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Un mariage réussi

Chapitre 4

Orgie / Partouze
CHAPITRE 4 - DRÔLE DE BELLE FAMILLE !

Je descends du TGV sur le quai de la gare du Mans. J’empoigne mon sac de voyage impatiente de retrouver mon Jacques et en même temps perturbée par les circonstances de mon départ de Nice. Je n’ai cessé d’y penser tout au long du trajet. Qu’est-ce que Denis avait de me supplier de retarder mon voyage ? Pourquoi insistait-il tellement pour recueillir des renseignements sur ma belle-famille ? Pourquoi ai-je la désagréable impression qu’il ne m’a pas tout dit ? Cela a gâché les deux derniers jours et m’a empêché de jouir pleinement de Denis, de mon frère Raymond et ma sour Florence. Est-ce à cause de sa réticence manifeste que je n’ai pris avec moi que le strict minimum en vêtements, me donnant l’excuse de revenir à Nice pour compléter ma garde robe ? J’aperçois Jacques qui me fait des grands signes. Mes inquiétudes s’envolent, je me précipite dans ses bras et nous échangeons un baiser sous le regard amusé des voyageurs qui quittent la gare. Il me semble déceler de la réticence de la part de Jacques. Que lui arrive-t-il ? Ce n’est pas la première fois que nous nous embrassons en public ! Il m’entraîne tout de suite vers le parking sans me laisser le temps de prendre de ses nouvelles. J’en déduis qu’il attendra que nous soyons chez nous pour échanger ce qui nous est arrivé depuis notre séparation aux États-Unis. Il me guide vers une limousine imposante. — Mazette ! C’est notre voiture ? — Père me l’a prêtée pour venir te chercher. Un homme descend à notre approche. — Je te présente mon frère Joseph. Je tends la joue pour un baiser, n’est-il pas mon beau-frère ? Il n’en profite pas et me serre la main. Je suis surprise de la froideur du contact. J’aime à penser que mon frère aurait été plus enthousiaste en rencontrant mon mari. De plus son regard me déplait, un mélange de fourberie et de concupiscence qui me met mal à l’aise. Sa façon de me dévisager aussi, comme s’il voulait deviner mon corps sous mes vêtements. Enfin, ce n’est pas lui que j’ai épousé, je ne suis pas obligé de vivre avec. Pendant que Jacques range mon sac dans le coffre, Joseph ouvre la portière arrière et me fait signe de monter. — C’est vous le conducteur ? — Non, c’est mon frère. — Alors je préfère monter devant à ses cotés. Il fronce les sourcils, un éclair mauvais dans les yeux, ouvre la bouche, puis la referme. — Comme madame le désire ! Il ne s’écarte pas pour me laisser le passage, m’obligeant à me frotter contre lui. Je n’ai rien contre les hommages masculins ni les petits flirts entre adultes consentants, mais là, son regard moqueur me donne la chair de poule. Pourvu que ce ne soit pas une habitude ! Je prends la décision de limiter nos rencontres à l’avenir. J’espère que Jacques comprendra. Pendant le trajet, Joseph s’immisce en permanence dans notre conversation, nous empêchant d’échanger des confidences. Du coup, je laisse les deux frères discuter ensemble et m’abîme dans la contemplation du paysage. Nous traversons une région de bocage et d’élevage typique de l’Ouest de la France. De temps en temps le soleil illumine, entre deux nuages bas, la campagne, faisant scintiller des millions de gouttes sur les feuilles des arbres. Je suis loin de la chaude lumière de ma Côte d’Azur natale ! La voiture s’arrête sur le gravier devant un perron majestueux. Jacques me demande de descendre. — C’est ça notre maison ? je demande stupéfaite. Tu m’avais dit qu’on devait se contenter d’une petite villa ? — Tu es ici à la Châtaigneraie, la demeure de mes parents. Je te présente à eux. Il m’entraîne à l’intérieur. Je me retourne, Joseph a pris mon sac. — Que fait-il ? — Euh... L’auto va aller au garage, répond-il avec réticence. — Nous irons à pied chez nous ?
— Oui, c’est ça, me dit-il avec empressement. Dans le vaste vestibule d’entrée, la famille de Jacques nous attend en rang d’oignon. La caricature de la bonne société bourgeoise. D’abord le père, digne, sévère, sanglé dans un strict costume trois pièces. Puis la mère, en retrait, sans grâce, habillée d’une sorte de robe informe, grise comme ses cheveux. Ensuite Joseph, un sourire mauvais aux lèvres et enfin une jeune fille au regard triste de l’âge de Florence, vêtue comme la mère de Jacques. Celui-ci aurait-il une sour dont il ne m’aurait pas parlé ? Mon mari me tenant par la main fait les présentations. — Voici Sylvie ma charmante épouse. Puis se tournant vers moi annonce : — Je te présente mon père Julien Gouraud... (Le bonhomme incline légèrement la tête) ...ma mère Suzanne... (qui détourne le regard) ...mon frère Joseph que tu connais déjà... (Pourquoi crois-je deviner un sourire de triomphe sur les lèvres de celui-ci ?) ...et enfin Laure sa jeune épouse. Voilà ma famille. A ma stupéfaction Jacques va se placer à la suite de Laure me laissant seule à faire face. A ce moment le lourd vantail de l’entrée se referme derrière moi avec un bruit sinistre. Je frémis, l’image d’une porte de prison qui m’isole du monde extérieur s’impose à mon esprit. Je me secoue. Il ne faut pas laisser mon imagination s’emballer ! Une ombre fugace s’enfuit par une porte dérobée. Je regarde autour de moi, mon sac de voyage a disparu. Je veux en faire la remarque quand mon beau-père prend la parole. — Vous êtes maintenant chez vous, mademoiselle, pardon, madame. Je dois avouer que notre fils nous a surpris en nous annonçant qu’il s’était marié sans notre accord. Je ne veux pas savoir comment vous avez réussi... — Je vous assure que c’est votre fils qui a insisté pour que nous nous marrions aux États-Unis et... — Ne m’interrompez pas ! Ce qui est fait est fait, il n’y a pas à y revenir. Nous sommes votre famille à présent. Vous m’appellerez "Père" quand vous vous adresserez à moi, et vous direz "Mère" lorsque vous parlerez à mon épouse. J’espère que votre comportement futur effacera la mauvaise impression laissée par votre union à la sauvette. Je crois rêver ! Pour qui se prend-il le beau-père ? Je n’ai qu’un père, et il ne se comporte pas comme un tyran d’un autre âge. — Je pense qu’elle n’en prend pas le chemin, ricane Joseph. Je suis sûr qu’elle s’imagine pouvoir tout régenter. Déjà elle m’a interdit de monter à coté de mon frère pour le retour du Mans. — Est-ce vrai Jacques ? demande le patriarche. — Oui Père. — Et tu l’as laissé faire ? Jacques, mon Jacques, baisse la tête. Je réalise qu’il ne me défendra pas, qu’il me laisse seule à me dépatouiller, qu’il s’abaisse devant l’autorité paternelle. — Hé bien Sylvie, ça commence bien ! Une sérieuse mise au point s’impose. Vous allez apprendre à vos dépens à vous comporter comme une fille de la maison soumise. Sur un signe deux ombres se placent derrière moi et me maintiennent avec fermeté. Joseph sourit méchamment. — Préparez-là, continue Lucien je m’occuperai d’elle plus tard. Quant à toi, mon fils, poursuit-il pendant qu’on m’entraîne et que "Mère" et Laure me suivent, tu connais la punition que tu mérites ? — Oui Père, murmure-t-il au moment où je franchis la porte. Que va-t-il lui arriver ? Que va-t-il m’arriver, plutôt ? Je me fiche de son sort puisqu’il n’est pas capable de me défendre ! Nous débouchons dans une pièce sinistre. Un lit avec des montants en bois, une armoire, un lavabo, une douche sans rideau dans le coin et une armoire, c’est tout. Oh non ! Des anneaux au mur ! Pour m’attacher ? — Déshabille-toi ! ordonne Suzanne. Je regarde les deux costauds qui m’ont lâchée. Ne vont-ils pas s’en aller ? — Qu’est-ce que tu attends ? Tu veux que je leur demande de le faire ? Je frissonne de dégoût, m’imaginant sentir leurs grosses pattes sur ma peau. Je déboutonne le jeans qui tombe à mes pieds. Je l’enjambe et veux le plier sur le lit. — Lance-le moi, ordonne la mégère, ainsi que tous tes vêtements... Tout j’ai dis ! insiste-t-elle lorsque je m’arrête en soutien-gorge et petite culotte... Tu veux qu’on t’aide ? Je m’exécute, rouge de honte de m’exposer ainsi aux regards lubriques des deux domestiques. Laure me regarde avec tristesse. Je comprends qu’elle a du subir le même traitement lors de son arrivée. — Qu’est-ce que c’est que ces poils disgracieux ? déclare Suzanne devant le buisson qui voile mon sexe. Bon, on n’a pas le temps aujourd’hui, on verra ça plus tard... Attachez-la ! Les deux sbires me traînent contre le mur et lient mes mains aux anneaux. Ils en profitent pour passer leurs mains grasses sur mes seins, mes fesses, mes cuisses. Ils me tirent les poils pubiens. — Aïe ! — Pas de ça ! les gronde Suzanne. Le maître d’abord ! Un frémissement d’horreur me parcourt. ’D’abord’ ? Est-ce à dire que par la suite ?... La réponse à cette question ne se fait pas attendre. Suzanne demande aux deux domestiques de préparer Laure. — Elle doit être punie pour une faute commise ce matin, m’explique-t-elle. Regarde à quoi tu t’exposes si tu n’obéis pas. La pauvre Laure est placée à plat ventre sur le lit, un des sbires lui maintient les bras pendant que l’autre soulève la robe grise sur les hanches, découvrant un fessier adorable. La scène serait charmante dans un autre contexte, mais là ! Suzanne ouvre un tiroir et en sort une cravache. Vlan ! — Aïe ! crie Laure fermement maintenue à plat ventre. — Un... Deux... Trois... Quatre... Cinq ! énumère Suzanne en frappant sa belle fille qui hurle après chaque coup, suppliant que la punition cesse. Bon, je vous la laisse, ne l’abîmez pas sinon il vous en cuira. — Ce n’est pas notre intention, n’est-ce pas Simon ? ricane un des domestiques en déboutonnant sa braguette. Elle se plaindra pas je vous assure. Allez ! Toi ! Mets-toi en position ! A ma stupéfaction Laure grimpe à quatre pattes sur le lit, les reins toujours découverts. Le premier domestique astique une longue queue qu’il positionne entre les fesses de la jeune femme tandis que celui qui s’appelle Simon présente son sexe à sa bouche. — Aïïïïh !... Ouch ! gémit-elle quand d’un coup de rein l’homme s’enfonce dans son cul. Suzanne fronce les sourcils puis se détend lorsque Laure embouche la verge sans faire de manières. — Bien, je vois que vous vous êtes raisonnables et qu’il n’y aura pas de dommage... Bon, à nous deux maintenant, dit-elle en s’adressant à moi. Tu as vu ce qui advient aux filles désobéissantes. Si tu ne subis pas aujourd’hui le même sort ce que tu mériterais pour avoir interrompu mon époux et mal répondu à mon fils, c’est uniquement parce que c’est ton premier jour et que mon mari veut avoir au préalable une franche discussion avec toi. Mais pour te faire comprendre qui sont les maîtres dans cette maison qui sera désormais la tienne, je vais te cingler de trois coups de cravache. Je te préviens que ton attitude pendant cette courte punition déterminera en partie la manière dont tu seras plus tard traitée. Compris ! Je ne vais pas te donner le plaisir de m’entendre te supplier. Je me prépare mentalement à la douleur. — Aïimmh ! Je ne peux m’empêcher de gémir sous le premier coup. Ça fait atrocement mal ! Je serre les dents. — Mmh ! (Deux) ... Mmh ! (Trois !)Ouf ! C’est fini ! Pour cette fois... Car je devine que ce n’est que partie remise, et que cette mégère trouvera toujours un prétexte pour assouvir ses penchants sadiques. L’envie me vient de la défier du regard, lui montrer combien je la méprise. Non, c’est un mauvais calcul, je gagnerai plus en faisant profil bas. Au moins pour l’instant. — Tu as du caractère toi ! J’aime ça ! dit-elle en me détachant pendant que sur le lit les deux hommes permutent, le dénommé Simon enculant Laure et l’autre se faisant tailler une pipe. — Douche-toi ! Elle me pousse dans le coin toilette. Je m’asperge d’abondance. — Arrête l’eau ! Suzanne enduit ses mains de savon liquide et me frictionne le corps. — Ecarte les jambes ! Elle fouille mon intimité, mes intimités dois-je dire. — Mon mari a horreur de la saleté. Tout doit être parfaitement nettoyé, explique-t-elle en enfonçant son doigt enduit de savon. Hum ! Je constate que Jacques est passé par-là, Julien sera déçu. C’était à prévoir. En d’autre circonstance j’aurai apprécié la caresse mais là, dans cette pièce lugubre, je n’ai pas l’esprit à la gaudriole. Les deux individus ont lâché Laure qui sanglote à plat ventre. Ils me dévisagent d’un air goguenard pendant que je me rince. Je devine qu’ils anticipent le plaisir qu’ils prendront avec moi lorsque à mon tour je serai punie. Suzanne me lance une serviette éponge. — Essuie-toi !... A ton tour de passer sous la douche, interpelle-t-elle Laure. La pauvre fille sans un mot ôte son triste vêtement. Elle est nue dessous. Quel joli corps ! Aussi joli que celui de ma sour Florence. Malgré moi je frissonne. Qu’elle doit être douce à caresser ! Je dois me retenir de ne pas effleurer du doigt les traces rouges qui zèbrent ses fesses quand elle me frôle sur le chemin de la douche. Suzanne prépare sur le lit une autre robe grise et une paire de savate. — C’est pour toi, me dit-elle... enfile ça... oui, sans rien dessous, comme Laure ! Que faire d’autre qu’obéir ? — Sortez vous autres ! ordonne-t-elle aux deux domestiques qui s’empressent d’obtempérer... Toi continue-t-elle à l’adresse de Laure prostrée sous la douche, tu videras la machine à laver avant d’aller dans ta chambre... As-tu compris ? — Oui... Mère. — Et ne traîne pas ! — Oui... Mère. Nous sortons de la pièce. Suzanne m’entraîne à l’étage jusqu’à une porte en chêne. — Je te laisse. Tu as intérêt à être gentille, très gentille. Elle me pousse dans une chambre. Après la préparation que j’ai subie, je n’ai pas besoin de dessin pour comprendre en quoi je dois être gentille ! Dire qu’il n’y a qu’un peu plus d’une heure que j’ai débarqué dans cette sinistre demeure ! J’ai l’impression que cela fait une éternité. Oh ! Jacques, Jacques, pourquoi m’as-tu entraînée ici ?
La porte se referme derrière moi. La chambre où je pénètre est triste comme le reste de la maison. Aucune originalité, aucune âme dans ce décor austère. Mon beau-père m’attend, debout, rigide, sévère, dans une robe de chambre qui le drape comme un empereur romain. A ses cotés, lui aussi en robe de chambre, Jacques mon époux. Puis-je le désigner ainsi ? Lui qui m’a abandonné entre les mains de sa mère. Il détourne le regard quand je le fusille des yeux. — Laisse-nous mon fils, ordonne le patriarche. J’espère que la punition que tu m’as forcé de t’infliger sera profitable. — Oui Père. — Je ne souhaite que ton bien, tu sais. — Oui Père. — Malgré tes défauts, tu restes mon fils. Va Jacques, va dans ta chambre. Ta femme t’y rejoindra. Jacques, la tête baissée passe à coté de moi. Il a pleuré, c’est visible. Il évite les doigts que je tends. Il sort de la pièce sans un geste de réconfort, sans un regard, un signe, rien ! Quelle emprise son père exerce sur lui pour changer l’adorable garçon avec qui j’ai passé des moments si agréable en cet être indifférent ? — Approche !... Ne me regarde pas avec cet air effronté ! Apprends que tu dois toujours avoir les yeux baissés en signe de déférence quand je te parle... Ah ! On fait la forte tête ! poursuit-il comme je tarde à obéir. On verra qui de nous deux aura le dernier mot ! Ne me pousse pas à bout. Je suis déjà très en colère contre toi d’avoir par ta faute puni sévèrement mon fils adoré. Il est évident que tout retombe sur moi ! Son fils n’a pu tout seul bafouer les traditions familiales ! Le pauvre chéri, l’innocence même, qu’une débauchée a détourné du devoir ! Qui m’a courtisée, suppliée, à la limite du harcèlement jusqu’à ce que je lui cède hein ? Qui a insisté pour qu’on se marie sur le campus, me privant de la fête dont je rêvais ? Je t’en ferai des innocents ! Je me tiens face à lui regardant mes pieds, remâchant ma rancour. Cause toujours mon bonhomme. Pour l’instant je suis à ta merci. Tu veux que je sois soumise ? A ta guise ! J’obéirai à tes moindres désirs. Je sais que cela ne t’empêchera pas de me violer tout à l’heure, ni plus tard, ni de m’infliger ou me faire infliger une punition comme en a reçu Laure, mais profites-en vite. Attends que je prévienne Denis et on verra si tu fais encore le fier ! — Tourne-toi... Lève ta robe ! Je prends les pans et les soulève, haut, suffisamment pour qu’il admire mes fesses. Je me dandine d’une jambe sur l’autre, accentuant le déhanchement. — Euh... C’est bon, l’autre coté ! Il est rouge pivoine. Mon cul lui a fait de l’effet. Je soulève devant. — Oh ! Qu’est-ce à dire ! Suzanne sera punie d’avoir permis que tu te présentes devant moi avec ces poils obscènes ! Tourne-toi, je ne veux pas voir ça ! Je me tourne. Je sens que je vais faire le deuil de ma toison. Je l’aime bien pourtant, mais je devine qu’il est inutile d’élever une protestation. — Mets-toi à plat ventre sur le lit... Soulève ta robe... plus haut. — Vous ne voudriez pas que je l’ôte, Père ? — Espèce de débauchée ! Ça te plairait hein, de t’exhiber, femme de peu de vertu ! J’ai loupé une occasion de me taire. Il faudra que je me surveille à l’avenir. — Pour te punir, je vais te prendre sur-le-champ... Écarte les cuisses ! Ah bon ? Il n’en avait pas l’intention avant ? Mon oil ! Quelle excuse aurait-il trouvé si je ne lui avais pas fourni un prétexte ? Placée comme je suis, sur le bord du lit, les jambes pendantes je dois lui offrir une vue imprenable sur ma rondelle et mon sexe. Il faut vite que je pense à des choses agréables pour que ma chatte s’humecte avant l’introduction, car jusqu’à maintenant elle est plutôt sèche ! J’essaye de me souvenir des moments délicieux passés avec Jacques... Ça ne suffit pas. Le bonhomme s’avance dans mon dos. Une douceur remonte le long de mes cuisses. Une queue, même celle d’un salaud reste d’un contact agréable. Ah ! Si Denis était à la place de mon beau-père... Ouf ! Je mouille ! L’évocation des jours heureux à Nice est un puissant aphrodisiaque. Le gland peine à trouver le bon passage. Je suis obligé de remuer discrètement les hanches pour qu’il se positionne. Attention ! Surtout qu’il ne s’en rende pas compte, sinon je serai bonne pour une autre punition. Ça y est, il pénètre... Un centimètre... deux. J’entends dans mon dos soupirer. Un coup de rein et il s’enfonce jusqu’à la garde. Je devine que je dois me manifester. — Ouch ! Aaah ! Que... que faites-vous ? — Tu ne t’attendais pas à ça hein !... (Tu parles !) ...Ça t’apprendra ! — S’il vous plaît... laissez-moi... Je vous promets que je ne le ferai plus. — Fallait y penser auparavant ! Tu mérites ce châtiment ! Il commence à limer. Il a une petite queue, plus petite que celle de son fils. C’est agréable sans plus. Je réfléchis à toute allure. Comment dois-je me comporter ? Pleurer parce que je me fais violer ou au contraire gueuler de plaisir, lui faisant croire que je succombe à sa science ? Ni l’un ni l’autre. Je décide de jouer la femme vertueuse qui reçoit l’étreinte comme une punition et qui est tout étonnée d’éprouver un plaisir qu’elle s’efforce en vain de cacher. Derrière moi je l’entends ahaner. Je commence à pousser des petits couinements et à remuer le bassin. Cela le dope. Il prend son pied le beau-père ! Ses coups de queue s’amplifient. Ils pénètrent presque à fond, mais leur régularité est lassante. Il éructe des Han !... Han !... Han !... Han ! Auxquels je réponds par de timides hi... hi... hi...Enfin il accélère. — Aah !... Aaah !... Aaaah !... Aaaaah ! Ça y est ! Il part ! Je sens les jets de sperme gicler. Ce n’est pas très abondant peut-être, mais suffisant pour m’engrosser car ce salaud n’a pas enfilé de capote. Sait-il que ça existe ? Heureusement que j’ai fait poser avant mon départ des States, un implant contraceptif dont l’efficacité doit durer encore un bon mois. D’ici là j’espère bien m’être sortie d’affaire. Beau-Papa repose sur mon dos. Il souffle comme un phoque et peine à retrouver une respiration normale. Il m’écrase. Moi aussi j’ai de la difficulté à respirer. J’entends la porte s’ouvrir. — Alors père ? Tout se passe-t-il comme vous le désirez ? N’a-t-elle pas fait trop d’histoires ? Joseph ! Je pâlis, lui sera plus difficile à duper. Julien se relève. Je sens sa queue glisser hors de mon vagin le long de la cuisse. — Oui mon fils, Sylvie a compris qu’il ne servait à rien de faire la forte tête. Il s’assied sur le lit et flatte mes fesses. Je tremble. J’ai conscience du spectacle que mes jambes écartées offrent à Joseph mais je n’ose pas bouger. — J’espère ma fille, parce que tu es ma fille maintenant... (Ah ? Il fallait que tu me baises pour le devenir ? ) ...que tu sauras te comporter décemment... (Allusion à ma réflexion de tout à l’heure ?) ...en obéissant sans discuter, à moi en premier, à mon fils Joseph... (Aïe ! Aïe ! Aïe ! S’il s’en mêle celui-la ça va être ma fête ! ) ...à ton mari, à tous les éléments mâles de la maison et à ma femme (Quel machisme ! Je n’en reviens pas ! Faire passer les domestiques avant son épouse ! ). Sinon, continue-t-il, je me verrai forcé à mon grand regret de te châtier une nouvelle fois. « A mon grand regret » ! Tu parles d’un hypocrite ! Je suis sûre qu’il cherche déjà un nouveau prétexte pour renouveler la punition. Rentrons dans son jeu. — Oui Père, je ferai ce que vous désirez et j’espère remplir mes devoirs à votre satisfaction. — C’est très bien ma fille. Reste dans ces bonnes dispositions. Tu peux rejoindre ton mari. — S’il vous plaît Père ! intervient Joseph. J’ai moi aussi à me plaindre de son comportement dans la voiture, j’aimerai la punir à mon tour. Ça y est ! Ce que je redoutais arrive. Il va me falloir serrer les dents car je devine que le Joseph sera moins doux que son père. — En effet, tu as raison, mais ne soit pas trop sévère avec elle. La correction doit être proportionnée à la faute qu’elle a commise et qui n’est pas bien grave. — Quand même ! M’empêcher de parler avec Jacques ! — Sois indulgent mon fils, montre ta générosité. — Je vous promets d’en tenir compte. — C’est bien, je vous laisse. Quand vous aurez fini, tu la conduiras chez ton frère qui doit être impatient de la retrouver. — Je ferai comme vous me l’ordonnez Père. J’entends la porte de refermer. Je veux me relever. Une claque sur les fesses m’en dissuade. — Reste comme tu es, tu es trop bandante. Je tourne un peu la tête, Joseph déboucle sa ceinture. — On va bien s’amuser tous les deux. Toi peut-être mais moi sûrement pas ! Je t’ai deviné mon salaud ! Tu es un sadique de la pire espèce. Pas comme ton père qui reste touchant dans sa croyance en la vertu éducatrice des châtiments sexuels. Tu ressembles plutôt à ta mère dont les yeux brillaient en cravachant Laure. — Aouuuuhh ! Le salaud ! M’enculer à sec sans préparation ! Il avait pourtant le sperme de son père que je sens dégouliner de ma chatte pour lubrifier ! Qu’est-ce que cela aurait été s’il n’avait pas promis de me ménager ! — Crie plus fort ! Ça m’excite ! La douleur est insupportable. Je mords dans la couverture. J’ai envie de hurler, de l’insulter, mais je sais qu’il n’attend que cela. Je résiste de toutes mes forces, ne laissant échapper qu’un faible gémissement. — Mmmmh ! — Voyez... cette salope qui... Han !... qui jouit quand... je l’encule ! triomphe-t-il en se leurrant sur la signification de mon soupir. Mon frère... est un chanceux... Il a dégotté pour... pour moi une... une vraie cochonne... Aah !... Je sens que... nos... futurs rapports... seront fructueux. A force, les sécrétions internes de mon intestin enveloppent sa verge. Les pénétrations sont moins pénibles. Il s’en aperçoit, le jeu ne l’amuse plus. Il se retire. — Tourne-toi !... Mets-toi à genoux !... Suce ! ordonne-t-il en présentant sa queue maculée à mes lèvres. Nettoie-la correctement avant que j’emplisse ton gosier de grosse cochonne de mon foutre. Ce n’est pas le moment de faire la fine bouche ! Je maîtrise avec peine un haut le cour en déglutissant ma salive souillée... Ouf ! Je termine la toilette et je peux me consacrer à ma pipe. Il a une belle queue le Joseph ! Longue, bon diamètre, bien dure. Comme celle de Jacques mais la ressemblance entre les deux frères s’arrête là ! La pine est splendide, mais ce qu’il y a derrière est beaucoup moins réjouissant. Quel dommage ! Ça devrait être un plaisir de sucer un tel engin. Oh ! Mais j’y pense ! Il m’a traité de salope n’est-ce pas ? Je vais lui montrer ce que savent faire les salopes ! Il s’en souviendra longtemps de cette pipe ! J’alterne les lèches sur la tige avec les suçons sur le gland dont j’excite le méat du bout de la langue, pendant que ma main soupèse les couilles et fait rouler les testicules dans leur sac fragile. — Aaah !... Ouiii !... Ooooh !... Aaaah ! Le Joseph ne sait plus comment se mettre pour profiter au maximum des sensations que je provoque. — Aaaah !... Je vais juter... Ouiii ! Pas encore mon coco, tu n’as pas mesuré l’étendu de mon savoir. Je presse la base du sexe interrompant la montée de la sève tout en maintenant l’excitation par des petits coups de langue sur le sommet. — Aah ! La salope !... Aaaah !... Que c’est bon !... J’aspire le gland et le retire tout en mordillant la chair. — Oooh !... Ouiii !... Aaaah !... C’est trop !... Je lui ai donné le coup de grâce ! Il faut en finir. Je fais entrer et sortir sa queue de ma bouche et je complète par une masturbation de la tige. — Aaaah !... Ouiiii !... Aarrgghh ! Le sperme gicle en abondance. J’étais préparée et arrive à déglutir sans en perdre une goutte. La verge se dégonfle, ramollit, un dernier coup de langue et je la repose sur la cuisse. Joseph reste immobile les yeux fermés. Je suis fière de moi, je lui en ai bouché un coin ! Dorénavant, je suis sûre qu’il préfèrera une bonne pipe à mes deux autres orifices. — Aah ! Tu es vraiment une salope ! parvient-il à dire. Je ne te savais pas aussi salope, car il n’y a qu’une salope qui puisse sucer et avaler comme tu l’as fait ! Tu te répètes mon gars ! On le saura pour qui tu me prends ! — Faudra que tu instruises Laure qui refuse de sucer. Preuve que ça t’a plu ! Je me redresse. Il fait de même et rajuste slip et pantalon. — Joseph s’il vous plait, je... — Monsieur Joseph ! — Pardon, monsieur Joseph, pouvez-vous me conduire auprès de mon mari ? — Parce que tu crois que j’en ai fini avec toi ? — Que voulez-vous que je fasse ? Ma soumission de façade le désarme. — Euh... Bon, pour aujourd’hui c’est suffisant. Père m’a convaincu d’être indulgent la première fois, et puis, il est temps que ton mari profite de toi, ricane-t-il. Il me conduit vers la chambre de Jacques tout en patouillant mes fesses sous la robe grise. Il ouvre la porte. Jacques est couché. — Tiens ! lance Joseph. Voilà ta femme, nous te la rendons... pour ce soir. C’est une bonne petite baiseuse, je te félicite de ton choix. Elle agrémentera bien nos soirées qui sombraient dans la monotonie, ajoute-t-il en fermant la porte. Nous restons face à face, Jacques et moi. Il est toujours sous les couvertures et me dévisage d’un air de chien battu. Cela me met en colère. Qui doit se plaindre ici hein ? Lui ou moi ? Puis je me souviens que lui aussi a été corrigé par son père. Quelle sorte de correction ? Semblable à la mienne ? — Tu ne veux pas venir me rejoindre ? me prie-t-il en ouvrant la couverture. — Oh Jacques ! Qu’est-ce que tu m’as fais ? — Moi ? — Oui, toi ! M’abandonner aux mains de sadiques... — S’il te plait, ce sont mes parents. — Ça ne les excuse pas ! — Tu sais, ce n’est pas parce que je suis leur fils que j’y échappe, regarde. Il me montre ses fesses zébrées de traces rouges. Le pauvre, il a souffert lui aussi. Un élan de compassion me pousse à le consoler mais je me reprends. Comment a-t-il pu accepter que son père et surtout son frère me violent ? Je regarde mieux le cul qu’il expose. L’anus n’est pas rouge. Il ne s’est pas fait enculer lui... — Je t’en veux... — Pardonne-moi ma chérie. — Je t’en ferai des « ma chérie ! ». Tu crois que c’est agréable de se faire cravacher sans raison par sa belle-mère, baisée de force par son beau-père et enculée par son beau-frère ? — Oh ! Le salaud ! Il a osé ! — Qui ton père ? — Non Joseph ! Il ne devait pas. — Parce que ton père et ta mère eux en ont le droit ? Il bafouille. Je comprends que dans cette maison, jamais Jacques ne se dressera face à ses parents même pour défendre ses droits les plus élémentaires. Il reporte sa colère contre son frère aîné. — Il n’avait pas le droit ! — Il l’a pris ! Qu’est-ce que tu vas faire ? Le lui reprocher en face ? Ton père a été très clair à ce sujet. Je dois, m’a-t-il expliqué, complète obéissance, à lui en premier, ton frère ensuite, toi en dernier. Alors que diras-tu à ton frère ? J’escamote l’allusion aux prérogatives des domestiques mâles et de ma belle-mère. Jacques baisse les yeux. Ce n’est pas de son coté que je trouverai du secours. — Tu me dégoûtes ! Je croyais avoir épousé un homme, je découvre une chiffe molle, sans volonté... — Tais-toi ! — ...Qui se laisse manipuler par... — Veux-tu te taire ! — ...Ses parents et par son frère. — Ferme-la à la fin ! — Tu ne me fais pas peur, toi ! Il se lève d’un bond, m’empoigne par les épaules et me secoue. Nous nous battons comme des chiffonniers. Il veut m’entraîner sur le lit, je résiste. — Tu viens tout juste de déclarer que tu me dois obéissance, ne l’oublie pas ! me dit-il en colère. Sinon, je me plaindrai ! — Chiche ! A ton père ? Je recevrai sûrement une bonne correction, mais toi ? Tu crois que je serai la seule punie ? Tu t’imagines qu’il sera satisfait du comportement de son fils incapable de se faire respecter par sa femme ? Il tombe à genoux. — Pardonne-moi, pardonne-moi, gémit-il en serrant mes cuisses dans ses bras et appuyant la joue contre mon ventre. Je ne sais pas où j’en suis... Je regrette... oui je regrette de t’avoir fait venir. Malgré mon ressentiment, il me fait de la peine. J’entortille les doigts dans ses boucles. Je soupire. Je lui en veux mais le désir est plus fort. J’ai envie, j’ai besoin qu’il m’embrasse, me caresse me fasse l’amour pour effacer le viol de son père et de son frère. Je le soulève et m’empare de ses lèvres. — Ma chérie... Mmmh ! Nouveau baiser. Je le pousse sur le lit où nous nous écroulons. Il arrache ma triste robe grise. Je suis heureuse de sentir son épiderme contre ma peau. Je le tourne sur le dos et m’empale sur son dard vigoureux. — Aaah ! Plus rien ne compte que notre désir commun, notre impatience à jouir l’un dans l’autre. Profitant d’un instant où je reprends mon souffle, il me fait basculer. Oh que je l’aime ce vaurien ! Ce petit enfant à sa mémère, si fragile et pourtant en cet instant si dominateur ! Il me comble de ses pénétrations variées. Qu’il sait bien me satisfaire ! Comment Julien a pu engendrer un tel fils si doué pour me faire jouir ? La pièce s’emplit de nos gémissements de plaisir. — Oooooh ! La jouissance éclate en moi sans prévenir. Que c’est bon après les étreintes forcées ! Jacques semble infatigable. Il sait qu’il a beaucoup à se faire pardonner et s’y emploie. Il me place à quatre pattes et me prend en levrette. Je veux regimber, cela me rappelle son père. — Tu n’aimes plus ? supplie-t-il. Si j’aime ! Il sait mieux que quiconque dans cette position, exciter mon clitoris et caresser mes seins sensibles. Je me laisse emporter par un nouvel orgasme suivi d’un autre puis d’un dernier lorsque mon mari à bout de résistance déverse sa semence dans mon vagin. Nous restons un bon moment liés l’un à l’autre. Dans mon dos la respiration se fait régulière. Dort-il ? — Jacques... — Oui ma chérie ? — Dis tout à l’heure que voulait dire ton frère en déclarant qu’il me rendait à toi pour ce soir ? — Euh... Je quitte ses bras et me retourne vers lui appuyée sur un coude. — Qu’est-ce que tu me caches encore ? Nous ferons chambre à part ? — Euh... je crois... euh... Il est prévu que tu partages la chambre de Laure. — Oh ! Et tu acceptes ? — Euh... — Et nous ne sacrifierons au devoir conjugal que lorsque ton père et ta mère le décideront ? — Euh... Là, il m’a mis en colère. Un coup d’oil circulaire à la pièce faiblement éclairée par la lune, pas de fauteuil ni de canapé où je pourrai me reposer. Je rampe sur le drap pour m’éloigner au maximum. Je ne veux plus qu’il me touche... au moins ce soir. Il tente de me suivre. — Pas question ! Tu attendras que tes parents te donnent la permission ! D’ici là ceinture ! Un éclair dans son regard. Va-t-il me forcer ? Non, il soupire et retourne dans son coin. Qu’aurais-je fait s’il avait insisté ? Je l’ignore. Nous n’échangeons plus une parole.
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