passe devant moi pour me saluer, je lui dis de patienter quelques minutes en mettant un peu d’ordre dans la pièce. Je lui demande ensuite s’il veut rester dîner pour que nous approfondissions son rôle. Mon cœur se met à battre de peur qu’il refuse, il me regarde étonné sans dire un mot, un peu embarrassé. Manu est beau, vraiment mon genre d’homme malgré la différence d’âge. Cela me stresse et sûrement lui aussi, je comprends donc très bien qu’il mette un certain temps avant d’accepter mon invitation. Autant je peux être gêné moi aussi, autant je peux être directe et foncer pour bien des chosesIl y a trop longtemps que coté sexe, je suis au point mort, littéralement, ce jeune homme me plait et je crois que je ne lui suis pas indifférente non plus, je le devine juste à sa manière de me regarder. Malgré les ans, je crois être encore attirante, j’ai encore une belle silhouette avec de jolies jambes et une poitrine encore fière.Je suis assez jolie sans être d’une grande beauté. D’ailleurs des collègues ont tenté leur chance mais j’étais corps et âme dans l’enseignement et m’occuper de mes enfants. Lors du repas, je fais quelques allusions qui le font rougir. J’offre mon décolleté à sa vue, je me penche légèrement pour desservir la table, ma position lui permettant de jouir de mes avantages, il peut profiter du spectacle, n’étant pas dupe de mon piège Il faudrait que je me calme rapidement, car je commence à mouiller comme une folle malgré la gêne que j’éprouve quand même un peu.-Expliquez-moi encore la scène du baiser, me demande-t-il.   Je croise mes mains sur sa nuque pour qu’il approche sa tête de la mienne et plaque aussitôt ma bouche sur la sienne, dardant ma langue. Je crains qu’il me repousse mais il me serre contre lui avec force tout en m’embrassant avec vigueur. Il y a si longtemps que je n’ai plus senti l’étreinte d’un homme que je perds aussitôt toute contenance. Mais son comportement change alors du tout au tout. Heureusement que maintenant il est majeur.-Je n’aurais pas cru ça de vous, Madame, mais si c’est ce que vous voulez… Il relâche un peu son étreinte et retire sa main de mes cheveux, je reprends mon souffle quand il m’ordonne en me tutoyant :-Déboutonne ton jean, je sais que t’es trempée.Je déboutonne mon Jean, le regardant dans les yeux, il me sourit de satisfaction et je sens sa main droite caresser l’intérieur de ma cuisse gauche et remonter à mon entre-jambe, ses doigts me massant la chatte à peine quelques secondes à travers mon jean entrouvert. Je fais quoi ? Comme je ne bouge pas l’invitant tacitement à recommencer, il prend de l’assurance et repose sa main entre mes cuisses. Il se décoince enfin et reprend la parole :— J’ai du mal à croire à tout ça, t’es tellement belle, je n’aurais jamais cru que tu puisses être intéressée par moi. Bien sûr que j’en pince juste un peu pour ma belle prof, comme tous les garçons d’ailleurs. Mais jusqu’à maintenant, ce n’était juste qu’un fantasme.  A suivre…
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