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Marché conclu dans un train

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Sa longue quéquette noire entrait et sortait de ma copine tel un piston à plein régime. Il lui limait le con comme un malade, poussant de petits râles secs chaque fois que son sexe quittait son petit temple humide. Il la pilonna, la niqua, la déchira, la baisa comme un fou pendant prêt de cinq minutes au cours desquelles ma femme hurlait des « vas-y » , des « plus vite », des « plus fort » accompagné du même verbe à l’impératif que tout le monde devrait deviner. Il transpirait, son long corps chocolat ruisselait de sueur tellement il avait dépensé de l’énergie à la baiser. « Bite épaisse » caressait sa poitrine, tordait les mamelons avec le pouce et l’index pendant que son pote la défonçait. J’étais sur le point d’éjaculer et décidai de ralentir le rythme de ma branlette afin de profiter de la suite des événements avec la même excitation. « Bite longue » fit une grimace, sortit son phallus et déversa trois jets chauds de sperme sur les fesses de ma femme. - Regarde-moi ça! Il se permet de me souiller de son foutre et il ne m’a même pas fait jouir! Nettoie-moi ça et fais-moi jouir avec la langue pendant que je suce ton pote et mon copain. Il enleva le sperme avec un mouchoir qu’il venait de prendre dans son bermuda, et en fit une boule qu’il jeta à terre. Je m’approchai afin de glisser par derrière mon sexe dans la bouche de ma femme comme elle me l’avait si gentiment proposé. « Bite épaisse », loin d’être sourd, s’était lui aussi positionné au dessus de sa tête afin que ma femme puisse prendre sa tentacule en bouche. Elle prit d’abord ma bite qu’elle suça avec douceur et lenteur comme je le lui demande souvent. Sa main gauche caressait mes couilles et sa main droite palpait le sexe énorme du black qui grandissait encore. Elle sortit mon sexe de sa bouche et demanda au black d’y mettre le sien. J’étais à 30 cm de cette verge qui était couverte de veines épaisses et gonflées. Le gland noir était vraiment impressionnant et devait faire pas loin de la largeur de trois de mes doigts, brillant de bave, on aurait dit qu’il avait été huilé. Comment arrivait-elle à avaler une telle bite? Elle me prit la queue et la mit dans la bouche en même temps que celle du black. Nos deux queues se touchaient, la mienne de taille modeste contre cette grosse poutre noire. Cela me gênait un petit peu, mais je ne voulais pas gâcher ce moment qui semblait ravir ma femme qui haletait de plus en plus et ondulait des hanches, les pressant contre le visage du cunnilincteur. Il broutait le minou de ma femme avec beaucoup d’ardeur tout en triturant son anus. J’espérais que ma femme ne sorte pas nos bites pour les frotter l’une contre l’autre comme elle l’avait fait tout à l’heure. Elle était en train d’étouffer avec nos sexes au fond de la gorge mais continuait à les avaler goulument tandis que l’autre était en train de la faire monter au septième ciel avec sa langue qui fusait sur l’intégralité de sa chatte, exerçant des pressions plus appuyées là où ça avait l’air de faire le plus de bien. Elle arrêta cette douce fellation et commença à gémir en lui ordonnant de bien la lécher. Elle branlait nos queues lorsqu’elle explosa de plaisir, roulant des fesses et proférant une sorte de plainte longue et sourde. « Bite longue » se releva, il avait de nouveau le sexe qui cognait contre le ventre. Il retourna ma femme et la fit se mettre à quatre pattes, prit sa bite dans les mains, et cracha dessus à plusieurs reprises. Il se baissa un instant pour coller sa langue contre le petit trou de ma femme qu’il pourléchait avec beaucoup de tendresse. La pointe de sa langue s’arrêta un moment sur l’ourlet anal pour finir par se forcer un passage à l’intérieur. Ma copine avait repris sa double pipe et je n’allais pas tarder à jouir à mon tour. Je me retirai et me glissai sous elle afin qu’elle puisse venir s’enfiler sur ma queue toute raide. Elle comprit tout de suite et quelques secondes plus tard mon gland passait son minou dégoulinant pour aller finir sa course, bien au chaud, quelque part dans son ventre. L’autre continuait sa feuille de rose et ma femme continuait à bouffer cette grosse bite noire que je voyais en contre plongée. « Bite longue » cessa de lui bouffer le cul, pris sa bite dans la main gauche, la plaça entre les fesses de ma femme pour la sodomiser. Son gland pénétra le trou du cul de ma belle qui gémit à son passage. Quelques secondes plus tard, il l’enculait en profondeur. Je sentais sa verge qui exerçait une pression sur la mienne à travers la paroi vaginale. Le gigantesque sexe de l’autre black tressautait sous les attaques buccales de ma femme. Il n’allait pas tarder à décharger. Il se retira et se masturba sur le visage de ma femme, grognant comme un sanglier, jusqu’à ce que son corps soit pris de violentes secousses accompagnées de jets de foutre chaud qui devaient consteller ses lèvres, son menton, ses yeux et ses joues. Je ne pouvais effectuer que de petits vas et viens dans sa douce chatte car la sodomie était si énergique qu’elle restreignait mon espace de manœuvre. « Bite épaisse » alla s’asseoir et endossa le rôle de voyeur. Il nous matait la prendre par le cul et le minou. Sa respiration s’était accélérée et elle suppliait le black de l’enculer plus en profondeur. Il ne se fit pas prier et enfonça sa queue un peu plus loin entre ses fesses. Puis elle me demanda de me retirer afin qu’elle puisse goûter la moiteur de son vagin. Je présentai ma pine à ses lèvres recouvertes du foutre maintenant sec de « bite épaisse. » qui se caressait le nœud en regardant le spectacle que nous lui offrions. L’autre lui martelait le le petit trou en donnant de temps à autres, une vive claque sur les fesses, ponctuait d’un « t’aimes que je te prenne le cul petite salope. » Elle prit mon sexe dans la main droite, répéta qu’elle voulait être enculée plus fortement, et l’introduisit au fond de la gorge pour commencer une très agréable fellation lente qui dura environ deux minutes avant qu’elle ne sortît ma pine de son palais afin de demander à « bite épaisse » qu’il lui « prenne le cul.» Pendant ce temps l’autre l’avait sodomisée comme un marteau piqueur fracassant du bitume et, il laissa la place à son pote, qui déjà essayait de faire entrer son gland énorme entre ses fesses. « Bite longue » avait prit mon ancienne place et fourrait son phallus au fond de son ventre. Elle avait repris la fellation et je sentais que j’étais sur le point d’éjaculer. - Ouvre grand la bouche et sort ta petite langue de chienne. Lui dis-je en quittant cet antre moite. Le gland démesuré venait de forcer l’entrée du cul de ma copine qui cria de surprise et de douleur. Il s’arrêta le tant que le sphincter épouse la forme et surtout la circonférence de son gros sexe. L’autre en dessous la baisait avec sauvagerie faisant rentrer sa longue queue noire jusqu’aux couilles avec une célérité impressionnante. Comment pouvait-il aller aussi loin dans ses entrailles? Puis ma femme hurla si fort que je craignis que quelqu’un ne débarquât dans le compartiment afin de vérifier si tout allait bien. L’autre était rentré dans son cul, écartant l’anus comme il ne l’avait jamais été. - Tu m’as fait mal mon salaud. Mais ça me fait mouiller aussi. Sors de là et recommence à me défoncer le petit trou. Il sortit, c’est alors que je vis le sphincter dilaté de ma femme qui restait béant, comme si on y avait glissé une main. Cette vue à la fois très crade et excitante me fit exploser sur sa langue et on fond de ses amygdales. Plusieurs jets de sperme terminèrent certainement au fond de son estomac. Sa bouche était colmatée d’un jus blanc épais qui faisait luire ses lèvres. L’autre entra d’un seul coup au fond de son minuscule orifice, ce qui la fit jouir une nouvelle fois dans un cri aigu suivi d’un long râle de contentement. Celui qui fatiguait son bassin avec sa longue verge, sortit de sa chatte et alla coincer son pénis au fond de la gorge de ma femme. Il la prit par les cheveux et baisa sa bouche comme il avait fourré son minou il y a à peine deux minutes. « Bite épaisse » s’acharnait sur son cul, écartant à chaque fois un peu plus cet orifice que les blacks avaient baisé sans ménagement. Déjà je commençais à sentir des vagues d’une nouvelle phase d’excitation se déversaient sur moi. Je pris ma verge en main et me mis à me branler jusqu’à ce qu’elle fut de nouveau dure. Je retournai sous ma femme pour remettre ma queue au fond de sa chatte pendant que la bite monstrueuse lui perforait les intestins. J’eus du mal à m’introduire car le sexe de l’autre réduisait l’espace vaginal poussant à travers la fine paroi qui sépare les deux trous. Tous les orifices de ma femme étaient comblés par des phallus. Je ne pouvais pas imaginer qu’elle pouvait être autant salope. Elle se trémoussait sous les attaques de nos sexes qui lui labouraient la chatte et le cul et émettait des gargouillis érotiques, la bouche remplie par la longue bite noire. On la baisa par tous les trous pendant plusieurs minutes avec une énergie que je ne me connaissais pas. Je crois qu’elle a joui une nouvelle fois pendant qu’on la prenait tous les trois comme des bêtes. Ensemble nous nous retirâmes presque au même moment et pendant qu’un black en ma compagnie inondions le visage de foutre de ma femme, l’autre déchargeait son sperme dans le sillon de ses fesses. Après cet excellent moment de communion charnelle, chacun se rhabilla et reprit sa place sans dire un mot. Les deux black descendirent avant nous et nous quittèrent avec un simple hochement de tête. Ma copine n’avait pas dit un seul mot et, à leur départ, elle s’approcha de moi et déposa un baiser sur mon cou en me disant: « la prochaine fois c’est toi qui jouera. » Le reste du trajet se fit dans un silence solennel mais mon esprit imaginait déjà le « prochaine fois » qu’il me tardait de vivre.
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