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Mariage Kabyle

Chapitre 2

Le début de la fête

Gay
Petit rappel : invité en Kabylie par mon neveu d’adoption, Réda, pour deux mariages dans sa famille, j’ai été logé chez un de ses oncles ou cousin, monstre de virilité, poilu de partout comme un singe et doté d’un membre d’une taille, alors encore inconnue pour moi, en bref... Tout ce que j’adore.
Omar était parvenu à introduire son gland monstrueux dans moi, ainsi qu’un bon tiers de sa bite. Même s’il m’excitait comme un fou, même si je me sentais ouvert complètement, j’avoue que je bloquais un peu. Il faut dire aussi que ma chatte, pourtant bien souple et habituée à de fortes intrusions régulières, n’avait pas été visitée depuis ma rupture avec Ilyas, datant de quelques mois déjà.
Avec ce monstre, j’avais l’impression de perdre à nouveau mon pucelage, alors que j’avais été décapsulée depuis belle lurette et j’ai toujours donné mes orifices facilement aux hommes, seul ou à plusieurs, en partouze, en double pénétration aussi, sauf quand j’étais en relation sérieuse, où là, je suis d’une fidélité exemplaire. Je ne couche jamais avec un autre mec que le mien, sauf s’il me le demande, ce dont mon ex, au Maroc, ne se privait pas, adorant la double aussi.
Omar a très vite compris que même si je ressentais un plaisir intense, j’avais quand même du mal à encaisser sa poutre en entier, il était habitué à ça, peu de personnes, hommes ou plus rarement des femmes avaient pu le supporter, ce qu’il m’a avoué après.
Mais j’en avais trop envie... D’abord, de lui, et surtout, trop besoin de me faire baiser, que ma chatte retrouve sa fonction normale, c’est-à-dire d’être pénétrée. Il est ressorti de moi, a copieusement réenduit mon œillet de vaseline ainsi que sur son membre, en collant mes narines sur les poils de son torse, dont les effluves étaient bien plus efficaces que du Poppers.
Son nœud s’est de nouveau rapproché de mes lèvres anales, les caressant, les frottant et la nature ayant repris ses droits, elles se sont ouvertes à nouveau, comme une fleur de tournesol au soleil.
Il a pu s’introduire dans mon antre, lentement mais sûrement, jusqu’à ce que je sente ses formidables couilles me taper sur les fesses. Il était enfin en moi en totalité, mes mains ancrées sur ses fesses fermes et noires de poils si doux, appuyant à fond pour ne pas perdre le moindre millimètre de ce fabuleux sceptre.
J’étais comblé... Enfin, je retrouvais la puissance d’un homme, qui, une fois la place bien prise, me labourait à grands coups. Tout mon corps n’était que plaisir, je dodelinais de la tête en marmonnant sous ses assauts puissants. Je l’ai senti se tendre, et déverser en moi toute sa jouissance, des longs jets de cette merveilleuse semence masculine qui ne semblaient pas se tarir, cherchant à aller toujours plus profond. Après ce fabuleux coït, je m’étais un peu relâché, mais pas lui... Son sexe conservait toute sa vigueur, et c’est à 4 pattes qu’il m’a encore possédée, avec davantage de force, comme un mâle inassouvi de plaisir depuis une éternité.
Il a pris possession de moi 4 fois cette après-midi-là, et c’est très en retard que nous avons retrouvé la fête qui avait déjà largement commencé. Si j’avais un peu de mal à marcher, lui, affichait un magnifique sourire, celui du mâle comblé, et évoluait avec aisance parmi les convives, alors qu’il était taciturne habituellement. Comme quoi, quand un mec se vide bien les couilles, il se sent tout de suite beaucoup mieux dans sa peau.
Si beaucoup étaient étonnés du changement d’Omar sans trop savoir pourquoi, certains avaient parfaitement compris de quelle nature avait été ma sieste pour rendre Omar si guilleret, dont Réda, bien évidemment qui m’a pris à part.
— Alors Tonton, tu as pu te détendre un peu ? — On va dire ça Réda... — Tu ne m’en veux pas de t’avoir logé chez Omar au lieu de la maison familiale ? — Mais non, bien sûr... Il est vraiment... adorable... !!! — Je savais que tu allais être content... Et lui aussi, à le voir aussi épanoui, c’est la première fois depuis longtemps qu’on le voit comme ça.
— Sans doute que ça le change un peu de sa solitude. — Il t’a pas trop fait mal ? — Tu veux dire quoi par la Réda ? — Ben... Je l’ai déjà vu au Hammam et c’est vraiment monstrueux, beaucoup plus gros qu’Ilias... Tu as couché avec lui, et ne me dis pas non, je le sais, je le sens... Tu as supporté ? — Oui... 4 fois... et trop bon... !!!
Même si j’étais hyper-proche de Réda avec une entière confiance en lui, les aspects sexuels de ma vie n’avaient jamais été abordés directement. Il savait, je savais qu’il savait, mais notre complicité était tellement forte et affectueuse, que nous n’avions pas besoin de mots pour nous comprendre. Il aimait beaucoup Omar et il connaissait, toujours dans les « Non-Dits » sa vie faite de frustration depuis des années. Avec sa sensibilité, Réda avait voulu, depuis le début, que je rencontre Omar. Il détestait les gens malheureux, et pour un Kabyle, il avait une ouverture d’esprit assez rare. Ces mariages familiaux lui avaient donné le moyen de m’emmener avec lui et de me présenter Omar. En fin limier, il avait tout amorcé pour que le désir naisse très vite, pour que je chasse Ilias de mon esprit et qu’Omar se sente enfin bien dans sa peau.
Le résultat avait même dépassé ses espérances, quand je lui ai avoué, un peu gêné et en baissant les yeux, que je m’étais donné à Omar de suite, même s’il s’y attendait un peu quand même.

La fête a poursuivi son plein, avec des plats plus savoureux les uns que les autres. N’oublions pas qu’un mariage traditionnel au Maghreb, se déroule sur plusieurs jours, avec la soirée des hommes, celle des femmes, puis des familles, et enfin, la cérémonie en elle-même.
Elle débute en général par celle des hommes, servis par des femmes toutefois, et l’ambiance était super festive, sans alcool, sauf quelques bières néanmoins, cachées dans des glacières sous les nappes ou dans des buissons. Je n’aimais pas ça, je n’ai jamais aimé la bière, je me contentais de thé et de sodas, comme Omar d’ailleurs, qui ne me quittait pas d’un regard subtil, de ses yeux noirs et perçants. Vers minuit à peu près, je l’ai vu s’approcher de Réda et parler avec lui.
— Tonton, la journée a été lourde pour toi, tu peux aller te reposer si tu veux, Omar va t’emmener.— Je veux bien Réda, j’avoue que je me sens un peu fatigué quand même, j’ai plus 20 ans comme vous tous.
Quand ce monstre de virilité s’est approché de moi pour m’accompagner, sa démarche à longs pas mettait en avant cette énorme bosse entre ses jambes, partiellement camouflées par un pantalon large, mais qui prenait de l’ampleur au fur et à mesure qu’il avançait vers moi jusqu’à atteindre des proportions... indécentes... !!!
Nous avons très vite quitté le groupe pour aller jusqu’à chez lui, et à peine arrivés, il m’a collé contre le mur, baissé mon pantacourt et s’est enfoncé dans moi d’une traite. Je hurlais de douleur tellement c’était gros, mais de plaisir aussi. Très vite, j’avançais mes fesses vers lui pour qu’il me prenne encore plus profondément, à la sauvage, retrouvant l’accouplement bestial, tellement le plaisir est fort et violent. Il puait le mâle en rut, tous les pores de sa peau exsudaient l’homme hyper-viril, la testostérone, les phéromones.
Il me défonçait complètement, et plus il me martelait de son organe hors normes, plus je hurlais encore et encore. Après avoir joui en moi à 2 reprises, il m’a pris dans ses bras pour rejoindre la chambre. J’ai enfin pu le voir nu en totalité. Immense, mince, mais musclé très sec et avec de longs poils très noirs, souples et suaves, qui couvraient une bonne partie de son corps sauf la moitié de son dos. Son cul était magnifique, petit, très ferme, recouvert de la même toison que son torse et son pubis m’offrait une énorme touffe, hyper-drue et noire, allant de son nombril jusqu’aux couilles, débordant sur son ventre et sur ses cuisses. Omar était... merveilleux... !!!
J’ai été sa « femme » je ne sais combien de fois cette nuit-là. Si certains d’entre vous ont eu l’occasion de faire l’amour avec des Kabyles, je pense qu’ils connaissent leur puissance sexuelle hors du commun, peut-être pas chez tous, mais fréquente quand même à en croire certains de mes amis, femmes ou hommes. Les gênes sans doute...
Le lendemain matin, épuisé mais comblé, une bonne odeur de café m’a réveillé, mon homme avait préparé le petit-déjeuner, avec pain frais, brioche et croissants qu’il était allé chercher pendant mon sommeil. Il avait juste un caleçon ample sur lui, dans lequel sa virilité dépassait allègrement, et c’est en m’entourant de ses bras qu’il m’a conduit jusqu’à la table.
En nous restaurant, j’ai vu d’un coup ses yeux s’embrumer, se voiler jusqu’à des larmes, qu’il essayait de retenir, mais il n’y parvenait pas.
— Merci Marc, merci pour tout ce que tu me donnes... !!! — Mais, de quoi ? Je me sens si bien avec toi... — Moi aussi.
Et il a commencé à me parler. Me dire qu’il avait toujours aimé les hommes, la vraie horreur en Algérie, même si heureusement, la Kabylie et particulièrement sa famille était plus tolérante à ce sujet, à condition que cela reste des « Non-dits », ce que je commençais à connaître, sans les comprendre toutefois, trop subtils pour moi. Ensuite, la honte de son corps, tellement velu qu’il se faisait traiter de singe, de bête à poils, et aussi de son sexe, que la plupart des ses partenaires, femme ou homme, fuyaient quand ils en constataient la taille monstrueuse.
C’est ainsi que j’ai pu comprendre que cet homme, symbole pour moi de virilité parfaite, avait un cœur d’or, mais n’avait jamais été aimé, et surtout n’avait pu avoir que très peu de rapports sexuels dans sa vie, malgré son besoin intense qu’il devait soulager la plupart du temps, par la « veuve poignée »
Son dernier rapport remontait à 2 ans, avec une vieille pute à Alger qu’il avait pu baiser, après avoir surmonté sa honte d’aller dans une pharmacie de la capitale pour acheter des préservatifs XXL.
En pleurant, il me remerciait de la joie que je lui avais procurée, non seulement de pouvoir faire l’amour, mais surtout de donner aussi du plaisir à un partenaire qui n’avait pas peur de lui, ni de ses poils, ni de son organe vraiment hors du commun.
Je me suis jeté dans ses bras, le serrant très fort contre moi...
— J’ai trop envie de toi... !!!
En caressant tous ses poils et son membre qui avait pris toute son ampleur.
J’ai enlevé mon caleçon et je me suis empalé sur lui d’une traite... !!!
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