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La Mariage

Chapitre 10

Gay
Je suis d’abord aveuglé puis le rayon de lumière s’éteint, mes yeux se réhabituent à l’obscurité et je reconnais Bastien. 
-       Bastien ? Mais qu’est-ce que tu fous là ?
 Je ne suis pas vraiment gêné qu’il me voie la queue dans l’anus de Jean-Baptiste dans la mesure où il nous a bien mâté Luc et moi dans ma chambre, cet après-midi pendant que nous nous caressions en attendant l’apéro. Je ne suis d’ailleurs jamais mal à l’aise quand je suis à poil devant un beau mec, mais je pense au petit curé que je viens de baiser et qui, lui, a une réputation à protéger.  Je me retire de l’anus velu qui vient de me donner un plaisir dément, je retire le préservatif de ma queue pendant que Jean-Baptiste se rhabille. Ma voix doit donc sonner comme un reproche parce que Bastien tente de se justifier. Il bafouille. 
-       Je….je….je cherchais Luc… et je pensais que vous seriez ensemble…alors je t’ai suivi quand tu es sorti…-       Je ne sais pas où il est.-       OK.
 Une idée me traverse l’esprit parce qu’il y a déjà un bon moment que nous avons quitté l’Orangerie. Le clair de lune est lumineux et nous ne sommes pas dans une totale obscurité. A travers la fenêtre il était parfaitement possible d’admirer nos petits jeux entre garçons. 
-       Tu es là depuis longtemps ?-       Euhhhh….non….enfin….-       Tu nous a regardés ?
 Pas de réponse. J’insiste 
-       Tu nous a matés ? C’est ça ?
 La situation commence sérieusement à m’exciter. Ma queue commence à se redresser et comme j’ai fait exprès de la laisser exposée au regard de Bastien je sens qu’il est mal à l’aise. Je repense à son érection de l’après-midi que la serviette ne pouvait pas cacher.Je ne vais pas renoncer aussi facilement. 
-       Ca t’a plu au moins ?
 Le clair de lune est puissant. Je ne vois pas toutes les expressions de son visage mais je les imagine et il me vient une idée. Je remonte un peu mon caleçon et mon pantalon pour m’approcher de Bastien en évitant de me casser la figure. Je cherche la boucle de sa ceinture et caresse son sexe que je sens dur sous le tissu de son costume. Il ne dit rien. J’ai compris pourquoi il est venu nous rejoindre. Je défais le bouton, baisse la fermeture éclair et fait tomber le pantalon sur ses chevilles. Puis je glisse mes doigts sous l’élastique de son caleçon que je fais glisser sur ses belles cuisses musclées légèrement poilues. Sa queue libérée est à l’horizontale, je m’accroupis et l’avale doucement. Mes lèvres se posent sur son gland et repoussent lentement le prépuce pour découvrir le fruit défendu, dur, brûlant, gorgé de sang.  Je le lèche comme une friandise en faisant tourner ma langue tout autour dans les deux sens. Puis je fais pénétrer son pénis plus loin dans ma bouche jusqu’à venir caresser de mes lèvres les poils taillés de son pubis. J’adore sentir sa queue épaisse palpiter entre mes lèvres. Il gémit, se laisse faire sans rien oser, puis finit par m’appuyer sur la tête pour que je l’avale à fond. Voilà un petit hétéro qui apprend vite à se faire sucer par un mec… Au bout d’un moment que j’ai du mal à évaluer j’entends Jean-Baptiste qui s’approche de nous. Il s’accroupit à côté de moi et me pousse gentiment pour me faire comprendre que lui aussi veut profiter de cette belle queue. Nous nous mettons face à face et nous formons avec nos lèvres un fourreau qui glisse sur le sexe tendu de notre nouvel ami. Nous tétons le gland avec nos langues jusqu’à ce que s’en écoule un long filet de lubrifiant que nous nous partageons. Bastien pose ses deux mains sur nos têtes et nous encourage à ne pas quitter sa queue d’une seconde. Nous nous tenons d’une main aux cuisses de Bastien et j’en profite pour remonter vers ses fesses d’une infinie douceur. Son cul bien ferme est couvert d’un duvet qui me fait penser à de la soie. Je le caresse et je sens ma queue durcir encore. Je glisse un doigt dans sa raie légèrement velue pour chercher son trou de mec qui n’a peut-être jamais connu la visite d’un sexe de garçon…à moins qu’il ne soit moins innocent qu’il n’y paraît. Bastien repousse gentiment ma main. J’hésite. Puis je retente une caresse et cette fois-ci il me laisse faire. Je tâtonne tout en continuant à la sucer avidement pour trouver l’orifice que je rêve de lécher. C’est doux et chaud. Du bout du doigt je tourne autour du trou de ce beau mec viril qui maintenant que deux mecs le suce et lui caresse l’anus, grogne sans timidité. J’abandonne la queue de Bastien à la bouche de Jean-Baptiste qui s’en empare comme s’il n’avait pas baisé depuis des lustres. Je passe derrière Bastien, pose mes mains sur ses fesses, les écarte et plonge ma langue dans son intimité. Il se penche légèrement pour me faciliter le travail et je me régale de son anus que je sens s’entrouvrir sous l’effet de mes caresses buccales. Bastien nous manifeste sa satisfaction. 
-       Oh ouiiii les mecs….c’est bon….je vais jouir….
 Je sens du precum couler de mon gland sur le sol. Nous avons tous les deux faim de lui. Jean-Baptiste de sa queue qu’il ne lâche plus dans un fond de gorge magistral et moi de sa chatte velue que j’ai envie de posséder. Mais je sais au fond de moi que je ne dois pas aller trop loin. Un fois le trou bien humide je commence une caresse circulaire avec mon index, puis je m’arrête en appuyant légèrement sur l’entrée interdite. Je recommence plusieurs fois. Il ne m’interrompt pas. Alors je vais plus loin et entre mon doigt dans l’antre viril. Il joue le jeu et descend de lui-même le long de mon doigt pour me faire comprendre qu’il m’accepte en lui. Je commence de lents va-et-vient dans son anus dont j’imprime l’image mentale dans mon cerveau. J’alterne avec des coups de langue bien gourmands et des caresses de mon menton qui commence à être un peu râpeux de ma barbe du jour. Il semble apprécier cette alternance de douceur et de légère brûlure sur son intimité virile. Il grogne, j’entends Jean-Baptiste se régaler d’avaler complètement le pénis épais du beau Bastien. 
-       Je vais jouir les mecs…
 Mon doigt est enfoncé aussi loin que possible. 
-       AAAAAAHHHHHHHH !
 Il se vide dans la bouche de Jean-Baptiste et je sens toutes les contractions de son intimité autour de mon doigt. Son corps est traversé par une onde de plaisir qui tord tous ses muscles dans une jouissance intense. J’imagine l’image de son sperme qui jaillit dans la gorge du beau jeune prêtre et je regrette que ce ne soit pas ma queue qui, emprisonnée dans son anus, connaisse tous les tressaillements intimes de son éjaculation violente. Le temps est suspendu quelques instants, puis Jean-Baptiste et moi nous nous relevons. 
-       Waouh…quelle dose !
 Visiblement Jean-Baptiste a été bien nourri. A nouveau Bastien semble chercher ses mots. 
-       Je….
 Que veut-il nous dire ? 
-       C’était…c’était…juste….
 Chacun tente de reprendre son souffle. Nous nous rhabillons en silence. La situation est tout de même assez particulière. Je prends l’initiative de mettre les choses au point. 
-       Bon les gars….on est d’accord que ce qui s’est passé ici reste ici ?
 Les deux me répondent qu’ils sont d’accord. Je pense à la réputation de Jean-Baptiste et aussi au fait que Bastien est peut-être allé plus loin qu’il ne s’imaginait pouvoir ou devoir le faire. Bastien s’apprête à sortit le premier. Au moment de franchir le seuil de la porte il se tourne vers nous et nous dit : 
-       Merci
 Tout dans sa voix me touche. Ce simple mot résonne étrangement à me oreilles. Il ne nous remercie pas pour le plaisir vécu sur le moment. Il y a autre chose, bien autre chose.
Je me tourne vers Jean-Baptiste. 
-       Ca va ?-       Oui-       Je suis désolé. J’ai pas vu que Bastien nous suivait-       Pas de souci. Ne t’inquiète pas. J’ai confiance en lui.-       OK-       Lui et moi nous sommes un peu dans la même situation.-       Tu veux dire ?-       C’est clair qu’au fond de lui il est attiré par les mecs. Tu as bien vu comme il a joui non ? Pour le moment il ne l’accepte pas. C’est marrant d’ailleurs. Je ne le connais pas, je ne l’ai pas vraiment vu, j’ai avalé son sperme mais il m’a fait quelque chose. Il est touchant en fait.-       Oui. J’avais pas vu ça comme ça mais tu as raison. Drôle de journée non ?-       Tu veux dire pour nous deux ?-       Euh…oui…-       Oui. Drôle… mais belle journée.-       C’est vrai ? Tu ne m’en veux vraiment pas ? Entre la sacristie et ici je ne peux pas dire que je te facilite la vie.-       C’est le beau côté de la vie non ?-       Oui.
 Puis il s’approche de moi, cherche mes lèvres et nous nous embrassons, à la fois fiévreusement et tendrement. Nous savons que ce sera la seule fois alors nous y mettons tout ce que nos cerveaux et nos cœurs nous commandent. Nous reprenons chacun séparément le chemin de l’Orangerie où la pièce montée nous attend.
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