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Margaux et Nico

Chapitre 1

Erotique
Le serveur arriva et posa deux pintes de bière aux fruits rouges devant nous, notre boisson habituelle. Je le regardais, surprise. Nous venions de finir la première tournée mais n’avions pas encore recommandé.
« Tu lis dans nos pensées maintenant ? Lui demandai-je, le sourire aux lèvres.-Moi non, mais les deux jeunes hommes près de la fenêtre oui ! Répondit-il, taquin, avant de retourner derrière le bar. »

Je regarda ma meilleure amie, qui leva les yeux au ciel en soupirant, puis nous trinquâmes en levant nos verres en direction de nos deux mécènes, qui répondirent par le même geste. La soirée se poursuivit, et l’heure avança. Mathilde, qui habitait plus loin que moi appela un taxi et 20 minutes plus tard, grimpa dans celui-ci, me laissant seule devant le bar.
Alors que j’étais sur le point de rentrer chez moi, non loin de là, un des deux jeunes hommes sortit du bar et engagea la conversation.
« Bonsoir, cette bière était-elle à votre goût ? — Bonsoir, elle était délicieuse, merci beaucoup monsieur... répondis-je en laissant ma phrase traînée.— Nicolas, Nico pour les amis, m’informa-t-il avec un grand sourire et en me tendant la main.— Enchantée, moi c’est Margaux. — Rentreriez-vous prendre un autre verre avec moi, mademoiselle ? Math va y aller, nous pourrions discuter tranquillement, me proposa-t-il. »
Je ne suis pas du genre à aller boire un verre avec un inconnu et j’étais sur le point de rentrer, mais sans trop savoir pourquoi, j’acceptais et le suivis à l’intérieur. Le fameux Math était en train de récupérer sa veste, me dit bonjour, serra la main de son pote et partit.
Nicolas m’offrit un siège et un verre. La discussion devint presque banale, et moi qui rêvait de quelque chose d’un peu excitant me voilà un peu déçue. Une heure plus tard, nous partîmes et au moment de se dire au revoir, nous nous aperçûmes que nous partions tous deux à pied, et dans la même direction. Le froid était tombé, et je resserrais mon trench. À l’intersection suivante, nos chemins se séparaient, et alors que je m’attendais à rentrer seule, il se rapprocha et m’embrassa sauvagement, sans un seul mot. Ce baiser déclencha un éclair de plaisir en moi. Il me colla à lui, une main sur mon cou, et l’autre déjà sur mes fesses.
Lorsque nos langues eurent finies de se rencontrer, un regard sur l’autre suffit à comprendre la suite de la nuit. Elle sera chaude, et cela au delà de mes espérances.
« Chez toi ou chez moi ? » Fût la seule question posée. Il m’attrapa la main et m’entraîna dans les ruelles du centre ville. On passa dans le quartier un peu bobo, et on se retrouva vite dans l’ascenseur nous menant au 5 étage. Le temps de la montée, il m’embrasse langoureusement, puis plus vivement, attrapa ma jambe pour la passer autour de sa hanche. Mon sexe se retrouva collé au sien, et même à travers son jean, je pouvais sentir son érection. Une fois en haut, on fût vite allongés sur un lit, après qu’il m’ait porté dans ses bras le long du couloir.

Il commença alors une longue séance de déshabillage, moi qui n’avait qu’envie de lui arracher ses vêtements. Il s’attaqua à la ceinture de mon trench, puis à la fermeture de mes bottes, caressant mes jambes jusqu’à la base de mes bas, qu’il décida de me laisser. Il enleva son tee-shirt blanc, me laissant découvrir son torse musclé mais sans être bodybuildé.
Doucement, il entreprit d’enlever mon chemisier, bouton par bouton, me regardant entre chacun d’entre eux, je n’y tenais plus. Il ôta ensuite ma jupe, me laissa juste avec mes bas, et mon ensemble noir, il prit quelques secondes pour admirer le résultat. J’en profitais pour l’entraîner sur le lit et enlever son jean et son boxer, découvrant une superbe érection. Son membre était de bonne taille, prêt au combat. Je déposais un baiser sur ses lèvres, descendit dans son cou, sur son torse, saisit sa verge et avant que j’ai pu en saisir le bout entre mes lèvres, il m’arrêta.
« Je... je suis médecin, je ne peux pas faire ça comme ça, bredouilla-t-il, en se relevant, je suis pas un animal.— Pardon ? Lui répondis-je surprise. Tu m’as offert un verre pour quoi alors ? Et quand tu m’as embrassée dans la ruelle, puis dans l’ascenseur, et ce déshabillage ? »
Il resta muet, je m’approcha de lui, bien décidée à le faire changer d’avis, moi qui n’avais eu d’amant correct depuis un certain temps. Je pris sa main gauche, la glissa sur mes fesses que mon string laissaient à nu, saisit son autre main pour la poser sur mon sein, et m’approcha de son oreille. « Quel gâchis ! Lui chuchotais-je, moi qui avait tellement envie d’être vilaine ce soir, j’avais mis ma petite jupe rien que pour ça. Je voulais un homme, un vrai, prêt à me faire monter au septième ciel à l’aide de grands coups de bassin. » Au fur et à mesure que je parlais, je sentais ses mains plus fermes sur mon corps, et son érection, qui avait déclinée, reprendre de la vigueur.
« J’aurais aimé sentir une belle queue comme la tienne me défoncer ma petite chatte en levrette. » À ces mots, il craqua. Ses mains défirent mon soutien-gorge, libérant mes seins qu’il prit en bouche, me faisant lâcher un râle de plaisir. Il m’allongea sur le lit, continua de jouer avec mes seins, léchant mes tétons, les mordillant, revenant à ma bouche m’embrasser.
Ses mains se baladaient partout sur mon corps, sans jamais toucher à mon entre-jambe. Je devenais brûlante, ne voulant qu’une chose, le sentir en moi. Je dégoulinais dans ma culotte et lui demandais de me prendre, d’abréger mes souffrances. « Patience » fut le seul mot qui lui échappa. Il attrapa son écharpe et me banda les yeux, après une seconde d’hésitation, comme pour recevoir mon consentement.
Je me retrouvais dans le noir, les sens en éveil, seule sur le lit, j’entendis un tiroir qui s’ouvre, des bruits d’emballage. Je me dis qu’il allait enfin me prendre. Je le sentis s’allonger à mes côtés, sa main se posa sur mon sein, joua avec et attaqua sa longue descente. Quand il passa l’élastique de mon string, je m’y tenais plus. Il m’embrassa dans le cou en murmurant « Chut, tout doux, tout doux ». Ses doigts se faufilaient sous la dentelle, et lorsque qu’ils atteignirent mon clitoris, un cri de plaisir et de soulagement m’échappa. Il massa délicatement la zone déjà très humide en me glissant à l’oreille, qu’en effet, il me fallait une queue pour s’occuper de moi. Il ajouta qu’un échauffement allait être nécessaire pour cela, et tout en me disant ces mots, glissa un doigt en moi. Un long soupir sortit de ma bouche ! Enfin ! Nous allions passer aux choses sérieuses ! Il fit de longs allers-retours avant de glisser un second doigt et d’accélérer le rythme. Mes cris de plaisir l’encourageant, il m’ôta mon dernier vêtement et guida son sexe, préalablement recouvert d’un préservatif, en moi.
Il m’attrapa les hanches, releva mes jambes et s’enfonça dans ma chatte plus profondément. C’était si bon ! Je m’accrochais à ses avants-bras pendant qu’il accélérait le rythme, me faisant crier de plus belle. Puis soudain, il se retira, il m’attrapa et m’aida à basculer sur le ventre, mes yeux étant toujours bandés. Il saisit mes hanches pour les relever et me mettre en levrette.
«  Il me semble avoir entendu parler d’une histoire de levrette tout à l’heure. » Il me pénétra d’un grand coup de bassin, me faisant crier de plaisir. Il me remplit, avec moins de douceur que tout à l’heure, mais avec toujours autant de bonheur. Il prit un rythme lent de pénétration. Je sentis sa main sur ma fesse et l’idée d’une fessée m’émoustilla. Elle ne tarda pas à arriver, me faisant grimper d’un cran supplémentaire sur l’échelle menant à l’orgasme. Je le sentais de plus en plus gros, de plus en plus nerveux. Il ralentit encore le rythme et m’allongea sur le ventre tout en restant en moi. Puis, il s’allongea à demi sur moi, attrapa un coussin qu’il glissa sous mes hanches accompagné de sa main, qui laissa sur ma vulve.
Il reprit la pénétration, plus rapide que tout à l’heure, ses doigts bougèrent en même temps, caressant mon clitoris dégoulinant. Je n’y tenais plus, je sentais mon orgasme arriver, je haletais, je criais mon plaisir. Lui aussi semblait au bord du plaisir ultime, je l’entendais à son souffle rauque.
Il me pénétra encore plus fort, plus vite, et dans une combinaison magique entre sa bite et ses doigts, j’explosais de plaisir, la puissance de mon orgasme rendue si forte par l’attente. Il ne tarda guère à me suivre, sa deuxième main pétrissant ma fesse.
Nous nous retrouvâmes affalés l’un sur l’autre, haletant, en sueur, heureux et au 7ème ciel.
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