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Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion...

Chapitre 3

L'attrait de l'interdit...

Voyeur / Exhibition
Fanfan rentra chez elle, très ennuyée.
Elle se demandait comment allaient réagir ses voisins quand ils se seraient rendu compte qu’elle les avait espionnés ?
Pas très bien certainement…Son mari était endormi.Il faut dire qu’à 2 heures du matin, rien d’étonnant.
Fanfan avait un peu vagabondé dans les rues, en ayant à l’esprit la scène dont elle avait été involontairement la témoin.
Lorsqu’elle se changea, elle remarqua qu’elle n’avait pas cessé de mouiller pendant sa petite promenade, et elle dut reprendre une douche.
Sous l’eau, elle se caressa et parvint vite à l’orgasme, se voyant dans le rôle de la dominée.
« Que ressent-on quand on est attachée et laissée à la disposition totale d’une autre personne…est-ce que les coups de martinet font vraiment mal, ou n’est-ce que de la mise en scène ? »En tout cas son fantasme prenait corps, elle, bonne mère de famille et femme fidèle et aimante, qui n’aurait jamais songé à de telles choses incongrues.

Elle dormit très mal, faisant des rêves dans lesquels elle se retrouvait enchainée, nue, allongée sur le dos sur un lit, baisée bestialement, fessée, par des individus sans visage .À un moment le rêve fut tellement fort, et alors qu’elle jouissait sous les assauts d’un homme qui la bourrinait sauvagement, en l’embrassant avec fougue et lui pinçant les tétons, elle cria dans son sommeil.
Al s’éveilla à côté d’elle, surpris par le cri de sa femme :
« Que t’arrive-t-il ?
— Je crois que j’ai joui dans mon sommeil !
— On va vérifier cela ! »

Et Al plongea directement sa main vers la chatte de Fanfan, et la doigtant, en retira des doigts gluants de cyprine…
« Hé bien ma salope, je ne sais pas ce qui te prend en ce moment mais depuis ton expérience avec l’ostéopathe, tu commences à devenir une vraie petite goulue ! Ah au fait j’ai visionné ta performance avec lui …hummm !
— On en parle demain, baise-moi, tout de suite ! »

Al prit simplement sa femme en missionnaire, après avoir relevé sa chemise de nuit, mais le rapport fut particulièrement vibrant et excitant.Quelques minutes après les deux avaient joui de concert.Peu de temps après, Fanfan s’écroulait dans les bras de Morphée et sombra dans un profond sommeil sans rêves…Après les émotions de la veille, son orgasme l’avait épuisée.

Le lendemain Al se leva tôt pour aller à son travail, Fanfan, elle, ne prenait son poste que dans l’après-midi.
Quand elle démarra, elle ne remarqua pas deux scooters, un bleu et un noir, conduits par deux individus portant un casque intégral.
Le scooter noir avait un passager.Les deux suivirent la voiture de Fanfan à bonne distance, sans se faire repérer.

Il faisait chaud et Fanfan avait ouvert les deux vitres côté conducteur et passager.À un feu rouge, peu de temps avant d’arriver à l’hôpital, le scooter noir resta en retrait derrière sa voiture tandis que le second, slalomant entre les véhicules vint légèrement taper la voiture de Fanfan.

Étonnée par le bruit Fanfan regarda à sa gauche, le jeune homme, relevant sa visière s’excusa poliment d’avoir légèrement heurté sa portière avec son pneu.Le choc avait été négligeable et le coup insignifiant.Devant l’air honnête du jeune homme qui se confondait en excuses, Fanfan laissa tomber, lui dit que ce n’était pas grave et reprit sa direction alors que le feu passait au vert, la circulation était assez dense et elle ne pouvait bloquer tout le monde pour des queues de cerise…

Ce qu’elle n’avait pu voir, c’est que pendant qu’elle avait son attention attirée sur sa gauche, le second scooter s’était rapproché de son véhicule par la droite et que le passager de celui-ci avait laissé tomber discrètement un paquet par la vitre ouverte.Ce dernier était venu se loger dans le vide-poche, indétectable aux yeux de Fanfan.

Au rondpoint suivant, un contrôle de police était organisé avec des policiers, fusil à pompe et pistolets mitrailleur Beretta au poing.L’agent lui fit signe de s’arrêter sur le bas-côté :
« Contrôle du véhicule, inhérent à la lutte contre les stupéfiants madame, voulez-vous couper le contact et sortir du véhicule s’il vous plait. »
Fanfan obtempéra, un peu énervée de ce contrôle stupide qui allait la mettre en retard à l’hôpital.L’agent lui demanda ses papiers d’identité et du véhicule et les contrôla dans le van attenant.Pendant ce temps un maitre-chien faisait faire le tour du véhicule, portières ouvertes à son berger malinois, spécialisé dans la recherche de drogue.Arrivé au niveau de la place passager, l’animal commença à gémir et à s’exciter, désignant avec son museau le paquet déposé par le mystérieux passager du scooter.

« Ah, madame, je crois que le chien a détecté quelque chose, veuillez me suivre. »Abandonnant son contrôle d’identité sur l’ordi du van, le policier suivi de Fanfan s’approcha de son collègue maitre-chien.Il appela son supérieur, officier de police judiciaire, qui ayant revêtu des gants, se saisit du paquet et l’ouvrit sous les yeux ébahis de Fanfan.
« Cocaïne, au bas mot entre 300 et 500 grammes, valeur approximative, presque 8000 euros …on ne peut appeler ça de la consommation personnelle…Quelle est la profession de cette dame ?
— Elle est cadre infirmier à l’hôpital « Albert I° » répondit l’agent
— Hé bien madame, je crois que vous vous êtes laissée mettre dans de sales draps.Vous n’avez pas honte ? Trop de pression à l’hôpital, vous en prenez pour tenir le coup et vous approvisionnez vos collègues… Mon Dieu quelle honte, une infirmière !
— (Sidérée Fanfan bafouilla) Mais je n’ai rien fait, je ne sais pas d’où provient ce paquet…c’est un coup monté, je suis innocente !
— Stan tu lui mets les menottes, et on vous amène au poste, moi mon rôle s’arrête là, vous vous expliquerez avec le major … »

Les larmes aux yeux, se noyant dans ses explications, Fanfan fut amenée dans la voiture de police et conduite au commissariat.
Là, toujours les menottes aux poignets, on la fit attendre dans un petit box , surveillée de loin par un agent.Elle demanda si elle pouvait téléphoner, l’agent lui répondit oui et lui donna son sac.Malhabilement, alors que l’homme tenait son sac ouvert devant elle, elle farfouilla pour trouver son portable.Au bord des larmes, elle s’aperçut qu’elle l’avait laissé sur la table de la cuisine…elle ne pouvait pas appeler son mari.
Elle allait demander qu’on lui prête un téléphone quand un autre agent rentra dans le box et la conduisit dans le bureau du major.

Là, sidérée, Fanfan regarda la personne assise derrière le bureau et elle reconnut sa voisine Muriel.
Soulagée de voir un visage connu, elle allait se répandre en supplications et arguments pour prouver son innocence, elle se disait qu’elle aurait pu tomber plus mal.
Muriel allait jurer de sa bonne foi, et tout cet incident tragicomique allait prendre fin.Le problème c’est que quand elle croisa le regard de Muriel, elle y lut une expression dénuée de toute aménité et de toute gentillesse.
La policière, pourtant sa voisine, la regardait comme un dogue qui va mordre sa proie. Ses paroles lui restèrent dans la gorge …Toujours la regardant avec mépris, Muriel prit la parole :
« Tiens donc Françoise, ma chère voisine Françoise, femme distinguée, bonne mère de famille, petite bourgeoise sans surprises, ni incidents. Et qu’est-ce qu’on découvre ? Elle se livre au trafic de drogue, et approvisionne ses collègues sur son lieu de travail…un hôpital ?Décidément on ne peut plus se fier à personne de nos jours !
— Mais Muriel je te jure que …
— Silence ici c’est moi qui fais les questions et parfois aussi les réponses, alors tu te tais et tu m’écoutes…Mais j’en oublie les bonnes manières…Stan, Alex, vous me la fouillez !
— Habillée ou à poil ? demanda Stan, celui qui l’avait amenée dans le bureau.
— D’abord habillée, après on verra… »

Toujours entravée, Fanfan fut mise debout et les deux hommes commencèrent à la palper sous toutes les coutures, alarmée Fanfan s’écria :
« Arrêtez, vous n’avez pas le droit, c’est une femme policier qui seule, peut le faire, enlevez vos sales pattes !
— Oui et bien où est le problème, je suis une femme policier et leur supérieur hiérarchique en plus, donc le règlement est observé, on dira que je fais un transfert de compétences à mes collègues… »
Désarmée par cette mauvaise foi évidente, Fanfan se laissa faire.Elle se disait que si elle coopérait alors, que peut être les choses se passeraient en douceur. Après tout cela n’allait pas être si terrible que ça.Et elle ne pouvait pas s’empêcher de se l’admettre, la situation commençait à l’exciterLa fouille fut odieuse et vicieuse.

Stan commença par palper Fanfan le long de ses hanches puis s’intéressa à ses seins qu’il pétrit avec conviction.Fanfan remarqua que les pointes de ses seins se dressaient, et elle commençait à sentir poindre une humidité dans son string…elle commençait à réellement prendre du plaisir aux attouchements de ses deux hommes.

Dans un coin de sa tête, elle se disait :
« Mon dieu je dois être complètement folle de prendre du plaisir dans un moment pareil ».
Mais d’un autre côté, elle sentait son corps répondre aux palpations des hommes, qui s’apparentaient de plus en plus à des caresses de caractère sexuel.Fanfan se faisait littéralement peloter par les deux policiers, le long de ses cuisses, ses fesses, son ventre, son sexe.Stan passa carrément sa main sous sa robe, la remontant un peu, et vint mettre deux doigts dans sa culotte :
« Major ! Elle mouille !
— (Un petit sourire pervers aux lèvres, Muriel la regarda), on dirait que ça t’excite salope ! »
L’insulte provoqua une vague de plaisir qui afflua dans son ventre. Fanfan ne put retenir un gémissement.
« Une vraie pute en chaleur, major », dit le second policier alors qu’il lui faisait ouvrir la bouche et lui mettait deux doigts …
« Stop ça suffit, vous lui enlevez les menottes, vous la faites assoir, et vous quittez la pièce. »

Les deux policiers s’exécutèrent et demeurèrent juste derrière la porte ; Muriel s’approcha de Fanfan et sortit une matraque télescopique qu’elle déplia.
« Alors on va jouer franc jeu. Tu reconnais ça ? (Muriel saisit un morceau de tissu avec le bout de sa matraque télescopique et le mit sous le nez de Fanfan)
— C’est… c’est mon string ?
— Oui salope, celui que tu as oublié dans mon cellier, pendant que tu matais ma séance de SM, avec mes fils .Qu’as-tu à dire ?
— Je … je… ce n’est pas ma faute, j’ai entendu un cri alors que ton mari s’était absenté, je pensais que quelqu’un s’était blessé et je suis allée voir…
— Mais quelle conscience professionnelle, quelle chance j’ai d’avoir une voisine aussi dévouée. Alors, le spectacle t’a plu j’espère !Parce que dorénavant je crois que mes fils et moi allons avoir une "guest star" , toi ! »
À la fois abasourdie, mais également mue par une excitation hors du commun, Fanfan sentit une nouvelle vague de plaisir lui déchirer le ventre.Son fantasme de cette nuit allait pendre corps !

Muriel rappela ses deux collègues et regardant Fanfan avec une expression vicieuse :
« Bon on va commencer ici même avec les « amuse-gueules » !
Messieurs, foutez-la moi à poil et attachez-la sur sa chaise ! »
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