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Mariage libertin

Chapitre 6

Dernier essayage

SM / Fétichisme
Le grand jour approche, mon fils va se marier avec Mélina, je suis sur les charbons ardents.

Avec Élisabeth, corsetière de métier et amie à laquelle je suis soumise, on se retrouve régulièrement pour la confection de ma robe. Après le dessin, la prise de mesures, la construction du patron et les essais, elle me demande de venir aujourd’hui pour un dernier essayage :

— Mone ! Je t’attends à 15 heures. » Son ton autoritaire ne laisse aucun doute quant à ce qu’elle attend de moi et ma réponse laisse entendre que j’ai parfaitement compris.
— Oui madame, je viendrai !

Je me prépare en conséquence, tenue de ville et collier de cuir. Des bas et un serre taille lacé dans le dos sont mes seuls sous-vêtements. Bref d’apparence très BCBG, en vérité totalement disponible. A l’heure fixée je me présente à sa porte.

— Bonjour Mone, entre.
— Bonjour Madame. » Je suis médusée en voyant assis l’homme au chien de la forêt de Rambouillet.
— Inutile de te présenter monsieur Jean... Il va assister à ton essayage.
— ...

Déjà l’homme s’est levé, il est sur moi.  Il me prend par le collier, m’observe avant de se pencher, il me sens, renifle mon parfum, mal rasé, sa barbe me pique. Il chuchote :

— Bonjour Mone ! Je suis content de te revoir. Tu n’as pas voulu venir au club, m’a dit Élisabeth... Alors je suis là.
— ...

La vérité n’est pas tout à fait celle-là mais je n’ose la corriger. Sa main libre se porte sur ma jupe, s’enfonce entre mes cuisses, avant de remonter peu à peu le tissu jusqu’à toucher mon ventre nu. De trois doigts, il me tient fermement au sexe et lâche le collier pour s’en prendre à ma poitrine. Ma veste est prestement ouverte, un bouton de mon chemisier saute, sa main se faufile dans l’échancrure et empoigne mon sein, il l’écrase de toutes ses forces avant de violenter mon téton. Je hurle de surprise et de douleur.

— ÉLISABETH ! » crie mon tortionnaire « Tu dois apprendre la politesse à ta soumise et à supporter la douleur. » L’homme m’abandonne en me claquant violemment le ventre  puis en portant ses doigts de mon vagin à son nez puis à sa bouche.
— Jean, on va s’en occuper. » Fâchée, elle me fusille du regard, ouvre d’un coup ma veste et mon chemisier mettant à nu ma poitrine. Ses pouces et indexes saisissent mes tétines. Je mords profondément ma lèvres inférieure pour étouffer mon cri « T’as entendu Mone, je dois être plus sévère avec toi, t’habituer à la douleur. »

Elle tord mes tétons, les tire, mes seins s’allongent en forme de poire. Je ferme les yeux, tout mon visage se crispe, tout mon corps se raidit, je me mords encore plus fort. Elle me donne une autre claque au creux du ventre qui me fait bondir en arrière et étire encore plus ma mamelle, Elle répète ses frappes deux trois fois avant de me lâcher en sanglot. Immédiatement l’homme m’attrape par le cou et me plie en deux sur son ventre nu. Je revis la scène de la forêt. Au milieu des poils noirs se dresse sa verge. Le gland fendu, rouge carmin et brillant, se dresse comme une grosse fraise au bout d’un manche courbé aux veines saillantes. La pointe luisante force et glisse entre mes lèvres, ma langue passe sur le frein, se trouve déjà sur l’urètre. Le pieu s’enfonce encore, le poil frôle mon nez jusqu’à ce qu’un haut le cœur provoque un flot de bave et une poussée de mes mains.

Le membre à peine rejeté revient à l’attaque de manière répétée en espérant ouvrir la gorge. J’ai beau tirer la langue, renverser la tête en arrière rien n’y fait, le pubis reste éloigné d’au moins cinq centimètres de mes lèvres. L’homme grogne, maugrée et finit par s’en accommoder, ses couilles battent à chaque poussée mon menton.

La femme a disparu de ma vue, je la sens derrière moi. Elle me tient solidement au sexe en me soulevant pour me redresser. Elle me fouille sans précaution un bon moment avant de m’abandonner d’un coup, elle revient et repart en s’amusant de voir ma vulve béante.

Puis plus rien !... Jusqu’au moment où l’homme agrippe mes aisselles et me bloque sur son ventre comme pour me bâillonner. Deux violents coups de martinet s’abattent sur mon postérieur. La verge enfoncée dans la gorge étouffe mon cri et emplit mes yeux de larmes. Puis les lanières du martinet caressent mes mollets tandis qu’elle me crache sur les fesses et laisse couler un filet de salive, je sens alors le manche sur mon sexe, il remonte, se fixe sur l’anus, un doigt me pénètre, deux vont et viennent au rythme de la fellation de l’homme. Aucun son ne sort de ma bouche quand le manche transperce l’anneau et qu’en même temps trois autres doigts m’investissent le chaudron. La brûlure du manche, la branlette de la foufoune, la défonce de la bouche, tout se mélange alors que mes deux bourreaux discutent de mon sort :

— Lisebeth tu devrais me la confier, il faut la dresser. Elle est craintive et sa bouche pas assez profonde.

Le manche et la main se retirent, à nouveau les lanières se promènent sur mes jambes, les cinglent doucement juste de quoi me faire tressauter, puis viennent se balancer sur mon sexe, le frappent doucement, les lanières s’allongent sur le ventre, les coups deviennent plus précis. Instinctivement j’écarte les cuisses pour mieux les recevoir, une main appuie sur mes reins et un coup sec me frappe durement le ventre. Heureusement mon gémissement est couvert par l’homme qui beugle :

— Lisebeth, laisse-la moi !

Mon dieu, je n’en ai pas fini. Elle lui cède la place, il me saisit par les cheveux et me conduit tête baissée jusqu’à une table sur laquelle je m’affale les bras étendus à l’avant. Il est contre moi, ses pieds entre les miens, son sexe s’enfonce dans mes muqueuses et tout de suite il me baise, pas longtemps avant de changer de trou. Mon anneau ne résiste pas et il taraude mon sphincter. Il passe de l’un à l’autre :

— Elle est bien ouverte... Tu te fais prendre en double, Mone ?
— ... Oui monsieur.
— Devant, derrière ?
— Oui monsieur.

Je ne sais ce qui se passe, la souffrance m’anime Il reste à présent derrière, sa main s’occupant de mon sexe. Il me liquéfie, avachie comme je suis sur la table, mes jambes ne me portent plus et pourtant mes reins se creusent, je m’offre mieux. L’homme me rudoie, mon clito roule entre ses doigts, ses coups de reins sont violents, je joue de mes muscles pour mieux le tenir, il abandonne la partie et se vide dans mes intestins dans un long rugissement avant de ’’déculer’’ en marmonnant « La salope a vraiment de bonnes dispositions ! ».
Élisabeth revient avec un grand carton de couturier :

— Bien Mone file à la salle de bains et revient vite pour le dernier essayage de ta robe.

Assise sur le bidet je me nettoie bien, les coups de martinet sur l’entrejambe ont été inoffensifs par contre mes reins et mon postérieur me brûlent et portent la marque des lanières.
Quand je reviens dans le séjour, les deux ont ajusté leur tenue et ma robe s’étale sur la table sur laquelle je m’étais posée.

— Bien ma chérie, voyons voir » Le ton change, la relation aussi. « Passe d’abord le redresse-seins, tu vois comme pour le serre-taille je l’ai travaillé dans le tissu de ta robe... Ta poitrine n’a pas vraiment besoin d’être soutenue mais ces coques ont également une autre fonction comme tu vas voir. Passe la robe... Voilà c’est parfait, la soie tombe à merveille, ajuste bien la ceinture. Donc comme tu vois c’est une jupe portefeuille, ouverte, devant-derrière, très haute, qui discrètement te permet de t’asseoir correctement. » Elle sourit d’un air malicieux, ’’correctement’’ voulant dire fesses nues sur le siège. La robe couleur champagne est très chic, la coupe descend jusqu’au dessous du genou et l’ondulé des volants est superbe. « Maintenant regarde le haut, tu détaches la bride dans le cou et le joli arrondi qui s’ajuste à la naissance des seins... Ta ta ta ! passe sous ton soutien gorge pour transformer ta robe de réception en robe hyper sexy pour ta soirée privée.
— Waouh ! Seins nus, c’est super Élisabeth !
— Ça te plaît ?
— Oh, oui ! MA-GNI-FIQUE !
— Parfait, remettons le haut, et maintenant pour magnifier le tout passe ce jupon de mousseline de soie.

L’effet est remarquable, le jupon descend à mi-mollet et laisse voir par transparence la jupe. Je suis parée pour la réception et la soirée privée et aussi pour ce qui peut suivre.
Jean ne dit rien, me regarde, sourit. Avant de partir il me fait promettre de venir le voir. On se sépare rapidement, Élisabeth m’embrasse tendrement, c’est l’amie qui me quitte, qui me rappellera après le mariage.

X


Dès mon arrivée à la maison, je retrouve Olivier mon mari. Il me dit être allé avec Yanis (le père de la mariée) à Compiègne pour régler les derniers points de la cérémonie.

— Chéri, j’ai ma robe, elle est superbe.
— Fais-moi voir.
— Oui, oui petit curieux, sers-moi un Porto, on verra après. Demain j’ai rendez-vous chez le coiffeur et la manucure et samedi chez l’esthéticienne pour le maquillage et le coiffeur pour un coup de peigne.
— C’est parfait, on partira pour Compiègne en début d’après-midi, on a rendez-vous à la mairie à 16 heures. Bon maintenant tu me fais voir ta robe ?
— Ben la voilà ! » dis-je en ouvrant le carton et l’étalant sur le canapé.
— Coquine, sur toi ça serait mieux et j’ai un cadeau pour toi, après.

Encouragée par le cadeau, je me déshabille toute nerveuse et oubliant la trace des coups de martinet. Olivier me regarde intrigué :

— Tourne-toi !... Approche, que sont ces marques ?
— Euh...
— Des coups de martinet.
— Oui, chéri, c’est Élisabeth.
— Elle t’a battue, tu lui as désobéi ?

Je ne veux pas approfondir le sujet, lui et moi nous lui sommes soumis

— Oui... Je lui ai désobéi !
— Ben c’est malin, si après-demain la soirée se termine comme on le pense tout le monde verra tes fesses zébrées.

Mais je reprends les choses en mains et avec autorité réplique :

— Dis donc, Lili (le surnom que j’utilise dans nos jeux de soumission) tu ne désobéis jamais ?
— Si madame !
— Bon alors ! Ça suffit, et pour adoucir la brûlure tu vas lécher les marques.

Au milieu du salon, je me mets à quatre pattes et mon mari commence à couvrir mes fesses de salive. Sa langue plutôt que d’adoucir, ravive les coups, j’ai l’impression que les traces sont boursoufflées. Le coquin passe et repasse et en même temps commence à me caresser la chatte, alors qu’il me lèche le cul. Je creuse les reins, je le veux.

— Puis-je ?... Madame.
— Oui, encule-moi. Trois mots qui me font perdre toute autorité, Olivier reprend le dessus.
— Dis-moi cochonne, il n’y avait pas qu’Élisabeth, t’as le cul plein de foutre !
— Non !... Elle m’a donnée à un ami, Maître Jean. Il veut me revoir pour m’apprendre à mieux le sucer. C’est un homme de cinquante ans très autoritaire...

Je continue en lui donnant tous les détails qui l’excitent de plus en plus. Il s’accroche à mes tétons quand je lui dis comment Élisabeth m’a fait crier en les triturant et pourquoi elle m’a fouettée. Et à ce moment il tire si fort dessus que je me redresse d’un coup l’entraînant en arrière, ma tête au creux de son épaule. Dans le mouvement il est sur le point de me quitter. Je vocifère « NOOON ! » en m’agrippant à ses hanches pour le garder en moi.
Il retrouve son équilibre, ses mains enveloppent ma poitrine, il me burine de bas en haut. Je le sens bien, j’ai l’impression qu’il pourrait me soulever :

— Et Maître Jean t’a prise comme ça ?
— Non juste couchée sur la table, mes jambes ne pouvaient plus me porter.

C’est incroyable comme notre couple a évolué en un an, depuis que j’ai vu mon mari pris à Mikonos, depuis que je me suis offerte à tous devant lui, depuis que nous sommes soumis à Élisabeth. Nous nous sommes révélés l’un à l’autre de vrais bêtes de sexe. Je continue à être bercée par ses coups de boutoirs jusqu’à ce qu’il rugisse.

On s’écroule tous les deux sur la moquette du salon en éclatant de rire lorsqu’on entend le voisin cogné au mur.
Le calme revenu, la douche prise, j’enfile mes escarpins, mes bas lamés or, puis noue le lacet de mon serre taille, attache mon redresse seins, enfile ma robe, le haut placé sous ma poitrine avant de la couvrir enfin revêts la jupe de mousseline.

Je vois Olivier s’amuser de cet habillage, son regard à la fois émerveillé et concupiscent. Il vient vers moi, amoureux, me prend par le cou, m’embrasse la nuque, murmure « Je t’aime ! »
Il ouvre la boîte qu’il tient en main, un collier en or avec deux colombes d’où partent deux chainettes pour se fixer aux tétons. Il me le met si bien que les deux colombes effleurent le décolleté de la robe et les chaînettes attachées disparaissent sous le haut.

Je suis prête à conduire mon fils devant monsieur le Maire, je suis prête à recevoir la centaine d’invités, je suis prête pour la soirée privée, je suis prête à l’amour tout au long de cette nuit de noces.
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