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Un mariage réussi

Chapitre 17

Orgie / Partouze
CHAPITRE 17 - LA JEUNE GOUVERNANTE

Josette me prend à part. — Je crois que j’ai trouvé ce qu’il vous faut... Oui, pour la gouvernante de monsieur le Président, explique-t-elle devant mon air interrogateur. — Ah oui ! Je vous remercie. Qui est cette personne ? — Une jeune cousine qui n’a pas réussi dans ses études. Elle est actuellement au chômage. — Sait-elle tenir une maison ? — Oui, depuis son enfance elle seconde sa mère pour le ménage. — Bon, j’en parle au Président. S’il est d’accord, vous convoquerez votre cousine pour un essai... Pardon j’oubliais, quel âge a-t-elle ? — Elle vient de fêter ses dix-huit ans. C’est trop jeune ? — Non, je ne pense pas.
Curieusement Julien est réticent. Il hésite : — Je ne sais pas si je saurais me débrouiller avec une jeunette. — Vous préfèreriez une quinquagénaire ? — Faut pas exagérer quand même ! Mais dix-huit ans ! A peine sortie de l’enfance. Que sait-elle de la vie ? — Vous savez, pour faire le ménage et la cuisine, il n’est pas nécessaire d’avoir beaucoup de diplômes. Si vous voulez, je peux me renseigner. Que craignez-vous ? Qu’elle soit vierge ? — Oh Sylvie ! — Laure n’était pas plus âgée et toute innocente quand elle est venue s’installer. Ça ne vous a pas empêché de la dépuceler. Vous auriez peur maintenant ? — Euh... Les circonstances étaient différentes. L’ambiance à la maison... Suzanne... — Vous aviez tellement peur d’un refus que vous préfériez baiser sous la contrainte ? — Ce n’est pas gentil de me parler ainsi... Euh... Vous ne pourriez pas venir quelques jours à la Châtaigneraie, Jacques et toi ?... Le temps de la mise en route ? — Vous voudriez que mon mari se charge de l’éducation de la nouvelle bonne ? — Non, non, je ne t’imposerai pas ce sacrifice (Pardi, il veut se la taper en premier la jeunette !). Si toi tu pouvais m’aider...
— Moi ? — Oui, tu pourrais la mettre en confiance. L’amener à m’accepter... — Et tenir la chandelle... Excusez-moi, ce n’est pas de bon goût. Oui, je vous aiderai. — Oh merci ! Il est touchant de timidité. Où est le tyran familial, le seigneur et maître qui exerçait son droit de cuissage ? Je m’apprête à sortir du bureau. — Euh... Tu ne m’embrasses pas ? — Vous croyez que vous le méritez ? — S’il te plait... Avec un sourire je tends les lèvres. Comme à l’accoutumé, de me tenir dans ses bras lui fait perdre sa réserve. Il me trousse avec des mouvements désordonnés. Je ne suis pas insensible à sa hâte. Nous atterrissons sur le canapé où il m’embroche d’un coup de queue énergique. Il me besogne à cadence soutenue. Il ne va pas résister longtemps à ce rythme ! Je passe rapidement en mémoire les dernières péripéties avec Michael, Simon, le docteur, Denis, pour activer ma libido. Ouf ! C’est juste mais j’y arrive. Le frisson de l’orgasme se déclenche en même temps que s’ouvrent les vannes de son plaisir. — Ce n’est pas en vous comportant ainsi que vous vous attacherez une jeunesse de dix-huit ans, dis-je en revenant du cabinet de toilette. — Ce... ce n’était pas bien ? Tu n’as pas aimé ? — Là n’est pas la question. Vous allez trop vite, vous manquez de romantisme, ingrédient indispensable pour séduire une jeune fille. — Tu as promis de m’aider... Tu me guideras ? Je veux m’écrier mais j’arrête le reproche sur mes lèvres : il est sincère. Inutile de lui faire de la peine. Avec Josette, nous convenons du week-end prochain pour un essai.
Le soir j’annonce à Jacques que nous irons à la Châtaigneraie dès vendredi soir. Je le fais rire en lui racontant que Julien a besoin de mes services pour inaugurer la nouvelle bonne. — Je lui ai bien proposé que tu le remplaces, mais il n’a pas voulu. — Oh ! Tu as osé ? — Avoue que ça ne t’aurait pas déplu. Au lieu de répondre il m’embrasse. Hé, hé ! Mon petit Jacques se mettrait à regarder les autres femmes ? Je ne suis pas jalouse. Je me suis bien octroyé le droit de découcher, pourquoi pas lui ?
C’est la première fois que je reviens à la Châtaigneraie. Je ne peux réprimer un frisson de dégoût en franchissant la porte. — Bienvenue en cette demeure, annonce Simon qui m’invite à entrer. Julien nous reçoit au salon. Lui non plus n’est pas à l’aise. L’ombre de Suzanne et de Joseph rôde encore en ces lieux. Sa gêne s’accroît quand Simon nous abandonne : — Il va rejoindre une jeune veuve en ville, me confie-t-il. Pendant le repas il me lance des regards énamourés que je fais semblant d’ignorer. Jacques me surprend en déclarant qu’il doit faire une course urgente. Profitant de son absence, Julien me serre dans ses bras. — Ah Sylvie ! Ta présence en ces murs, me rend ma jeunesse. — Oh Père ! Et mon mari ? — Il ne reviendra que dans un moment. Il tente de m’embrasser tandis que sa main remonte le long de ma cuisse. Ils se sont mis d’accord ! Jacques laisse le champ libre à son père ! Non ! Ils ne m’auront pas ainsi ! Malgré le désir contagieux de mon beau-père, je résiste. Si je dois lui céder, et cela arrivera fatalement dans cette maison, que ce ne soit pas en cachette de mon mari. Qu’ils prennent leurs responsabilités le père et le fils !
Quand Jacques revient, la mine déconfite de Julien le renseigne. Nous écourtons la soirée et nous enfermons dans notre chambre. — Je croyais que tu appréciais Père, me reproche-t-il. Pourquoi tu le repousses ? Je fais mine de m’étonner. — Oh Jacques ! Tu... tu as fais exprès de sortir ? — Euh... — Oh ! C’est pour me mettre dans le lit de ton père que tu insistes pour s’installer chez lui ? — Euh... C’est aussi ma maison... Puis, ajoute-t-il d’un ton rogue, pourquoi tu lui refuses chez lui ce que tu acceptes à l’usine ? Inutile de nier, je sais que vous vous envoyez en l’air dans son bureau. — Et alors ? Ça t’autorise à disposer de moi ? Il reste coi ne sachant que dire. — Je ne suis pas contre une étreinte avec ton père en ces lieux, malgré les précédents désagréables, mais j’exige... oui j’exige, insiste-je devant son froncement de sourcil, en raison de ces précédents justement, que tu ne me quittes pas dans ces moments... au moins les premières fois. — Tu veux que je tienne la chandelle ? — Qui te parle de ça ? Non, je veux que vous m’aimiez tous les deux. — Comme avec ton père et... — Et Michael ? Oui. Cela le fait réfléchir. Je me fais câline. — Tu veux bien mon chéri ? — Ah ! Je ne sais rien te refuser. — Oh ! Le voyou ! Il se fait prier maintenant ! Je me jette sur lui et le déshabille. Notre bataille amoureuse dure longtemps... Nous sommes essoufflés quand elle se termine sur deux orgasmes simultanés.
— Dis ? m’interroge-t-il dès qu’il a repris sa respiration. Que comptes-tu faire avec la nouvelle bonne une fois que Père en aura fini avec elle ? — Tu te mets sur les rangs ? — Euh... — Note, je comprends, tu réclames une compensation, n’est-ce pas ? — Euh... — Sois tranquille je ne t’en empêcherai pas... si elle est d’accord bien entendu. — Bien entendu...
Le lendemain matin samedi, nous recevons Josette qui nous présente Marianne, jolie brunette pas très grande mais bien proportionnée avec une poitrine qui attire les yeux des trois hommes présents dans la maison. En nous quittant la secrétaire prodigue ses dernières recommandations à sa cousine. — Fais ton possible pour être agréable à ton nouveau patron, tes nouveaux patrons, précise-t-elle en désignant Jacques. J’attends de toi que tu leur donnes satisfaction en tous points. Tu obéiras à tout ce qu’ils exigeront, n’est-ce pas ? Je ne veux pas que monsieur Julien se plaigne parce que tu te seras comportée en gamine capricieuse. Est-ce que Josette se rend compte de ce qu’elle demande ? "Tout ce qu’ils exigeront" ! C’est une absolution en bonne et due forme ! — Non, cousine, je ferai attention. Monsieur Julien et monsieur... euh... Jacques n’auront pas à se plaindre de moi. — Restez dans ces bonnes dispositions mademoiselle et tout ira bien, déclare mon beau-père en flattant les cheveux bruns. Vous pouvez partir sans crainte Josette, votre cousine est entre de bonnes mains... Marianne, poursuit-il lorsque la porte se referme sur la secrétaire, vous allez suivre Simon qui va vous conduire à votre chambre et vous montrer en quoi consistera votre travail dans cette maison. Nous nous reverrons au moment du repas. Au cours de la matinée je fais plusieurs détours par la cuisine. Marianne et Simon semblent faire bon ménage. A un moment il passe la main sur les fesses de la donzelle ce qui la fait glousser. Elle n’est pas farouche, tant mieux.
Elle fait le service à table. Ce n’est pas parfait mais avec l’expérience elle donnera satisfaction... en ce qui concerne cette facette de son travail. Julien me regarde avec insistance. Il lui tarde de contrôler si les recommandations de Josette seront écoutées et si les bonnes résolutions de Marianne ne resteront pas lettre morte. — Quand elle aura fini la vaisselle, je l’emmène dans ma chambre. Laissez-moi une demi-heure avant de nous rejoindre. Je pense que cela sera suffisant. — Merci Sylvie, je vous revaudrai ça. — Tiens-toi prêt également mon chéri. Cela fait froncer les sourcils à Julien. Je soutiens son regard désapprobateur. — Oui, Père, lui aussi y a droit... Sinon je ne fais rien. Il détourne les yeux sans rien dire.
Je vais chercher Marianne à la cuisine et l’entraîne dans la chambre. Elle est intimidée. Je m’assieds sur le lit et l’invite à venir à coté de moi. Elle tire sur sa jupe qui cache à peine le haut des cuisses. — Alors, Marianne, satisfaite de votre demi-journée ? — Oui madame. — Vous vous entendez bien avec Simon ? — Oui madame. — Il ne vous importune pas ? Elle étouffe un petit rire. — Oh non madame ! Je m’amuse à dessiner du bout du doigt sur sa cuisse qui se couvre de chair de poule. — Racontez-moi, vous avez un petit ami ? — Oh non madame ! — Vous savez, il n’y aurait aucun mal à ça. — Je vous assure, je n’ai pas de petit ami... Euh... pas encore. Mes doigts arrivent à la lisière de la jupe. — Pas de copains qui vous ont embrassée ? — Non... Euh... Pas des garçons... — Des copines alors ? — Euh... Ma main a disparu sous le tissu. Elle fait semblant de ne pas s’en rendre compte mais ne peut s’empêcher d’écarter légèrement les cuisses. — Comment font-elles ? Comme ça ? Je prends ses lèvres. Ma langue s’insinue dans la bouche qui l’accueille. Ce n’est pas son premier baiser ! — Aaah ! — Elles vous caressent vos copines ? Je déboutonne le corsage. Ce n’est pas facile d’une main, l’autre restant prisonnière contre la culotte de coton. Marianne hésite puis vient à mon aide. Je dépose un baiser sur les rondeurs à la limite de la dentelle. — Aah !
Je récupère mes deux mains. La demoiselle soupire. J’ôte le chemisier et dégrafe le soutien-gorge. Elle a une poitrine magnifique cette fille ! Des seins bien ronds, bien fermes avec des aréoles roses. Je les soupèse de mes paumes en coupelle. Qu’ils sont tendres ! Les tétins se fripent, je m’amuse à les triturer entre les doigts. — Aaah ! — Placez-vous entre mes jambes. Elle descend du lit et se tient, droite devant moi. Sa poitrine frémit mais ne ballotte pas. — Elles font comme ça vos copines ? Je les suce les bouts l’un après l’autre. — Aaah ! J’ouvre la fermeture de la jupe qui glisse au sol. Elle ne fait aucun mouvement pour la retenir. Tout en continuant de lécher ses seins, je fais descendre la culotte sur les fesses. Marianne soupire. Elle pose la main sur mes cheveux et les caresse timidement. Je la fais reculer d’un pas. Elle enjambe la jupe. Je m’agenouille, fais descendre la culotte sur les chevilles et embrasse son bas ventre. — Aah ! Que... — Vos copines ne vous caressent pas ainsi ? — Oh non !... Aaah !... Aaah !... Ooooh ! gémit-elle lorsque j’écarte les lèvres du sexe.
La porte s’ouvre en silence. Julien passe la tête. Voyant le tableau, il entre sans bruit, et se déshabille en prenant soin de rester hors du champ de vision de Marianne. Celle-ci est trop absorbée par mes caresses sur le clitoris pour s’apercevoir de son intrusion. — Aaah ! Que... Aaah !... Oh !... Aah !... Ouiii !... Elle agrippe mes cheveux et appuie son ventre contre ma figure. Tout à coup je la sens raidir. Je lève les yeux. Julien est là qui l’enlace par derrière les mains sur les seins. — Oh ! Monsieur ! Qu’est-ce que vous faites ? — Là... calmez-vous, dit-il, nous ne vous voulons pas de mal... Je me redresse. — Vous avez promis de nous satisfaire... Vous ne voudriez pas faire de la peine à madame Josette, n’est-ce pas ? La jeune fille est coincée entre nous deux. Je l’attire à moi par les fesses et l’embrasse. Elle résiste dans un premier temps puis sa bouche s’entrouvre, une petite langue frétille à la rencontre de la mienne. Julien recule un peu. Il caresse le postérieur du bout de la queue et tente d’écarter les jambes de Marianne. — Mmmh ! Mmmh ! gémit-elle sans rompre le baiser. Mon beau-père se baisse, pourquoi ? Ah ! Il enlève la culotte qui entravait les pieds. Je bascule sur le lit entraînant Marianne qui se couche sur moi. Je vois la queue de Julien s’avancer vers sa cible. La jeune fille a saisi ce qui l’attend. Elle ne se refuse pas mais tremble de tout son corps. — Père ! Attendez un peu !... C’est la première fois avec un garçon ? je demande à la jeune bonne. — Ou... oui... Ça... ça fait mal ? — Pas trop si tu te décontractes et ne résistes pas. Je glisse la main entre nos corps et chatouille l’avant du sexe. Julien a compris mon but et caresse entre les cuisses ouvertes. Nos doigts se rencontrent à l’orifice du petit vagin dans lequel j’enfonce d’un petit centimètre. Il est tout humide, elle est prête. — Tu sens mon doigt ? — Ou... oui ? Je le fais tourner pour élargir l’orifice. — Je te fais mal ? — No... non. — Monsieur Julien va venir maintenant. Il présente le bout du sexe. — Tu sens ? — Ou... oui... C’est doux. — Il appuie n’est-ce pas ? Il entre ? — Ou... oui... Aïe ! Julien bute sur l’hymen. Je pose les mains sur les épaules de Marianne et la pousse d’un coup sec. Elle s’embroche en criant. — Aïiii ! — Là, là, c’est fini... — Ça fait mal, pleurniche-t-elle. — Seulement mal ? Je tourne le doigt sur le petit bouton. — Aaah ! — Allez doucement Père, elle est fragile. Il recule de quelques centimètres. — Ooooh ! Il s’enfonce à nouveau. — Ouch ! — Ça fait toujours aussi mal ? — No... Aaah ! Le plus dur est passé. Les gémissements de Marianne changent de registre. Ce n’est plus seulement de la douleur qu’elle ressent. — Aaah !... Aaaah !... bouuh !... Mmmh !... Aarrrggh !
Jacques entre à son tour. Il est en robe de chambre. Il me sourit, caressant sa verge qui pointe devant lui. Il est prêt à prendre la relève. Lucien accélère. Ses yeux se révulsent. Oh ! Alerte ! La petite n’est peut-être pas protégée ! — Jacques ! Retire Père !... Vite ! Je me dégage de dessous Marianne qui s’aplatit sur le lit. — Prends sa place mon chéri ! Il s’enfonce dans l’orifice encore dilaté. Marianne beugle son plaisir. Julien ne comprend pas bien ce qui lui arrive. Sa queue hoquette, il était temps qu’il sorte. J’empoigne la tige vivante et la manchonne. Quelques coups de poignets suffisent, le sperme jaillit et macule le parquet. — Aarrgghh ! — Excuse-moi Père, mais c’était plus prudent. — Euh... Tu... tu as raison. Il faudra l’emmener chez le docteur. — Dès lundi Père... Jacques ! — Ou... Aah !... Oui ? — Toi aussi sors avant d’éjaculer. — Ou... Aah !... Oui ! Je... Aah !... fais atten... Aah !... Attention. Marianne serre les couvertures dans ses mains. Je m’approche et caresse la joue où coule une petite larme. Elle est vaillante cette petite et résiste bravement. Elle va au devant des coups de rein de Jacques en remuant le bassin au moment opportun. — Oooh ! La déception se lit sur son visage lorsque mon mari se dégage. A-t-il déjà fini ? Non ! Il retourne la jeune fille sur le dos et présente sa queue triomphante entre les cuisses. — Aaah ! Je m’amuse avec un sein pendant que Julien qui a récupéré caresse l’autre. — Aaah !... Beuuh !... Arrggh !... Mmmh !... Ouiii !... Aarrgghh ! Elle jouit la petite ! Elle prend son pied, son dépucelage est une réussite. Tout à coup Jacques se redresse. Trois coups de poignet et les filaments de sperme maculent le ventre de Marianne. Je m’en veux de n’avoir pas réagi assez vite pour recueillir sur la langue la semence de mon époux.
Je les laisse souffler un peu puis j’entraîne Marianne sous la douche. Je me déshabille pendant qu’elle se rince et la rejoins. — Oh ! — Laisse-moi te laver dans le dos. Je badigeonne de crème, les omoplates, les reins, les fesses. Je fouille la raie qui s’ouvre sans résistance. — Aah ! Je m’amuse un instant autour du petit trou brun. Je réfrène l’envie d’introduire une phalange. Laissons Simon l’initier aux joies de la sodomie. Ma main glisse vers le sexe. — As-tu encore mal ? — No... non... Aaah ! — Même quand je fais ça ? je demande en introduisant un doigt. — Ooh !... No... Non... Aaah ! — Et ça ? J’enfonce deux doigts. Son vagin les accepte. — Oooh !... Aaah !... Aïe !... euh... excuse-moi. — C’est normal, ton sexe est encore fragile. Dans un jour ou deux il n’y paraîtra plus. Je la serre contre moi. — Tu ne nous en veux pas ? Elle m’embrasse. — Je... je suis plus pucelle ? demande-t-elle quand nos lèvres se séparent. — Non, tu es une vraie femme maintenant. — Je suis bien contente. Je... euh... j’avais honte devant mes copines qui ont toutes des petits amis... Comment vous remercier ? Nous remercier ! C’est la meilleure ! — Je t’indiquerai le moment venu, dis-je avec un zeste d’hypocrisie. Sortons de la douche. Du travail t’attend.
La chambre est vide quand nous y retournons. Je lui passe une des blouses que j’ai récupérées dans les affaires de Suzanne. Je n’aime pas la couleur grise mais en attendant que je lui en fasse confectionner d’autre plus seyantes, elles feront l’affaire. — Pour travailler, il vaut mieux que tu sois à ton aise. Enfile cette blouse, tu ne craindras pas de te salir... Inutile de remettre tes sous-vêtements, va les porter au linge sale. Elle m’obéit sans sourciller. Espérons que Simon saura profiter des facilités vestimentaires sans lui faire peur, j’aurais fait tout ce qui était en mon pouvoir.
En rentrant de faire quelques courses, je les surprends dans la cuisine sans qu’ils m’aperçoivent. Marianne est penchée au-dessus de l’évier, Simon dans son dos. Je ne vois pas ses mains cachées sous la blouse. Ils ont l’air de s’entendre ces deux là, tant mieux. Le soir, Julien qui a travaillé tout l’après-midi dans son bureau sourit à l’accoutrement de la bonne. Il lui demande de lui servir un whisky et quand elle apporte le verre caresse les fesses sous le tissu. La jeune fille glousse sans se dégager. Bon présage pour la suite de leur cohabitation. Quand nous montons dans notre chambre Jacques et moi, il demande à Marianne de rester, pour discuter prétend-il. Trois heures plus tard, je surprends la jeune fille sortir de la chambre de mon beau-père. Tout baigne !
Le lendemain dimanche, à la demande de Julien, nous l’accompagnons à la messe, tous ! A la fin de l’office, il donne quartier libre à Marianne, la priant de ne pas rentrer trop tard le soir. Jacques et moi le quittons pour réintégrer nos pénates : je ne suis toujours pas décidée à emménager chez mon beau-père.
Le lundi comme promis, je vais à la Châtaigneraie chercher la bonne pour la présenter au docteur Jean. Personne ne répond à mon coup de sonnette. La porte n’est pas verrouillée, j’entre. Des halètements en provenance du salon m’alertent. Je m’approche à pas de loup. Marianne cire le parquet. Elle a relevé la blouse sur les reins découvrant le postérieur. Simon à genoux derrière elle l’encourage. Je vois la queue entrer et sortir, pardon, les fesses aller et venir sur la queue chaque fois que la bonne se penche ou se redresse en frottant les lamelles de bois. Je m’éclipse, je repasserai dans une heure, le temps qu’ils terminent la pièce...
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