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le mariage de ma soeur

Chapitre 1

Inceste
L’histoire que je vais vous raconter est une suite de « Voyage incestueux ». Je m’appelle Benjamin, et j’habite à Paris. Cet été, je suis allé au mariage de ma sœur Erika qui, après un premier mariage raté et un célibat ponctué de nos ébats incestueux, a retrouvé un homme qui doit la satisfaire puisqu’il a réussi à remettre une bague à son doigt.
Arrivés avec Delphine, ma femme, et mes deux enfants à Gruissan et après les embrassades d’usage, Erika m’annonce qu’elle aimerait que nous dormions chez eux si je pouvais annuler le camping. Les enfants sont ravis ; chez leur tante il y a tout ce qu’un enfant peut vouloir : piscine, balançoire, ballon avec des petits buts… Après approbation de Delphine, je m’écarte du groupe pour appeler le camping et annuler la réservation. Erika me rejoint.
Elle me prend par la main et m’attire dans sa chambre d’amis. Nous sommes à peine entrés dans la chambre qu’elle ferme la porte précipitamment et se jette sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. Étant encore au téléphone, je la repousse pour répondre à la directrice du camping. Erika ne s’en arrête pas là ; elle se met à genoux devant moi et commence à déboutonner mon jeans. Elle l’agrippe avec mon boxer et tire dessus pour le faire descendre jusqu’aux genoux. Je me retrouve au téléphone, la bite en demi-gaule face à elle. Erika me pousse pour me faire tomber sur le lit qui est derrière moi. Ne pouvant pas trop bouger dans la situation où je me trouve, je me laisse tomber sans retenue. Ma sœur en profite pour se caler entre mes jambes et gober ma bite. Je me sens gonfler et durcir dans sa bouche. Hormis cette sensation agréable, je prends un plaisir immense à être dans sa bouche.
Ma sœur est une merveilleuse dans ce domaine, et dans bien d’autres aussi. Cette pipe me faire dire que nos relations incestueuses ne vont pas s’arrêter à cause de son mariage. Toujours une main occupée à tenir mon téléphone, la deuxième se pose sur sa tête pour apprécier encore plus son va-et-vient. Mon appel fini, j’en profite pour la prendre en photo. Erika en joue et amplifie ses mouvements pour finir par me prodiguer une gorge profonde. Je la prends en photo le nez écrasé sur mon bas-ventre les yeux à demi-clos me malaxant les couilles avec sa main et l’envoie à Delphine.
Son rythme me fait cracher au fond de sa gorge assez rapidement. Ma sœur, comme une bonne chienne docile, me nettoie la bite avec de délicieux coups de langue. Nous nous rhabillons et nous prenons la direction de la porte. Juste avant de sortir, j’empoigne Erika par le bras et la plaque sur l’armoire située juste à côte de la porte. Je l’embrasse fougueusement et sans retenue. Sa langue a le goût de mon sperme. Ma main libre passe sous sa jupe ; je lui caresse une cuisse et remonte vers son string ; à son contact, je remarque qu’il est humide, imbibé de sa cyprine. Je l’écarte un peu et insère deux doigts dans sa chatte ; ils sont comme aspirés. Je m’amuse à les bouger dans cette grotte qui suinte la luxure jusqu’à lui faire sortir quelques gémissements étouffés par ma langue qui est encore dans sa bouche. Après quelques minutes comme ça, je la libère de mon étreinte et ouvre la porte sans attendre qu’elle se réajuste.
De retour dans la salle où se trouvent Delphine et Arnaud (le futur mari de ma sœur), j’annonce que tout est réglé et que nous pouvons rester chez eux pour les vacances et le mariage. Delphine me fait un clin d’œil agrémenté d’un joli sourire qui en dit long sur le plaisir qu’elle a eu en recevant la photo. Arnaud nous propose de boire un verre, car même si on est encore le matin, il fait déjà chaud. À peine sont-ils sortis que Delphine plaque une de ses mains sur mon entrejambe et me dit :
— Dis donc, tu ne perds pas de temps, coquin ! — Ce n’est pas moi : c’est Erika qui s’est jetée sur moi ; et comme j’étais au téléphone, ne pouvais rien faire ni dire.— Je suis jalouse : moi aussi j’aurais voulu participer. — Je t’ai ramené un souvenir…
Je lui présente mes doigts qui, il y a encore cinq minutes, étaient dans la chatte luxuriante de ma sœur. Delphine ne se fait pas prier ; elle se jette dessus comme une chienne sur un os et les lèche en laissant exprimer son contentement par de légers gémissements. Erika entre dans la salle et sourit de la scène qui se passe sous ses yeux.
— Tu as aimé les photos, Delphine ? — Oui ! — T’inquiète ; ton tour viendra aussi, ma chère belle-sœur préférée. — J’ai hâte, ma chérie.
Arnaud entre à son tour dans la salle, les mains chargées d’un plateau avec dessus plusieurs bouteilles et verres.

— Vous vous racontez quoi de beau ? — Nous nous remémorons des petites anecdotes de ma dernière visite chez eux.
Elle nous fait un clin d’œil complice.
Le reste de la matinée et le midi se passent normalement. Après manger, les enfants veulent aller dans la piscine et les femmes faire une séance de bronzage. Moi, étant un peu fatigué de la route, je pars me coucher dans la chambre d’amis.
La suite m’a été rapportée par Delphine :
Erika et Delphine partent dans la chambre de ma sœur pour mettre leur maillot de bain et du monoï. Delphine se déshabille sans complexe devant sa belle-sœur et se retrouve entièrement nue. Erika, quand à elle, est topless quand elle s’arrête de se déshabiller pour contempler le corps de Delphine.
— J’ai un truc qui ne va pas ? — Non, non, Delphine. Tu es juste parfaite. Je voudrais tellement être comme toi malgré tes deux grossesses ; tu as réussi à garder un corps sublime. — Ne dis pas ça, j’ai des vergetures et du ventre. — Tu déconnes ; tu as des courbes de vraie femme. Moi, je suis plate. Je me damnerais pour avoir rien que tes seins.
Delphine, émue par le compliment de sa belle-sœur, écarte les bras pour l’inviter à faire un câlin. Câlin qu’Erika ne refuse pas. Torse nu l’une et l’autre, le contact charnel anime une envie moins platonique que n’avait imaginée Delphine. Les mains d’Erika commencent par caresser le dos de Delphine. Cette dernière, prise de légers frissons, embrasse Erika dans le cou comme par réflexe. Erika répond elle aussi par des baisers sur les épaules et le cou de Delphine. Les bouches se cherchent. Une fois en contact, les langues s’immiscent dans la bouche de l’autre sans aucune retenue. Ces baisers fougueux s’accompagnent de caresses sur tout le corps. Delphine finit d’ôter les derniers vêtements de sa belle-sœur. Elles sont complètement nues l’une en face de l’autre.
Tout en s’embrassant encore, elles s’allongent sur le lit. Les mains d’Erika se baladent sur le corps de Delphine et deviennent de plus en plus chercheuses. Delphine n’est pas de reste non plus ; elle plaque une de ses mains sur le cul glabre d’Erika et le malaxe. Erika s’amuse quant à elle à pétrir la poitrine opulente de sa belle-sœur et à y plonger son visage. Erika commence à descendre sur le corps de Delphine. Elle alterne entre des baisers tendres et des petites morsures qui font sursauter ma femme.
Delphine se pose sur le dos les mains sur la tête d’Erika. Erika arrive sur le mont de Vénus imberbe de sa belle-sœur. Elle le mord à pleine dents, relâche la pression et lui lèche son petit clitoris qui pointe dût au châtiment qu’il vient de subir. Ce traitement fait lâcher quelques gémissements à ma femme. Cela donne plus d’entrain à Erika. Maintenant, elle à la tête ancrée dans l’entrejambe de Delphine et sa langue s’introduit entre ses grandes lèvres. Delphine se mord un doigt pour ne pas hurler de plaisir. Ma sœur pose ses mains sur les cuisses de Delphine et les écarte tout en continuant son cunni. Delphine l’aide en mettant ses pieds sur le lit, en pliant les jambes et en écartant allègrement ses cuisses. Ses orifices sont à la merci d’Erika. Elle en profite par lui pénétrer la chatte avec deux doigts. La chatte de Delphine est tellement bien lubrifiée par sa cyprine et la salive d’Erika qu’ils entrent sans retenue. Après quelques allers-retours, Erika décide d’y mettre un troisième puis un quatrième doigt. Delphine se contorsionne de plaisir, elle prend un oreiller pour étouffer les cris de jouissance.
Delphine répand sa cyprine abondamment sur la main de sa belle-sœur. Voyant la façon dont elle mouille, Erika décide de mettre le cinquième doigt et de voir si elle arriverait à fister sa belle-sœur. Le cinquième doigt entre sans retenue, et après une légère pression, son poing entre en entier dans le con de ma femme.
Cette intromission fait lâcher un cri rauque à Delphine. Erika, surprise de sa performance, reste dans cette position quelques secondes, puis commence à bouger son poing de droite à gauche et d’avant en arrière. D’abord doucement puis de plus en plus vite. Delphine se pince les tétons avec frénésie, elle s’arcboute et jouit violemment. Erika ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits et s’amuse maintenant à sortir son poing complètement de cet écrin pour le remettre aussitôt. Delphine jouit trois à quatre fois sous les joutes de sa belle-sœur. Erika se calme et sort définitivement son poing de la chatte de Delphine qui ressent comme un immense vide dans son ventre. Erika s’allonge à ses côtés et l’embrasse tendrement sur la bouche.
Après quelques minutes, Les deux belles-sœurs mettent enfin leur maillot de bain, s’enduisent mutuellement de monoï et vont s’installer sur les bains de soleil proches de la piscine où Arnaud, incrédule, surveille les enfants qui jouent calmement.
Après deux heures d’une sieste agréable, je rejoins le reste de la famille à l’arrière de la maison. Mes enfants sont dans la piscine en train de s’amuser, Arnaud est sur son téléphone, Delphine et Erika sont sur des bains de soleil en train de parfaire son bronzage pour l’une et accueillir les premiers rayons de soleil pour l’autre. En m’approchant de ma femme pour l’embrasser, je constate qu’elles sont toutes les deux topless. Je me rince l’œil allègrement sur ces deux paires de seins et me baisse pour embrasser ma femme. Elle m’attrape par le cou et m’embrasse fougueusement. Surpris de ce baiser aussi fougueux, je lui demande :
— Je t’ai tant manqué ? — Tu ne peux pas t’imaginer…
Le reste de la journée se passe normalement. Dans la soirée, une fois les enfants au lit, nous nous installons sur la terrasse dehors et commençons à parler de choses et d’autres pour connaître un peu plus mon futur beau-frère avant le mariage. Les bières s’ouvrent les unes après les autres. La conversation passe sur tous les sujets. Se sentant plus à l’aise, Arnaud me demande s’il peut me poser une question sur mes tatouages. Répondant par l’affirmative, il se lance :
— Je vois que tu as quelques tatouages, et je me demande si ça fait mal et combien tu en as. — Non, la douleur est vraiment minime, et j’en ai six : un tribal, une amazone, le prénom de ma femme, un bébé dragon pour mon fils, un bébé licorne pour ma fille et un bandeau noir sur le poignet. — OK. Et pourquoi un bandeau noir ? Les autres, je vois à peu près, mais le bandeau, là, je ne vois pas.
Je souris légèrement en regardant ma femme. Elle me sourit aussi et me fait un signe de tête pour donner son accord donner la vraie signification de ce tatouage. Sa réponse m’étonne un peu ; après tout, on ne connaît pas Arnaud plus que ça. Elle doit avoir un bon feeling avec lui pour accepter que je lui en donne la signification.
— Pour te dire la vérité, ce bandeau représente la profondeur du vagin de Delphine. — Comment ça, la profondeur ? — Réfléchis un peu…
Après quelques secondes, il fait non de la tête.
— Non, je ne vois pas.— Bah, en fait, un jour de baise sauvage, je l’ai fistée mais elle en demandait encore plus. J’ai commencé alors à la pénétrer de plus en plus profond pour voir jusqu’où je pouvais m’introduire en elle. Voilà le résultat !
Arnaud a les yeux grands ouverts ; son regard passe de ma femme à moi sans cesse.
— Mais ça fait combien de centimètres ? — Je ne sais plus ; 25, je crois. — Je peux mesurer ? — Si tu veux.
Il part chercher une règle. Erika rigole et me dit :
— Il doit halluciner ! Déjà, quand je lui demande de mettre plus de deux doigts dans ma chatte, il a peur de me faire mal… Alors là ! — Oui c’est sûr. Mais tu ne t’ennuies pas trop niveau baise avec lui ? — Non, il a une bite énorme et il sait s’en servir. En plus, il n’est pas contre mes aventures extraconjugales à condition qu’il puisse les voir ou que je les lui raconte dès que je rentre. — Je comprends pourquoi tu l’épouses, alors ! Tu peux compter sur une bite tout les soirs dans ton lit, et si tu veux plus, il te l’autorise. Cool !
Arnaud revient avec un mètre de couturière.
— On mesure ? — C’est parti !
Je ferme mon poing et pose mon avant-bras sur la table en face de lui. Il déroule le mètre tout en regardant Delphine.
— Je prends quel bord du bandeau ? — Celui du haut. — 25 centimètres ! — Oui, c’est ça.— Attends, je mesure la circonférence. 23 cm pour le poing et 25 cm au niveau du tatouage.
Arnaud se retourne vers Delphine et lui dit :
— Eh bien, j’ai une future belle-sœur très accueillante ! — Tu sais, si un bébé passe par là, une main peut bien y entrer. — De ce point de vue, tu n’as pas tort, mais je préfère rester plus conventionnelle. — Pour ça que tu laisses Erika aller voir ailleurs ? C’est sympa : tu ne la brides pas, et du coup tu sais qu’elle reviendra toujours dans ton lit. Surtout avec une bite aussi grosse !
Il regarde ma sœur d’un air interrogateur, et ma sœur lui rétorque :
— Je t’ai déjà dit que je dis tout à mon frère et ma belle-sœur chéris. — Oui, je sais, mais pas a ce point… — D’ailleurs, maintenant que tu connais le secret du tatouage de Benjamin et que le mètre ruban est sur la table, tu nous fais voir ta bite qu’on la mesure ? lui lance Delphine.
Il regarde Erika et attend une réponse de sa part. Réponse qui ne tarde pas à arriver :
— Bah, vas-y. Qu’est-ce que tu attends ? Fais pas ton timide !
Il réfléchit un peu et se lève de sa chaise, desserre sa ceinture, déboutonne son short et le baisse avec son boxer. Effectivement, ma sœur n’a pas menti : il nous présente une bite énorme. Il ne bande qu’à moitié, mais elle présente déjà de belles proportions. Ma femme lui dit :
— Branle-toi un peu pour prendre les bonnes mesures.
Comme par réflexe, il se met à se masturber. En quelques secondes il nous présente un membre imberbe qui me paraît hors normes ; en plus d’une tige épaisse et longue, elle est accompagnée d’une grosse paire de couilles : son scrotum a la dimension d’une pêche. Ma femme s’empare du mètre ruban.
— T’es prêt ? Je commence à prendre tes mesures.
Il se laisse faire. Il ne bouge pas d’un poil se demandant sûrement s’il rêve ou pas. Erika et moi les regardent amusés. Delphine est à genoux devant ce sexe en turgescence qui pointe devant son nez. En bonne professionnelle, elle pose l’extrémité du mètre sur la base et commence ses mesures.
— 23 cm ; tu notes, Ben ? — Oui, oui, je note.
Je prends mon téléphone et note dessus les mesures qu’elle me donne.
— Circonférence : 15 cm.
Tout en notant les chiffres qu’elle donne, je constate qu’il est vraiment bien monté, le beauf. En relevant les yeux, je remarque que cette activité met tout le monde dans un état d’excitation intense. En effet, Erika a posé un pied sur la table et une de ses mains se trouve entre ses cuisses ; et vu son regard, je suppose qu’elle doit se caresser. Moi, j’ai la bite qui commence à me faire mal tellement elle est gorgée de sang et entravée dans mon boxer. Quant à Delphine, elle pose le mètre ruban sur la table et prend à pleine main les bourses d’Arnaud.
— Qu’est-ce que tu fais ? — Chut… Je te récompense pour ces bonnes dimensions.
Erika le regarde est lui dit :
— On ne refuse pas un cadeau, chéri, surtout si c’est fait par une déesse de l’amour. — Merci du compliment ! lance Delphine.
Sur ces paroles, ma femme se penche sur le gland de son futur beau-frère et l’embrasse. Sous ce baiser, il sursaute puis lâche un soupir de satisfaction. Elle l’embrasse maintenant sur tout le long de sa bite ; elle remonte et commence à aspirer son gland. Il me regarde, stupéfait.
— Il n’y a pas que toi qui aime voir sa femme avec un autre partenaire…— Ah, vous êtes au courant de ça aussi. — On partage tout avec ma sœur, et même plus que tu ne le crois !
Il ne relève pas ; il baisse la tête et regarde ma femme qui s’affaire sur sa bite. Elle a maintenant cette énorme bite dans la bouche ; sa main ne fait même pas le tour de ce monstre de chair. Quand elle la retire de sa bouche pour reprendre de l’air, des filets de bave pendent entre sa langue et le gland de son beau-frère. Plus il geint, plus elle force pour en enfoncer au fond de sa gorge. Je ne tiens plus ! J’ouvre mon short et sors ma bite pour commencer à me branler aussi. Delphine pousse sur le bassin d’Arnaud pour le faire asseoir sur sa chaise. Il obtempère. Elle se positionne entre ses jambes et recommence à le pomper avec avidité. Elle y est presque ; ses yeux se révulsent, sa gorge est gonflée, et de la bave coule sur les couilles d’Arnaud. Je la connais bien : quand elle est dans cet état, rien ne l’arrête. Après quelques allers-retours de plus, elle arrive à ses fins : elle a cette bite ancrée au fond de la gorge ! Il n’en revient pas quand il sent le nez de Delphine s’écraser sur son bas-ventre. Le passage fait, Delphine a de plus en plus de facilités à le prendre en entier.
Erika n’en peut plus de cette scène qui se passe devant nous. Elle se lève, pose son string sur la table et vient s’asseoir sur ma bite. Je rentre en elle sans la moindre résistance. Elle pose ses mains sur mes genoux et commence à faire des va-et-vient sur ma bite. Je passe mes mains sous son top et m’agrippe à ses seins. Elle ôte son top et remet immédiatement ses mains sur mes genoux. À cette vision, Arnaud n’en revient pas ; il nous regarde nous accoupler entre frère et sœur puis lâche un sourire. Ses mains se posent de part et d’autre de la tête de Delphine et il lui agrippe les cheveux. Il la bloque le nez écrasé sur son bas-ventre puis commence à lui donner le rythme auquel il veut se faire sucer. Delphine se fait littéralement baiser la bouche. Des larmes coulent de ses yeux ; rien d’étonnant, vu la prouesse qu’elle est en train de réaliser… Ses bruits de gorge se mélangent à des gémissements : elle adore ce traitement. Erika se lève complètement, attrape ma bite et la place à l’entrée de son cul. Je lui pince les tétons comme pour lui dire d’y aller. Elle s’assoit en faisant pénétrer ce gourdin dans son rectum. Quelle sensation agréable de se sentir au chaud et étreint de cette façon dans le cul de sa sœur !
Arnaud se lâche complètement. Il sort sa bite de la bouche de ma femme et la gifle avec et la lui enfonce à nouveau au fond de la gorge. Il doit sentir qu’il va bientôt cracher car il se recule, arrache le tee-shirt de Delphine est commence à se branler. Me femme se retrouve à genoux, les mains posées sur ses chevilles, les seins à l’air. Elle le regarde droit dans les yeux, la bouche grande ouverte. Il lui claque encore les joues avec sa bite ; les joues de Delphine sont rouges. Il est pris de spasmes qui indiquent qu’il va jouir. Ça y est : de grandes giclées de foutre sortent de son gland et viennent atterrir sur le visage et les seins accueillants de ma femme. Le visage et le buste enduits du foutre d’Arnaud, elle se lèche les lèvres, et avec les mains elle étale sur son buste le nectar qu’elle vient d’avoir en offrande. Cette vision de luxure me fait éjaculer au fond des entrailles de ma sœur. Sentant la chaleur remplir son ventre, elle se lève, se retourne, et tout en s’agenouillant commence à me sucer. Une fois ma bite propre, elle se relève et retourne sur sa chaise. Ma femme se rassoit aussi, et moi je me rhabille tranquillement. Arnaud, l’excitation retombée, s’est juste assis, le short aux chevilles. Sa bite s’est ramollie. Je vois qu’il se pose des milliers de questions mais n’ose pas les exprimer. Un silence profond règne sur la terrasse. Delphine rompt ce silence :
— Bienvenue dans la famille, Arnaud !
Nous nous mettons tous à rigoler. Arnaud a repris ses esprits et il se rhabille à son tour. Delphine part dans la salle de bain avec Erika pour faire une toilette. Je me retrouve seul avec Arnaud.
— Tu as sûrement des tonnes de questions à me poser, non ? — Oui, oui. Tout d’abord, je tiens à m’excuser pour le traitement que j’ai infligé à Delphine. — Ne t’inquiète pas ; en plus, si tu as des remords, c’est à elle qui faut les exprimer. Moi, j’adore ce que j’ai vu. — OK. Ensuite, depuis combien de temps vous couchez ensemble, ta sœur et toi ? — Comme ça, sans réfléchir de trop, je dirais 4-5 ans. — Et Delphine a toujours su ? — Oui. Elle a même très vite participé à nos rapports incestueux. — Il y a d’autres secrets que je dois savoir avant ce week-end ? — Bah, en fait, oui. Il sera suivi d’un conseil pour ton avenir avec ma sœur. Tu vois mon bandeau ? — Oui.— Tu sais maintenant pourquoi il est à cette hauteur ; mais sais tu pourquoi il a cette largeur ? — Non, mais je sens que je vais bientôt le savoir…— La limite du bas, c’est à la profondeur que j’ai fistée à Erika. Donc voici mon conseil : n’aie pas peur de lui faire mal : elle aime avoir mal. — Oui, c’est clair !
Les femmes sont de retour. Erika embrasse Arnaud, et Delphine se pose sur mes genoux.
— Vous parlez de quoi? — De la limite basse de mon bandeau sur le bras. — Tu vois, mon chéri, tu ne peux pas me faire de mal avec tes doigts. — Je vois ça…
Sur ce fait, nous allons tous nous coucher car il commence à se faire tard, et les préparatifs du mariage commencent demain.La fin de la semaine se passe à peu près normalement ; malgré quelques parties de jambes en l’air avec ma sœur, chacun baise avec sa femme respective.
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