Ce mois d’Août, une page s’est tournée, Guillaume, mon meilleur ami s’est marié !Nous nous connaissons depuis le lycée, puis nous avons fait nos études ensemble, nous avons été colloc en Allemagne durant nos 6 mois de stage et nous avons été diplômés ensemble. Jamais d’ambiguïté, jamais un geste mal placé durant toutes ces années. Pourtant il est beau garçon, peut-être un peu trop en chair pour moi amis il faisait tourner les têtes au lycée puis en école d’ingé.Mais Guillaume est en couple depuis ses 16ans, avec Géraldine qui était à l’époque ma voisine de cours. Il a été mon confident durant les moments durs, durant la période où ils étaient éloignés. Elle l’a trompé, il en a été blessé mais n’a lui, jamais cédé à aucune tentation. Bref, un mec bien.Et voilà, après des années de vue communes, ils se marient ! Pour l’occasion, mon mari m’a choisi une robe, une robe de soirée qui, comme il dit, "je ne mettrais surement qu’une ou deux fois dans ma vie", donc j’ai accepté de la porter. C’est une robe fourreau rouge. Devant elle est assez sage mais par contre elle est fendu plus haut que mi cuisses. Ça permet, soit d’être très sage quand elle est fermée, soit très (très) sexe quand la fente s’ouvre ! de plus, elle est dos nus, le décollette dorsal s’arrête juste au-dessus des fesses ! Avec ça bien sûr, hors de question de porter un soutient gorge. Le problème, c’est qu’elle est tellement moulante que le moindre string est visible, même le plus fin. Du coup, mon mari m’a lancé un jour : tu n’as qu’à ne rien mettre dessous. AU début, j’ai refusé catégoriquement mais petit à petit, je me suis laissé gagner par l’idée. Après tout, personne ne le verrait. Me voici donc, en ce samedi d’Aout presque caniculaire, au mariage de mon meilleur ami, au milieu de 200 convives, dans ce lieu paradisiaque, avec pour seul vêtement cette robe ! Absolument rien d’autre. la sensation est, je dois le dire agréable : quand je marche, je sens l’air s’engouffrer entre cuisses et au fur et à mesure de la journée, je sens l’humidité me gagner mais rien d’alarmant.Bien sûr, mon mari s’est amusé à glisser ses doigts 2 ou 3 fois sous la robe, caressant mon intimité, juste assez pour m’exciter mais pas suffisamment pour me laisser partir. Il adore ces jeux là ou iol me fait languir de longues heures avant de me céder ! Dans ces moments, on fait l’amour comme des fous, plusieurs fois de suite (la première fois est toujours dans ces cas .... rapide). La soirée est maintenant à son comble, les invités sont bien éméchés pour la plupart. Malgré la taille de la salle, les danseurs sont assez proches les uns des autres. J’ai danse principalement avec mon mari, mais aussi avec d’autres copains et puis surtout quelques danses avec Guillaume, normal ! J’ai même été la première à succéder à sa femme, à l’ouverture du bal. Mais encore une fois, aucun geste déplacé, aucune ambigüité entre nous. Arrive le moment des slows. Nous dansons avec mon homme 2 slows très serrés, c’est très sensuel, sa mains m’a caressé le dos, et s’est même aventuré plus bas. j’ai protesté mais il m’a fait remarquer qu’avec la pénombre, le nombre de personnes et le degré d’alcoolémie de la plupart, personne ne verrait rien. Je n’ai d’ailleurs pas capté un seul regard voyeur ! Pourtant, il s’amusait parfois a passer sa jambe entre les miennes, cela avait pour effet de découvrir l’intégralité de ma jambe, avec les mouvements, une personne attentive aurait surement remarqué mon absence de culotte mais dans le noir de cette salle, rien a craindre. C’était terriblement excitant je dois dire. C’est donc dans cet état que je me rassoit, histoire de reprendre mes esprits. Là, Guillaume s’approche de moi, il a l’air franchement éméché, ce qui a pour effet de le rendre hyper joyeux. Il me fait remarquer que nous n’avons jamais dansé de slow ensemble ! C’est vrai, je ne l’avais jamais remarqué. J’accepte donc son invitation et nous nous retrouvons donc au milieu de cette piste de danse. Les autres danses moins sensuelles ne m’avait rien fait mais là, me retrouver dans cette tenue, avec mon ami qui me serre contre lui, me procure un sentiment bizarre, indéfinissable. Son corps est collé au mien, je suis gênée mais c’est agréable je dois dire. Je me sens en sécurité, c’est mon ami de toujours, il se marie aujourd’hui, mon mari est là, nous sommes au milieu des gens. Je sais qu’il ne m’arrivera rien, qu’aucune limite ne pourra être franchie. Je me surprends à avoir ces pensées qui ne me seraient jamais venue à l’idée il y a quelques instants encore.je me demande si le fait d’avoir son corps collé au mien lui fait ressentir mon absence de culotte, ca occupe mes pensées lorsque je sens sa main glisser le long de mon dos. Après tout, rien de surprenant, c’est une position normal pour un slow, sauf qu’avec mon dos nu, sa main est collée contre ma peau. Je me sens partir un peu, une sensation bizarre m’envahie, je me retiens mais je sens que le désir pourrait monter. Je ne m’y attendais pas, surtout pas avec Guillaume. De plus, je sens que sa main accentue sa pression. Cela a pour effet de me coller un peu plus contre lui. Il est beaucoup plus grand que moi, presque 1m90, mon ventre est donc a hauteur de son sexe.Je me rends compte que jamais je n’avais pensé au sexe de Guillaume. Pour moi, c’était presque un être asexué, mon ami, mon confident. Mais là, dans cette situation, je reconnais bien que c’est un homme qui me plaque contre lui. Il ne dit rien, nous dansons juste dans ce qui devient une sorte de marche sensuelle. Puis, tout à coup, je sens que sa main a glissé le long de mon dos. Elle est arrivée a la lisière de mon décolleté dorsal. C’est limite, aux frontière de la décence, jamais je ne l’aurait cru pouvoir s’aventurer ainsi avec une autre que sa femme, et encore moins avec moi !Je sens la main glisser encore, elle semble à la recherche de quelque chose. Sa main est maintenant sur mes fesses. Je me demande que faire, je devrais dire non, faire un mouvement de recul. Je recherche le regard de mon mari et m’aperçoit qu’il ne rate rien de la scène. Je fixe ses yeux, il me sourit et me fait un petit signe de tête, comme s’il m’incitait à me laisser aller. On a déjà fantasmé sur des aventures mélangistes, mais à part une fois en club, nous n’avons jamais franchis le pas. Je sais par contre qu’il aime me voir prendre du plaisir, avec lui, seule ou avec mes jouets. Il m’a déjà dit à de nombreuses reprises qu’il aimerait me voir prendre du plaisir avec un autre et que si l’occasion se présentait, je ne devais pas résister "pour de la fausse pudeur". Je ne dis donc rien, mieux je colle légèrement mon corps au sien. C’est imperceptible de l’extérieur mais il ne peut pas ne pas s’en rendre compte. L’effet est immédiat, je sens sa main oser, elle glisse maintenant sous mes fesses, il en a profité pour caresser mes hanches, il doit donc maintenant savoir que je suis nue sous cette robe. Je colle mon visage contre le sien, je suis prête à m’abandonner, je le laisse faire, je profite du moment de sensualité. Mais cela va bien plus loin que je n’avais pensé. En effet, son autre main a quitté mon bras et est venue se plaquer contre ma cuisse dénudée. Rapidement, elle s’est glissé sous la robe. Personne ne doit pouvoir voir mais une de ses mains me caresse les fesses tandis que l’autre explore ma cuisse. Lentement, elle remonte, tout en tournant vers l’intérieur. Son majeur index se détache du reste de sa main et court le long de l’intérieur de ma cuisse. Il est a quelque centimètres de mon sexe nu maintenant.J’ai encore la possibilité de lui bloquer la route, il me suffirait de laisser les jambes serrées mais, je ne sais pas pourquoi, je donne un mouvement de balancier à mes jambes, je fais passer le poids de mon corps de mon pied droit au gauche, durant l’intervalle, mes cuisses s’ouvrent, je le sais, c’est une occasion que je tends à Guillaume. Il hésite, durant de long moments, son index reste chaste, à quelques millimètres de mon intimité. Puis, à l’improviste, il ose, se présente au bord de mes lèvres. Si j’avais du imaginer ce que j’aurais voulue, j’aurai imaginé qu’il resterait juste au bord des lèvres, mais l’humidité de mon sexe doit être trop importante, son index est quasiment rentré dan mon vagin. La position ne permet pas la pénétration mais c’est tout de même très chaud. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, quelques secondes, quelques minutes. Je me suis laissé aller, j’ai mouillée comme une ado. A la fin des slows, il m’a glissé un "merci" à l’oreille et est parti rejoindre sa femme. Il lui a dit quelque chose à l’oreille, elle m’a regardé mais aujourd’hui, je ne sais toujours pas ce qu’il a osé lui dire. De mon côté, je suis retournée voir mon mari, je lui ai dit que Guillaume m’avait caressé le sexe, il s’est levé m’a pris par la main et m’a entrainé dehors. Nous nous sommes dirigé vers un bosquet totalement sombre. Il m’a embrassé sauvagement, puis m’a retourné violement, plaqué contre un arbre, remonté ma robe largement au-dessus des fesses en me cambrant. Je me sentais totalement impudique, si quelqu’un était passé, c’aurait été indécent ! il m’a pénétré, j’étais ruisselante et folle de désir, les images se brouillaient dans ma tête. AU bout de quelques minutes, il s’est retirer, je ne savais pas ce qu’il allait faire. Contre toutes attentes, il s’est approché de mon anus. J’étais surprise, nous pratiquons la sodomie mais c’est en fait souvent moi qui demande, j’ai senti là le désir de domination, je me sentais à sa merci, excitée comme jamais. Il m’a pénétré facilement (son sexe devait être bien lubrifié ). Il s’est penché vers moi et m’a dit : "pénètre toi avec les doigts, imagine que c’est lui. Je me suis exécuté et au bout de quelques secondes, j’ai senti l’orgasme arriver, violent, irrésistible ! je me suis mordue les lèvres pour ne pas hurler. Il s’est vidé en moi, c’était la première fois qu’il se laissait aller entre mes fesses. Guillaume et Géraldine ne doivent pas imaginer comment nous avons apprécié leur mariage, mais qui sait, peut-être un jour, lirons-t-ils ceci et oserons nous donner leur vision des choses.
