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Mariage libertin

Chapitre 1

La rencontre des belles mères

Orgie / Partouze
Monique et Nadine sont amies intimes depuis presque trois ans et mère ou belle-mère (par un second mariage) de John et Mélina, deux jeunes gens qui vont se marier.
Comme souvent je retrouve Nadine ce samedi matin pour passer la journée ensemble.Depuis les marches de l’Opéra au pied de la Danse, je la vois sortir de la bouche de métro, une belle blonde, élégante en tenue printanière. Je vais à sa rencontre et en ces premiers jours de mai je lui tends un brin de muguet.
— Bonjour ma chérie ! Je te souhaite beaucoup de bonheur ! » tout en lui sautant au cou.
On s’embrasse du bout des lèvres pour protéger nos maquillages :
— Oh Mone, tu es un amour... Qu’il est beau et comme il sent bon.— Je l’ai cueilli en forêt jeudi dernier.— C’est sympa tu y as été avec Olivier ?
On commence à marcher, bras dessus dessous en parlant à voix basse
— Non, avec Élisabeth... La corsetière, la Domintrice, la Maîtresse d’Olivier »... Ça y est, d’un sourire elle me fait signe qu’elle a compris « Elle m’a prise en amitié !— NON !!! » s’écrie-t-elle puis à voix basse « Mone ! Tu veux dire ?... Tu lui es soumise ? » Je réponds d’un sourire et d’un signe de tête approbateur « Et alors ? Raconte-moi ! Comment ça s’est passé ?— D’abord elle m’a fait marcher dans les orties, peu après j’ai rencontré un chien qui en léchant mes jambes a atténué la brûlure des piqûres mais ensuite sous l’œil amusé de son maître, il s’en est pris à ma foufounette. — Oh ! Le coquin.— Puis éloignée des chemins elle m’a obligée à me promener nue et m’a offerte à deux indiens, deux malabars qui m’ont prise sans que je touche le sol.— Ben dis donc c’est hard, ton affaire... T’es devenue une sacrée cochonne.
Elle m’embrasse dans le cou, on passe dans une petite rue et nous entrons dans un restaurant italien. Installées, la commande passée, tout de suite Nadine oriente la conversation sur l’évènement majeur à venir :
— Alors ça y est, nos enfants ont fixé la date de leur mariage, le dernier samedi de juillet. On a réfléchi avec Yanis, si avec Olivier vous êtes d’accord, on vous propose de nous rencontrer un prochain week-end à Compiègne, pour parler de la cérémonie et de la réception, vous connaissez notre propriété et on pourrait y faire le mariage.
— Ah oui ! C’est une superbe idée, dites-nous quand nous pouvons venir.— Je vois ça et je t’appelle. Pour ce mariage on pourrait envisager une tenue champêtre, j’imagine style Marie-Antoinette au Hameau, tu vois ce que je veux dire.— Oh oui ! Je me vois très bien avec une jolie robe fleurie en coton, une grande capeline.— Oui, oui, avec un joli décolleté, pigeonnant très 18ème.— Très révolutionnaire.— Oh je te vois venir, si tu veux cette après-midi on ira jeter un coup d’œil dans les grands magasins.
X

L’après-midi se passe sans qu’on s’en rende compte et sans trouver notre bonheur. Maintenant on se repose, on bavarde, assises à une terrasse de café
— Je suis un peu déçue par ce que nous avons vu. » me dit-elle.— Oui, rien de ce que nous cherchons, mais j’ai une idée, en parler à Élisabeth.— Euh, pour devenir sa soumise ! Très peu pour moi.— Non, non ! C’est une corsetière avant tout, les bustiers c’est son domaine et la jupe ne doit pas lui poser de problème. Je lui en parlerai.— Ouais !... C’est une bonne idée ». Suit un grand silence, alors qu’un mec nous observe depuis un moment avec insistance, avant qu’elle ne reprenne en me donnant un coup de coude. « Tu te rappelles ma chérie quand on s’est fait draguées par les deux marocains et qu’on s’est retrouvées dans une chambre de passe ?— Ouais jusqu’à nous laver avec la savonnette sur le bidet, traitées comme de vraies putes.— Dis donc ma chérie, tu peux parler, depuis t’as progressé, avec ta balade en forêt. » Elle se penche à mon oreille et murmure « Ça ne te dirait pas d’aller danser, je connais un club sympa pas loin d’ici. — Danser ?— Et plus si affinité ! » s’exclame-t-elle en gloussant.
Elle connaît le quartier comme sa poche et arrivons par un dédale de rues devant une porte bleue laquée, un judas, une sonnette, une plaque gravée ’’L’ambigu - Club privé’’ Je demande un peu surprise :
— On danse là dedans ?— Oui !... Mais pas que ma chérie ! T’inquiète pas.
Dans l’embrasure de la porte qui s’ouvre, je n’ai que le temps de voir une robe fourreau blanche au décolleté vertigineux avant d’être poussée vers l’intérieur. Dans l’obscurité je ne perçois que la tiédeur du lieu, la fragrance d’encens, des notes sourdes de jazz. Il me faut un moment pour m’habituer à la pénombre du lieu. Je découvre alors la femme à la robe blanche, grande, élancée, d’une voix grave elle nous accueille et nous installe à une table ronde. Assise tout contre Nadine comme pour me protéger, elle commande deux gin-fizz. La femme haut perchée sur des escarpins roule outrancièrement du popotin en partant et à son retour nous offre son décolleté qui en fait n’a pas grand chose à cacher. Sur la piste de danse deux couples se bécotent. On trinque, Nadine m’entoure la taille de son bras, sa main posée sur ma cuisse souligne le relief de ma jarretelle :
— J’aime beaucoup ce club, me dit-elle, il ouvre assez tôt et on y fait des rencontres surprenantes. Parfois l’apparence est trompeuse.— Tu veux dire la jolie brune...— … Oui ! Elle peut être très bien membrée ! Tu n’as jamais connu ?— Euh ? Oui et non ! » Sous son regard étonné, je continue. « Ma sœur a adopté une fille née garçon, une femme a.do.ra.ble ! » mot que j’appuie en ponctuant chaque syllabe.— Wow ! A.DO.RA.BLE ! T’as baisé avec ?— Oui, on a fait l’amour plusieurs fois.— Allez, viens danser !
On rejoint trois couples. Un contre-bassiste et une chanteuse noire chante, j’adore le blues et tout de suite je suis collée-serrée dans les bras de Nadine, je ne résiste à rien, je ne refuse rien. Quelques pas, quelques mesures ; une femme se presse dans mon dos, je sens ses seins, sa respiration au creux de mon oreille, elle murmure « Tu es divine ! ». En même temps derrière Nadine vient un homme, il l’embrasse dans le cou, la tient par les épaules. Elle me fixe du regard, je lui souris, on se comprend, on se sépare.
Je fais volte face à une femme très BCBG, à peine plus grande que moi, un joli visage très bien maquillé, une bouche pulpeuse, des yeux bleus, je m’y perds, elle me plaque contre elle, mon visage s’enfouit dans sa chevelure brune, elle sent très bon d’une fragrance boisée. Tout de suite elle m’entraîne dans son slow langoureux, me donne envie de sentir ses formes, ses mains provoquent ou suivent mes ondulations. Je découvre sur mon ventre son sexe, sa verge en érection, mon léger recul est tout de suite contrecarré par sa main sur ma fesse, elle chuchote :
— T’aimes pas ?... T’es exclusive ?— Je suis surprise, mais...— … Pourquoi pas !
L’abandon de mes lèvres signe mon accord. A partir de ce moment notre dance devient très érotique, nos bassins passent d’un frotti-frotta à un balancement coïtal, ses mains palpent mes fesses sans vergogne. Je deviens lourde entre ses bras.
— Tu viens faire un petit câlin ? » me demande-t-elle. « Je m’appelle Michelle et mon compagnon Claude.— Moi c’est Monique, que je réponds dans un souffle de soumission.
En même temps on entend « Vous venez ? » Claude et Nadine quittent la piste et nous précèdent dans un couloir qui nous mène dans une grande pièce à la lumière tamisée bleutée et aux murs bleu-nuit. La musique, les senteurs nous transportent en Inde. Elle est entourée de boxes ouverts garnis de matelas et de miroirs. Un couple est dans l’un d’eux, l’homme conduit mon amie dans un box d’angle plus grand que les autres, tout naturellement Michelle me pousse dans le même boxe. Assise au bord du lit près de Nadine et encadrées par nos partenaires, on ne tarde pas à se cajoler.
Michelle est très douce tout en étant directive, elle me couche sur le lit, me domine. Sans me quitter du regard, elle déboutonne ma robe, découvre mon demi-coque en dentelle blanche, mes mamelons érigés. Sa main glisse dans ma culotte et se saisit de mon pubis, le majeur plonge directement entre mes lèvres à la recherche de mon point G, il est très agile alors qu’elle me tète goulument. Tout de suite je cours sur le chemin de l’extase. Une jambe se place entre les miennes et je sens sa verge dure qui se frotte sur ma cuisse. Elle me tire au milieu du lit, dégrafe mon soutien gorge, abaisse ma culotte. Elle vire sur le dos et m’entraîne. Je suis couchée sur elle, semblable à une sphinge, le torse relevé, les seins tendus en avant, en appui sur mes genoux et son bassin, son sexe s’imprime dans mon ventre.
Je libère sa poitrine d’une lingerie de soie, dévoile ses seins faits au moule, presque trop beaux pour être vrais, sous ma bouche les tétons rosés pointent, les aréoles se contractent. Michelle me remonte jusqu’à ses lèvres, entre nos ventres ma main rencontre la sienne et défait la jupe, d’un coup de reins elle se débarrasse de sa culotte, je tiens son pénis, une beau morceau, épais vigoureux, je le caresse du plat de la main, elle accélère le mouvement et d’un coup de reins plus ample elle comble mes envies, je la reçois en une longue inspiration de jouissance.
C’est incroyable cette femme sous moi et ensemble cet homme dans mon ventre, cette féminité sous mes yeux, sous mes lèvres, sous mes mains, cette virilité qui me transperce, qui me baise. Je marque le rythme, lentement, bien à fond. Oh que c’est bon !. Je masse le membre sur lequel je me promène. Michelle me sourit, on se bécote, je ne vois qu’elle, ne me préoccupe pas de l’environnement, elle me caresse, ses doigts suivent ma colonne vertébrale de la nuque au vallon de mes fesses, on gémit doucement ensemble, nous faisons tendrement l’amour, nous sommes à l’unisson.
D’un coup tout change, elle me bouscule, me renverse, vire sur moi, se retire de mon ventre, relève et écarte mes jambes en V, me crache sur l’entrejambe, c’est incroyable comme le mâle paraît exigeant, la bite en main comme il étale son crachat, comme il se penche, me lèche le cul. Il est sur moi, pointe l’anneau, le défonce, l’homme m’encule brutalement, il me fusille du regard, a un sourire carnassier. Tout de suite son ahanement s’accélère, devient guttural.
J’entends Nadine geindre, je la vois à côté, prise par Claude en levrette mais il y a un autre couple aux cheveux blancs avec eux. Elle suce l’inconnu debout devant elle quand la femme à genoux lui pelote les seins, avec ça on entend Claude atteindre le Nirvana en rugissant. Il se calme, reprend sa respiration, à peine sorti du puits d’amour de Nadine, que l’autre femme à genoux à son côté lui prend la bite encore brûlante du coït et l’avale d’un coup. Quelle gourmande, quelle sauvage, comme elle le suce, à grands coups de tête jusqu’à s’étrangler.
A ce moment le nouvel arrivé nous rejoint, il ne regarde que Michelle qui s’est redressée fièrement, il l’embrasse longuement en me donnant ses phalanges à sucer, avant de me caresser du cou au ventre, avant de forcer le passage entre nos ventres, avant d’atteindre nos sexes, de sentir le pieu qui me laboure. L’accord est conclu, il vient entre nos jambes, Michelle lui tend ses fesses, il la prépare, se positionne. Le mâle reste planté en moi quand il est chevauché, la femelle reste couchée sur moi quand elle est saillie. Les deux se retrouvent, la trans me sodomise au rythme des coups qu’elle reçoit.
Nadine abandonnée par l’autre couple s’allonge près de moi, on se regarde un moment avant qu’elle me fasse un bisou du bout des lèvres et vienne sur moi à califourchon. Je ne vois que son sexe, son doigt sur son clito, elle se branle doucement, sa vulve se pose sur mes lèvres, le sperme coule, je bois au verre, je déglutis. On me tripote les nichons, je ne sais laquelle des deux femmes, les deux ensemble je crois. Nadine se vide en moi, m’étouffe presque, Michelle jouit en hurlant, elle m’inonde, ses « Ah !Ah ! Ah ! » de plaisir sont suivis de « Oui !Oui ! Oui ! » de l’inconnu qui l’insémine.
Le calme revenu, le groupe se désarticule au dessus de moi, Michelle m’embrasse tendrement et me dit au revoir d’une voix d’homme, Claude et l’autre couple d’inconnus ont disparu. Je suis vannée, je reste inerte allongée sur le dos. Nadine à mon côté, me caresse, remet mes cheveux en place, essuie mon nez, ma bouche, mon menton, me bise les lèvres :— Ça va ma chérie ?... Viens on va prendre une douche et on va y aller.
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