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Mariage libertin

Chapitre 3

Rencontre à Compiègne - 2

Orgie / Partouze
Pour mettre au point la cérémonie de mariage de nos enfants, Yanis et Nadine nous invite dans leur maison de campagne avec Bob le parrain de la jeune promise et son épouse Dany.
Après le dîner, la maîtresse de maison nous invite à passer dans le salon où deux canapés accueillent les trios. D’un côté Dany entourée de nos maris et de l’autre Bob avec les futures belles mères.
On prend le café, le sérieux de la préparation de la cérémonie passé, les conversations deviennent coquines et échauffent les esprits. Face à nous Dany taquine Olivier et Yanis qui en arrivent à baisser la culotte face à la femme à genoux.

Quant à nous trois, après quelques câlins Nadine nous propose de monter dans sa chambre. Un escalier de pierre mène au premier étage. Elle me pousse en avant et à peine entrée, jette sa blouse sur un fauteuil sous l’œil amusé de Bob. Impatiente elle m’arrache presque la robe, d’un coup de main ouvre le lit et me renverse en petite culotte en arrière. La coquine a un regard furtif vers notre voyeur qui approuve d’un sourire et du pouce levé. Elle me donne en spectacle du style "tu vas voir comme c’est une chaudasse". Et c’est vrai que depuis plus d’un an j’ai un gros appétit sexuel.

Elle s’allonge sur moi, ses genoux entre mes cuisses. Avec ses mains et tout son corps elle m’immobilise. Telle une poupée de chiffon je m’abandonne dans ses bras, comme la première fois dans sa chambre à Paris alors que l’orage tonnait, comme à Mykonos au ’’Sodome bath’’. Elle m’embrasse amoureusement, nos langues virevoltent. D’un coup, par une roulade elle renverse la situation et me place sur elle. Ses jambes enlacent les miennes et son bassin s’anime comme lors d’un coït.

Tout de suite je sens une main sur ma cheville, puis sur l’autre, les deux remontent au creux du genou, massent les cuisses, atteignent les fesses. D’un coup sec il m’arrache la culotte et instantanément les jambes de Nadine telles des lianes m’enserrent les mollets, l’homme écarte les deux globes jumeaux jusqu’à découvrir mon œillet. J’ai sa barbe sur ma jambe, elle remonte, je sens à présent sa respiration sur mon entrejambe, il a nos deux vulves à portée de bouche, il hume nos senteurs intimes. Son nez est dans mes fesses, sa langue titille la base de la vulve, lèche le périnée. C’est dégueulasse comme il me traite, mon fessier se contracte, je ne sens plus sa barbe, il se recule... D’un coup deux pouces pénètrent mon petit trou, l’écartent, encore, presque à le déchirer, il crache dessus deux trois fois avant d’y plonger la langue, c’est gênant cette auscultation, je me sens humilié, traitée comme une putain. L’homme si élégant, si courtois insiste, je sens ses lèvres sur ma cuisse, il m’embrasse tendrement, je me détends, je me sens désirée.

Il me lâche, s’allonge à notre côté, il est encore en chemise et pantalon. Il me regarde, me sourit, il sait que je suis à sa merci. Alors il me prend par le côté, m’arrache des bras, des jambes de Nadine, me fait rouler et me couche entre lui et la femme. Les deux m’encadrent, appuyés sur leur coude, elle observe, lui se penche sur moi, il me fixe du regard. Avec beaucoup de douceur il me masturbe, deux doigts sur mon point G, il bat ma mouille, la fait mousser, le fait blanchir. Le bruit devient indécent. Il me sourit, il suit mes réactions, écoute mes gémissements, s’amuse des soubresauts de mon bassin. Les yeux fermés, je me mords la lèvre supérieure, au fond de moi je le supplie ’’Prends-moi’’.

Puis plus rien ! Sa main a quitté mon ventre, je n’ai pas le temps de me sentir abandonnée que Nadine est sur moi, chevauchant ma poitrine et me tenant fermement les poignets au dessus de ma tête. Penchée, je ne vois que son ventre lisse, j’ai son sexe à ma bouche. Après un moment, caché l’homme est à nouveau là, je sens sa respiration sur mes cuisses, sa langue sur mon sexe, il me lèche un peu, relève mes jambes, les écarte sur le dos de la femme. Nadine prend mes chevilles et les abaisse doucement vers mes oreilles.

Bob satisfait de ma position, de mon indécence, de ma disponibilité, se régale probablement d’abord de la vue du mont chauve à la vallée culière. Autant l’anneau palpite que la vulve baille, il s’en amuse titille l’un, suce l’autre avant que deux doigts d’un côté et trois de l’autre les pénètrent. Le salaud fait bouillonner les deux chaudrons, me fait sentir la feuille de cigarette qui les sépare.

Enfin il se décide, je sens le gland sur mes lèvres, je le reçois en poussant un petit « Ah ! ». Immobilisée, sans rien voir, je tète le clito de l’une et subis les assauts de l’autre, je suis à leur merci. Bob est une fine lame, une longue épée qui cogne le col de l’utérus.

Il change de position, relève encore mon bassin, crache sur mes fesses, pointe mon petit trou et le pourfend de sa lame. Tout de suite il touche mes profondeurs, me relève encore, repousse Nadine en mettant mes genoux à mes oreilles. Le ventre de Nadine se colle à mon front. L’homme raffiné, l’homme de ’’la haute’’ me sodomise comme une pute, il me pénètre encore plus profond, touche les intestins. J’ai un flash, une image me traverse l’esprit...

Je pense à John, à ’’La Nouvelle Athènes’’ à Bob enculant mon fils, à Bob qui m’encule, qui me fait jouir tout en me branlant le clito. Il me taraude encore un moment et me quitte. Un grognement, une claque violente sur la fesse de l’autre, un ordre "Allonge-toi sur elle". Nadine lâche mes jambes qui tombent sur le lit, elle vient sur moi, ses genoux à l’extérieur de mes cuisses, sa tête plongée dans ma chevelure. Je vois à nouveau le visage barbu, les yeux gris sont devenus anthracite, le front se couvre de rides L’homme est entre nos jambes, elle s’offre à lui et il la prend d’un coup puissant qui se répercute jusque dans mon ventre. Il nous couvre toutes les deux, sa barbe grise sur l’épaule de Nadine. Je sens ses coups de boutoirs répétés. Il la laboure un moment avant de se redresser. Il prend mes jambes, relève mes genoux en les écartant. Je sens son gland sur ma vulve, il m’embroche, me baise quatre, cinq fois, me quitte, encule Nadine, revient dans mon ventre.

Il va et vient de l’une à l’autre pour finir dans les fesses de Nadine au milieu de rugissements et de gémissements.

Les deux s’allongent à mes côtés, Nadine éteint la lumière, nous restons dans la pénombre avec la lumière du couloir. On ne parle pas, j’ai la tête de Bob au creux de mon épaule, j’aime la douceur de sa barbe, de l’autre côté Nadine me caresse le ventre. On est bien, je somnole, les deux se lèvent pensant que je dors, sortent de la chambre. A côté on parle en sourdine, on rigole... Puis ils reviennent, je vois leur profile entrer, non ce ne sont pas eux, c’est Danielle et Yanis qui s’allongent à mes côtés.

Danielle a pris la place de son mari, je sens son parfum sucré, j’ai son souffle dans mon oreille, son sein sur mon bras. Elle me caresse avec une infinie douceur, sa main sur mon ventre, mon sexe, son doigt sur mes lèvres, glisse dans mon vagin débordant de mouille. J’embrasse son front, elle m’embrasse sur la bouche, murmure d’une voix ténébreuse « Bonsoiiiiiir », puis en étirant ma vulve « J’aime comme tes lèvres sont développées » et tripotant le clito « Putain ! Il est gros comme un petit doigt ! »

De l’autre côté j’ai Yanis, sa barbe de trois jours me pique délicieusement l’épaule, se promène sur la poitrine, descend sur le ventre, sa bouche rencontre la main de Danielle, s’impose à elle, mes cuisses s’ouvrent pour le recevoir. Il fait un tête à queue j’ai son sexe fatigué près de ma joue.

La femme m’embrasse au moment où j’allais emboucher la verge et c’est elle la première qui gobe le morceau, le suce avec gourmandise avant de le glisser entre mes lèvres. Le mollasson se réveille, grossit, passe d’une bouche à l’autre. Dany est à moitié couchée sur moi, elle tient la verge, la branle lentement, la dirige entre nos bouches. Yanis retrouve toute sa vigueur, bouge, vient entre mes cuisses et me pénètre.

La pénombre de la chambre permet de distinguer les traits délicats du visage de Dany au dessus de moi, d’une main nonchalante je lui caresse le dos. Je reste surprise de son absence de courbes, mis à part son cul rebondi mais pas de hanche, peu de seins. Je voudrais la découvrir mais son bassin sur le lit m’en empêche.

Comprend-t-elle ou partage-t-elle mon envie, elle chuchote « Prends-la en levrette ! ».
Tous se mettent en place, moi à quatre pattes, Yanis à genoux, elle couchée en travers du lit. L’homme revenu dans mes fesses, elle me tenant par le cou, moi bécotant ses tétons, je vais de sa poitrine à son ventre jusqu’à son pubis glabre fermé par ses cuisses, J’insiste sur le point de jonction des jambes. Le sexe se découvre, et là pas de fente mais un limaçon de 7/8 centimètres et deux olives, un homme si j’ose dire, décidément je baigne dans l’ambiguïté ! Elle/Il se rend compte de ma surprise :

— Tu ne savais pas ?... Ne t’inquiète pas, après 40 ans d’hormones il est totalement inoffensif.

Je broie les deux olives, le pénis gros comme mon doigt, le tout tient dans ma main. J’ai beau tripoter, la limace reste inerte, je suçote, je "brandouille", rien n’y fait, je garde en main tout le paquet gros comme une mandarine quand je remonte sur la poitrine, deux monticules au sommet desquels pointent deux tétons rosés, je suce l’un, le mords, triture l’autre. La femme se tortille, bombe le torse, gémit de douleur, même si sa main plaque ma bouche sur son sein.

Yanis à son habitude me baise alternativement des deux côtés, les mains sur mes hanches me font aller et venir ou au contraire m’immobilisent pour taper plus fort, aller plus profond.
Dany manifeste d’autres envies, relève un genou, ouvre largement l’entrecuisse, me pousse au centre de son compas. Je lèche le périnée jusqu’à la pastille, le centre est une bouche gourmande qui vomit un flot de sperme avant d’avaler mon doigt, puis un deuxième. A présent je la tiens fermement avec quatre doigts, la semence déborde, s’étale sur mes doigts, sur ses fesses. Prise par mes mains et ma bouche, elle miaule,

— Oh oui ! Bouffe-moi le clito, branle-moi bien. Oh ! plus fort ta mains sur mes nichons.

Notre trio entre en transe, les gémissements deviennent râles, les miaulements se font feulements. L’homme m’encule avec rage, hurle et se bloque au fond moi. La fille se plaint tellement je la violente. Il me donne tout. Après un long répit, on se sépare.

— Allez les filles, on va se doucher.

La salle de bain est attenante, l’eau fait du bien, on se prélasse mais les corps sont fatigués. On ne s’attarde pas, on éteint la lumière,on entend de l’autre chambre dans l’obscurité « Bonne nuit ! ».
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