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Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion...

Chapitre 7

Al comprend tout, et essaie de reprendre la main...

Avec plusieurs femmes
“Putain de merde, mais qu’est-ce qu’on fout ici ? Tu te rends compte dans quelle merde tu t’es mise ? Tu es à disposition d’une femme flic complètement barjot et sadique, ta voisine Muriel, et une bande de racailles des quartiers chauds ! “
Fanfan garda le silence. Al était hors de lui. Ils se retrouvaient devant un garage miteux dans une zone industrielle délabrée. Et sa femme était habillée comme une bourgeoise très sexy. A 22h00 pétantes, elle quitta la voiture et il put la voir dans toute sa gloire de femme fatale: bottines noires à hauts talons, bas gris couture, robe fourreau noire légèrement au-dessus du genou, avec un décolleté sexy mais pas vulgaire... une véritable robe de soirée.

Tout s’était accéléré la veille...

Deux jours auparavant, Al s’était bien régalé de voir sa femme soumise à ces trois petites bombasses très vulgaires. La brune Nina, habillée d’un ensemble jupe et veste de cuir, s’approchait avec l’os relativement long de l’entrejambe de Fanfan. Cette dernière nue, alanguie sur les poubelles, était en train de se faire caresser par les deux filles, Inna en blanc, et Greta nue en bas résilles. Visiblement, Fanfan prenait du plaisir aux mains féminines qui lui couraient sur les seins et le sexe, tandis que les deux l’embrassaient voluptueusement à tour de rôle.Nina ordonna à Greta d’écarter le plus possible les cuisses de Fanfan, qui se retrouva la fente bien dilatée et bavant de cyprine. Al regardait avec fièvre l’os se rapprocher de la vulve de sa femme, ainsi abandonnée aux caprices sexuels des trois jeunes femmes.
Nina fit jouer la tête arrondie de l’os sur les grandes lèvres de Fanfan et sur son clitoris. Elle commença à limer la vulve offerte passant l’os entre les deux cuisses. A chaque fois que la longueur de l’os ayant caressé les muqueuses de Fanfan, voyait sa tête buter à l’entrée de sa vulve et contre son pubis, Fanfan gémissait de plaisir. Puis Nina passa aux choses sérieuses, elle présenta la tête à l’entrée du sexe ouvert et dégoulinant de cyprine de Fanfan, et doucement l’introduisit en un mouvement rotatif. Fanfan ferma les yeux et exhala une longue plainte de jouissance.Nina faisait rentrer et sortir les dix premiers centimètres de l’os, en pratiquant un mouvement de rotation qui envoyait Fanfan dans les affres de l’orgasme. Peut-être étaient-ce l’insolite et la lubricité de la situation, se faire baiser par un os sale trouvé dans une poubelle, ou le fait d’être à la merci de trois jeunes femmes vicieuses, toujours est-il que Fanfan vint très vite à sa jouissance. Sa respiration s’accéléra, et ouvrant la bouche toute grande elle poussa un long cri de plaisir.
Hasard des éléments, le ciel qui s’était progressivement couvert pendant le coït de Fanfan, libéra ses grandes eaux au moment où celle-ci cria son plaisir.Alors les trois jeunes femmes et Fanfan elle-même se déchaînèrent.
La pluie chaude leur causa comme un sursaut de libido. Pendant qu’Al et Willy protégeaient leurs smartphones de leurs vestes, ces derniers toujours filmant la scène érotique qui se déroulait, Greta déjà nue, se plaça allongée sur le dos, sur une poubelle, présentant ses seins et son corps à la douce caresse de la pluie chaude d’orage, qui devenait de plus en plus intense. Le tonnerre grondait non loin de là, Nina retira sa veste de cuir, son tee-shirt à paillettes, pour se retrouver seins nus offerts aux grosses gouttes de pluie. Inna quant à elle vit très vite sa robe blanche en stretch devenir humide, et lui coller à la peau, la pointe de ses seins distendant le tissu rendu transparent. Fanfan, elle, allongée nue sur les poubelles, l’os entre les cuisses, débordant de sa chatte brûlante de plaisir, se laissait couvrir par la pluie.
Inna s’étant elle aussi débarrassée de sa robe blanche, devenue inutilisable, attrapa Nina et lui plaçant sa main en coupelle sous sa vulve commença une masturbation brutale de la jeune femme, tandis que leurs lèvres s’unissaient. Greta quant à elle se hissa sur les poubelles et se plaça à califourchon sur le visage de Fanfan, sa vulve au niveau de la bouche de cette dernière. Fanfan commença à lui lécher le sexe ainsi offert, tandis que la jeune femme faisait à nouveau coulisser l’os dans son vagin, avide de sensations fortes. Quand elle le pouvait, Fanfan couinait et gémissait sous l’intromission de plus de 20 centimètres d’os dans sa chatte. Autrement, elle léchait avec avidité le sexe au-dessus de son visage, faisant pénétrer sa langue dans la fente de Greta...
A un moment, n’en pouvant plus, et voulant lui aussi prendre sa part, Willy baissa son pantalon, en fit sortir un gros sexe en érection, et forçant Inna à se courber devant lui, la main exerçant une pression sur sa nuque, écarta les jambes de la jeune femme qui masturbait toujours sa copine, et s’introduisit en elle en levrette.
Al, lui, n’osant intervenir dans le tableau pornographique devant lui, filmait toujours : sa femme pénétrée par l’os, que faisait évoluer Greta dans son sexe, pendant Fanfan lui léchait la chatte, Willy baisant Inna en levrette, qui elle-même branlait Nina... tout le monde prenait du plaisir. Et tout cela sous une pluie chaude et battante. Al devait bien reconnaître qu’il regrettait d’avoir le rôle du preneur d’images... mais en un sens, il ne regrettait pas non plus sa place de voyeur. Surtout avec l’exhibition et la débauche de sa propre femme sous les yeux !

Enfin, après que tout le monde eut bien joui, sauf lui, les protagonistes se rhabillèrent et tout le monde rentra chez lui... Willy ayant promis qu’un de ces jours, lui et les trois filles se referaient une petite “partie” au domicile même d’Al et Fanfan !

Mais quand le couple rentra chez lui, Al eut la désagréable surprise de trouver quelqu’un assis dans son fauteuil, qui fumait un gros cigare très malodorant... c’était Muriel la petite voisine flic, bien sous tout rapport.Sa surprise ne s’éteignit pas, quand il entendit le dialogue surréaliste qui s’installa entre cette dernière et sa femme :
“ Alors ma petite salope ? On va faire la pute en banlieue ? Est-ce que tu m’as demandé la permission ? “
Fanfan tomba littéralement en arrêt devant sa “tortionnaire”, Al quant à lui s’énerva instantanément :

“ Mais Muriel comment peux-tu parler à ma femme sur ce ton ? Et que fais-tu ici d’abord ? Tu as beau être flic cela ne te donne pas tous les droits !”

Pour toute réponse Muriel s’approcha de Fanfan, en fit le tour, en lui passant une main sur les épaules, les fesses et la posa sur son ventre. Alors en soulevant la micro jupe de Fanfan, elle lui passa la main entre les cuisses:*
“ Bon, déjà pas de culotte, est-ce que ça a bien mouillé tout ça ? Espèce de salope.”
Ayant trempé ses doigts dans le puits très humide de Fanfan, elle lui porta la main à sa bouche, et lui ordonna de lui lécher les doigts. Fanfan s’exécuta sans récriminations...Sans ménagement, Muriel lui branlait la chatte du tranchant de la main. Fanfan se laissait faire, et fermant les yeux, commençait à soupirer. Al, lui, regardait le spectacle de sa femme soumise à leur voisine sans oser intervenir... Il devait reconnaître que voir sa femme "abusée sexuellement" par leur policière de voisine, l’excitait au plus haut point... mais d’un autre côté... Puis sentant son orgueil de mal méditerranéen le titiller, il hurla sur Muriel :
“ Non mais, espèce de vicieuse, tu lâches ma femme. Mais c’est quoi ce bordel ! Et toi, tu ne dis rien et tu te laisses faire comme une traînée ?— Ah ! Je vois qu’elle ne t’a rien dit ! Eh bien Fanfan est depuis peu ma soumise, je devrais dire mon esclave... Elle fera tout ce que je lui ordonnerai !— Mais... mais ce n’est pas possible. Alors écoute espèce de connasse, tu as beau être flic, tu sors d’ici immédiatement ou je me fâche !— Et nooonnn ! (Goguenarde, Muriel exhiba un sachet de cocaïne de sa poche.)Ta femme s’est fait pincer avec ce charmant sachet de drogue... je ferme les yeux, mais en échange, elle m’obéit au doigt et à l’œil !— C’est vrai Fanfan ?”
Celle-ci baissa la tête et ne pipa mots... Al éberlué, regardait sa femme soumise et silencieuse.

Après cet incident mémorable, Muriel quitta le couple en laissant des instructions à Fanfan. Elle devait se rendre dans un garage auto minable de banlieue, et obéir au doigt et à l’œil au patron de l’établissement. Muriel lui devait un service.
Ainsi, Al et Fanfan se retrouvaient en banlieue industrielle, en début de soirée...
Ayant encore tout cela à l’esprit, Al regardait sa femme s’éloigner et entrer dans le garage... qu’allait-elle encore subir ?
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