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Un mariage réussi

Chapitre 20

Orgie / Partouze
CHAPITRE 20 - VACANCES

Je suis tout excitée en débarquant le matin à l’aéroport à l’idée de retrouver ma famille. Nous sommes en juin, il fait beau et chaud mais il n’y a pas encore la grande foule des vacanciers. Nous prenons une voiture de location pour être indépendant durant ces quinze jours. Je n’ai pas averti de notre heure d’arrivée aussi nous les surprenons tous au bord de la piscine. Ils sont nus comme d’habitude. — Oh ! Sylvie ! s’écrie Raymond, le premier qui nous aperçoit, déjà là ? Nous t’attendions plus tard. — Si tu veux nous pouvons repartir et vous laisser tranquille. — Ne dis pas de bêtise, déclare Denis. Venez mes enfants que je vous embrasse. Il nous serre tous les deux dans ses bras. Que c’est bon la peau de Denis ! Raymond, Florence et Laure s’empressent autour de nous. — Attention ! Vous nous mouillez ! — Cela n’arriverait pas si vous vous déshabilliez, rétorque Raymond. — Laisse-nous ranger nos affaires dans notre chambre et nous vous rejoignons.
Jacques me regarde en souriant me dévêtir avec une hâte fébrile. — Si je comprends bien, ce n’est pas tout de suite que je pourrai faire l’amour à ma femme. — Plains-toi ! Florence et Laure sont impatientes de t’embrasser. Dépêche-toi de te déshabiller. Il n’est pas bon de les faire attendre. Un concert d’exclamations nous accueille. — Que vous êtes pâle ! Des bains de soleil vont vous faire du bien... etc. Je me glisse dans l’eau. Brrr ! Elle est fraîche en ce début de saison. Après quelques brasses mon corps s’habitue à la température. Raymond veut m’enlacer. Je m’échappe. — Laisse-moi nager quelques instants. Je m’élance pour plusieurs allers et retours en crawl. Je retrouve vite mes automatismes et prend plaisir à sentir l’eau glisser sur mon corps. Jacques envie mon aisance. Raymond attrape mon bras quand je passe à proximité. Je veux me dégager mais Denis arrive à la rescousse. Leurs mains m’enveloppent, je n’ai plus envie de leur échapper. Je jette un coup d’oil sur Jacques. Il est coincé entre Florence et Laure et les embrasse à tour de rôle. Tout va bien, je peux me laisser aimer.
Denis entrouvre mes lèvres de sa langue. J’accepte son baiser les yeux fermés. Ma main explore son bas ventre et empoigne une tige vivante, raide, douce, longue... la queue de Denis ! Raymond s’appuie dans mon dos. Ses mains glissent sur ma poitrine et s’amusent avec les tétons, puis caressent mes hanches, mes fesses qu’elles séparent. La douceur de son gland frotte contre l’anus. Aah ! La douce grosseur se fraye un passage vers mon puits d’amour, écarte les petites lèvres, trouve l’orifice...
Non ! C’est Denis que je veux recevoir en premier ! Je pivote pour faire face à mon frère. Je clos ses reproches par un baiser profond. Dans mon dos Denis s’active. Il ouvre mon sexe de ses doigts habiles... Aah ! Il pénètre dans ma grotte. Deux allers et retours du majeur pour dilater l’orifice et... Aaah ! Sa queue ! Je recule pour sentir la tige s’enfoncer... Aah ! Denis me tient par les hanches et commence la danse d’amour. Raymond explore ma fente d’un doigt fureteur... Ouiii ! Il trouve le petit bouton autour duquel il tourne. Je décalotte le gland et caresse la hampe de son sexe. Mes yeux captent dans le coin opposé de la piscine, Florence qui monte et descend contre Jacques que Laure serre de près. Je reviens à mon frère. Ma langue fouille sa bouche et je masturbe sa queue au rythme des coups de rein de Denis pendant qu’il malmène mon clitoris sensible... Aaah ! Je me raidis quand la première onde de jouissance me fait frémir de la tête aux pieds. Denis et mon frère ne me lâchent pas. Maintenant la langue de Raymond explore ma bouche. J’active la caresse sur son sexe pendant que Denis accélère dans mon dos... Aaaah ! Des filaments blanchâtres filent entre mes doigts et disparaissent dans l’eau bleutée tandis que je ressens les jets de sperme gonfler mon vagin.
Nous reprenons notre souffle, accoudés à la margelle. Je repose la tête contre l’épaule de Denis. — Bienvenue parmi nous ma fille chérie. Je suis heureuse d’être là, de voir mon Jacques souriant entre ses deux belles-sours, de manipuler les verges souples de mon père et de mon frère pendant que chacun s’occupe d’un sein. Le désir chatouille mon ventre, je ne suis pas rassasiée. Je disparais sous la surface et englouti le premier gland que je vois, celui de Denis. Je résiste à l’envie de respirer jusqu’à ce que l’engin grossisse et atteigne sa taille d’érection. Une bonne goulée d’air et je m’attaque à la queue de Raymond. Une fois celle-ci prête à fonctionner, je me jette sur Denis et l’embrasse à pleine bouche. Mon frère a compris. Il s’avance dans mon dos. Sa verge sépare mes cuisses, appuie sur le petit trou brun. Elle va pénétrer... — Non ! Pas de sodomie... Pas le premier jour ! ... S’il te plait. J’aperçois juste l’autre trio dans la piscine. Laure et Florence s’embrassent à pleine bouche tandis que les coups de rein de Jacques dans le dos de Laure trahissent son occupation. Raymond soupire. — Allez, va, ce n’est pas un grand sacrifice que je t’impose ! Le gland cherche son chemin plus bas. J’ouvre le compas de mes jambes pendant que la main de Denis guide la verge en bonne place. — Tu y es fiston ! — Aaah ! Je décalotte la queue de mon père en même temps que s’introduit le gland... Aaah ! De nouveau une verge dilate mon vagin, de nouveau je masturbe une queue entre mes doigts, de nouveau une langue fouille ma bouche et un doigt excite mon clitoris... Aaah ! Deux orgasmes me secouent avant de recevoir l’offrande de leur semence.
Je ne suis pas calmée pour autant et me précipite sur mon pauvre Jacques entrain de reprendre son souffle. Il se ressent de son effort sur ses belles-sours qui m’aident à le rétablir. A force de caresses et de sucettes, nous arrivons à le ranimer et je frémis d’aise lorsque la queue pénètre dans ma grotte pleine du sperme de Denis et Raymond. — Aaah !... Ouiii !... Merci, soupire-t-il transporté d’aise. Je me rends compte que moi aussi j’adore qu’il enfonce son dard dans ma chatte débordante de foutre et de sécrétions. Quel délice ! Je me promets de lui octroyer, de nous octroyer ce plaisir chaque fois que ce sera possible.
L’après-midi après le repas, nous laissons les hommes récupérer. Nous nous retrouvons entre filles dans la chambre de Florence. Nous sommes heureuses de nous embrasser nous cajoler. Laure est particulièrement câline. Je la regarde avec attention. Qu’est-ce qu’elle a ? On dirait qu’elle a embelli. Oui, elle est radieuse. — Tu es en beauté ma petite Laure. Le climat de Nice te réussit. Elle rougit et cache sa figure sur ma poitrine. — Elle est enceinte, me renseigne Florence. — Oh ! De qui ? De Raymond ? — Qu’est-ce que tu crois ! Bien entendu de Raymond, s’insurge ma belle-sour ! — Excuse-moi, je pensais que Denis peut-être... — J’ai pris des précautions... Je l’embrasse tendrement. — Je suis très heureuse pour toi. C’est pour quand ? — Dans sept mois et demi, en février. — Je te promets de venir pour la naissance. — Euh. j’espère te voir avant... euh... Je... j’épouse ton frère. — Quelle nouvelle magnifique ! Tu resteras ma belle-sour préférée. Florence et moi la couvrons de baisers...
Au cours de ces vacances, nous faisons la connaissance de Bruno, le copain en titre de Florence. A la manière dont il se déshabille et embrasse Laure dès son arrivée, j’en déduis qu’il est au courant des us et coutumes de la maison et je ne suis pas étonné de voir Raymond se glisser dans son dos. Je dois l’intimider car ce n’est qu’au bout de plusieurs jours qu’il ose s’approcher de moi, encouragé par ma sour.
Jacques profite à plein de ses congés. Dès le premier soir, il obtient de Raymond d’être enculé pendant qu’il me fait l’amour. Il adore ! J’accepte une fois pour lui faire plaisir la double pénétration, lui devant, Denis derrière, mais je refuse de m’y soumettre à nouveau. Malgré leurs précautions, mon ventre me fais mal et je dois me priver d’étreinte deux longues journées. Je me rattrape ensuite de mon jeune forcé et chaque soir, après avoir embrassé la famille, j’offre à mon mari un vagin rempli du sperme de Denis, Raymond et parfois Bruno, accumulés dans l’après-midi. Ce n’est qu’après avoir joui ensemble que je passe sous la douche...
Dans l’aéroport le jour de notre départ, je me surprends à deviner la taille des sexes des mâles qui passent devant moi. J’en ai la chatte humide. N’y tenant plus j’entraîne Jacques aux toilettes. Je me jette à son cou, libère sa queue que je masturbe pour la faire raidir et m’empale dessus. Mon excitation est contagieuse et au bout de quelques va et vient, nous atteignons l’orgasme ensemble.
Nous réintégrons la salle d’attente pour entendre le dernier appel pour notre vol. Nous sommes les derniers à embarquer. Je ne suis pas calmée. Voilà que la crise de nymphomanie me reprend. Il faudra que je consulte le docteur Jean. Je me love contre Jacques et j’enfouis sa main entre mes cuisses. — Caresse-moi... s’il te plait. — Qu’est-ce que tu as ? — J’ai envie de toi. — Moi aussi, mais nous devrons patienter jusqu’à notre arrivée. Son doigt trouve le clitoris et s’amuse avec. Je frémis. M’approchant de son oreille, je l’interroge. — Elles t’ont plu ces vacances ? — Oh oui ! — Qu’est-ce que t’as préféré ? — Tout ! — Mais encore... S’il te plait... — Ben... euh... J’aime bien faire l’amour avec toi tout en étant... euh... — Enculé ? — Oui, je crois que c’est ça que je regretterai le plus. — Moi aussi, j’aime te sentir vibrer, c’est... extraordinaire. Nous restons silencieux quelques instants. Son doigt fouille mon sexe, s’introduit dans ma grotte. — Dis, Jacques... — Oui ? — Si on demandait à Simon... — Tu crois ? Son regard est plein d’espoir. Je tends les lèvres et réprime le gémissement que son doigt m’arrache.
Julien nous reçoit bras ouverts. — Ah ! Vous voilà ! J’avais hâte de vous revoir. Il m’entraîne dans sa chambre et me couche sur son lit. — Voyons Père, laissez-moi au moins ranger mes affaires. — Marianne aide ton mari. J’attends ce moment depuis trop longtemps ! Quinze jours ! Aah ! Son impatience est contagieuse. J’ôte ma culotte pendant qu’il libère son sexe. Il me dispose à quatre pattes sur le lit. Il adore me prendre en levrette et moi cela me donne la possibilité de me caresser pour accompagner les pénétrations de sa courte queue. — Aaaah !
Oui ! Il était pressé ! Je n’ai pas eu le temps de jouir. Brave Julien, je ne lui en veux pas ! Je l’abandonne essoufflé pour rejoindre ma chambre. Marianne est clouée sur le lit. Elle enserre mon Jacques de ses bras et ses jambes nouées dans le dos. Je souris, ça fait du bien de constater combien notre arrivée était espérée. Je m’approche et embrasse mon mari pendant qu’il satisfait la petite bonne. — Je te laisse terminer ici, je vais saluer Simon. — Euh... Han !... Tu... Han !... Tu lui parles ?... Han ! — Oui mon chou. — Tu... Han !... Tu reviens... après ? Après avoir reçu le sperme de Simon ? Oui, je t’offrirai ma chatte pleine. Je grimpe à l’étage supérieur et ouvre la porte de la chambre du domestique. Il est debout, nu comme un ver. — Je t’attendais...
Il veut honorer mon cul, je refuse, j’ai promis à Jacques un vagin rempli. Pendant l’étreinte je lui fais part de la prière de mon mari. Il met plusieurs minutes à réaliser ce que je lui demande. Entre deux coups de rein il hésite. — J’ai jamais... fais ça... avec un... Han !... un homme. — Fais-le... pour me faire... Aah ! ... faire plaisir... Je crois... que tu ne le... Aah !... le regretteras pas. Simon a de l’endurance. Il me fait jouir deux fois avant de s’effondrer. Il est temps de retrouver Jacques. Je descends les marches en serrant les fesses pour retenir le sperme abondant.
Mon mari m’attend couché sur le lit. Il caresse sa pine dressée pendant que Marianne toute nue, range nos affaires dans l’armoire. J’enjambe mon époux et enfonce le dard dans ma grotte. — Aah ! Ouiii ! gémit-il. Oh ! C’est booon ! Marianne me sourit. Elle ramasse ses habits et nous laisse seuls...
Je retrouve avec plaisir le bureau et mes amies. Les caresses que nous échangeons ne me calment pas au contraire. Je ne peux regarder un homme sans penser à sa queue que j’imagine me pénétrer ! Il est temps que je consulte le docteur Jean. Celui-ci m’examine sous toutes les coutures, prolongeant le pelotage à l’excès. — Je ne vois que deux solutions, me dit-il. Soit vous prenez des calmants, mais le risque de frigidité n’est pas négligeable... — Euh... et l’autre solution docteur ? — Vous arrêtez la pilule et vous vous faites faire un bébé. Je pense que cela mettra de l’ordre dans vos hormones. — Un enfant ? Ho !... — Oui. Cette solution vous agréée-t-elle ? Je reste sans répondre écrasée par une évidence. Je réalise combien la nouvelle de la maternité de Laure m’a touché. Oui je désire un, non, DES enfants ! Et rapidement car je veux avoir le temps de m’en occuper tant que Julien peut diriger l’entreprise avant de me la confier. Mais pas question de me laisser engrosser par n’importe qui. Un enfant oui, mais de Jacques et pas de mon beau-père ni même de Denis, ou d’un autre de mes amants. — Il y a un problème docteur. — Ah ? Lequel ? Vous ne voulez pas d’enfant ? — Oh si ! — Alors quel est le problème ? — C’est que je veux être certaine qu’il sera de mon mari et... — Et vous restreindre à un seul partenaire est une difficulté dont vous n’êtes pas sûre de venir à bout n’est-ce pas ? m’interrompt-il. Rassurez-vous ma chère Sylvie, il existe un moyen pratique et fiable. Il sort un préservatif de son tiroir. — Vous savez à quoi cela sert n’est-ce pas ? — Oui docteur, je vais vous le montrer. Je m’agenouille entre ses jambes, extrait son sexe du slip, le suce pour bien l’humidifier et l’habille de latex. — C’est très bien me félicite-t-il, je vois que vous n’avez pas perdu la main depuis vos études. Laissez-moi vous prouver que la présence du préservatif n’enlève rien au plaisir.
Ce brave docteur qui pousse jusqu’au bout la conscience professionnelle ! Il me fait jouir, je dois le reconnaître, malgré le regret de ne pas sentir la douceur de son sexe frotter contre les muqueuses de mon vagin. Il faudra que je m’y fasse. C’est le seul moyen d’avoir un enfant de Jacques sans m’astreindre à un jeûne impossible. Je fais l’acquisition à la pharmacie d’une grosse provision de capotes. J’en aurai besoin le temps que la grossesse se déclenche... Pauvre Jacques, les prochains temps il devra faire son deuil de tremper sa quéquette dans ma chatte rempli du foutre de mes amants... Pourvu que cela ne dure pas longtemps et que je tombe vite enceinte !...
Sur la route de la Châtaigneraie, je prends conscience du chemin parcouru depuis mon arrivée en cette ville. Malgré des débuts difficiles pour ne pas dire calamiteux, notre union à Jacques et moi se révèle un succès. Nous nous aimons, notre entente sexuelle se raffermit de jours en jours, aucune jalousie ne vient ternir nos rapports et ceux que nous entretenons avec nos amis. Un enfant renforcera les liens qui nous unissent. Oui, notre mariage est une réussite...
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