Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 351 J'aime
  • 22 Commentaires

Le mariage de mon fils

Chapitre 3

Dernière nuit

Hétéro
Décidément, je ne regrette pas cette petite incursion à la cave. Le Bandol se marie à merveille avec la gardianne. D’autant que, sur mes doigts, subsiste encore l’odeur légèrement musquée des fluides de ma future belle-fille, sublimant la saveur de ce délicat breuvage. Louise croise mon regard au moment où je lève mon verre pour le porter à mes lèvres. Cette fois, un léger sourire illumine son visage alors qu’elle baisse les yeux vers son propre verre. Mademoiselle a bien compris et cela semble lui plaire…
Cette femme est décidément une sacrée énigme. J’en viens presque à espérer qu’elle ne dise rien à mon fils pour pouvoir comprendre ce qui l’anime.
Ce n’est qu’une fois le repas achevé et la table débarrassée que je peux enfin retourner au calme dans la chambre d’amis. L’organisation quasi militaire du coucher me fait doucement rire… Pour respecter la tradition, Louise partage la chambre de sa mère, laissant Marc seul pour la nuit. Quel dommage que ce ne soit pas l’inverse, j’aurais adoré lui rendre une petite visite nocturne.
Dans le vaste lit vide, je contemple le plafond qu’une grande fissure lézarde, incapable de penser à autre chose qu’à Louise. Serrant dans ma main la petite culotte en dentelles noire dérobée plus tôt, je revois les images de nos derniers ébats. J’arrive presque à entendre ses gémissements, à sentir ses dents sur mon épaule… Alors que je renifle les effluves de sa cyprine encore présentes sur le petit bout de tissu, je n’ai qu’à fermer les yeux pour l’imaginer à mes côtés, m’offrant sa chatte toute luisante à dévorer.
La frustration est telle lorsque mes yeux se rouvrent et que je constate que je suis seul, que dans un geste d’énervement je stoppe ma masturbation et me lève pour aller faire un tour dehors à la fraîche. Le Mas est silencieux, sans doute le copieux repas a-t-il suffit à plonger tous les occupants dans un profond sommeil.
A la cuisine, je trouve un paquet de cigarettes abandonné sur le comptoir, en prend une ainsi que le briquet et ouvre la porte fenêtre menant sur la terrasse. L’air nocturne est frais mais pas suffisamment pour calmer mes ardeurs. Tandis que j’aspire une première bouffée, tentant de museler ma nervosité à coup de nicotine, un clapotis attire mon attention .
Quelqu’un profite de la piscine à une heure si tardive ? Ma curiosité me pousse à m’avancer furtivement, afin de voir qui donc brave l’obscurité pour s’octroyer une humble séance de natation en solitaire. A travers la basse haie de charmes, je distingue le reflet de la lune sur l’eau, balayé par les ondes d’une discrète nymphette, qui semble profiter dans le plus simple appareil. Sa peau, aussi pâle que l’astre sélène, détonne dans cette semi pénombre et mon regard se rive inévitablement sur cette femme, qui s’est abandonné à moi deux fois depuis la veille.
Je ne comprends pas. Elle ne m’a jamais attiré auparavant, et pourtant, maintenant que j’ai goûté à son corps, je ne rêve que de retourner m’y enfouir. La voir sillonner le bassin par de longs mouvements graciles réveille instantanément mes envies et ma main se plonge instinctivement vers mon entrejambe. Je ne sais pas si c’est pour ne pas briser l’intimité de ce moment, ou simplement par l’envie égoïste de savourer ce spectacle plus longtemps, mais j’attends qu’elle sorte de l’eau et se couvre d’une serviette pour annoncer ma présence.
La surprise illumine son visage alors que ses lèvres esquissent un si bref et imperceptible sourire, qui me conforte dans mes désirs. Elle sait qu’elle n’a qu’à ouvrir la bouche pour me stopper mais reste muette tandis que je m’approche doucement d’elle. Son mutisme m’irrite pourtant je sens bien qu’elle en a autant envie que moi, c’est pourquoi je m’immobilise à seulement quelques centimètres, suffisamment loin pour lui laisser faire le premier pas.
Louise lève le menton effrontément et au lieu de s’approcher de moi, elle s’éloigne d’un pas et laisse tomber sa serviette. Ses mamelons se dressent sous la légère brise nocturne, arrondissant encore plus le galbe de ses seins. J’ai envie de mordre cette chair si blanche, pincer ces délicates pointes qui me narguent insidieusement. ..
Sans scrupules, je me masturbe sous son regard gourmand, me délectant de voir le désir brûler dans ses yeux. Elle se retient de venir y goûter, s’en mord même la lèvre. J’ai une lueur d’espoir lorsque cette dernière ose enfin bouger… pour finalement s’allonger lascivement sur le transat le plus proche.
Alors que d’une main elle pétrit son sein, l’autre vient s’aventurer entre ses cuisses, qu’elle caresse du bout des doigts. Elle les garde serrées un petit moment, se trémoussant sur le siège de toile tandis que je la dévore des yeux. Quand enfin elle ouvre les cuisses, elle y fait glisser ses doigts et écarte les lèvres sur lesquelles un léger filet de mouille s’étire avant de craquer.
Je résiste à l’envie d’aller laper tout ça, j’en aurais presque son goût sur ma langue tant mon désir est intense… Elle continue son manège, emprisonnant son clitoris entre son index et son majeur, pour le maltraiter, laissant couler son plaisir sur la toile du transat. Je m’active de plus en plus fort sur ma queue, il est hors de question que je craque mais j’ai tellement envie de jouir… J’approche quand même ce sublime spectacle, menant mon sexe juste au dessus de son visage empreint de plaisir. Elle me regarde d’un air suppliant, ses doigts la fouillant toujours tandis qu’elle entrouvre la bouche légèrement.
Son visage est si proche de mon sexe que je pourrais presque sentir son souffle et j’attends avec une furieuse impatience qu’elle craque enfin. Ses yeux me crient de la toucher, mais de sa bouche ne sortent que de faibles gémissements qui s’intensifient en même temps que ses gestes. Je n’en peux plus, j’ai trop envie de sentir ses lèvres sur mon gland.
Un seul pas me conduit directement au Graal : la peau si douce et chaude de ses lèvres m’électrise à l’instant même où elle s’enroule autour de mon gland. Louise pousse un soupir de soulagement se mêlant au mien et empoigne fermement ma queue pour la guider dans sa bouche. Elle avale goulûment ma chair comme si elle n’attendait que ça, tout en poursuivant ses caresses humides. Savourant ce spectacle du regard je ne peux m’empêcher de faire glisser mes mains sur son corps, agrippant enfin ce foutu téton qui me provoque depuis trop de temps.
Mes doigts voraces partent explorer ses profondeurs, plongeant dans ce ruisseau agité par ses remous, pour ensuite venir les porter à ma bouche afin d’en savourer les notes ambrées. Ce que sa chatte est exquise !

Soudain, un bruit se fait entendre dans la nuit, nous obligeant à stopper toute caresse. Fuyant les rebords de la piscine pour nous dissimuler derrière la haie voisine, Louise s’appuie sur le tronc d’un acacia tandis que je me serre contre elle. Silencieusement, nous guettons le moindre craquement annonçant la présence d’un visiteur indésirable mais le silence s’impose toujours dans cette calme nuit d’été.
Le nez dans son cou, j’inspire doucement le parfum de sa peau. Alors que mes lèvres caressent sa nuque, courant sur son épaule, mon bassin vient se river au sien, si bien qu’elle peut sentir la dureté de mon désir se presser contre ses fesses. Elle me chuchote de me tenir tranquille mais mes doigts espiègles vont glisser sur son ventre pour atteindre ses replis encore humides. Quand ceux-ci se fondent dans son intimité, elle se cambre un peu plus, les deux mains posées à même le tronc, si bien que ses lobes charnus s’écartent suffisamment pour que mon sexe pointe devant son petit trou.
Sa chatte ruisselle sur ses cuisses et de mes doigts gaugés, je viens humidifier son anneau, qui se resserre chaque fois que j’y appuie ma queue. Je pousse juste assez pour ne pas la pénétrer si bien qu’elle commence à se trémousser contre moi en poussant des petites plaintes agacées. Je lui murmure à l’oreille :

— Si tu veux que je te prennes, il va falloir me le demander gentiment…
Au lieu de me répondre, cette dernière essaie de s’empaler un peu plus sur mon vit, dès le coup de bassin suivant. Me reculant juste assez, je l’en empêche, attendant simplement qu’elle obéisse… La maligne tente tout de même sa chance encore une fois avant d’abdiquer et de me supplier du bout des lèvres.

— Prends moi s’il te plait…— Ton cul ou ta petite chatte ?— Mon … mon cul. — Penche-toi bien.

Son petit trou m’appelle depuis tout à l’heure, je ne résiste pas plus longtemps et commence à y enfoncer ma queue, qui disparaît lentement à mesure que son cul s’ouvre petit à petit. J’observe avec délice chaque centimètre s’évanouir dans ses tréfonds, tandis que mes mains meurtrissent sa peau. Elle est si serrée que je dois sortir deux fois de son écrin pour pouvoir m’y enfouir totalement jusqu’à la garde. Une fois bien planté en elle, je la maintiens tout contre moi pour que nos mouvements s’harmonisent et j’alterne entre vigoureux coup de reins et cadence lente mais profonde.
Louise n’en peut plus, elle se mord le poing pour étouffer ses gémissements tandis que je la sodomise sans vergogne. Tout son corps est soudain parcouru d’une vague intense et lorsque mes doigts viennent emprisonner son clitoris, ils sont soudain arrosés de mouille, un jet brûlant inondant ma main tandis que mes couilles claquent contre sa vulve. De mon autre main je m’empare de son cou et le serre alors que je lui assène d’ultimes coups de bassin.
Elle nage littéralement dans la luxure et le plaisir, s’abandonnant complètement pour exploser d’une jouissance qui semble ne jamais finir. Incapable de me retenir malgré mon envie de finir dans sa bouche, je sens l’orgasme monter et dans un profond râle, je remplis ses tréfonds, tapissant l’intérieur de son cul de mon foutre laiteux. Après m’être délecté des dernières secondes de cette intense jouissance, je sors de son cul et observe avec fierté le liquide qui s’en échappe. Je recueille un peu de ce sperme et de ses fluides avec deux doigts, puis viens les présenter devant ses lèvres. Tout en me fixant droit dans les yeux avec un air gourmand, elle se régale, suçant mes doigts avec langueur.
L’envie d’aller déguster ses lèvres me titille tellement que je me surprend à l’embrasser langoureusement, me repaissant de sa salive mêlée à nos fluides. Lorsque nos lèvres se détachent enfin, son regard se voile légèrement, et, comme effrayée par une soudaine révélation, Louise prend la fuite.
Va-t-elle réussir à assumer un jour ses actes ou bien prendre la fuite est sa seule manière de gérer les choses ? C’est bien dommage, j’aurais bien aimé continuer dans la chambre… Dormir avec elle aurait été impossible mais, qui dit que nous aurions dormi ?
En retournant dans la chambre d’amis, j’entends des bruits étouffés parvenir de la chambre de mon fils. Est ce qu’après notre petit intermède, la future mariée aurait décidé d’aller vérifier si son futur mari allait être de taille ? Un mélange de curiosité et de jalousie me pousse à tenter de découvrir qui est venu partager le lit de Marc cette nuit. Je l’entends gronder son plaisir à travers la porte, sur laquelle je colle l’oreille. Cette dernière étant mal crochetée, elle s’entrebaille légèrement, juste assez pour que je puisse apercevoir Marc, debout dos à la porte, avec à ses pieds une silhouette qui s’occupe de le pomper. La stupéfaction s’empare de moi quand je reconnais enfin qui est en train de faire une pipe à mon fils. Moi qui croyais y trouver Louise, je me suis complètement trompé.
Diffuse en direct !
Regarder son live