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Mariage raté, la belle-famille s'en mêle

Chapitre 1

Le mariage

Inceste
Chapitre 1 : Le mariage

Le 11/05/2010

À peine dix-neuf ans et je m’apprête déjà à me marier, un peu rapide à mon goût pour me passer la corde au cou. Hélas, je n’ai pas le choix, un gamin est en route et me coupe l’herbe sous le pied. Ayant été convaincu par sa sœur du bien-fondé de cette pratique, ma future femme, copine passionnée à l’époque ne me laisse que son petit trou pour rester vierge.

Cependant, un jour pris par l’excitation alors que je lui assène de violents coups de reins, mon sexe ressort de son anus et viens directement se ficher dans son vagin inexploré. Surpris de me retrouver là, avec ma verge plus qu’à l’étroit au fond de ce petit trou, je flanche en livrant ma semence aux portes de ses tréfonds. Le résultat est sans appel, elle tombe enceinte en un coup de bite mal placé et, un malheur n’arrivant jamais seul, ma famille m’oblige à l’épouser.

C’est donc sans entrain que je m’avance près de l’autel, mon portable à la main, me moquant complètement du regard des gens. Je pousse même le vice en criant ma satisfaction quand enfin, je réussi à finir ma grille de candy crush. Le curé, indigné, me lance des regards aussi noirs que la nuit. La sœur de la mariée quant à elle, me regarde avec mansuétude et un large sourire se dessine sur son visage.

— Mon fils, un peu de tenue ! C’est votre mariage tout de même !— Oui, oui mon père, déblatéré-je, en finissant ma partie.— Ne vous inquiétez pas mon père, il a fini et va ranger son portable. De plus, la mariée n’est pas encore prête de toute façon ! — Merci Mélanie, je peux toujours compter sur toi !

Les grandes portes s’ouvrent enfin et Solène s’avance vers moi, des paillettes plein les yeux au bras de son père. Moi je l’attends entre le cureton et mon pote de toujours, en me demandant sérieusement ce que je fous là. Il me la confie en me tendant sa main et repart joyeusement. Mon témoin, ce blagueur invétéré, lui fait un croche-pied et le pauvre homme s’étale de tout son long sur les dalles. Il se redresse humblement et ne relève même pas les ricanements de ma bande de copains, debout au fond de l’église.

Cette cérémonie trop solennelle m’ennuie à mourir et quand ma femme prononce ses voeux, je suis pris par un violent baillement, qui lui ferait presque appercevoir le fond de mon caleçon. Le père Georges me regarde, outré que je n’aie même pas pris la peine de mettre la main devant la bouche.


— Mon fils… murmure-t-il, en regardant le ciel, c’est à vous Grégory Guerilo voulez-vous prendre pour épouse Solène Partier ici présente ?

Deux "oui" un peu timides se font entendre et une nouvelle blague se prépare dans l’ombre. Suite à ça, une bagarre éclate dans la maison du seigneur. Sofiane a échangé les bagues par des tringles à rideaux et mon père, hors de lui, s’est levé pour lui apprendre la vie.

Tous deux finissent à l’hôpital, aussi amochés l’un que l’autre. Mais le pire dans tout ça, mon très cher témoin avait aussi la lourde tâche de lâcher les colombes à notre sortie d’église. Les pauvres bêtes sont dans la voiture en plein cagnard, voulant les sauver je me précipite et casse la lunette arrière... Mais trop tard…

Nous avions prévu une très belle salle que nous avons décorée avec soin, sur le thème du cinéma avec un ancien projecteur. Malheureusement un court-circuit dans l’appareil a tout fait cramer : une simple étincelle et le nitrate de cellulose des bobines, disposées un peu partout pour la déco, s’est enflammé. Nous nous retrouvons donc chez mon père qui a une grande demeure et la soirée commence timidement, tous sont un peu dépités. Ma femme en pleurs s’affole, courant partout pour prévenir les prestataires, pendant que sa mère me réconforte comme elle peut.

— Ça va aller, tu sais ça va être quand même une bonne fête. En plus c’est magique ce qu’il t’arrive ! Tu te rends compte, à même pas vingt ans tu vas déjà être papa !

Assis sur cette vieille balancelle de jardin à l’ombre du pommier, ses mots résonnent dans ma tête, "mariage raté, papa à vingt ans". Pourquoi m’a-t-elle dit ça ? Cet enfant est la cause de mon problème et a ruiné mon innocence, moi qui suis encore qu’un gamin pas foutu de m’occuper de moi… Je ne peux me résoudre à lui en vouloir ! Quelle torture, moi qui imaginais un tout autre avenir, me voilà condamné avec une femme, qui ne me m’attire pas plus que ça…

— … Non, balbutié-je, entre mes sanglots qui repartent de plus belle.— Il ne faut pas te mettre dans des états pareils, on s’en souviendra de ce mariage au moins !— Oui, comme d’un échec lamentable !— Mais non et ne t’en fais pas je serai toujours là pour toi ! Je vais aller voir ma fille si elle s’en sort avec ses appels, abrège-t-elle, en se levant. Tiens Mélanie, viens voir par là prendre ma place au côté de notre marié attristé.

Ma belle sœur qui passe innocemment par là, débarque en trombe et en me prenant la main, s’assied sur le banc. Mel amorce un doux balancier, en me caressant la nuque. Comme quand elle me gardait enfant et que tous les malheurs du monde s’abattaient sur moi. Puis, en séchant mes larmes de son pouce, elle plonge ses yeux dans les miens pour percevoir ma peine.

— Ho, mon pauvre garçon, tu as tellement grandi et la vie ne t’as pas gâté on dirait… courage, tout n’est pas si noir, regarde plus loin que ton malheur ! — C’est trop lointain, je ne vois rien…— Pour chaque malheur il y a du bonheur qui se cache derrière, il suffit juste de le trouver. De nos jours, un mariage n’est pas forcément unique, tu pourras toujours te remarier avec elle, ou une autre. Et au fait, j’ai pas eu l’occasion de te le dire, mais j’ai parlé jeudi au boss de Pascal et vu ton talent il est prêt à te prendre à l’essai !— Comment ça, tu lui as dit quoi ?— Pas grand chose... je lui ai montré ton mini jeu et il lui a vraiment plus, autant le gameplay que les graphismes. Il a même ajouté le lendemain que la fin est géniale !— Tu lui as dit au moins que les dessins sont les tiens ?— Mais oui, il est intéressé par l’univers que tu as créé et ton style de codage.— Trop la classe, je t’en dois une à toi et ton mari. — Mon mari... j’ai dû faire ça dans son dos. Je ne sais pas si c’est sa jalousie, ou simplement le fait qu’il ne sait pas reconnaître le talent.— Merci pour tout ! M’exclamé-je, rougissant par tant de compliments.— De rien. Et bien enfin, je crois que j’entends de la musique, tu m’emmènes danser ? Quémande-t-elle, en me tirant par la main.

Arrivés près du garage, nous entendons de plus en plus clairement un brouhaha atroce. Le DJ, un vrai loufoque, a cru que c’était un karaoké et chante à tue-tête ses chansons préférées d’un goût plus que douteux.

Et je ne parle même pas du repas ! Enfin, au moins le gâteau est arrivé jusqu’à nous... Tout du moins, la chouquette du haut, qui a roulé, pour finir par s’écraser mollement à nos pieds. La soirée interminable est maintenant emplie de personnes, plus ivres les unes que les autres, n’attendant qu’une allumette pour mettre le feu aux vapeurs d’alcool ambiante.

Je redoute ce moment, cet instant où il faut aller dormir discrètement et ne pas se faire déranger pendant cette nuit magique. Profitant d’une altercation musclée entre les éternels rivaux de la famille, nous fuyons chez Brigitte, complice de notre évasion et réussissons à partir sans éveiller l’attention. Je vais enfin pouvoir la déflorer en toute quiétude. Mon envie d’y retourner et de sentir la douceur de sa matrice ne m’a pas quitté, depuis ces cinq derniers mois. Je m’allonge à côté d’elle en caleçon et lui masse les épaules avec la plus grande dévotion. Le contact de sa peau nue sur moi accroît mes envies et me pousse à m’accoler à elle, faisant croître mon membre déjà bien dressé.

Je le frotte dans le sillon de ses fesses, mon gland dépassant par moment et mon nez dans ses cheveux inhale enfin son doux parfum. D’une main, je pousse mon bâton de chair entre ses cuisses et câline son bourgeon de toute ma longueur. La moutarde me chatouillant déjà le nez, je me libère de l’emprise de ces cuisses et un spasme me parcourt le phallus au contact de sa muqueuse, électrisant mon bas-ventre. Je laisse s’égarer ma main entre ses énormes seins et descend fougueusement sur son ventre arrondi, pour aller caresser sa fleur. Soudainement Solène s’écarte en gigotant.

— Non chéri pas ce soir ! J’en peux plus, je suis crevé. — Sans déconner ? Tu me fais faux bon maintenant ?— Ce n’était pas une journée facile tu sais ? — Oui, on a vécu la même à ce qui me semble ?— Je suis enceinte, je te le rappelle ?— Ok, très bien, bonne nuit. Je vais aller fumer une clope dans le garage.

Frustré, je sors de la pièce un peu vite, oubliant mes guenilles. Je descends l’escalier en colimaçon quand je constate que sa mère se touche sur son canapé, en regardant un porno d’une mariée se faisant besogner. Ma lubie reprend de plus belle, me vrillant le cerveau, portant mon sexe en ébullition. Brigitte, les yeux rivés sur la télé, visiblement très excitée, ne remarque même pas que je la regarde. Elle est à moitié vêtue, le tee-shirt laissant apparaître un sein et le short juste au-dessus des fesses, lui permettant de caresser son intimité en toute quiétude.

J’empoigne mon manche vigoureusement à travers la fine couche de tissu et le serre très fort, envisageant ce que je pourrais faire avec cette belle plante. Au diable ce caleçon ! Je la regarde fixement en me branlant avec ferveur. Quand soudain, mon urètre malmené produit un bruit caractéristique et attire son attention. À la vue du phallus novice qui se dresse devant elle fièrement, Brigitte rougit en se mordant les lèvres et me fait signe d’avancer.

J’arrive près de son visage, le chibre à quelques centimètres de sa chevelure noire ébène, prêt à la recouvrir de ma semence. Elle semble hésitante un court instant, mais tellement excitée par ces attouchements, elle ne parvient pas à résister à l’appel de ce membre tendu. Brigitte prend en bouche la pointe de mon manche, se délectant d’une perle de mon liquide ce traître qui m’a démasqué. Sa bouche est si bonne, et sa succion si intense, que trop excité je manque de lui exploser en bouche. Ne voulant pas lui faire goûter mon nectar prématurément je lui chuchote de se calmer. Brigitte ne l’entend pas de cette oreille et continue le traitement qu’elle m’inflige, en se doigtant avec conviction.

Sa langue titille mon gland, tandis qu’elle me regarde avidement. Ses lèvres glissent le long de mon urètre, et sa main cajole son triangle fortement, lui faisant pousser quelques gémissements. Puis enfin, elle me gobe intégralement et la douceur inconnue d’une fellation me submerge. D’abord surpris, je recule, mais la succion devenant plus intense emporte mon bassin. Je grommelle de plaisir, et ma main s’engouffre dans ses cheveux, bloquant sa tête. Je lui envoie des coups, de plus en plus loin, dans sa gorge qui en demande toujours plus.

Quand je suis enfin arrivé à poser la garde contre ses lèvres, de puissantes secousses me prennent, et je déverse dans le fond de cette bouche toute mon insatisfaction antérieure. Je la maintiens encore comme ça quelques secondes l’obligeant à tout avaler. La semence chaude se déversant par saccade dans sa gorge, la transporte près des étoiles et la fait trembler de tout son corps.

Brigitte se nettoie dans le plaid et me commande de venir à côté d’elle, d’un geste assuré. Je frissonne à l’idée de ce qu’elle pourrait me dire, mais exécute ses ordres sagement et m’assois à ses côtés.

— On ne dit rien à Solène ? — Non, il ne s’est rien passé ! — Oui c’est mieux comme ça, elle ne comprendrait pas à mon avis. En tout cas, elle a bien de la chance ma fille et doit se régaler de ta belle bite !— Non, la fellation la répugne… — Mais elle ne te donne rien ? Questionne-t-elle, en m’enroulant avec elle dans la couette.— Depuis ce fameux accident, rien... non rien. — Mon pauvre, j’ai deux ou trois petites choses à t’apprendre, si elle ne veut pas, moi je voudrais toujours. Chuchote-t-elle à mon oreille en me la léchant.— Hmm, je serais heureux que tu me fasses tout découvrir. Je ne pense pas qu’elle se lève de si tôt, si tu veux qu’on commence les leçons tout de suite, je n’y vois pas d’objection…

La suite sera publiée vendredi dans trois jours... et se passera dix ans après.
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