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Mariage Kabyle

Chapitre 8

La Noce

Gay
La Noce
Lors des deux fois une année où j’avais travaillé au Maroc, j’avais été invité, à quelques reprises, à des mariages. Si certains me paraissaient plutôt festifs, d’autres me semblaient bien ternes. Il faut dire que je voyais ça avec des yeux d’Européen, où pour nous, la fête battait son plein, avec des repas souvent pantagruéliques, copieusement servis et resservis, et où tout le monde se mélangeait pour rire, boire, un peu trop quelquefois, et danser jusqu’à la fin de la soirée lorsque les mariés nous quittaient pour consommer leur nuit de noces, le plus souvent « consommée » depuis fort longtemps.
Le pire avait été celui auquel j’avais été convié à Rabat Souissi, le quartier le plus riche, dans une famille, comment dire, plus qu’aisée, et dont l’ennui avait été mortel. Dans un immense salon, les femmes d’un côté et les hommes de l’autre, nous avons contemplé pendant des heures interminables le ballet des mariés dont l’épouse a dû changer cinq à six fois de robe, toutes plus somptueuses les unes que les autres, exhibant la richesse de la famille. Les convives, chacun de leur côté, applaudissait respectueusement chaque apparition, sagement assis dans les salons marocains, nous gavant de sodas et de quelques canapés en attendant de passer à table.
Le repas a enfin été servi, des plats savoureux avec une excellente pastilla au pigeon, dont il avait été impossible d’en quémander une seconde part, le dîner avait été expédié en moins d’une heure. Une danse complètement désordonnée avait pris la suite, avec toujours les femmes d’un côté et les hommes de l’autre. Je me suis enfui, peu de temps après, prétextant une extrême fatigue, pour quitter cette soirée complètement insipide, non sans avoir chaleureusement remercié mes hôtes pour cette « magnifique » soirée et l’honneur qu’ils m’avaient accordé de m’y avoir convié.
De toutes mes forces, j’espérais qu’il n’en serait pas de même ce soir-là, et même si Samira et Imane étaient apparues à plusieurs reprises dans des robes magnifiques, savant mélange entre traditions kabyles et Europe, l’atmosphère était tout autre.
L’alcool était banni, ou plutôt savamment caché, et personne n’en abusait, sauf rares exceptions. Repas fin et plus que copieux, largement servi à profusion, musique traditionnelle, mais européenne aussi, avec des danses endiablées, partagées entre tous, aucun ne se gênait pour inviter les mariés ou les mariées à leur offrir leur bras. J’assistais en fait à une vraie fête de mariage, peut-être encore plus complète qu’à l’européenne, dans lequel ce savant dosage entre tradition et plaisir de partager ce moment magique atteignait son apogée. Adorant danser, je ne sais combien de valses, de tangos, de rocks et autres j’ai pu partager avec un grand nombre de cavalières, trop heureuses de profiter de mon « savoir danser » français.
J’ai pris un plaisir certain à ces noces, m’amusant comme un fou, me régalant à plusieurs reprises de tout ce qui était servi, les plats ne semblant jamais se vider, tellement ils étaient vite rechargés.
L’aîné des deux mariés a d’un coup, réclamé le silence et pris la parole pour tout le monde présent.
— Ce n’est pas trop notre habitude, mais nous avons aujourd’hui un invité français de marque, Marc, le Tonton d’adoption de notre Réda que nous sommes tous heureux et fier de l’accueillir parmi nous.
Rouge de confusion, je me suis masqué derrière l’immense silhouette d’Omar, mais Réda avait vite fait de me repérer pour me rapprocher des autres.
— Marc nous fait l’honneur de sa présence et nous a apporté un cadeau qu’il souhaitait discret. Du Champagne, qui scelle vraiment tous les mariages français. — Je suis désolé Rachid, je n’aurais pas dû, mais c’est un réflexe chez nous.
J’avais effectivement amené avec moi 2 caisses de 12 bouteilles de Champagne prises dans la cave de mon père, avec son autorisation, bien sûr, et qu’avec un billet, Réda avait pu permettre de passer la Douane... Un mariage émeut tout le monde, même le moindre des douaniers.
— Alors Marc, c’est nous qui allons répondre à votre tradition...
Et les bouteilles ont été ouvertes, servant tous ceux qui voulaient en goûter, même les femmes dont l’interdit avait été levé pour l’occasion, les Kabyles savaient, en règle générale, que le champagne représentait davantage un côté festif que de l’alcool pur.

J’étais heureux, je me sentais bien, content de leur avoir fait plaisir, comblé par cette fête magnifique qui approchait de sa fin, les mariés partant pour consommer leur union, ce qui était certainement le cas dans leur culture, la virginité restait primordiale.
Un peu étourdi par autant de moments si plaisants, je m’étais un peu affalé dans un fauteuil, beaucoup plus fatigué par mes nombreuses danses que par les quelques gouttes de Champagne. Ce n’était pas une présence qui m’avait éveillé, mais ces odeurs si prégnantes de mes hommes, dont tout mon cerveau et mes synapses en conservaient imprégnés, toutes les molécules.
Omar d’un côté et Kamel de l’autre. Comme moi, ils avaient totalement participé à la fête, Omar était rentré en début d’après-midi, pour nous rejoindre. Ni l’un, ni l’autre ne m’avait quitté des yeux, sans que je ne m’en rende vraiment compte, appréciant l’un et l’autre, la joie que je prenais durant toute cette noce, constatant que le « pacte » scellé le matin avec Kamel n’avait pas été rompu, mais que le leur était bien réel.
— On rentre à la maison maintenant, tous les trois... !!!
Les yeux d’Omar étaient doux et noirs, mais le ton était ferme... !!!

J’étais trop content de les rejoindre, même si je me doutais bien que la nuit serait loin d’être terminée, ce qui, ma foi, n’était pas franchement pour me déplaire, très excité à l’idée de « consommer » une nuit de noces... A trois... !!!!
Une fois arrivés, je n’ai pu m’empêcher de farfouiller leur poitrail velu, alors que Kamel me mettait nu, précautionneusement cette fois-ci, ôtant avec délicatesse, mon pantalon en lin faisant suivre mon boxer, et ma chemise en soie. Leurs barres étaient indécentes, majestueuses, tendues à l’extrême, que j’excitais encore davantage par les caresses de mes doigts et de mes ongles, à travers le fin tissu. Deux paires de mains partout sur moi, deux corps de mâles hyper-velus... Omar a pris possession de ma fente en premier, il avait du retard à rattraper, pendant que je savourais Kamel sur toute sa longueur, parvenant cette fois-ci à avaler la plus grosse partie de ce si bel organe de plaisir tout en caressant ses couilles si lourdes et si poilues.
Nous étions toujours dans la cuisine, notre désir était tellement intense, que nous n’avions pas eu la patience de gagner la chambre. Comblé par ces deux énormes membres qui me fouillaient, avec une alternance de lenteur et de fougue, j’aurais voulu que cet instant ne cesse jamais. Une pensée fugace pour les mariées qui elles aussi devaient se faire perforer, décapsuler par leurs maris, mais je doutais qu’elles puissent ressentir autant de jouissance que la mienne en se moment. A l’unisson, ils ont déversé leur divin nectar dans mes orifices qu’ils savaient leur appartenir dorénavant.
Ma bouche les a nettoyés de la moindre goutte de cette liqueur si précieuse, lorsque, ensemble ils m’ont pris dans leurs bras pour poursuivre nos ébats dans ce lit, qui allait être le nôtre, non seulement pour le reste de la nuit, mais pour tout mon séjour avec eux deux.
L’hospitalité kabyle étant légendaire, personne ne s’est étonné que Kamel et Omar me servent à la fois de guide et de « chaperon », beaucoup moins que si j’avais dû partager la maison d’un couple, et comme celle d’Omar était vaste et possédait plusieurs chambres, dont nous n’utilisions qu’une seule, bien évidemment.
Je ne sais pas si beaucoup d’entre vous ont connu ça, mais partager sa couche entre deux monstres de virilité, deux épaisses toisons contre mon torse et mon dos, des jambes puissantes, velues entrelaçant les miennes, mon ventre et mes fesses toujours caressés par cette merveille que possède l’homme en son centre... C’est purement magique, féerique, incommensurable, la liste des adjectifs serait trop longue pour vous décrire le bonheur que je ressentais.
A la troisième reprise, alors qu’Omar était allongé et que j’étais totalement empalé sur lui, Kamel s’est collé à mon dos, ses cuisses puissantes tentaient d’écarter encore plus mes jambes. Son gland frottait mon orifice, déjà pleinement occupé par Omar, mais d’où s’écoulait une partie des nombreuses rasades de sperme dont ils m’avaient copieusement abreuvé. Tout à mon plaisir, je l’ai laissé faire, appréciant cette nouvelle caresse sur ma chatte, lorsque j’ai ressenti une pression beaucoup plus forte, m’écartelant à l’extrême quand son nœud a commencé à trouver sa place et rejoindre Omar en moi.
— Arrête Kamel... Jamais je pourrais supporter ça, vous êtes beaucoup trop gros tous les deux... !!! — Ne me dis pas que tu l’as jamais fait... C’est pas vrai... !!!
Lors de l’après-midi sous notre grotte de feuillage, pendant notre « folie » sexuelle, je lui avais avoué qu’il y avait bien longtemps, lorsque je vivais au Maroc, j’avais un amant très fortement membré lui aussi qui me prenait quelquefois avec son cousin et qu’ils m’avaient initié à la double pénétration, malgré leurs tailles.
— Oui Kamel, mais c’était il y a si longtemps, je ne pourrais plus le supporter. — Eh bien... On va voir ça... !!!
Il a continué à enfoncer son sexe, lentement mais sûrement, comprimé contre celui d’Omar, ses baisers m’empêchaient de hurler de douleur, lorsque j’ai senti ses couilles battre mes fesses... J’avais leurs deux bites en moi, en même temps, au plus profond, mon anneau distendu à la limite de ses capacités, et quand Omar a lâché mes lèvres, j’ai hurlé... Le plaisir de leur appartenir ensemble avait allègrement surpassé la douleur de cette pénétration extrême. Plus ils se déchaînaient, et plus je jouissais, jusqu’à l’extase finale où ils m’ont fécondé au même moment, restant toujours aussi durs, immobiles tous les trois, soudés comme trois corps qui n’en faisaient plus qu’un.
Ce n’était pas du sexe sordide, mais la fusion complète d’un trio.
Une fois désimbriqués, Omar est parti à la salle de bain, récupérer une serviette pour éponger les conséquences d’un accouplement aussi intense, même si grâce à une toilette intime et fréquente, rien n’était désagréable à part une odeur de foutre qui empestait la pièce... Si suavement... !!!
— Tu as choisi deux maris non ? Alors il faut que tu les satisfasses complètement, ensemble ou séparément... !!!
Je reconnaissais bien là l’ironie de Kamel... !!!
Mais Dieu que mes hommes étaient beaux... Corps meurtri, mais plus qu’assouvi, un léger voile noir assombrissait toutefois mes pensées quant à l’avenir, le chassant rapidement, pour ne profiter que du moment présent.
CARPE DIEM
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