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Le Mariage de Mathilde

Chapitre 3

Erotique
Jour J-2 : « Nuit d’orage »Je me réveille en sursaut. Un coup d’œil au réveil : il est 09h15.J’essaye de trouver ce qui aurait pu me réveiller, mais après avoir fait le tour de la chambre, je ne trouve rien... peut-être un bruit à l’extérieur... toujours est-il qu’il est temps de me lever !Une rapide douche, et me voilà prêt. En sortant de la chambre, je sens qu’il y a un truc bizarre : tout le monde court ! Je finis par retrouver Mathilde qui m’apprend que les grands-parents de Nino et d’Elizabeth ont eu un accident de voiture. Toute la famille va aller les voir à l’hôpital. Mathilde avait l’intention de les accompagner, mais bien que son geste soit tout à fait normal, ses futurs beaux-parents lui ont demandé de rester, car certains travaux pour la cérémonie devaient être faits tout au long de la journée et donc qu’il fallait que quelqu’un reste... et que, de plus, cela serait impoli de m’abandonner seul toute la journée...
— Ne vous inquiétez pas ! Nous serons revenus dans la soirée ! Profitez-en pour aller dîner en ville ! nous lance la belle-mère, avant de fermer la porte d’entrée derrière elle.

C’est ainsi qu’on passe la journée à gérer les travaux d’installation des tentes et autres trucs pour la cérémonie et la fête... Mais au fur et à mesure que la journée se passe, le ciel s’assombrit, et de lourds nuages noirs laissent présager un bel orage ! ... Orage qui claque en fin d’après-midi. Au loin, nous voyons les éclairs zébrer le ciel, pendant que le tonnerre gronde. Malgré le temps menaçant, nous avons quand même été manger dans une petite crêperie bretonne, après avoir passé la journée à continuer les préparatifs de la cérémonie.
Je dois avouer que j’espérais que Mathilde profite de notre solitude pour qu’on puisse avoir notre petit moment de câlin avant qu’elle se marie... hélas, il y a eu tellement de choses à gérer pour la cérémonie que nous n’avons quasiment pas eu une seule minute pour souffler un peu : notre seule pause étant cette crêperie... où nous n’avons pas abordé le sujet...
La pluie se met à tomber avec force, sur la route du retour... Si bien que du garage à la porte d’entrée, nous nous sommes littéralement trempés... à croire qu’on aurait plongé, tout habillé, dans une piscine !
Une fois dans la maison, je ne peux m’empêcher de regarder Mathilde. Sa jolie robe, blanche et légère, est plus que mouillée si bien que je peux voir sans problème qu’elle porte un joli petit string blanc... mais pas de soutien-gorge !
Hélas, elle ne me regarde pas : son attention est attirée par le voyant du répondeur qui clignote. Mathilde lance le message. Nous entendons alors la voix de Nino nous annoncer :
— Bonsoir ma chérie ! Je pense que vous avez le même temps que nous : ici, c’est des trombes d’eau qui nous tombent dessus ! Il est impossible de reprendre la route ce soir ! Avec un peu de chance, on sera de retour demain matin ! Oui maman ! Je te laisse ma mère me rappelle à l’ordre qu’il ne faut jamais téléphoner par temps d’orage ! ... Oui maman, je raccroche ! ... Gros bisous ma chérie, je t’aime à la folie ! J’ai hâte d’être à après-demain pour t’épouser ! ... Oui maman ! ...
Le message est à peine terminé que le courant est coupé dans toute la maison !
— Merde ! ... Et en plus, je ne sais pas où est le panneau électrique ! dit-elle dans le noir.— Sais-tu s’il y a des bougies, par hasard ? — Seulement des bougies, non... par contre, on peut utiliser les chandeliers de la chambre bleue ! ... Encore faut-il aussi trouver des allumettes ou un briquet...
— J’ai un briquet dans ma valise... — Tu fumes ? — Non, mais il arrive que les plombs sautent dans ma petite maison bretonne... si bien que j’ai pris l’habitude d’avoir toujours un briquet avec moi ! — Futé le p’tit breton ! me lance-t-elle en éclatant de rire.
Dans le noir, je l’entends bouger.
— Où vas-tu ? — Je vais essayer d’aller chercher les chandeliers, pourquoi ? — Nan, c’est juste que je ne connais pas très bien la maison... et que je ne savais pas qu’il y avait une chambre bleue ! ... Le plus simple serait qu’on y aille ensemble, en passant par la chambre pour récupérer le briquet, pour avoir un peu de lumière, qu’en penses-tu ? — Pas bête ton idée ! En plus, en partant d’ici, on doit passer devant la chambre d’Elizabeth pour aller à la chambre bleue ... Donne-moi la main, je vais te guider !
Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de trouver la main de quelqu’un, dans le noir... mais ce n’est pas vraiment évident ! Toujours est-il que j’avance ma main dans la direction où je pensais la trouver, mais je ne rencontre que le vide...D’une seule voix, on se lance : « Où es-tu ? »... avant de rire du comique de la situation.Ma main, toujours à la recherche de celle de Mathilde, finit par retrouver Mathilde... mais, pas sa main...
— Là, ce n’est pas ma main ! — Je me disais bien que je reconnaissais ce toucher moelleux ! — Assez joué ! me lance-t-elle en prenant ma main posée sur sa poitrine, et en m’emmenant, dans la nuit, vers le briquet et les chandeliers.
Arrivés à la chambre que j’occupe, elle m’y fait entrer, à la recherche de ma valise et de mon briquet.Quelques instants plus tard, le briquet en main pour nous éclairer, et une douleur aiguë au pied (vous vous êtes déjà tous cogné le petit orteil contre un meuble, même en plein jour... imaginez-moi, dans le noir : je ne vais donc pas vous faire un dessin), nous repartons vers la fameuse chambre bleue !Je dois avouer que tout en la suivant (elle ouvre la marche avec le briquet), je ne peux m’empêcher de suivre aussi les belles courbes de son corps... De même, pendant qu’elle allume les deux chandeliers, je laisse mon regard vagabonder dans son décolleté, et se noyer dans le sillon de ses seins...Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin : on revient sur nos pas, jusqu’à ce qu’elle m’abandonne devant ma porte, en me souhaitant une bonne nuit.
— Je te souhaite une bonne nuit, et j’espère que l’on arrivera à trouver le panneau électrique demain matin !
J’hésite un peu à lui proposer de passer la nuit ensemble... mais, je finis par lui souhaiter une bonne nuit à mon tour : je préfère lui laisser le choix, sans la forcer... et je rentre dans la chambre.
Quelques minutes plus tard, allongé sur mon lit, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Mes yeux regardent au plafond les lueurs vacillantes des bougies, auxquelles se mêlent les zébrures laissées par les éclairs, tandis que la pluie continue de fouetter les fenêtres.
Je ne peux m’empêcher de penser à Mathilde : elle m’a dit qu’elle me préviendrait lorsqu’elle voudrait qu’on fasse l’amour... une dernière fois... avant son mariage... On a passé la journée, seuls, sans personne pour nous déranger... Il faut reconnaître qu’on n’a pas eu une minute pour souffler... mais elle n’en a pas parlé, même pas à la crêperie...
Soudain, mon attention est attirée par un mouvement du côté de la porte ! La porte de la chambre s’ouvre sans bruit, et une faible lueur éclaire un peu plus la chambre, ce qui me permet de voir Mathilde entrer en robe de chambre... Les flammes des chandeliers donnent une ambiance tamisée à la chambre.
Doucement, elle tire sur sa ceinture. Les pans s’écartent un peu, laissant entrevoir un corps nu.
De son index, elle me fait signe de m’approcher. Je me lève, et va vers elle. Sans attendre, elle m’enlève mon haut, puis mon bas de pyjama ; laissant au passage une petite caresse sur mon sexe... Je profite qu’elle est à genoux devant moi pour passer mes mains sur ses épaules, la débarrassant de sa robe de chambre au fur et à mesure qu’elle se redresse.
Je vais pour l’embrasser, mais elle me stoppe, doucement, en me faisant comprendre d’aller m’allonger. Posant un genou sur le lit, elle m’enjambe pour se retrouver au-dessus de mes jambes, et s’allonge de tout son long sur mon corps. Nos jambes s’emmêlent... nos mains se caressent... nos lèvres se collent... nos langues se cherchent... Nos deux corps ne sont plus qu’un...
Elle descend le long de mon corps pour aller engloutir mon sexe. Elle me suce divinement tout en caressant mes bourses. Sous ses coups de langue experts, je ne tarde pas à exploser dans sa bouche.Déjà ? Me direz-vous... Pas de panique ! Ce n’est qu’une mise en bouche pour elle, et une promesse d’une virilité plus longue dans quelques instants !Tout en remontant vers ma bouche, elle couvre mon corps de baisers, avant que nos lèvres se collent à nouveau et qu’on échange un peu de ma semence.On s’enlace, et on roule sur le lit, poursuivant notre folle embrassade : je retrouve la Mathilde de nos rencontres coquines...
Je me retrouve à nouveau sur le dos. Avec douceur, elle se place au-dessus de moi, afin de présenter sa chatte à ma bouche. Je plaque mes lèvres sur les siennes, et la pénètre de ma langue.On est seul... personne ne peut nous entendre... alors elle se lâche, et hurle son plaisir !Sur ma langue, je sens sa mouille couler.Ma bouche s’excite sur ses lèvres, sur son petit bouton jusqu’à le faire se dresser.Elle gémit... elle halète...Au bout d’un moment, elle commence à redescendre, le long de mon corps : j’en profite pour l’embrasser sur le ventre, sur le nombril, sur ses seins...
Ses doux seins, dont je suce les petits tétons... que je mordille un peu, lui arrachant de nouveaux gémissements...Tranquillement, elle s’installe au-dessus de mon bassin, et d’une main douce saisit mon sexe pour l’amener à l’entrer de sa chatte. On échange un regard complice, et doucement elle s’empale sur ma verge.
— Depuis le temps que j’en avais envie ... laisse-t-elle échapper.— ... te voilà comblée ! dis-je en terminant sa phrase.
Mathilde se lance alors dans un va-et-vient dont elle contrôle le rythme : tantôt lent, tantôt rapide...Doucement, j’en profite pour caresser ses seins... les masser tendrement... pincer délicatement ses pointes... et reprendre de douces caresses...
Au bout d’un moment, elle se recouche sur moi. Toujours en elle, je nous fais basculer, et je me retrouve ainsi au-dessus d’elle. Elle croise ses jambes derrière moi. C’est à mon tour de donner le rythme à notre étreinte... Je nous impose un rythme un peu lent, afin de profiter de chaque instant, de chaque seconde...Notre étreinte est puissante : elle ne ressemble en rien à toutes celles que nous avons eues par le passé... comme si on allait au maximum de nous, de nos sentiments... comme si on savait que c’est la dernière fois que nous pouvons le faire...Tout se termine lorsqu’on explose en même temps, dans un râle de plaisirs partagés... Vidés, nous nous endormons, enlacés dans nos bras... comme deux jeunes amoureux...Je suis réveillé par des piaillements d’oiseaux... un coup d’œil à la fenêtre : le temps est clair, et on ne voit que peu de nuages au loin...Je jette un coup d’œil au réveil : il n’est pas loin de 9h00...
À côté de moi, je retrouve Mathilde, nue... Je ne peux m’empêcher de la contempler, de la désirer à nouveau... Délicatement, je pose une main sur son ventre... aucune réaction... Je remonte lentement vers sa poitrine que je caresse... un léger gémissement se fait entendre...Je redescends doucement vers son entrecuisse, effleure sa toison, et masse ses lèvres... le gémissement prend de l’ampleur...Je glisse un doigt dans sa chatte... elle lâche un petit cri... et commence légèrement à onduler du bassin...Je vais pour ajouter un autre doigt, mais sa main prend la mienne, la retire, et la remonte pour les poser sur sa poitrine. Elle se retourne de l’autre côté, ce qui a pour effet de m’attirer tout contre son dos, ma main restant sur son sein. On reste ainsi, lovés, collés l’un à l’autre, profitant du moment présent...
Dans la raie de ses fesses, mon sexe bandé aimerait se faufiler entre ses lèvres...Lit-elle dans les pensées ? Elle lève un peu sa jambe, et d’une main vient me caresser...
— Prends-moi encore... tu sais, comme j’aimais bien que tu me prennes ...
Lentement, je retire ma main de sa poitrine, et je me redresse à genoux. Tout en douceur, je la saisis par les hanches afin de l’allonger, sur le ventre, pour la mettre en position... Je m’installe ensuite à califourchon sur ses cuisses, et rapproche mon sexe de son cul.Avec une grande douceur, j’écarte ses fesses, et fais glisser mon sexe jusqu’à ses lèvres déjà dégoulinantes. Une petite poussée, et je suis en elle.
— Mmmmmmh... c’est bon... lâche-t-elle dans un gémissement.
Je donne de légers coups de reins pour commencer, puis j’accélère le mouvement.Ses gémissements deviennent soupirs... Ses soupirs deviennent halètements...
Après quelques instants de va-et-vient, elle lâche dans un murmure :
— Maintenant, encule-moi...
Délicatement, je sors de sa chatte. Et pendant qu’elle se redresse un peu sur ses genoux, tout en gardant le buste dans les oreillers, je récupère un peu de sa mouille sur mes doigts, et je vais en badigeonner son petit trou. J’en profite pour enfoncer un pouce au plus profond, et je la fouille un peu...
— Mmmh... Vas-y maintenant ! J’n’en peux plus !
J’écarte à nouveau ses fesses, place mon gland sur son abricot, et d’un coup sec, m’enfonce au plus profond, lui arrachant un cri mêlant plaisir et douleur.
— Ooooh ! Putain de merde, ce que c’est bon !
Je reste un peu en elle, pour l’habituer... jusqu’à ce que je sente son anus se contracter autour de ma verge : comme un signal pour me dire qu’elle est prête !Je reprends doucement mes coups de reins, avant d’augmenter peu à peu la cadence... tout en la maintenant par les hanches.
— Ooooh putain ! ... Que c’est trop bon ! — Je vais pas tarder à exploser ! — Viens... sur mes seins...
La lâchant, je l’aide à se redresser.Soutenant sa poitrine, elle fait glisser mon sexe entre ses seins, et entreprend de me finir dans une petite branlette espagnole... Mon sperme gicle sur ses seins, sur son coup, et sur son visage...On se regarde quelques instants, et on éclate de rire : on se retrouvait comme avant...Après avoir essuyé les traces de mon passage sur son corps, à l’aide d’un mouchoir, on se rallonge quelques instants, comme pour profiter des derniers instants que nous pouvons passer ensemble... Mais à ce moment, le téléphone se fait soudain entendre. Sans cacher sa nudité, Mathilde se relève rapidement, et court répondre...De ce que j’entends, je comprends que c’est Nino.
Je me lève à mon tour, et sors de la chambre, nu moi aussi ; et, je la rejoins sur le palier.En omettant de parler de notre nuit, elle lui raconte notre emploi du temps de la veille, jusqu’à la panne de courant qui ne semble être rétablie que depuis peu...
— OK, on vous attend ! A tout à l’heure !
Se tournant vers moi, elle me fait patienter quelques secondes tout en me souriant, avant de me proposer de prendre une dernière douche ensemble :
— Ca te dirait qu’on prenne une dernière douche ensemble ? me demande-t-elle d’une voix coquine.— On en a le temps ? — Largement, ils ne reviennent que pour 12h30 ! ... Alors ? — Je nous verrais mieux dans un bain... pas toi ?
Quelques secondes de réflexion en m’observant...
— Ce n’est pas une mauvaise idée ! me répond-elle.
A quoi j’ajoute, d’un air malicieux...
—... Et qui sait ce qu’il pourrait encore s’y passer !
Tout aussi nus, on se dirige vers la salle de bain... Pendant que Mathilde est penchée au-dessus de la baignoire, je m’approche d’elle, et la saisit par la taille, désireux de lui voler un baiser ... mais le contact de mes mains la chatouille...
— Dis donc, tu pourrais attendre que je sois libre : tu me prends par surprise, là : ce n’est pas du jeu !
Je me recule donc pour la laisser s’occuper du bain... lorsqu’elle se redresse, au lieu de venir vers moi, elle se dirige vers la porte de la salle de bain...
— Si tu arrives à me rattraper... tu auras droit à un petit bonus !
A peine a-t-elle fini sa phrase qu’elle se rue hors de la pièce ! Je me pars aussitôt à sa suite, dans les couloirs de la maison... Devant l’avance qu’elle arrive à prendre facilement, je me rappelle qu’elle fait souvent du jogging ! Mais entre nous, je dois avouer que courir après elle, nus, dans la maison de ses beaux-parents, m’excite au plus haut point ! ... A un moment, je pense l’avoir bloquée dans la cuisine –pièce qui n’a qu’une seule porte- mais voilà qu’elle ouvre la porte-fenêtre donnant sur le jardin et s’y échappe ! Je ne vous raconte pas le plaisir que j’ai à la poursuivre, nu, en pleine nature, à l’abri de tout regard indiscret...Hélas, alors que je suis sur le point de la rattraper, elle change aussitôt de direction et repart vers la maison :
— Merde ! Le bain qui coule !
Par chance, elle a pu prendre son virage sans problème... ce qui n’est pas mon cas : mes pieds glissent sur l’herbe humide, et je me retrouve à glisser sur le dos, les jambes en avant. Je me relève péniblement, un peu vert par endroit... Quand j’arrive dans la salle de bain, le bain est arrêté, et elle y est entrée.
— Alors, on a du mal à me rattraper ? — Te marre pas : j’ai même essayé de me déguiser en géant vert.— T’inquiète pas, mon p’tit bonhomme, je vais m’occuper de toi ! Allez, viens !
Elle se relève tout en me tendant la main. L’eau et la mousse ruissellent sur son corps, glissant de son cou, entre ses seins, sur son ventre, s’arrêtant quelques secondes sur sa courte toison, et poursuivant leur course le long de ses jambes...Un pied, puis l’autre, et me voilà dans le bain. Mathilde prend une éponge, et après y avoir versé du gel douche, elle me savonne tout le corps, comme une mère attentionnée pour son enfant... Contre ma volonté, mon sexe commence à reprendre un peu de vigueur.
— Chaque chose en son temps, petit polisson ! me lance-t-elle d’un sourire coquin.
Mon corps entièrement savonné, elle saisit la pomme à douche et me rince, après avoir réglé l’eau à une température tiède chaude... J’en ressors tout propre.
— Allez, allonge-toi ! me dit-elle.

Je ne me le fais pas dire deux fois. Je m’allonge dans l’eau, passant mes jambes entre les siennes. Doucement, elle se retourne, me présentant son dos, et vient s’allonger sur moi. Mon sexe trouve sa place dans le sillon de ses fesses, tandis que mes mains retrouvent la douceur de sa poitrine. D’abord massant doucement ses seins, caressant les tétons, et pinçant légèrement les petites pointes perçant sous la mousse... Ses mains ne restent pas inactives : elles ont glissé toutes les deux entre ses cuisses... l’une me caressant pour me redonner un peu plus de vigueur, l’autre dans son intimité...
Sous sa main experte, je retrouve toute ma virilité. Virilité qu’elle amène sur les douces lèvres de son sexe. Puis, de communs mouvements du bassin, on entreprend un va-et-vient, un peu limité par les parois de la baignoire, et par les risques d’inondations de la salle de bain...
Au bout d’un moment, avec quelques petites difficultés, on se relève. Mathilde écarte un peu les jambes, et prend appui sur le mur. J’écarte doucement ses fesses, et m’enfonce en elle... avant de me retirer, puis de m’enfoncer à nouveau, dans un rythme crescendo... Hélas, notre stabilité étant plutôt fragile, je la quitte à regret pour m’allonger à nouveau au fond de la baignoire ; tandis que Mathilde se place au-dessus de moi, avant de s’agenouiller, tout en s’empalant sur mon sexe dressé...
A son tour, elle donne le rythme à nos ébats, tantôt fougueux, tantôt ralentis... avant qu’on ne vienne à exploser ensemble dans un hurlement commun de plaisir...Ma bite, toujours entre ses lèvres, et perdant peu à peu de sa vigueur, mon amante s’allonge sur moi. Je dois avouer que j’aime le contact de sa douce poitrine nue contre la mienne...
— Je crois qu’on s’est surpassé.— Tu as raison : on ne pouvait rêver d’une meilleure fin pour notre relation amante.— Mais, tout n’est pas fini : il y aura toujours notre amitié, et rien ni personne ne pourra nous séparer !
On reste quelques minutes comme ça, dans les bras l’un de l’autre... comme si aucun de nous ne veut arrêter cet instant de bonheur...Mais toute chose, qu’elle soit bonne ou mauvaise, a une fin : on sort de l’eau, on s’essuie chacun de notre côté, comme si on savait qu’on ne pourrait résister à la tentation... et on va s’habiller dans nos chambres respectives...Quand la belle-famille arrive, ils nous trouvent en train de vider les produits du réfrigérateur et du congélateur, perdus suite à la panne de courant... Mais comme Mathilde avait prévenu Nino, ils sont revenus avec plein de provisions qui sont rangées, après que le courant ait été rétabli...
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