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Mariage libertin

Chapitre 4

Enterrement de vie de garçon

Travesti / Trans
Comme tous les mercredis, John va à l’Helios, un club de sport où il entretient son côté féminin, ’’son côté Jane’’, de même qu’avec l’esthéticienne, la coiffeuse ou la manucure.

Le patron du club, Gaby, une vieille connaissance m’a confié à Lyne la coach de l’aérobic, des steps et autres rythmiques... pour façonner mes fessiers ou affiner ma taille.

De dos ma silhouette féminine, avec mes hanches d’amphore, est confondante. Outre ces séances de gym, un traitement local à base d’œstrogènes a modelé ma poitrine de deux jolis renflements et le tatouage de mes mamelons d’un beige rosé a renforcé mon look androgyne.

Ce soir à la fin du cours, Lyne nous souhaite « Bonnes vacances, on se retrouve début septembre et adressons tous nos vœux de bonheur à Jane pour son prochain mariage ». Comme une nuée d’oiseaux la quinzaine de filles me sautent au cou pour me féliciter. Depuis deux ans je suis l’une d’elles, alors à bas justaucorps, brassières et mini shorts, la séance se termine à notre habitude par une douche collective. Toutes me connaissent asexuée, avec la cage qui emprisonne mon gros rat, ma peau lisse et mes courbes féminines.

Un petit nombre de participantes disparaissent dès la douche prise, une dizaine de jeunes femmes m’encerclent, se serrent, se frottent à moi. On se touche, on s’embrasse. Les mains deviennent coquines, les frôlements deviennent caresses appuyées, pelotages affirmés, elles s’en prennent à mon ventre, à mon arrière train, à ma poitrine. Je sens de partout des seins et des tétons, des ventres et des mottes. Je suis au centre d’un ballet érotique, un ballet de ’’Filles-fleurs’’. L’une d’elle porte ma main à son minou et m’encourage à être plus canaille, je passe d’un pubis à un autre, d’une fesse à une autre. Je tripote les clitos, fouille les vagins, on se bouscule, des doigts me pénètrent, s’emparent de ma cage, me pincent la poitrine.

Peu à peu notre cercle se resserre et se limite à quatre, avec ma partenaire de gym, Sophie, à genoux devant ma cage et un couple d’allemandes Birgit et Sylvia que je tiens au ventre ou aux fesses. On s’embrasse à pleine bouche, prêtes à aller beaucoup plus loin, c’est à ce moment qu’arrive notre coach.

— Ben dis donc, le fiancé enterre sa vie de garçon ! Allez les filles, venez dehors, un apéritif nous attend.

Dans ce club naturiste nous restons dans notre plus simple appareil, mis à part ma cage emprisonnant mon sexe. Je m’éclipse une minute le temps de prendre mon collier fétiche au vestiaire.
On arrive sur la terrasse où une grande table est dressée entourée de chaises et de bains de soleil très confortables déjà occupés. On y retrouve Gaby le patron, José le mari de Lyne (notre coach) et on nous présente Hamed un jeune tunisien qui au club, fait de la muscu.
Tout de suite Gaby me prend par l’épaule et m’entraîne à l’écart. Je connais l’homme depuis presque six ans, d’abord par des tripotages dans un train de banlieue puis un premier rapport dans un ciné porno (voir John et Jane, chap 1), d’autres dans la rue ou dans le hall de mon immeuble suivi d’orgies répétées dans son club. Je suis sa ’’p’tite pute’’ depuis la première fois.

— Alors Jane, tu vas te marier ? T’avais besoin de te caser.
— Non mais... Avec Mélina on s’entend bien.
— AH !!! une grosse cochonne comme toi.
— Si tu veux.
— C’que j’veux... Que tu’m suces comme au bon vieux temps !

Il me conduit dans un coin reculé de la terrasse et m’impose de me mettre à genoux. Je me retrouve face à son ventre broussailleux, sa verge en berne. Je la relève, prends ses bourses soyeuses, joue avec les deux pruneaux. Je lèche le frein, titille le méat, tète le gland tant et si bien que la queue grossit, se redresse ; avec précaution je masse toute la tige.
Je suce à présent un braquemart bien dur, un tronc aux veines saillantes, à l’urètre gonflée. L’homme se cabre, ses mains sur ma tête il me baise la bouche, m’impose des gorges profondes, je vais vomir et le repousse brusquement :

— Arrête, arrête ! Pas si fort, pas si fort.
— Tu t’ouvres de mieux en mieux, tu m’avales bien à fond... Tu’t rappelles la première fois sous la porte cochère ? Juste la pointe avec ta p’tite gueule de puceau.
— ...

Pour sûr que je m’en rappelle, c’était la nuit au bas de la rue Pigalle quand un couple de promeneurs nous a vu, j’étais mort de peur. Pour l’instant Gaby se calme, il m’aide à me relever en me prenant aux fesses et d’un doigt constate mon état d’excitation.

— Dis donc, p’tite cochonne, t’es sacrément mouillée... Appuie-toi là derrière ce laurier, je vais te donner un p’tit coup de goupillon.

Je retrouve le Gaby dominant comme au premier jour où au cinéma appuyé sur le fauteuil de devant il m’a baissé le froc et m’a pris brutalement à peine dépucelé par mon cousin. Depuis mon anneau en a vu et s’est assoupli. Mon futur beau père s’en est aussi chargé en m’enrôlant comme garçon de table à ’’la Nouvelle Athènes’’ au service de ces messieurs.
Même bien mouillé, Gaby prend plaisir à me préparer si bien que son chibre me transperce sans difficulté jusqu’à la garde. Je sens ses boules battre mon périnée une dizaine de fois avant qu’il ne me redresse en me pinçant violemment les tétons. Reins cambrés, omoplates contre ses épaules, sa tête au creux de mon cou, sa barbe de trois jours me pique, je sens son haleine de fumeur, il murmure :

— Jane, même mariée tu resteras disponible ?
— Oui bien sûr, ne serait-ce le mercredi au club.

Comme pour bien se faire comprendre, il tape plus fort, je sens qu’il va jouir mais il se retire avant :

— La nuit va être longue, tu sais il faut que je m’économise maintenant. Allez, file ! À plus tard.

Je m’essuie le cul débordant de mouille avant de rejoindre la compagnie. C’est Sophie qui m’accueille en criant :

— JANE ! On te cherche de partout.
— Oui, je suis allée régler mon insciption pour l’année prochaine.
— Ha oui ! avec Gaby ? » dit-elle en éclatant de rire.

En moins d’une demi-heure l’atmosphère s’est enflammée. Lyne tient la jambe d’Hamed si on ose dire et José fait la conversation avec les deux allemandes Birgit et Sylvia.
Sophie se charge de sandwichs, me demande de prendre deux cocas et m’entraîne sur un matelas. Sophie est une jeune rousse ’’au naturel’’ avec deux petits seins blancs comme neige et aux pointes rosées, elle est magnifique. Après la gym nous aimons nous retrouver et partager quelques câlins.

— Alors Jane, parle-moi de ton mariage, où, quand, avec qui et ta sacro-sainte liberté ???
— Je me marie samedi, à Compiègne, avec une fille formidable... » J’explique tout, les goûts de Mélina, les fondements de notre mariage, l’acceptation de l’autre, le don de soi, le libertinage avant tout.
— C’est ce qu’on appelle un mariage arrangé.

A ce moment le plateau et les verres tombent du matelas dans un bruit d’enfer. Brusquement, Sophie m’entoure de ses bras, ses seins s’écrasent sur ma poitrine, ses lèvres sur ma bouche, son ventre sur ma cage. On s’embrasse à bout de souffle. Ses mains me caressent, remontent au cou, trouvent attachée à mon collier la clé. La clé qui me fait passer de fille à garçon, la clé qui libère mon rat sans patte pour laisser se développer un beau pénis, comme le vers qui sort de sa chrysalide pour devenir papillon. Au revoir Jade, bienvenue John.

Sophie est une fille de feu à l’image de sa pilosité. Elle me touche. Satisfaite de la transformation, sa main dirige ma verge sur sa vulve et d’un mouvement coordonné, nous nous accouplons, elle toute humide, moi tout raide.

On fait l’amour depuis un moment quand Lyne, l’espagnole sportive à la crinière noire et Birgit l’allemande replète aux cheveux blancs coupés raz s’asseyent au sol de part et d’autre de nous. Les trois femmes se comprennent, Sophie se dételle et me laisse frustré, la colonne dressée comme un obélisque. Lyne me prend par les couilles, Birgit par le tronc, les deux malaxent, broient ce qu’elles tiennent en main, les deux se partagent le morceau qui passe d’une bouche à l’autre, en même temps chacune violente un téton, chacune triture ma féminité et ma masculinité, la douleur se mêle au plaisir.

Je ferme les yeux, ne me rends pas compte qu’Hamed enjambe le matelas au niveau de mes épaules et me plante sa queue en bouche.

— Gaby m’a dit que tu étais une bonne suceuse !

Avec moi, le masculin et le féminin se confondent en permanence. Son membre déjà en bouche, je ne vois que la peau mate, le ventre et la fourche des cuisses poilus. Mes bras bloqués par ses jambes, je le tiens par les couilles pour tenter de limiter son ardeur alors qu’il prend ma bouche pour un vagin.
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