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Mariage raté, la belle-famille s'en mêle

Chapitre 5

Le rendez-vous

Hétéro
Chapitre 10 : Le rendez-vousLe fameux dimanche]

Arrivé à l’hôtel il est déjà quarante cinq. Je me gare aux abords et me hâte à pied de rejoindre le hall. J’aime cet hôtel, le luxe qui s’en dégage et surtout son petit casino ou j’ai fait quelques bonne mains. C’est là aussi que j’emmenais mes maîtresses les "week end d’affaires"... Encore un mensonge qui n’aura plus lieu d’être. Je ne réalise pas encore très bien que c’est bon, c’est fini je suis libre et n’aurais plus jamais à endurer ce supplice.

La femme de l’accueil me reconnaît et me sollicite de la main. C’est une charmante dame qui a vu défiler bon nombre de mes conquêtes et m’a aidée à de nombreuses reprises, rattrapant mes maladresses avec panache, pour me permettre de ne pas perdre la face.

— Mr Guerilo, vous n’avez pas réservé de suite, que puis-je faire pour vous aider ?— Bonjour Jeanne, justement j’ai besoin de vous, j’ai rendez-vous dans quelques minutes dans une chambre. Pouvez-vous me donner des informations sur ses occupants à tout hasard ?— Normalement non, mais vous c’est pas pareil… c’est quelle chambre ?

A cause du stress, un trou de mémoire me vient et impossible de me rappeler le numéro de la chambre. Paniquée, je me fouille les poches convulsivement, mais elle est restée dans le dossier sur le bureau. Il faut que je me rappelle !

— Chambre trois cent… — C’est pas grave, soufflez et respirez, ça va aller. Sinon vous auriez un nom ?— Non pas vraiment. Attendez… essayez Partier, mais je ne pense pas que…— Chambre trois cent soixante six Mr, troisième étage à droite au bout du couloir. — Je ne vous remercierai jamais assez ! Clamé-je, en lui donnant un bon pourboire.— Vous n’êtes pas obligé Mr Guerilo je le fait par gentillesse, en plus ça dépassait mes attributions.— Je le sais, mais c’est avec plaisir. Bonne journée.
— À vous aussi, demandez-moi au room service si besoin je serai heureuse de satisfaire à vos exigences.

Je me dirige vers l’ascenseur en me demandant quel Partier est dans cette chambre. Les deux que je soupçonnais au début, qui ont feint la comédie ou le grand-père mis hors de cause. Mais une petite cachottière de Brigitte voulant me faire une surprise… ça me semble le plus probable. J’espère qu’elle ne me tiendra pas rigueur d’avoir repoussé ses avances d’hier. Si c’est ça elle est tordue mais c’est ce que j’aime, elle m’aura fait courir cette tigresse.

Je monte et appuie sur le bouton du troisième, je suis seul dans l’ascenseur. Je regarde mon reflet dans son miroir et tente d’ajuster ma présentation en replaçant mes cheveux brun encore ébouriffés du réveil. Malgré la bonne nuit de sommeil que j’ai passé je discerne encore des cernes sous mes yeux bleus qui se perdent dans l’imagination, Le simple fait de songer à elle, m’attendant dans la chambre me fait frissonner.

Marchant dans le couloir je me demande ce qu’elle a prévu pour moi et marche d’un pas décidé, près à satisfaire cette maman exigeante. Arrivé devant la porte j’arme mon poing pour toqué, l’envie dépassant presque du pantalon et si je me fourvoie et que j’arrive dans cette convenance devant quelqu’un d’autre. Je rabaisse ma main et tente de contenir l’envie qui pulse et grandis dans mon caleçon. Je regarde l’heure, treize heures cinquante-cinq, je ne suis pas en retard, j’ai le temps. Je déambule dans les couloirs pour calmer la bête qui gronde en moi, marchant sur la moquette rouge. Un bagagiste me voit marcher ainsi dans les couloirs et m’interpelle.

— Bonjour Mr vous avez besoin d’aide ?— Non, declaré-je, un peu gêné. — Vous me rappelez quelqu’un, vous êtes ?— Mr Guerilo.— Le mec sur la photo qui est en train de serrer la main du grand patron. Veuillez m’excuser pour ma familiarité, mais je suis son neveu en apprentissage.

En voyant ce petit jeune plein d’entrain, j’ai une idée qui réglerait bon nombre de problèmes. Je l’invite donc à me suivre en le poussant par le bras d’où je venais.

— Ha, c’est ça cette assurance que je sens en vous.— Oui moi je suis bourré d’assurance, un vrai lion qui n’a peur de rien !— Vous savez je suis embêtée, Madame s’est endormie attaché sur le lit, après que je me sois occupée d’elle et comme un con je suis sortie sans le pass… pouvez- vous m’aider en toute discrétion ?— Mais bien-sûr, c’est quelle chambre ? — Chambre 366.

Après avoir ouvert la porte gracieusement ce petit jeune s’en va fière d’avoir pu être utile. Je referme la porte derrière moi discrètement et avance dans cette belle suite. Je me fige quand j’aperçois dans le salon une chevelure noire ébène dépasser d’un des deux fauteuils coulissant, qui est tourné face la télé. Mon sang ne fait qu’un tour et mon phallus se raidit instantanément. La surprise pour elle sera totale quand elle saura que j’ai réussi à rentrer sans qu’elle ne s’en aperçoive. J’ai bien mérité ça en ayant cavalé pendant deux jours. Discrètement je me déshabille et ricane ce que je peux dans ma barbe de trois jours.

Je laisse juste le caleçon et me rapproche discrètement dans son dos. Ma respiration se fait pressante et les mouvements sont saccadés, je peine à avancer sans bruit. Heureusement les feuilletons d’amour du dimanche après-midi couvrent bien mon souffle court et ma démarche dénuée de classe. Elle m’a encore bien étonné sur ce coup là Brigitte, mais depuis hier c’est moi qui ai la main et je compte bien profiter de toute la fougue qu’elle a à me donner. Je tourne d’un coup sec le fauteuil sur lui même avec détermination, en clamant :

— Je te tiens Brigitte !

Et la stupeur, en retournant le fauteuil je découvre, Mel choquée autant par ma tenue que par ma présence impromptue. Elle me regarde droit dans les yeux pour une fois et ne lâche pas mes pupilles, sûrement par excès de politesse. Au-delà de sa surprise, après quelques secondes qui m’ont parues être des heures, son visage s’attendrit et elle me sourit. Mon cœur qui s’était arrêté repart de plus belle et je suis soulagée de sa présence, mais très honteux de ma tenue. Elle ne doit pas être au courant de ma présence, je la vois baissant sa tête entre ses mains, elle a déjà dû comprendre que c’est son mari qui est derrière tout ça. Je me recule par réflexe ne sachant pas comment son homme interpréterait la situation, reprend mon pantalon que j’enfile à la hâte et passe les bras dans ma chemise.

— Mel, putain mais qu’est-ce-que tu fiche ici et il est où ton mari ?— Tu as cru que j’étais ma mère ? A me sauter dessus comme ça ?— Tu sais très bien que c’est platonique entre nous… alors tu es dans le coup aussi ?— Non, mon mari est loin de tout façon— C’est toi qui a caché la caméra ? M’enervé-je, en mettant les boutons de mes doigts tremblants, il est où ton mari parfait ?

Son visage s’assombrit d’un coup, sa voix devient criarde et pleine de mélancolie. Ses yeux se couvrent d’une épaisse cloison d’eau qui ruisselle sur ses joues.

— Tu veux vraiment savoir où j’en suis dans mon couple "parfait" ?— Mais quel malheur t’as poussé à me jouer un coup pareil ?

Je la prend dans mes bras en la levant, l’enlaçant fortement en la berçant comme elle le fait pour moi. Une de mes mains passe dans ses cheveux et mes lèvres se collent à son front. La douceur de sa peau m’envahit et une pointe de désir intense émerge. Elle se blottit contre mon épaule, en séchant ses larmes et gratte sa gorge en se reculant.

— Increvable gentil, tu ne te doutes même pas qu’à quelques kilomètres de là, ta femme est dans les bras d’un autre…

Elle reprend de plus belle son flot de larmes et les haussements d’épaules involontaires. Je lui rappelle sa joue contre moi et sèche de mon pouce une de ses larmes.

— C’est pour ça ? Je le sais tout ça, je l’ai lâché dans les bras de Simon. Ils sont heureux et moi aussi dans un sens.

Elle continue de sangloter trempant ma manche et je ne comprends toujours pas pourquoi elle ne s’arrête pas.

— Mais pourquoi n’arrête tu pas de pleurer ? C’est Jérôme il veut vraiment de l’argent ou ma place ? — Non tu n’y es pas du tout… Jérôme veux ta femme !— C’est ça le chantage pourri de ce rendez-vous ? Il est sur place et attend ?— Non, il n’y a pas de chantage, je voulais te prévenir pour ta femme dans un endroit que tu aimes en toute intimitée pour une fois.— Et Jérôme ?— Je suis tombée sur mon très cher mari pendant qu’il jouissait en visionnant la vidéo, crachant cette phrase qui résonne encore dans ma tête : "C’est toujours toi que j’aurais voulu baiser, pas ta planche à repasser de sœur".

Je reste abasourdi par les propos tenus par Jérôme quelques minutes en continuant de la serrer contre moi. Elle me câline le torse de ses mains tendrement et se met sur la pointe des pieds pour me faire un baiser dans le cou.

— Je viens de poser les papiers du divorce.— Tu as bien fait de le quitter ce salopard mais tu me disais tellement de belles choses sur votre couple. Je ne comprends pas ?— Je ne te disais que les choses les plus merveilleuses qui m’arrivent, en les enjolivant un peu pour que tu puisses imaginer de belles choses.— Tu es magnifique comme ça, tu n’as pas besoin d’enjoliver quoi que ce soit.

Elle s’écarte de moi et ses yeux arrêtent de couler, je la regarde avec intensité transperçant ses iris noirs encore embrumés. Nos souffles se mêlent, nos corps se rapprochent et collent. Je suis à quelques centimètres seulement de ses lèvres qui ne m’ont jamais donné l’occasion de pouvoir les apprécier. Elle ferme les yeux et humecte d’une langue furtive ses commissures. Je continue de regarder ce visage aux traits angélique et fermant les paupières j’applique mes lèvres sur les siennes.

Elle me répond en me passant sa main sur l’arrière de mon crâne et m’embrasse fougueusement. Nos corps s’entassent, se collent, puis s’éloignent et s’entrechoquent jusqu’au lit, laissant une traînée d’affaires à nos pieds.

— Aime moi comme tu n’as jamais aimé !— Tu es la seule à le mériter !

Je l’emporte avec moi dans ma chute sur le lit, en l’entourant de mes bras et roule avec elle au milieu. Elle me domine de son corps, quittant ma bouche elle descend me parcourant avec minutie la moindre parcelle de ma peau. Prenant tout son temps, elle me fait languir tournant ses doigts autour de ma toison, sa tête posée sur mon abdomen et d’un coup je sens une langue effleurer mon anatomie. Je soupire d’une telle frustration et elle le comprend en apposant sa main sur mes sacs en les massant doucement, remontant doucement emprisonner mon membre entre ses long doigts.

De ma main j’effleure le haut de sa chevelure sombre et descend le long de sa nuque qui se couvre de fin frissons. Il ne lui en faut pas plus pour enrober mon sexe de sa langue et en embrasser le bout, descendant progressivement en me laissant sans voix. Sa main s’agite sur la partie restant avide de sensations et je sens le plaisir qui m’emporte, voulant la retirer je lui prend ses cheveux et tire mais elle résiste et me prend encore plus loin.

— Arrête, je vais jouir ! Commandé-je, en tirant plus fort.

Ses doigts me serrent en résistant de plus belle, et sa gorge se fait assaillir par les nombreux jets, quand enfin je ne peux plus tenir ma jouissance. Elle se délecte de ce jus abondant qui se déverse par saccade, peinent à en avaler tant encore plein la bouche qu’elle se penche sur mon torse et en déverse le superflu. Elle soutient son regard plein d’envie en se mordant les lèvres et les abaisse sur mon nombril, en nettoyant le blanc collant qu’elle vient de renier. Sa main n’a pas quitté ma verge qui, avec ce spectacle, n’a pas rétrécit et se laisse câliner sur toute sa longueur par une main experte.

— C’est si bon, tu es près à m’en donner encore, à ce que je vois !— Je ne sais pas, c’est la première fois que ça fait ça. — Ce serait bête de ne pas en profiter…— C’est parce que tu me fais trop d’effet.

Son visage blanc rougit mais elle finit sans se démonter la tâche qu’elle a entrepris et finit par une légère scucion au bout, ramassant la dernière goutte qui y perlait. M’ayant consciencieusement léché, elle remonte et s’enfourche sur moi d’un coup, oscillant par la suite sur mon corps. Elle porte son visage près du mien, quand je glisse ma main dans son dos et dégraffe son soutien-gorge. Elle s’arrête soudainement de bouger sentant sa poitrine se libérer, portant à ma vue ses petits seins nus pour la première fois. Elle me regarde soucieuse de ma réaction, mais quand ma main vient englober ce lobe de chair et que ma bouche descend de son épaule pour quérir l’autre entre mes dents, elle s’abandonne en appuyant ma tête de ses paumes.

Après quelques vigoureux coups, elle se retire et se place à quatre pattes en me regardant avec intensité. Je me place derrière elle, debout sur le sol et abaisse à l’équerre mon phallus, la pointe contre son trou béant. Elle fléchit les jambes un peu plus et son anneau vient se glisser à la place de sa vulve, se décontractant en engloutissant mon gland.

— Prend moi par le cul s’il-te-plaît, mon mari trouvait ça répugnant.— Je pensais que… — Donne moi ce que je te raconterai toutes ces années enfin— Je vais bien le dilater ton petit cul moi, ne t’en fais pas.— Vas-y, j’attends ça depuis trop longtemps !

Je pousse sans m’arrêter et d’une traite je lui enfile ma verge, faisant taper mes couilles sur ses lèvres ouvertes avec ce bruit si reconnaissable qui m’excite davantage. Elle râle son plaisir et crie sa douleur, quand mon sexe si serré dans sa cavité l’explore de quelques allers et retours. Elle s’habitue enfin à mes accoups bestiaux et jouis en trempant le lit, s’écroulant la tête dans la couette en étouffant ces hurlements. Je me retire prestement après son orgasme violent et me branle en la regardant

— Assieds-toi là, ordonné-je, en pointant mes pieds du doigt.

Elle glisse en se retournant face à moi et me dévisage avec un air perplexe, ne sachant pas ce que j’attends d’elle.

— Regarde-moi, je vais jouir sur tes beaux petits seins, je vais te montrer à quel point je les aime.— C’est ça que tu veux ? dit-elle en rapprochant ses deux seins avec ces mains — Ho oui, comme ça, c’est bon !

Je me branle en tapant sur ses mamelons et jouis de longues traînées blanches maculant sa poitrine et ses doigts. Elle récolte tout mon amour qui coule le long de son corps et me regarde en léchant ses doigts, savourant chaque gouttes.

Après un bon bain bien mérité nous sortons de la chambre, ramassons nos habits éparpillés un peu partout et n’ayant guère le choix de porter autre chose nous nous rhabillons. Elle passe son ensemble rouge uni et met par dessus sa robe du même ton, descendant jusqu’en bas de ses genoux, puis attrape son sac. Elle en sort une enveloppe qu’elle me tend du bout des doigts, en m’invitant dans le canapé. Ses lèvres sont serrées et elle a du mal à lâcher cette lettre, qu’elle me cède une fois que je suis bien assis. Elle m’attrape la cuisse pendant que je l’ouvre et se colle à moi en passant son autre bras autour de moi.

La fin est programmée le trente et un, il faut encore attendre trois jours.
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