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Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion...

Chapitre 4

Interrogatoire.

Trash
Fanfan fut levée de sa chaise par les deux agents de police. Muriel se plaça devant elle, en faisant virevolter le string au bout de la matraque télescopique :
« Alors ma chère voisine, toujours prête à se dévouer pour les autres ?Vas-tu te laisser palper ?Tu as parfaitement le droit de refuser mes ordres, mais dans ce cas, je te fais transférer tout de suite à la police de lutte contre les narcotrafiquants.L’interrogatoire et les palpations seront certainement moins " ludiques " que ce que j’ai en tête… ce sera plus politiquement correct.
Par contre les 15 ans de prison qui t’attendent derrière, parce que 500 grammes de cocaïne, ce n’est plus de la consommation personnelle, cela ne sera pas très ludique !Tu es d’ores et déjà considérée comme le maillon essentiel d’un trafic de drogue dans ton hôpital…et crois-moi,je pourrai trouver des gens qui seront prêts à témoigner contre toi la main sur le cœur !

— Non cela je ne le crois pas. Tu bluffes ! Tout le monde sait que je suis une personne honorable, reconnue par sa hiérarchie et par son vois…
— Son voisinage !! Elle est bien bonne (Muriel était pliée de rire).La bonne voisine qui vient espionner les petites fantaisies de ses voisins, qui quitte son string plein de cyprine pour se masturber devant le spectacle offert !Tiens au fait, ça t’a excitée de me voir attachée, écartelée nue, fouettée ?
— …
— Ne réponds pas, l’expression plaquée sur ton visage et ton regard sont éloquents…donc à ton avis personne ne témoignera pour ton implication dans ce trafic de stups ??(Elle prit son portable) Kevin, Momo, vous pouvez venir au commissariat, 10 minutes OK ? Vous ne serez pas déçus (en lançant un regard obscène vers Fanfan)Alors « voisine » tu coopères avec nous ou c’est la brigade des stups, choisis !
— Je serai coopérative.

— Et « ouverte », à tous mes caprices ? En un mot tu acceptes un statut de soumise ?
— MM oui… (Fanfan se mordait la lèvre inférieure), qu’allez-vous me faire ?
— Rien, que des trucs que tu vas adorer, au vu du plaisir que tu as pu prendre en regardant ma petite séance SM … Messieurs faites votre office, mais lentement …très lentement. Je veux beaucoup de sensualité ! » Et disant cela, Muriel enfouissait son visage dans le string et en respirait l’odeur intime…

Fanfan était folle d’excitation, c’est à peine si elle avait pu balbutier un « oui ».
Les mots, la situation, tout concourait à son plaisir … LES MOTS … ils venaient buter dans la sphère de son cerveau :« Mes caprices », « statut de soumise », « des trucs que tu vas adorer ».

Fanfan ne réfléchissait plus, ne voyait plus rien autour d’elle, « l’effet tunnel »… elle connaissait ces troubles de la vision et de la personnalité en cas de stress intense. En bonne praticienne de la médecine et de la gestion des situations de stress, elle savait exactement, tout ce qu’elle allait ressentir.Elle attendait sa dissociation avec intérêt.Elle repensait avant de perdre le fil de ses pensées cohérentes, à sa copine Charline qui lui racontait ses histoires de cul, de partouze.3 semaines auparavant, Charline lui avait expliqué, elle-même ne connaissant pas ce type de réflexe psychologique, elle était libraire, comment alors qu’elle était en club échangiste avec son homme, elle avait été « offerte » à 6 hommes en même temps, qui l’avaient caressée, palpée, masturbée, pour ensuite lui faire l’amour dans toutes les positions.
Charline avait bien décrit son impression d’être en dehors de son corps, de quasiment se regarder, en observatrice neutre.Elle avait elle-même était surprise par l’intensité de ses cris de jouissance, elle avait même utilisé l’expression « beugler comme une bête.»
Fanfan avait écouté tout cela avec l’aplomb de la professionnelle de santé, lui avait expliqué les mécanismes avec un air méprisant, devant tant de luxure et de débauche de la part de son amie.
Mais le soir, alors qu’elle avait demandé à son bel italien de la combler, elle avait revécu en pensée tout le scénario de Charline.

Aujourd’hui cela allait être son tour…elle ne cessait de se tordre les mains et de se mordiller la lèvre inférieure, sa respiration s’accélérait alors que doucement, les 2 agents saisissaient chacun un pan de la robe et la passèrent au-dessus de sa tête.
Muriel, en connaisseuse et amatrice de femmes, elle était bisexuelle, siffla d’admiration devant la poitrine plantureuse de Fanfan et ses courbes chaleureuses :
« T’es bien foutue voisine ! Dommage que tes sous-vêtements ne soient pas plus affriolants ! Mais bon, on y pourvoira.Messieurs retirez lui ses sous-vêtements et caressez- la ! »

Celui de gauche lui dégrafa son soutien-gorge, libérant une splendide poitrine aux tétons déjà durcis, tandis que son collègue lui fit glisser son string sur les jambes, dévoilant un pubis bien taillé avec un « ticket de métro blond …Les deux hommes commencèrent à la caresser partout en prenant bien leur temps…Fanfan commençait à gémir.
Elle fermait les yeux, plus rien ne comptait hormis les caresses des hommes sur ses cuisses, ses fesses, ses seins, sa chatte.Elle avait chaud, tellement chaud …elle sentait la cyprine couler dans l’intérieur de ses cuisses.

Puis elle sentit une main lui saisir le menton et elle ouvrit les yeux…Muriel le visage à quelques centimètres du sien, la regardait droit dans les yeux et plaqua sa bouche sur la sienne, les langues s’enroulèrent, et Fanfan se retrouva embrassée par une femme pour la première fois de sa vie.
Elle y prit vite goût, tant le baiser était sensuel mais aussi agressif, elle avait l’impression que Muriel lui aspirait la langue, qu’elle voulait la manger de l’intérieur.Et puis Muriel quitta sa bouche, sortit sa langue et doucement lui lécha les lèvres ; Fanfan comprit très vite et sortit elle aussi sa langue, les deux femmes jouèrent alors avec…Pendant cette étreinte à la fois douce et parfois violente, Fanfan sentit un objet métallique froid assez gros venir forcer l’entrée de ses cuisses, juste sous sa vulve.Elle les écarta d’emblée et sentit le Tonfa, manié par Muriel coulisser contre sa vulve, et caresser ses grandes lèvres.D’abord un peu froid, le contact s’avéra délicieux grâce à la cyprine dont l’objet s’enduisait au contact de son sexe.
Muriel quitta sa bouche et s’agenouilla devant elle, lui fouillant la vulve et écartant ses lèvres, avec deux doigts de la même main, tout en continuant de faire coulisser le Tonfa, qui put entrer en contact avec le clitoris.
Lorsque la surface de l’objet s’écrasa contre son petit bouton, Fanfan exhala une grande plainte de plaisir et commença à gémir et crier sous l’effet de la masturbation.
Muriel faisait coulisser l’objet de plus en plus, vite jusqu’à la plainte de délivrance finale : Fanfan avait joui !

Pendant « l’intervention » de leur major les deux policiers s’étaient décalés de Fanfan, comme à regret, abandonnant son corps sensuel à leur chef.

Muriel leur ordonna de mettre Fanfan à genou, tandis qu’elle plaçait son Tonfa, à plat sur le carrelage, la poignée vers le haut.Poignée terminée par une espèce de gros champignon en plastique d’environ 5 centimètres de diamètre. Fanfan ne s’appartenait plus, elle se laissa guider par les deux hommes qui la firent s’agenouiller, pendant que Muriel dirigeait sa vulve dont elle écartait bien les lèvres sur la protubérance de plastique noir.
Fanfan poussa un cri à la fois de surprise, de légère douleur et enfin de plaisir, quand la poignée s’introduisit dans son sexe bien baveux et largement ouvert.Les genoux écartés par terre, les fesses presque en contact avec le sol elle était littéralement empalée sur le Tonfa. Muriel lui ordonna d’onduler du bassin afin que les sensations dans le vagin de Fanfan fussent encore décuplées…Cette dernière, prise d’une soudaine bouffée d’érotisme torride, commença à se soulever et redescendre sur l’objet, en rythme. Abandonnant toute pudeur, car jusque-là elle n’avait fait qu’obéir, passive, aux ordres que Muriel lui donnait, elle se baisait royalement sur l’engin de défense, gémissant et ahanant à chaque fois.

Sur un signe de Muriel, les deux agents de police ouvrirent leur braguette et en sortirent un sexe déjà bien dur.Se postant à quelques centimètres de la bouche de Fanfan, celle-ci se saisit des 2 belles verges et commença à les masturber, puis les engloutit dans sa bouche à tour de rôle, prodiguant à chaque homme une très belle fellation.
Muriel, qui excitée, était adossée à son bureau, en train de regarder le spectacle eut une idée très perverse.

Elle s’approcha de Fanfan et lui tendit son smartphone déjà en communication. Étonnée, celle-ci abandonna l’un des deux hommes et prit son portable et là, horreur, elle reconnut la voix de son mari, Al le bel italien …
« Allo fanfan ça va, on dirait que tu respires mal ?
— Non …Noooooon Aaaal ! Je …vais …bieeen ! (sur un signe de main de Muriel les deux agents levaient et poussaient la pauvre Fanfan sur son instrument « de supplice ».)
— Non tu m’inquiètes ma chérie, je suis sûr qu’il y a un problème !
— No..noooon ….hummp…je … vais rent…rentrer un peu pLUUUs …tard.Je..c ‘est une… nuregence … (la pauvre bafouillait et n’arrivait plus à former ses mots) Ah …aaaaaah …ce soir ! »
Muriel, très excitée et hilare à la fois, regardait Fanfan empêtrée dans la drôle de conversation téléphonique…Une fois raccroché, Fanfan qui s’était retenue de jouir autant qu’elle avait pu, eut un orgasme formidable et poussa un hurlement de jouissance.

Elle était là, nue, sur le sol empalée sur ce Tonfa, sans honte ni pudeur, le sexe dégoulinant de cyprine, entourée des trois agents presque habillés…c’est clair que Al n’aurait pas reconnu sa tendre et honnête épouse…

Quand on frappa à la porte.
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