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Mariage libertin

Chapitre 8

Nuit de noces

Orgie / Partouze
Ça y est je suis marié avec Mélina pour le meilleur et pour le pire.Après être passé devant monsieur le Maire, après la réception officielle et son apéritif, après le dîner et la pièce montée, après le bal et la fête, l’assemblée s’éclaircit. Les danses sensuelles font place aux danses de salon, une trentaine de noceurs restent avec nous.
C’est Nadine, ma belle mère  qui donne alors la tonalité de la sauterie en quittant sur la piste de danse sa robe de haute couture pour rester en déshabillé et venir chercher ma mère pour s’offrir à son tour en spectacle. Peu à peu les dames abandonnent leurs robes avant que je déshabille la mariée comme Juliette Greco le chante « Pas trop vite, avec délicatesse et doigté ».
Mais la chanson triomphe avec ’’Et vous, déshabillez-vous! ’’ Ordre qui ouvre la porte au libertinage.Les deux couples de témoin nous entourent, les hommes dansent avec Mélina, tandis que Martine et Eléna me déshabillent. Redingote et chemise à jabot sont jetées au sol, les deux femmes à moitié nues m’enserrent, on s’enlace, on se caresse, on se frotte, les simples bisous du bout des lèvres deviennent vrais baisers d’amour.
Je retrouve Martine, sa senteur de brune, ses lèvres pulpeuses, ses seins de marbre, je découvre Eléna, la grecque aux formes pleines, au poil noir, à la bouche gourmande. Les deux se révèlent, les deux s’offrent, les deux découvrent ma poitrine de jeune fille, l’une ouvre ma ceinture de pantalon l’autre le baisse aux chevilles et sous les rires de tous je manque de m’affaler avant de m’en défaire.
En liquette à col Mao j’étreins les deux femmes. Mes lèvres passent d’un cou à l’autre, c’est alors que les chevelures s’écartent comme un rideau et me laissent voir ma mère sortir de la tente encadrée par deux hommes jusqu’à disparaître dans la pénombre du jardin. Des couples dansent je reconnais Yanis avec une inconnue, je ne vois plus mon père. Les cheveux se resserrent et me cachent la vision. Mélina s’appuie à mon dos et nous dit à voix basse :
— Montons dans ma chambre !
Je lui fais face, elle me prend par le cou et m’embrasse jusqu’à bout de souffle.« Viens ! Montons » Déjà les deux autres couples sont dans l’escalier et nous leur emboîtons le pas. Ma femme nous conduit dans sa chambre occupée par un grand lit, un divan et un fauteuil.
La jeune mariée se jette au milieu du lit et me tend les bras sous les yeux amusés des deux autres couples. Ce n’est qu’une succession de baisers entrecoupée de « Je t’aime » puis de roulades d’un bord à l’autre du lit. Sur moi à califourchon, elle ouvre ma liquette et se plie en deux, sa vulve sur mon sexe, sa bouche sur mes seins. Elle est gourmande comme elle me suce, elle est vicieuse comme elle me met le feu au ventre en se balançant d’avant-arrière. J’oublie l’environnement, nous sommes seuls au monde pour notre nuit de noces. Maîtresse, elle s’empale sur mon vit, s’allonge entre mes genoux et ses mains au dessus de ma tête elle commence à me faire l’amour. « Oh ! Oui, je t’aime ! Je t’aime ! » Rapidement notre coït s’enflamme, alors je la renverse pour mieux la posséder. Tout son corps s’anime, son ventre se liquéfie, ses tétons durcissent et comme chante Juliette Greco :
’’Voilà, ça y est, je suis... Frémissante et offerte... Sachez me posséder, me consommer, me consumer.’’Je me redresse sur mes genoux, prends ses chevilles, embrasse ses pieds avant de les lever en les écartant. Elle s’offre jambes ouvertes en V, elle grogne « Oh ! Oui, MAINTENANT ! » Mon glaive la pénètre à nouveau, va et vient à plusieurs reprises. Le chuintement des chairs, le clap, clap de nos corps attirent l’attention des autres.A côté de nous les deux couples forniquent sur le divan ou le fauteuil, ce ne sont que gémissements et râles. Notre intimité se transforme en scène de débauche.Dom et Eléna viennent s’asseoir à la tête du lit, nous regardent baiser, puis chacun prend une cheville et l’amène vers lui relevant d’autant plus le bassin. Alors mon arme change de fourreau provoquant un miaulement de plaisir de ma jeune épouse. Je la tiens par les cuisses les yeux rivés sur sa vulve béante. Rapidement la main d’Eléna la comble et les deux filles retrouvent vraisemblablement leurs habitudes saphiques.
A son tour, Dom lâche une cheville laissant les deux pieds se balancer dans le vide. Agenouillé dans mon dos, il me prend par les épaules, me relève et me colle à lui. Sa bouche à mon oreille j’entends sa respiration :
— Je suis heureux de te retrouver mon chou, après cinq ans. T’as beaucoup changé, j’aime te voir comme ça, te sentir comme ça si féminine et... » Il tripote mes tétons puis sa main glisse sur mon ventre lisse jusqu’à enfourcher mon sexe plongé dans les fesses de Mélina « Et si bien monté ! »
Sous mes yeux Eléna est à présent à moitié couchée sur ma femme. Elle la tient au ventre et ne cesse de la bécoter.L’homme dans mon dos est de plus en plus pressant, ce sont des ’’Mmm’’ de plaisir suivis de murmures :
— Tu te rappelles, la première fois... Et sur la plage avec l’inconnu... » Bien sûr que je m’en rappelle, et je sens comme il bande, comme il est prêt à me posséder, comme la première fois, comme sur la plage « T’es devenue une belle cochonne, avec tes p’tits nichons, et... » Brutalement il baisse ma tête sur le dos de la fille et me doigte « Avec ta chatte bien ouverte. »
Son gland remplace ses deux doigts. Couché sur le dos d’Eléna, il me tient solidement à l’épaule et me pénètre d’un coup puissant, suivi d’un deuxième. C’est le coup de trop, le coup qui me fait exploser, qui me fait jouir dans les entrailles de mon épouse. Mon ’’HA’’ bref, puissant dû à la pénétration se prolonge décrescendo en gémissement quand j’inonde les intestins de ma femelle.
Après un moment je me dissous, mon sexe s’échappe, on se sépare, elle part avec Eléna comme moi avec Dom. Il me tient dans ses bras, nous ripons sur le côté sans qu’il ne quitte mes reins. Avec les filles nous partageons le lit, alors qu’il me prend en levrette d’un côté, elles se gamahuchent de l’autre. C’est à ce moment que le dernier couple nous rejoint. Deniz retrouve les filles tandis que Martine (la femme de Dom) se glisse contre moi.
Beaucoup de souvenirs nous lient, elle m’a éveillé au pluralisme avec Dom et ma famille de Montpellier. En cinq ans elle n’a pas changé, toujours aussi sensuelle avec sa peau mate, sa poitrine peut-être plus lourde, son ventre lisse et ses lèvres pulpeuses au goût de framboise. L’homme reste en moi, allongé sur mon dos, il ne bouge plus, sauf son sexe pris de spasmes auxquels je réponds par des contractions. La femme après m’avoir embrasser tête bêche, par reptation glisse sous moi, chaque mouvement s’accompagne de bisous, elle s’attarde sur ma poitrine en m’offrant la sienne avant d’atteindre mon ventre et mon pubis. Elle engloutit mon sexe mollasson couvert de sperme et de mouille alors que pieds joints et genoux ouvert elle s’offre. La déchirure de son ventre est baignée de sperme. En appui sur mes mains, je plonge dessus et m’en régale.
Lentement l’homme reprend sa marche entre mes reins et me fait bien sentir sa puissance. Lentement la femme suce ma verge, joue de la langue sur le gland, titille le méat et réveille ma virilité à chaque passage. Peu à peu mon bassin accentue ses succions, ses mains s’activent sur mes couilles et à la base du tronc.
Dom me lâche en me donnant une claque sur les fesses et tout bouge. Martine se met debout et en appui sur le lit, offerte à la saillie. Dom reste derrière moi, il revient dans mon fondement en même temps que j’enfile sa femme et lui laisse diriger l’accouplement.
Sur le lit je vois Mélina prise par Denys et sucer Eléna. Visiblement les trois copains ont leurs habitudes.Dom ne cesse de me peloter tout en me sodomisant. Il respire fort, gémit de plaisir, il maîtrise parfaitement la chose, sait se retenir, ce sont des ’’Mmmm, mumm’’ des murmures sans discontinuer « Tu mouilles bien ! Oh oui ! Regarde ta femme, elle est canon ! Je vais me la faire ! » Il attend un moment puis à haute voix
— Denys ! On fait un swapp ?
Déjà le grec se sépare de Mélina et s’apprête à me prendre quand avec Martine on change de position, c’est elle qui lui fait signe de s’allonger et le chevauche comme un pur-sang, en deux, trois coups de reins elle est en place et me tend ses fesses. L’œillet est bien fermé, quelques léchouilles, un doigté, je lèche à nouveau, un doigt, puis deux forent l’anneau avant que je me présente. J’écarte les deux mappemondes, les doigts au plus près du petit trou l’étirent. Ça y est le gland pointe, force, mes doigts écartent, je bande dur, le gland rouge cramoisi pénètre lentement les chairs brunes striées, d’un coup elles avalent le morcau et le tronc glisse sans résistance. Martine bouge merveilleusement entre nous deux, je sens le membre épais de Denys glisser contre le mien, les deux urètres ne cessent de se frotter. Je m’anime aussi, accentue d’ondulation...
Je ne peux plus, je ne me retiens plus, c’est trop bon, je lâche tout. Je grogne et en même temps j’entends Mélina exulter de jouissance sous les coups de boutoirs de mon cousin et les lèvres de sa copine grecque. Seuls Denys et Martine restent accouplés au moment où une dizaine d’invités entrent dans notre chambre. La plupart sont enveloppés de kimono blanc, il y a ma mère et ma belle mère, chacune avec une flûte de champagne à moitié remplie d’un mélange épais, visqueux, blanchâtre. Nadine vient vers moi alors que Monique rejoint Mélina. C’est Monique qui prend sa belle fille dans ses bras en l’embrassant sur les lèvres :
— Tiens ma chérie ! Rassasie-toi de la semence sacrée et qu’il en soit ainsi tous les jours.
En même temps Nadine me tend la flûte :
— Bois mon chéri !
Bien sûr c’est au moins 5 cl de sperme, autant j’ai l’habitude de l’avaler directement à la source que jamais je ne l’ai bu au verre. L’odeur est forte, presque écoeurante, alors je n’ai pas d’autre solution que de gober le liquide mais en fin de compte ce sont trois gorgées que j’avale, les deux premières directement mais la dernière me reste en bouche alors que Mélina rigole en tirant la langue pour me faire voir qu’elle a tout avalé. On termine debout enlacés en s’embrassant à pleine bouche et avalant la dernière gorgée sous les applaudissements de tous.
Nadine me tire à elle, Mélina est prise par mon oncle. Une bacchanale extraordinaire de quinze, vingt personnes se poursuit dans la chambre. Les couples, les trios, se mettent partout où c’est possible, quelques uns sur le lit ou le divan beaucoup sont sur la moquette.
Je suis sur le divan, j’ai vu Mélina sur le lit là où il y a le plus de mouvements. Je suce, je lèche, je branle, nous sommes toujours au moins trois ensemble, des femmes, des hommes se succèdent, je ne bande plus vraiment, ne suis plus capable de baiser mais mon sexe passe d’une bouche à une autre, d’une main à une autre. Je ne sais combien de chattes j’ai lutinées, combien de bites j’ai sucées comme si tous les invités voulaient être dans les bras des mariés, je me sens épuisé, il reste peut-être encore une dizaine de personnes. Je ne sais pas l’heure qu’il est, probablement cinq, six heures, le soleil se lève, j’ai la force d’aller jusqu’au lit où est étendue la jeune mariée. Je la couvre pour la protéger, ma jambe entre ses cuisses, à moitié couchée sur elle mon bras sur sa poitrine. Elle ne réagit plus, le calme se fait, on s’endort.
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