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Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion...

Chapitre 6

Fanfan goûte aux plaisirs "interdits"...

Avec plusieurs femmes
“Fanfan ?! Mais qu’est ce que cela signifie ? Tu as vu comment tu es attifée?
-Ben quoi, on n’ a plus le droit de se lâcher maintenant? Je voulais voir si j’étais capable de sortir dans une de ces tenues de salope, qui te font tant fantasmer …
-Ben oui mais là...c’est un  peu "too much" quand même !
-Aaaah bon ! Alors quand c’est des vidéos du net, tu trouves ça excitant, mais quand c’est ta propre épouse qui joue un rôle de pute , cela ne te fait plus rire du tout. Tu sais quoi Al, tout compte fait, tu n’es qu’une "tarlouze", tu n’assumes pas tes choix… quand je pense que tu fantasmais de m’emmener dans des endroits hyper chauds, genre club d’échangisme ou autres … Et là tu me fais le mec pas courageux pour un sou, sans couilles...”

Al prit la réflexion comme un grand coup dans l’estomac, sa femme venait de le traiter de type sans couille et sans caractère. Difficile, pour le Mâle italien qui sommeillait en lui. De son côté, Fanfan jouait la provoque à fond. Il fallait que Al soit sur un registre tellement émotionnel qu’il soit incapable de réfléchir.La question toute simple aurait été : mais que fait ma femme, rentrant à la maison, en tenue de pute , alors qu’elle est censée sortir très en retard de son travail … Mais il était trop "soufflé", d’abord par l’apparence de sa femme, qui l’excitait énormément et laissait penser à des scénarios très coquins, et ensuite par la méchante réflexion de cette dernière.Il lui fallait reprendre la main tout de suite. Il fonça dans la maison attrapa une veste , et ses clés de voiture et emmena sa femme brutalement par la main, vers la voiture.
“ Ah tu veux "jouer à la pute" ! Et bien je vais t’y emmener moi dans les quartiers chauds, on verra si tu dégonfleras, seule au bord d’un trottoir dans cette tenue...c’est moi qui vais rire, tu vas voir!
-Et bien on verra alors ! “

Fanfan, elle non plus, ne pouvait déposer les armes, d’abord à cause de son amour propre féminin, la brutalité de Al qui à la fois l’étonnait et l’excitait et enfin l’attrait de l’inconnu...des expériences nouvelles, borderline, des trucs plus ou moins dangereux. Elle avait déjà expérimenté des trucs un peu “hot” ces dernières 24 heures. Une fois la “boîte de Pandore” ouverte, il lui en fallait toujours plus, un peu comme pour un camé, sa dose.Assise sur le siège passager, elle regardait Al du coin de l’œil, ainsi que le paysage urbain qui défilait sur sa droite. Un jeu pervers de domination/soumission, de défis sans cesse réitérés, du genre de ceux qu’entre mecs on appelle “ qui aura la plus longue”, s’était installé entre les deux. Qui allait y gagner ou y perdre le plus, chacun se posait la question ? Seul l’avenir le leur dirait !

La voiture stoppa...ah oui pour un quartier chaud, c’était un quartier chaud: des sex-shop assez glauques, des petits restaurants miteux, un cinéma X, et des tas d’ordures un peu partout.Des camés qui se shootaient à même le trottoir, des jeunes femmes à la démarche particulière et des dealers qui arpentaient la rue. Bref un condensé de petits trafics, le repaire des déshérités de la terre; sous l’Ancien régime on aurait appelé ça “la Cour des miracles”...Les deux “joueurs” avaient tout à coup la boule au ventre, et n’osaient pas sortir de leur véhicule...ah qu’elle était loin leur petite maison bourgeoise dans leur quartier aseptisé.Nul n’en menait large. Al tenta un :

“ Si tu le sens pas, on peut rentrer Fanfan…
-Comment ?! Après ton petit numéro de macho italien-spaghettis de mes deux, tu te chies dessus ! Tu me déçois mon chéri !
-Okaaaaayyyy… tu le prends comme ça ? Tu en veux , tu vas en avoir ! Mais ne viens pas pleurer si tu te retrouves dans une situation qui nous échappe…”

Fanfan pleine de morgue et de défi marcha d’une démarche très vulgaire, en dandinant du cul, ce qui avec la hauteur de ses talons aiguilles n’était pas chose aisée...Pour provoquer un peu plus son mari et s’assurer la place de leader de leur petit jeu, elle alla jusqu’à remonter sa micro jupe au-dessus de ses bas, laissant apparaitre le porte-jarretelles et dans le mouvement de la marche, sa petite toison de blonde…Al, une quinzaine de mètre derrière, ne perdait rien du spectacle de sa femme qui laissait apparaître ses deux belles fesses toutes blanches dans la lueur des quelques lampadaires à la lumière diffuse.Tout se passait très bien pour Fanfan l’exhibitionniste, qui prenait son pied à croiser quelques mâles solitaires, plus avinés les uns que les autres, qui, en la croisant, jetaient un regard envieux sur son pubis parfois dénudé. Quand, au sortir d’une petite boite de nuit miteuse, un groupe de trois jeunes femmes ayant une tenue qui n’avait rien à envier à celle de Fanfan, tombèrent en arrêt devant elle, et l’apostrophèrent.
“ Hey, t’es qui toi la petite pouf bourgeoise, tu viens faire quoi ici, à te balader la chatte à l’air ? Tu crois que c’est une tenue ça ?
-C’est vrai, c’est un quartier très bien ici, on n’aime pas les filles qui se baladent à moitié à poil pour aguicher les mecs.” Renchérit une deuxième fille.

Fanfan, malgré le coup de la surprise, pensa que vraiment c’était l’hôpital qui se moquait de la charité !

Les trois jeunes femmes, une blonde d’environ 25 ans, outrageusement fardée avec un imperméable assez court sur des bas résilles, une petite beurette très mignonne, avec une robe blanche toute moulante , à lacets sur les côtés, et enfin une brune un peu gironde, portant une mini jupe noire en cuir et la veste de la  même matière, sur un tee shirt à strass, entourèrent et commencèrent à palper et tripoter la pauvre Fanfan, qui sans défense, lança un regard désespéré vers Al, “son protecteur”. Celui-ci se dirigea vers le petit groupe qui prenait un malin plaisir à invectiver et violenter sa femme. Quand il entendit un “click” caractéristique qui le fit stopper sur place, il se retourna.
“ Alors papa, on se balade avec sa petite bourgeoise habillée en pute pour se donner des sensations ? “
L’homme, style truand, dans les trente ans avec une belle cicatrice sous le menton, avait un beau couteau à cran d’arrêt déplié le long de sa cuisse.
“ Tu viendrais pas avec ta pouf marcher sur mes plates bandes et emmerder “mes filles” non ? Tu oserais pas quand même ?

-Ah non ! ( Et sortant son téléphone portable), c’est juste une petite séance "d’exhibe"avec ma femme...un petit pari quoi...rien de bien méchant .
-Ah ta femme aime l’exhibe ? Et toi tu serais pas du genre candauliste non ? Ah ces bourgeois et leurs petites perversions BCBG ! Ça m’a toujours fait rire. Tu en veux de l’exhibe ? Nina ! ( la brune), regarde dans le sac de madame!
-Ok Willy, alors madame est ...oh, mais c’est que nous avons du beau monde ! Cadre infirmier à l’hôpital général “Albert I°”. ( Lui mettant la main sur les fesses), alors ma jolie... infirmière le jour, salope la nuit ? Ça t’excite tout ça ?
-Ouahha ! Elle est toute mouillée la salope ( la blonde, Greta, lui passait la main entre les cuisses)
-Bon alors tu auras compris que c’est moi, ici le boss du quartier, alors comment allez-vous régler votre droit de passage? Tu as du flouze , une carte de crédit?
-Oui, ( Al sortit rapidement sa carte Gold), vous venez avec moi et je vous donne ce que vous voulez , mais par pitié ne faites rien a ma femme. Que voulez vous ? 500 euros ça ira ?
-Ah mais je vois que nous sommes entre gens de bonne compagnie!  500, c’est parfait , mais un conseil ne revenez plus !
-Comment ça , Al petit pédé, sans couille, tu vas donner 20 pourcents de ton salaire à ce petit merdeux ! Mais ça va pas non!  C’est moi qui vais payer et je vais y prendre beaucoup de plaisir, rien que pour emmerder mon connard de mari ! Et oblige le à tout filmer Willy.
-Oh mais c’est qu’elle en veut ta bourgeoise ! Les filles emmenez-la dans la petite impasse derrière. On va voir si elle a du potentiel !”

Les trois filles emmenèrent Fanfan près d’un mur de briques sales, au pied duquel se trouvaient des poubelles et des immondices divers. les deux hommes en retrait, Willy sortit son portable et commença à filmer la scène, tandis que Al fut lui aussi obligé de filmer, un peu sur le côté pour avoir un angle de vue différent. Fanfan, un regard de défi et de lubricité jeté à son mari, laissa choir la mini jupe par terre et retira ensuite le tee shirt moulant.
Assumant sa nudité au caractère très érotique, elle apparaissait en bas et porte-jarretelles, les seins dressés sous le coup de l’excitation. Se dirigeant vers la jeune blonde Greta, elle lui défit sa ceinture, et l’imperméable s’étalant sur le sol fit apparaître le corps sublime de la jeune femme, seulement "habillée" de Dim-up en résille.Aussitôt sans aucune pudeur, Fanfan se jeta sur sa poitrine, qu’elle commença à peloter de ses mains, malaxant les seins de la jeune femme, et ses doigts jouant avec les tétons dressés. Les deux femmes se dévoraient la bouche, leurs langues s’entremêlant…
Puis sur un ordre de Willy, les deux autres saisirent Fanfan par les épaules et la couchèrent sur les poubelles. Fanfan, cuisses grandes ouvertes, semblait se délecter de sa dépravation sous les yeux de son mari. Au jeu du défi sexuel, Fanfan avait remporté la manche.Elle semblait se complaire dans sa débauche saphique, gisant impudiquement dans les immondices malodorantes, tandis que Greta et Inna la caressaient et l’embrassaient tour à tour. Les écartant, Nina s’approcha de son sexe béant, avec dans les mains un grand os récupéré dans une des poubelles. Fanfan comprit et ferma les yeux, attendant avec volupté, l’intromission du gode improvisé.

Al filmait toujours, avec dans la bouche un goût de fiel. Il ne savait plus s’il était excité par la hardiesse sexuelle et dépravée de sa femme ou s’il en était dégoûté. En tout cas, il avait, pour son plus grand bonheur ou son plus grand malheur, atteint son objectif: transformer sa petite femme honnête en la pire des salopes...
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