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Mariage méditerranéen

Chapitre 4

Rencontre Alger-Nice

Erotique
Nicejuin 2018Enzo, professeur d’économie à Nice, jeune divorcé de 60 ans se prélassait sur sa terrasse en sirotant un milk-shake de sa composition.L’été approchait et Asmaa, qui s’appelait Jasmine en réalité, lui avait demandé s’il accepterait de prendre l’avion pour Alger pour venir faire connaissance. Elle semblait soudain très pressée... Enzo s’inquiéta un peu, mais à la réflexion, tout semblait logique. Elle approchait la quarantaine et n’avait probablement plus le droit à l’erreur. Et lui encore moins, d’ailleurs. D’ailleurs Jasmine lui plaisait vraiment!Alors pourquoi ne pas en avoir le cœur net maintenant? Honteux de ses doutes, il accepta et réserva son vol d’une semaine Nice-Alger dans la foulée, parmi les dates  proposée par la jeune femme. Elle sautait de joie et lui avoua qu’elle avait rêvé d’eux... Ils étaient sur une grande  plage... Elle ajouta que c’était un moment "très agréable".
Enzo rougit, car il se rappelait ce qui s’était passé pour lui sur la plage. Se pouvait-il qu’ils aient rêvé la même chose???Il n’avait quasiment aucune photo d’elle. Correspondrait-elle à l’image mentale qu’il en avait? Elle avait refusé, et il n’avait pas insisté en gentleman qu’il était. A qui bon la mettre mal à l’aise?Et puis que lui apportait une photo? Si elle était jolie ou non ne changerait pas son caractère, et c’est surtout ce qu’il aimait en elle. Elle méritait toute son attention, et ne méritait pas sa défiance.Il croisait donc les doigts, forcé de la croire puisqu’elle lui avait dit qu’elle avait "tout ce qu’il faut comme il faut"! C’était de toute façon un personne précieuse, il fallait lui faire confiance, un point c’est tout. De plus il la sentait dominante et sûre d’elle, et ça lui plaisait beaucoup. Elle semblait avoir un côté "masculin" qui faisait écho à son propre côté "féminin".La faculté commençait à tourner au ralenti, et il avait tout le temps pour préparer son voyage...****************************************************************************************************************************************
AlgerJuillet 2018Quinze jours plus tard, il atterrissait un lundi vers 19h30 sur une piste encore brulée de soleil en ce début du mois de juillet. Un flot de passagers hétéroclite descendait par les deux passerelles du vol Iberia. Il y avait là des familles algériennes francisées qui se mêlaient à des locaux habillés de façon plus traditionnelle, quelques touristes se distinguaient par leurs sacs et leurs appareils photos. Il n’y avait pas autant de femmes voilées qu’il l’avait imaginé. Le choc thermique au sortir de l’avion le fit suffoquer. Il avait loué une Clio, et retrouva avec soulagement la fraicheur de la climatisation.Jasmine l’attendait dans une heure à l’entrée du fast-food d’un centre commercial nommé Bab Ezzouar, il avait largement  le temps de se familiariser avec la circulation locale. C’était encourageant, malgré le sous-ordre apparent, les gens semblaient moins agressifs et plus prudents qu’à Nice. Grâce à son GPS il trouva assez facilement et se gara au parking sous-terrain. C’était un grand bâtiment à la façade rouge, dont la forme allongée abritait une galerie marchande très animée. Enzo ouvrait de grands yeux, c’était un doux mélange d’enseignes occidentales connues et d’échoppes traditionnelles dont les étals bigarrés le surprenaient. Il n’y avait aucun prix d’affiché, ce qui augurait d’un tarif à la tête du client...Il cherchait le fastfood et il dû demander. Surprise, le marchand de légumes comprenait et s’exprimait dans un bon Français, comme énormément de gens d’ailleurs, il s’en rendrait compte par la suite. Il avait 10 minutes d’avance. Il  retira de l’argent à un distributeur, puis s’approcha du comptoir pour commander un café.Il prit son plateau et s’installa à une table pour deux située vers l’entrée. La clientèle était en majorité masculine, mais il avait tout de même quelques petits groupes de jeunes femmes non voilées, probablement des étudiantes ou des salariées au sortir du travail.
Une frêle silhouette apparut à l’entrée du fastfood. Vêtue d’un jeans trop ample et d’un chemisier blanc, elle portait un bob bleu ciel et des lunettes de soleil Ray-ban. Le cœur d’Enzo se mit à battre comme s’il avait encore 16 ans, il se leva respectueusement tandis qu’elle parcourait la salle des yeux. Puis elle le vit (elle avait exigé des photos et il l’avait exaucée) et sourit, puis s’approcha. Elle lui serra la main, une petite main chaude et humide. Il était très ému. Elle aussi.
— Bonjour Jasmine! Je suis vraiment heureux de faire enfin ta connaissance... en vrai!— Moi aussi, je suis enchantée!— Je me rends compte que c’est la première fois que j’entends ta voix!
— Moi aussi. Honnêtement je ne suis pas trop à l’aise au téléphone...— Tu veux t’assoir?— Merci, Enzo!
Elle s’assit maladroitement et lui aussi. Mais il évitait de la dévisager trop directement, malgré son besoin de la voir enfin. Ce n’était vraiment pas le moment de la mettre mal à l’aise.
— Que puis-je commander pour toi? fit-il galamment.— Moi, j’ai une folle envie de thé à la menthe! répondit-elle dans un Français parfait, légèrement chantant, avec une pointe d’un accent indéfinissable.— D’accord, j’en ai pour deux minutes.— Merci, sourit-elle.
Enzo se leva pour aller chercher sa boisson. Jasmine avait gardé ses lunettes de soleil et semblait mal à l’aise.
— Voilà, fais attention, ça a l’air brûlant!— Oui, c’est très chaud et très sucré aussi. As-tu fait bon voyage?— Oui merci, c’était passionnant, je n’ai pas vu le temps passer, on a survolé la Corse puis la Sardaigne.— As-tu pu louer une voiture finalement? s’inquiéta-t-elle— Oui, j’ai une Clio, elle n’est pas toute jeune, mais la clim marche très bien, c’est l’essentiel! Rassura-t-il.
Jasmine se détendit, et ôta ses lunettes. L’anxiété d’Enzo ne tarda pas à se dissiper également. Elle était bien qui elle prétendait être, et elle n’allait pas tarder à voir que lui aussi.
— Oh tu as de très jolis yeux Jasmine!— Merci c’est très gentil... chantait-elle dans son inimitable accent.— Je les imaginais bleus, mais ils sont presque verts, je ne suis pas déçu!— J’ai des ancêtres berbères, donc c’est l’explication! Moi aussi je te trouve beaucoup plus sportif que sur les photos.— Merci ! sourit-il.
Enzo respirait intérieurement, ils avaient passé le cap du premier contact, qui est toujours un tournant crucial dans une rencontre.
— Quel est ton programme? Une question ouverte, vite! songea-t-il pour la laisser parler...— Oh nous avons beaucoup de choses à voir! Toute la côte évidemment, le centre ville d’Alger, la Casbah, le jardin du Hamma, la basilique Notre Dame d’Afrique, on peut voir le mémorial à El Madania, et aussi aller jusqu’à Tipaza voir la cité romaine...— Pour moi c’est parfait! je serai très content de visiter avec toi.— Moi aussi! Elle eut un large sourire.
Jasmine l’avait un peu déçue car elle était jolie, mais pas ce qu’on appelle "belle". Mais elle avait la fraîcheur de ses 35 ans et une franchise qu’il aimait. Aussi, elle lui plut immédiatement du fait qu’il la sentait directe et loyale. Et la suite confirmerait toutes ces impressions. Mais il ignorait qu’elle était également passionnée, obsédée par le sexe, très dominante et hyper possessive, il allait le découvrir peu à peu... Il paya les 260  Dinars de consommations et ils sortirent dans la rue tiède à cette heure pour regagner la voiture.L’Algérienne était un peu déçue elle aussi. Malgré ses bonnes manières, il lui semblait beaucoup plus vieux que sur les photos. Avec son visage ridé il aurait pu quasiment être son père. En allant à la voiture, elle eut honte de lui, elle pouvait presque passer pour une fille de mauvaise vie qui sortait avec un occidental. Pourvu qu’ils ne croisent personne de son travail ou du voisinage! En revanche, sa gentillesse et son dévouement semblaient illimités. Il avait un côté fragile qui la faisait se sentir forte et importante, comme s’il avait le pouvoir de faire d’elle une Princesse. Ca, c’était assez nouveau pour elle et très excitant, pour tout dire!Le professeur roula prudemment jusqu’au port, la circulation était encore très dense. Il sentait qu’elle l’observait, sur ses gardes. Elle était un peu comme une biche effarouchée, et à tout bien réfléchir, il y avait de quoi! Il réalisait l’audace de ce petit bout de femme, toute l’énergie qui animait ce corps fragile. Entretenir une correspondance avec un étranger, le faire venir, le rencontrer dans un restaurant, monter dans sa voiture... sans vraiment le connaitre... dans un pays musulman de surcroit! Elle ne pouvait pas imaginer l’admiration qu’elle lui inspirait.De son côté, Jasmine était remplie de doutes. Ne s’était-elle pas emballée trop vite?Ils laissèrent la voiture à un parking surveillé par un "gardien" au gilet fluo et marchèrent sur les quais. Enzo lui racontait les déboires avec Matéo, son fils, son arrivée à Nice, son adaptation à la fac, la fascination que la mer avait toujours exercé sur lui... Jasmine lui racontait la rencontre de ses parents, "leur" guerre d’Algérie à la campagne, ses études puis premières armes dans une école primaire dans le Bled comme institutrice... Il observait la jeune femme, elle n’avait pas beaucoup de poitrine, mais par contre un beau derrière rebondi. De très jolis pieds achevaient des jambes courtes mais qu’il devinait très harmonieuses. Comme lui, elle avait un long buste. Son visage était doté d’un grand front, signe d’intelligence, elle avait de grands yeux et des lèvres fines. Son nez était indéniablement arabe, c’est à dire un peu épais, mais il le trouvait beau, elle avait surement de longs cheveux qui étaient retenus en chignon par une pince, cachés sous son bob de coton bleu clair.
Cette femme lui inspirait un désir fort. Une envie de la prendre dans ses bras le taraudait, mais bien entendu, il n’en fit rien, car cela aurait terminé l’entrevue sur le champ! Ils regagnèrent la voiture, et elle le guida jusque vers chez elle, pour la déposer dans une rue adjacente, discrétion oblige. Ensuite il reprogramma son smartphone pour le conduire jusqu’à l’hôtel de Paris, où il avait réservé une chambre.
Il soupa au restaurant de l’hôtel, évitant les crudités et la viande que les guides touristiques lui avaient déconseillé de manger dans un pays aussi chaud. Il ne but prudemment que de l’eau en bouteille et monta ce qui lui restait de l’eau minérale dans sa chambre. Il faisait une chaleur accablante que la climatisation défaillante n’arrivait pas à dissiper. Il prit une douche froide et s’allongea. Jasmine lui avait envoyé un message." Merci pour cette bonne soirée, Enzo!
— Je t’en prie, le plaisir était pour moi Jasmine.— Ca va? tu m’imaginais comme ça?— Non pas du tout... tu es mieux en fait! mentit-il juste un peu.— Arrête! Tu exagères...— A peine. En réalité tu m’impressionnes.— Ah bon?— Oui tu es une femme courageuse. Je suis fier de te connaitre!— Merci.
Ils échangèrent encore quelques messages sur Whattsapp jusque vers 22H puis se souhaitèrent bonne nuit.Le Niçois était nu sur le lit, malgré la chaleur, il finit par s’assoupir...Une ombre se faufilait dans la chambre. Jasmine, c’était elle, était en nuisette transparente. Elle se pencha et déposa un baiser sur ses lèvres endormies. Le prof ouvrit les yeux et la langue de la jeune femme s’insinua entre ses dents. Elle jouait de sa langue contre la sienne. Il caressa son visage et ses cheveux, tandis qu’elle s’allongeait tout contre lui. Subjugué de désir Enzo parcourait son dos et ses reins de sa main gauche, il massa la peau des épaules et  de la nuque. Jasmine poussa un long soupir et pressa ses lèvres plus fort contre les siennes. De sa main droite il explora ses petits seins dont il sentait poindre les tétons sous la soie. La femme put enfin atteindre la verge du prétendant pour en mesurer l’ampleur. Elle grogna de satisfaction car Enzo était déjà presque en pleine érection sans qu’elle n’ait rien eu à faire. Il gémit lorsqu’elle frotta son gland prisonnier de sa petite poigne avec son pouce.
— Ohlala... il est vraiment beaucoup plus gros que celui de mon mari... miam miam miam
Elle se pencha et huma son pénis tendu. Rassurée par l’odeur de savon, elle titilla son méat urinaire du bout de la langue, lui lançant un regard de braise.
— Ouuufff.... gros soupirs de la part d’Enzo...
Ouvrant ses lèvres, elle fit coulisser son gland en le serrant. Encouragée par ses gémissements, elle avala la belle verge jusqu’au fond de sa gorge. Le sexe mâle se tendit encore, à sa plus grande joie. Elle se tourna un peu et empoigna ses beaux testicules de la main droite tout en le suçant bruyamment.Pour toute réponse il empoigna ses fesses rebondies et les pétrit rudement de sa main gauche. Alors elle quitta son organe et  s’allongea sur lui. Jasmine était toute mouillée, elle frotta son sexe humide sur le bâton bien raide du Niçois. Tout en l’embrassant à nouveau elle tortilla des reins et... le fit glisser en elle... Enzo eut un regret tardif et fugace pour l’absence de préservatif. Puis il se mit à onduler des hanches pour la pénétrer bien à fond. Son fourreau tiède l’enveloppait parfaitement, il s’y sentit d’emblée très bien!
— Doucement... chéri... je suis très étroite... je n’ai pas eu beaucoup de rapports...— Oui... excuse-moi mon Coeur... dis-moi si tu as mal...— Vas-y mon bébé chéri pour l’instant ça va... mmmhhh
Elle lui mordit les lèvres, secouée par un petit orgasme. Il la sentait délicieusement serrée autour de son pénis, il ralentit ses mouvements, puis recommença en accélérant.
— Omg ce que tu es douce... mmmm— Vas-y chéri... plus fort!
Il posa ses mains sur ses fesses et la plaqua contre lui, tout en forçant l’allure. Elle jouit à nouveau, retenant son souffle un instant. Il l’embrassait tendrement en continuant à un rythme plus modéré. En posant ses mains sur son torse large, elle se redressa sur l’homme, le chevauchant. Il prit ses seins dans ses paumes et les serra, tandis qu’elle propulsait son bassin fiévreusement en avant. La tête renversée en arrière, la jeune divorcée augmenta le rythme en gémissant, alors il cabra un peu ses reins pour parfaire la pénétration. Jasmine eut un long spasme et émit un long feulement de plaisir, avant de se recoucher sur lui, vidée de ses forces.Très délicatement, le Niçois la fit glisser sur son dos. L’Algérienne souriait, les yeux clos. Elle les rouvrit soudain au contact des lèvres du Français sur son ventre. Il embrassa son nombril puis descendit vers ses longues lèvres en posant de petits baisers humides. Jasmine était entièrement épilée, sa chatte était fraiche et fine comme celle d’une adolescente. Enzo lapa un instant ses plis juvéniles d’une langue exploratrice, gravant dans sa mémoire cette vision incroyable. Des senteurs de miel envoutaient ses narines. Puis il plongea sa langue dans sa vulve tiède et gouta son minou légèrement aigre-salé. La faisant bien dure et tendue, il lui fit une simulation de pénétration qui lui arracha des soupirs d’aise. Il finit par remonter vers son clitoris qu’il sentait poindre entre les plis. Le gratifiant de va-et-vient de plus en plus rapide sur sa boulette de chair durcie, il la guida enfin vers un nouvel orgasme.Soudain, un jet d’eau lui gicla au visage!!! Enzo se réveilla dans un sursaut. La bouteille d’eau posée sur un livre sur l’étagère au-dessus du lit venait de se renverser et coulait sur le lit.Il se leva d’un bond pour la redresser et la refermer. Écarquillant les yeux, il comprit qu’il était seul dans la chambre, la porte était toujours verrouillée de l’intérieur. Encore sous le coup de son rêve, il soupira. Puis se recoucha. Le Niçois essaya de se rendormir, et trouva presque le sommeil... Lorsque vers 4h30 le muezzin commença à chanter du haut du minaret voisin et mit fin à cette tentative. Il se leva donc et prit une douche fraiche, puis alluma la télé en se demandant comment les gens d’ici pouvaient arriver à endurer un réveil quotidien aussi cruellement matinal.
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