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Marc et Laura partagent leurs expériences

Chapitre 1

J'ai découvert sa fontaine

Voyeur / Exhibition
Je découvre sa fontaineNous nous sommes rencontré un soir de juillet 2005 dans une discothèque de la région où chacun de nous deux ne savait pas vraiment pourquoi il était là. Il a suffi d’un regard pour que nos vies chavirent. Très vite, nous avons su qu’enfin nous avions trouvé celui et celle qui nous correspondait. Pourtant rien, si on en croit les fameux codes sociaux et les critères que certains aiment mettre en avant, ne pouvait laisser croire que nous étions faits l’un pour l’autre. Pourtant, au grand désarroi de certaines personnes, nous vivons encore ensemble aujourd’hui avec l’amour aussi fort et aussi vrai qu’au premier jour et ce, entourés d’enfants aimants et soudés. Au-delà de notre réussite familiale et sociale, notre vie sexuelle est tout autant réjouissante, parfois surprenante, mais aussi avide de découvertes dans le but commun de partager des plaisirs en réponse à nos désirs.
Pour commencer, je vous présente l’amour de ma vie, ma maîtresse et amante qui se prénomme Laura. Blonde aux yeux gris/verts mesurant 1.59 pour 52 kilos avec une poitrine qui me fait vibrer à tous les instants avec un beau 95C. Elle a une petite bouche aux lèvres fines, mais tellement agréables à embrasser tout comme de les sentir sur mon corps, et une petite chatte lisse surmontée d’une petite ligne de poils taillés courts laissant visibles ses grandes lèvres bien fermes et bombées où se cache un petit bouton sensible que j’aime tant sentir durcir sous mes caresses. Et que dire de son petit cul sinon qu’il me fait bander et que j’aime le caresser tout autant que j’aime parfois le claquer ?
Pour ma part, je me prénomme Marc, je suis brun à la peau mate, aux yeux noirs, mesurant 1.69m pour 65 kilos avec quelques poils au centre du torse et un sexe rasé de taille normale doté d’un gland assez développé dès lors que l’excitation est intense. J’ai également un joli petit cul bien ferme si j’en crois les dires de ma femme.
Comme tout nouveau couple, le début de notre relation nous a permis de découvrir nos corps, nos zones érogènes, une partie de nos désirs et de nos plaisirs. Très vite, nous avons abordé nos fantasmes respectifs, mais aussi nos expériences passées. Nous en discutions sans tabou, sans réserve et surtout sans jugement. Au bout de ces quelques années de vie commune, notre sexualité est toujours aussi débordante avec certains de nos fantasmes réalisés tout comme d’autres ne le sont pas et ne le seront peut-être jamais. L’un d’eux va peut-être se réaliser en partie à travers ce premier écrit qui consiste à partager, avec des inconnus, nos plaisirs. Après avoir découvert les plaisirs de l’exhibitionnisme dans différentes occasions et différents lieux, nous désirons vivre ce fantasme de façon purement cérébrale à travers nos mots et nous l’espérons à travers les vôtres.
Pour cela, nous ressentons l’envie de poser sur le papier des expériences vécues et tenter de revivre les plaisirs à travers nos récits et également tenter de vous les faire vivre par procuration.Pour débuter cette première expérience, nous avons choisi de vous raconter le jour où nous avons découvert ensemble le côté fontaine de Laura. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, quelques éléments pour expliquer l’environnement dans lequel nous avons vécu cette expérience.
Nous habitions à cette époque une petite maison individuelle dans un quartier résidentiel où toutes les maisons étaient desservies par des petites venelles créant ainsi un endroit plein de charme et de tranquillité. Pour autant, les maisons sur deux niveaux, proches les unes des autres, implantées selon une forme circulaire laissaient une place importante au vis-à-vis. Nous avions une petite terrasse aménagée de bois et de canisse sur laquelle nous profitions souvent des soirées d’été autour d’un bon verre de vin afin de nous détendre de nos journées respectives. La clôture de canisse nous coupait des regards des passants, mais pas de ceux qui potentiellement pouvaient se trouver derrière une fenêtre à l’étage des maisons les plus proches.
Nous en arrivons à ce fameux soir...Nous sommes sur notre terrasse et discutons de choses et d’autres. Laura s’est mise à l’aise avec sa petite nuisette de satin beige dont elle sait l’effet qu’elle produit sur moi. Sa poitrine est fièrement tendue sous l’effet du satin et je sais par habitude qu’elle ne porte pas de culotte, imaginant ses lèvres légèrement entrouvertes sous l’effet de désirs naissants. Lorsqu’elle choisit de porter cette nuisette, cela signifie qu’elle a envie de jouer avec moi, c’est une invitation aux plaisirs.
Elle est assise sur un transat de jardin placé légèrement de dos à la clôture avec le dossier incliné vers l’arrière les jambes allongées. Après avoir fini notre premier verre, je la ressers en lui demandant de plier ses jambes et de mettre ses pieds nus bien à plat sur l’assise. Elle me défit de son regard coquin comme j’aime et dont elle connaît l’effet sur moi. Je lui dis qu’elle est belle et désirable.
Je place un petit fauteuil à côté d’elle sur lequel je m’assois et je caresse ses jambes dénudées tout en lui demandant si elle a envie de jouer avec moi sur la terrasse. Elle me répond avec un regard profondément coquin que cela dépend du jeu. Afin de la mettre en confiance, je lui fais remarquer que le silence qui règne ce soir dans les venelles est signe de tranquillité, sans compter que notre clôture de canisse est un bon brise-vue. Mes mots ont été apparemment les bons, car tout en écartant ses jambes, elle me répond qu’elle a envie de jouer.
Je glisse alors ma main entre ses jambes pour venir caresser délicatement son sexe que je sens déjà humide. Je lui demande si c’est l’effet de la nuisette ou l’idée d’être ainsi vue par un regard indiscret qui la fait mouiller ainsi. Tout en me rappelant que je viens de lui assurer qu’on ne pouvait être vus, elle avance son sexe vers ma main qui caresse délicatement ses lèvres entrouvertes. Je lui fais remarquer que notre clôture ne nous cache pas du regard de notre voisine du haut de sa fenêtre de chambre. Je sens la chatte de Laura s’ouvrir un peu plus à ces mots. Elle a les yeux fermés, savourant les caresses de mes doigts sur sa fente déjà plus qu’humide.
Je me penche à son oreille tout en glissant un doigt en elle et mon pouce sur son petit bouton que je sens déjà grossir et lui demande si elle aimerait que la voisine la mate se faire caresser avec mes doigts, voire ma langue. Laura se cambre légèrement en gémissant et me glisse un oui jouissif à peine audible en ajoutant que ça l’excite.
Je retire délicatement ma main de son sexe pour faire glisser les bretelles de sa nuisette, découvrant sa poitrine aux pointes tendues. Je remonte le bas de sa nuisette découvrant sa chatte trempée d’excitation. Je prends ses pointes entre mes doigts et les fais rouler, les pince pendant que ma langue vient récolter ses premiers écoulements de cyprine entre ses lèvres gonflées. Laura gémit de plaisir, elle ondule, se cambre. Je sais qu’elle souhaite sentir ma langue en elle, mais je ne réponds pas encore à son envie. Elle mouille beaucoup, son sexe s’ouvre devant moi. Je titille du bout de la langue son petit bouton qui se découvre devenant de plus en plus dur.
Je stoppe les caresses avec ma langue et tout en pinçant un peu plus fort ses tétons, je lui dis que je vais la faire jouir devant la voisine qui est en train de se caresser les seins devant sa fenêtre.
Le corps de Laura se tend, ses pointes sont dures comme des petits cailloux sous mes doigts et je vois son sexe s’humidifier, laissant un filet de cyprine couler entre le sillon de son petit cul. Je lui dis qu’elle est une vraie petite salope qui aime s’exhiber. Laura sous l’excitation croissante me demande de la lécher, de la fouiller, de la baiser et jusqu’à ce qu’elle jouisse comme une cochonne.
Abandonnant sa poitrine, je me penche sur son sexe et le pénètre avec ma langue tendue, tout en caressant entre deux doigts son clito bien bandé. Je la sens s’ouvrir aux plaisirs. Son jus coule dans ma bouche et me donne encore plus envie de la boire. Laura mouille toujours abondamment lorsqu’elle est très excitée, mais jamais à ce point, portant mon excitation à son point culminant.
Je mets deux doigts en elle et prends son clito entre mes lèvres tout en le faisant tourner du bout de ma langue, je le suce, le mordille, le tète, il est dur et sensible.Mes doigts font des va-et-vient dans sa chatte trempée. J’introduis un troisième doigt. Mes doigts se courbent vers le haut à l’intérieur de son vagin comme si je désirais caresser son clito de l’intérieur. Laura se met à gémir plus fortement en se caressant les seins. Je vois ses doigts pincer ses pointes, les tirer, les malaxer. J’accélère mes va-et-vient avec mes doigts toujours courbés vers le haut tout en aspirant son clito dans ma bouche.
Je sens la jouissance monter chez Laura qui s’exprime ouvertement en me demandant de la faire jouir. Je la branle rapidement avec mes doigts en lui disant de jouir fort devant la voisine.A ces mots, Laura se cambre, tendant son corps tel un arc, et se met à gicler sur mes doigts comme jamais elle ne l’a fait. J’accélère encore mes doigts en elle et lui dis de jouir plus fort. Un deuxième jet trempe ma main et tout son sexe.
Sans savoir pourquoi, mais certainement en lien avec cette situation inédite qui m’excite, je me mets à la pistonner de mes doigts très rapidement et ressors d’un coup mes doigts et là, Laura expulse un jet de cyprine qui atterrit sur la terrasse dans un cri de jouissance.
Je me penche sur son sexe en lui disant de jouir dans ma bouche. Je la fouille avec ma langue, je la lèche pour m’abreuver de son jus portant mon excitation à son comble. Elle jouit une dernière fois dans ma bouche en m’inondant le torse. Mon sexe est dur à m’en faire mal.
Sans la prévenir, je la retourne sur le transat et la positionne de façon à la prendre en levrette. Je la prends tel un animal en rut tellement sa jouissance a procuré en moi une excitation nouvelle. Je la baise à coups de reins puissants en lui disant que la voisine nous regarde baiser. Je lui dis qu’elle est une vraie petite salope, ma petite salope que j’aime baiser devant la voisine et là elle jouit de nouveau, inondant mon sexe, mes couilles de ses jouissances et je me vide en elle dans une éjaculation puissante. Elle s’affale sur le transat et je m’assois dans le fauteuil, essoufflés tous les deux de nos jouissances respectives d’une puissance rarement atteinte pour elle comme pour moi.
Laura est la première à exprimer son ressenti. Elle me dit qu’elle n’a jamais connu une telle jouissance et qu’elle ne savait pas qu’elle pouvait mouiller autant et surtout aussi fort et aussi loin. Elle n’imaginait pas que cela était possible. Je lui réponds avec une certaine fierté qu’elle a découvert son côté fontaine.
Laura me demande avec un ton quelque peu gêné si la voisine nous a vraiment regardés. En lui souriant, je lui réponds que non, mais que dans le jeu, j’ai pensé que cela pouvait l’exciter et que j’étais ravi et comblé d’avoir vu juste...
Si cette histoire réellement vécue vous a plu, nous pourrons vous partager d’autres moments de plaisirs partagés. Soyez indulgents, c’est la première fois que nous écrivons.
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